brunchs parisiens de luxe : Murano vs First – Westin

J’aime les brunchs, ce n’est un secret pour personne : j’aime cette liberté qu’ils offrent le dimanche, évitant le stress de l’horaire  des petit déj euners et autre déjeuner dominical !

J’aime aussi la liberté de choix, du salé au sucré en passant par les grand classiques tels que viennoiseries ou jus de fruits!
Alors il nous arrive régulierment de nous offrir de bons brunchs, et mon favori bien sur : le Murano.

Délicieux, service impeccable et variété inimaginable de propositions: d’ailleurs, on ne s’y trompe pas :

on y arrive vers 11:30 et rare sont les fois ou l’on quitte les lieux avant 13:30, voire même 14:00 !
Alors c’est vrai, le Brunch au Murano se savoure, on se l’autorise dans des circonstances exceptionnelles puisqu’il coûte 49€, mais il les vaut si bien … !
Cher, certes, mais tout a fait à la hauteur de ses promesses!
Parce que,  ce qui me met hors de moi, c’est  quand le prix est élevé et l’arrogance du lieu et de la proposition l’emportent sur l’essentiel : le service, les clients, la qualité.
J’ai déjà abondamment évoqué un de ces cas: le Mandarin Oriental, qui correspond au pire de ce que j’ai rencontré dans l’arrogance, le mépris, et l’incorrection.

Mais j’ai été confrontée à nouveau à quelque chose de similaire lors d’un brunch dans le  » restaurant boudoir  » du Westin , rue de Rivoli.: Le First

Le lieu est prometteur, ces galeries que j’aime tant, face aux jardins des Tuileries …

Mais la suite n’est pas à la hauteur, mais alors pas du tout !

Une obscurité entretenue, sans doute pour donner une atmosphère et une ambiance cosy .. .

Soit , même si je ne suis pas vraiment fan …! Mais quand en plus on commence par un accueil gacial et une remarque du style  » vous êtes sur que vous avez réservé … « , là, un noeud s’installe dans mon estomac …

Nous nous installons donc . Un buffet assez appétissant, certes, mais une circulation et un accès peu fluides. Il faut se faufiler, éviter les autres convives… Manquer de renverser le contenu de son assiette au passage …

Il fait soleil dehors, on ne voit rien à l’intérieur, et pourtant, nous sommes à proximité d’une fenêtre …

Mais tout ceci n’est finalement pas dramatique me direz vous … !

Oui, mais il vous manque une information clé : le coût de cette expérience : 65€ !

Et, cerise sur le gâteau : à ma demande, assez banale somme toute,  de disposer d’une carafe d’eau, la réponse :

l’eau est minérale, et payante !

Et oui, je me demande parfois quand les bornes des limites sont dépassées : et bien j’ai trouvé ma réponse , qu’en dites vous ?

Le First, Westin Paris Brunch
3, rue de Castiglione
75001 PARIS

les gagnants Carte Noire !

Voici donc venu le moment de déclarer les gagnants du jeu Carte Noire !

31 participations, et deux vainqueurs …

phenicia et christelle d pie !

Envoyez moi vite votre adresse à nathalie@theparisienne.fr et les cadeaux suivront !

Bravo aux gagnantes, et merci à tous pour votre participation !

 

MERCI : le vélo dans tous ses états !

Merci accueille le roi de la ville : le vélo !

Il se passe toujours quelque chose chez Merci … Et cette fois, il s’agit d’un hommage à la nouvelle reine de PARIS : la bicyclette .. Ou plus précisément Le vélo !

Une roue géante en guise d’éclairage, une foule d’amateurs , et des vélos, des vélos, encore des vélos …

Le vélo artistique, avec des photos empruntés à une galerie voisine …

Le vélo … équipé et pratique …

Ou encore le vélo … surprenant parce que volant !

Puis le vélo élegant, grâce à une tenue sans faille empruntée à Carven …

et le vélo prêté par   » en selle Marcel « , un marchande de beaux vélos de la rue de Tiquetonne …

 

Et cette fois, je n’ai pas pu photographier la célèbre FIAT 500 rouge, qui était bien entendu surmontée d’un vélo !

Mais la foule était trop dense, alors il faudra que j’y retourne !

mercredi, c’est cinéma : La vérité si je mens 3 !

 

jeu d’acteurs :

scénario

maximum : 4

plaisir immédiat : +++ !

Bien sur ils ont vieilli .. Et bien sur  les tempes sont grisonnantes et la peau plus marquée  …
Mais cela signifie juste que les années sont passées, comme pour nous!
Et puis cet opus marque le retour de Vincent Elbaz, toujours aussi craquant , même sans ses cheveux longs !

Alors, sachez le, il faut être indulgent …

Pour commencer, un générique interminable, du genre  » James Bond  » rencontre  » sex and The city 3″, et puis un début un peu poussif, avec des personnages qui semblent se chercher ….et puis le charme opère a nouveau…!

Je n’ai pas la mémoire des citations et des plaisanteries, je n’évoquerai donc que ce clin d’oeil a Rabbi Jacob:  » Comment, Salomon n’est pas juive!  » , ou encore un autre clin d’oeil , mais cette fois à tous ceux qui ont vu le premier film, et qui se souviennent de l’échange concernant le traiteur  » Le Nôtre  » …
Alors bien sur, j’ai été un peu surprise par ces scènes tournées à la mode des séries des années 60; dans des
voitures en studio avec le paysage qui défile à l’arrière … ! 

C’est vrai, le scénario ne brille pas par son originalité, on peut même dire qu’il ressemble furieusement au précédent!

Les caractères principaux sont inchangés, mais les femmes sont cette fois quasi absentes et quelques nouveaux visages apparaissent brièvement, tels que Dany Brillant dans son propre rôle ou encore Max Boublil …

En fait, ce qui fait qu’on rit, de nouveau , avec eux, c’est qu’ils sont furieusement sympathiques, voire attachants, et que, somme toute, on aimerait tous et toutes appartenir à une bande de vrais amis comme eux, et c’est dans doute pour ça qu’on les aime tant!

Alors, même si vous l’oublierez sans doute dès le lendemain, ne boudez pas votre plaisir, allez-y !