Brunch à Paris – Bontemps l’a fait !

Je me suis laissée dire que le brunch n’était plus aussi hype qu’il l’était. Le petit déjeuner serait plus tendance ! Et bien j’ai l’adresse du brunch à Paris qui va directement mettre fin à cette prétendue nouvelle tendance. Et je vous la livre ici, maintenant.

Brunch à Paris – Bontemps pâtisserie

Je devine le regard interrogateur, la moue dubitative de certains d’entre vous à la lecture de ce titre. Oui, je sais, Bontemps rime depuis longtemps avec pâtisserie de folie. Un cake au citron pour lequel les amateurs sont prêts à traverser la capitale, des gâteaux de saison qui égayent les repas dominicaux, des biscuits maison pour les meilleurs goûters des enfants sages.

Et bien sachez le, depuis une semaine, Bontemps dispose de son propre lieu. Accolé à la charmante boutique exigüe, un espace dans lequel on pénètre par une jolie cour terrasse, et qui permet d’accéder à ce salon de thé boudoir cosy et chaleureux.

Le brunch de Bontemps

Une carte gourmande et qui met l’eau à la bouche pour ce brunch qui propose un équilibre parfait entre salé et sucré. Parce que bien sur, comme chacun sait, Bontemps est spécialisé en pâtisseries, mais le chef dévoile ici ses qualités de cuisiniers.

Deux formules, une gourmande, et l’autre, très très gourmande ! Sans oublier la version pour les enfants, et les familles l’ont bien compris parce qu’elles sont nombreuses à venir se régaler ici alors que le brunch est proposé depuis moins d’un mois.

Pour ce repas dominical trendy à souhaits, on se régalera donc de viennoiseries au feuilleté aérien, mais aussi d’oeufs brouillés cuits à la perfection, sublimés par ces truffes qui raviront les papilles de tous les gourmets. San oublier le mini bun végétarien, coppa ou ventrêche de thon.

Bontemps – version semaine

Alors oui, on pourra donc désormais goûter, déjeuner, prendre un thé dans cet endroit charmant à la proposition si délicieuse . La révélation : la « merveilleuse tarte aux tomates confites » qui porte son nom à la perfection.

Mais il y a également la grande assiette végétarienne du moment, bonne à s’en lécher les babines.

Tout cela dans un cadre élégant, à la vaisselle délicieusement champêtre choisie avec tant de goût qu’on aimerait la ramener immédiatement chez nous. Je me suis laissée dire par le maître des lieux que sa femme et lui l’ont chinée avec amour. Cela se voit.

Parfait en cas d’intempéries, et on sait qu’elles vont se multiplier ! La seule question sera de savoir si nous aurons la force mentale de nous extraire de ces fauteuils moelleux pour retourner affronter le monde extérieur…

Bien sur, il faut réserver, parce qu’un endroit pareil, ça se mérite.

Bontemps 57 rue de Bretagne 75003 Paris tel: 01 42 74 10 68

Pauline Brosset – elle vous fait porter le chapeau

Pauline Brosset a la mèche blonde rebelle, le verbe enthousiaste et le regard qui pétille. Elle est chapelière, et le revendique fièrement. Son ambition : vous faire porter le chapeau en toutes circonstances. C’est dans son atelier dissimulé à l’abri des regards, au fond d’une charmante cour pavée, qu’elle reçoit ses clients. Expérience unique garantie.

Pauline Brosset – chapelière

Au terme d’une formation de styliste dans l’univers de la mode Pauline Brosset se lance dans un CAP de chapelier. Ce métier qui fut longtemps réservé aux hommes alors que la modiste, elle, est en théorie naturellement féminine. L’un sculpte et forme à la force de ses bras, la seconde découpe, assemble, orne et ornemente.

Elle acquiert et développe son savoir faire grâce à sa rencontre avec Fernand Sebbah, le chapelier de Lanvin, qui la prend sous son aile. C’est à ses côtés qu’elle grandit, avec lui qu’elle apprend. Lors de son décès prématuré en 2010, elle décide de se lancer et d’ouvrir son propre atelier. Ils partageaient la conviction que le chapeau doit être une « création urbaine à porter tous les jours ». Elle va faire en sorte que le Fedora, son produit phare, devienne « un élément du vestiaire quotidien »

Le fedora

« Il n’y a pas de tête à chapeau, il n’y a que de mauvais chapeaux ».

Le Fedora est le symbole de l’élégance discrète, rendu célèbre par des acteurs tels qu’Humphrey Bogart ou Alain Delon. Il est sans couture, fait de feutre moulé, aux bords plus ou moins larges, à la calotte plus ou moins haute, orné d’un ruban gros grain. Pauline le décline en feutre de lapin ou de castor.

Couleurs sobres ou gros grain coloré, bords plus ou moins larges selon la morphologie de celui qui le portera, il s’agit principalement d’un chapeau masculin que les femmes ont commencé à s’approprier. Pour commencer, Pauline échange avec le futur propriétaire pour cerner parfaitement son interlocuteur, sa personnalité, ses attentes, et de créer ainsi son chapeau unique. La confection passe alors par plusieurs étapes. La première, le moulage. Effectué en utilisant une des multiples formes en bois qu’elle possède. La deuxième, celle de l’ajustement, s’effectue avec son instrument le plus précieux qu’elle tient de M. Sebbah : le conformateur . En le posant sur la tête, il permet de relever chaque détail, chaque irrégularité du crâne, pour ensuite façonner le couvre chef parfait.

Atelier sur cour

Son atelier, dissimulé au fond d’une courette pavée, est so parisien. Sur les étagères sont alignées les formes en bois . Le conformateur trône sur l’établi, intrigant tous ceux qui ignoraient jusqu’à son existence. Des Fedora ornent les murs, démontrant ainsi la diversité des possibilités de teintes, formes et finitions. Au cœur de Paris, l’emplacement de son atelier lui permet d’accéder aisément à ses fournisseurs favoris. Shindo pour les rubans dans le 2ème ou encore Ultra mode, une charmante mercerie d’époque à deux pas du métro 4 septembre.

Pour la découverte de l’atelier, mais surtout pour la rencontre avec la créatrice, découvrir l’adresse de Pauline Brosset vaut définitivement le détour.

Pauline Brosset 43 Rue Volta, 75003 Paris
sur rendez vous tel : 01 42 74 65 75 mail : chapelleriepauline@gmail.com

http://paulinechapeliere.com/

INDRESS – nouvelle boutique dans le Haut Marais

INDRESS – un esprit avant tout

La marque INDRESS est une marque née en deux temps. En 2001 quand sa créatrice, Wies Schulte, créé le premier produit INDRESS, un cabas réversible en coton qui remporte immédiatement un succès fulgurant.

Puis en 2005, avec le lancement du prêt à porter.

L’esprit d’INDRESS est de proposer des pièces faciles à porter. Des basiques revisités, dans des matières innovantes ou différentes de celles que l’on attend pour chacun des vêtements dessinés.

Ainsi le tailleur pantalon sera décliné en lurex, mais les blouses seront confectionnées en soie.

Des pièces parfaitement coupées, pour une garde robe élégante et féminine, même si certains vêtements sont empruntés à la garde robe masculine.

INDRESS – la boutique rue Charlot

C’est dans le Haut Marais que Wies Schulte, désormais associée à  Maud Courault, ouvre sa première boutique en propre. Un espace lumineux qui se découpe en deux salles permettant de présenter les 25 pièces qui constituent chaque collection.

Ici, chaque robe, pull, top ou costume est présenté en association pour imaginer un look parfait, élégant, féminin et unique.

Et puis il y a les broches signature de la créatrice. La broche qui bouleverse une tenue, même un simple sweat qui devient un fashion statement.

Cette broche est déclinée en des dizaines de couleurs et permet de réinventer un look à volonté !

Mon coup de coeur sera définitivement pour cette robe en soie à l’imprimé délicat en ton sur ton, et la broche bien sur, indispensable !

Les finitions sont raffinées, de délicats boutons couverts de soie qui font ressurgir à l’esprit des images de robe de mariée.

Alors soyons fous, réinventons la plus simple des tenues avec une touche de fantaisie !

 

INDRESS 74 rue Charlot 75003 PARIS

tel : 01 42 41 37 94 

Ouvert du mardi au samedi, de 11h à 19h

Tammy & Benjamin – des sacs made in Paris

Tammy & Benjamin – l’histoire

Elle, c’est Tammy. Lui, c’est Benjamin.

Elle étudiante à Esmod, lui en école de commerce branche entreprenariat. Alors quand leurs chemins se croisent, c’est comme une évidence. Elle apporte sa touche artistique, lui sa volonté d’entreprendre et de créer.

La marque nait en 2013, avec une première collection qui prend ses racines dans le projet de fin d’études de Tammy. A cette époque déjà, elle créait des sacs, un à un, à la main.

L’histoire de Tammy & Benjamin est donc celle de ces jolies marques qui naissent d’une passion et s’épanouissent grâce à l’énergie que les créateurs insuflent à leur projet.

Tammy & Benjamin – des sacs made in Paris

Leur premier show room sera donc en plein coeur de Paris, à Bastille.

La fabrication se déroule aussi à Paris, dans un atelier du Xème arrondissement, et désormais c’est à Bastille que se déroule le contrôle qualité.
La boutique de la rue de Poitou suivra quelques années après puisqu’elle date d’octobre 2016.

Cette boutique à la scénarisation unique avec cet arbre spectaculaire en plein centre, et des sacs exposés tels de petits bijoux.

Comme par exemple ce modèle Jeanne et son superbe noeud rouge qui ne peut laisser indifférent.

Les sacs Tammy & Benjamin, on les reconnait si bien.

Tammy & Benjamin – des sacs reconnaissables entre mille

Les sacs de la marque ont des lignes graphiques et géométriques. Un look affirmé pour des sacs rigiques qui se tiennent, se posent, et ne se déforment jamais.

Et puis cette touche vintage qui transparait dans le choix des fermoirs et du métal couleur bronze patiné utilisé.

Ainsi, le modèle Elisabeth est un modèle apparu dans la toute première collection et toujours présent.

Les modèles Hatbox sont plus récents, et un des modèles phare : je le comprends si bien à la vue de cette déclinaison que j’adore !

La majeur partie des sacs a des prénoms féminins.  Elisabeth, précédemment cité, ou encore Jeanne, et puis aussi Charlotte, et enfin Alexia, mon coup de coeur je dois dire.

La boutique est si jolie, et dans un quartier parfait pour une balade shopping : vous savez ce qu’il vous reste à faire !

Tammy & Benjamin 33 rue de Poitou 75003 Paris

Optik by Michèle B – lunettes made in Paris

Optik By Michele B – créatrice de lunettes made in Paris

Les Lunettes, chez Michele B, c’est une histoire de famille.

Optik by Michele B
Optik by Michele B

Les lunettes, elle les dessine, les conçoit, et les fabrique intégralement, à Paris, dans son atelier de la rue Pastourelle.

La gamme est si vaste qu’il faut son aide et ses conseils pour choisir entre les matériaux, les teintes, les formes.

Alors elle guide, s’imprègne des lignes du visage, et surtout des contraintes de vue, que vous soyez très myope, astigmate ou simplement presbyte.

Elle le dit : « je suis là pour faire plaisir » et elle s’adapte donc pour que vos lunettes, objet indispensable et accessoire de mode, vous les adoriez !

Optik by Michèle B – l’atelier

Dans son atelier, c’est toujours « work In progress« . Parce que tout, absolument tout est fait ici. De vrais produits « fabriqués à Paris ».

Des ébauches de monture, et puis les  précieuses machines, celles qui permettent de façonner chaque monture à la main, celles qui sont devenues si rares et si précieuses que son fils, opticien lui aussi, s’est installé à quelques centaines de mètres pour pouvoir les utiliser aussi !

Optik by Michèle B. – le choix

Quelque soit la couleur que vous aimez, votre matériau de prédilection, ou encore si vous avez envie d’une bonne dose d’excentricité, Michèle B est là pour vous.

Elle vous proposera des exemples, qu’elle adaptera à vos goûts, à la taille de votre visage, l’écartement de vos yeux, et bien sur à votre prescription.

Pour les couleurs, l’embarras du choix n’est pas une image ici.

Ceci n’est qu’un tout petit échantillon de la variété qu’elle propose, et qui peut aller jusqu’à ce type de résultat…

lunettes Optik by Michèle B
lunettes Optik by Michèle B

Pour les prix, les montures en acétate sont à partir de 449€, celles en corne de buffle 999€, et celles en écaille de tortues 2499€ (c’est donc la rareté des stocks très réglementés qui explique ce prix élevé).

Alors si vous passez dans le Haut Marais et que vous adorez les belles montures, faites un tour chez Optik by Michele B.

Optik by Michèle B. 11 Rue Pastourelle, 75003 Paris tel 09 53 87 99 41

SAINT JAMES et Marin Montagut

Boutique SAINT JAMES PARIS

Surtout, ne prononcez surtout pas Saint Jaïmes à l’anglaise.
Les Saint-Jamais le prendraient très mal !

SAINT JAMES PARIS
SAINT JAMES PARIS

En effet, la célèbre marque française de marinières et pulls marins tient son nom du village ou elle est née : Saint-James en Normandie

Célèbre pour ses marinières et ses pulls marins, tous conçus et fabriqués en France, la marque Saint James possède une boutique dans le Marais rue Vieille du Temple. Vous pourrez y découvrir toute la gamme, que ce soit les grands classiques ou encore les collections du moment.

Dans la gamme classique, il y a la collection  » Saint James l’atelier« .

SAINT JAMES L'ATELIER
SAINT JAMES L’ATELIER

Des marinières traditionnelles, de grande qualité, en provenance directe de leur lieu de fabrication.

Et puis il y a les collections spéciales, comme par exemple les marinières créées en collaboration avec Marin Montagut.

Saint James et Marin Montagut

Ainsi, actuellement, c’est une collaboration avec Marin Montagut qui est présentée par la maison Saint James.
Mais qui est Marin Montagut ?

Ce jeune artiste est connu pour sa collection de guides Bonjour City Map Guides. Passionné de voyages, d’art et de rencontre, il personnalise ces marinières et créé en même temps un joli guide pour découvrir les plus jolies adresses de Normandie. A l’image de ses City Map Guides.

Dans cette collection, il personnalisés 3 marinières.
Pour l’une, il ajoute en trompé l’œil les célèbres boutons dorés positionnés sur les épaules. Pour l’autre, un écusson signé de son nom.

Une collection à son image, avec un bonus : un mini guide vous sera offert pour l’chat d’une de ses marinières.

Amoureux de marinières, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Saint James Paris 116 Rue Vieille du Temple, 75003 Paris

Julia’s Corner – je veux tout !

Julia’s Corner

Cette boutique, je l’ai découverte au détour d’une balade, là, par hasard, rue de Turenne.

Un coup d’oeil en vitrine, l’envie d’en savoir plus, et me voilà à l’intérieur, pour mon plus grand bonheur, comme cela m’arrive régulièrement.

Julia's corner
Julia’s corner

Julia’s Corner est spécialisé en made in France, même si les sacs qui ont attiré mon oeil au premier regard sont faits en Italie. Nous y reviendrons.

Julia’s corner, c’est donc l’univers de Julia. On l’imagine entrain de choisir, de sélectionner. Chez elle, on trouve de l’épicerie fine, des accessoires, du lifestyle, des pièces pour la maison. Eclectique donc, et cohérent pourtant.

La pièce phare du moment, celle qui m’a fait passer le pas de sa porte, ce sont ces sacs, légers comme une plume. Les sacs Save my bag.

Julia’s corner – Save my bag

De la couleur, de la légèreté, et ils passent à la machine !

S’il fallait choisir un seul mot pour décrire ces sacs, ce serait : ludique ! Des modèles graphiques, des formes citadines, ils se déclinent dans de multiples couleurs, mais aussi des imprimés, et en allant sur le site de la marque on trouve des accessoires pour habiller le sac.

Pour tout dire, je vais avoir du mal à ne pas craquer dans les jours à venir …!

Et chez Julia’s corner, la tentation est multiple.

Julia’s corner – des charentaises comme à la maison

Ici, les charentaises prennent un coup de jeune et on a envie d’en choisir une paire pour chaque membre de sa famille.

C’est la marque La Pantoufle à Pépère qui est présentée.

Cette marque qui réinvente les charentaises, mais dans la plus pure tradition puisqu’elles sont toutes fabriquées en Charente. Elle leur redonne de la couleur et du peps, pour séduire les hipsters, permettre aux papis de retrouver leurs bonnes vielles charentaises, et il y en même pour femmes !

Alors c’est vrai, l’été n’est pas la période idéale pour glisser ses pieds dans des charentaises, mais je garde l’idée bien au chaud pour cet hiver.

Et je continue dans la série des tentations en tous genres chez Julia’s corner.

Julia’s corner – tentations en tous genres

Commençons par ces lunettes de soleil de la marque REZIN.

Des lunettes au design unique, basé sur une approche écologique durable, grâce à l’utilisation de bois de forêts gérées durablement . Et après chaque achat, Rezin replante un arbre. Une approche durable pour de superbes lunettes. Que demander de plus ?

Il y a aussi de superbes bougies, parfaite pour un joli cadeau élégant et tendance.

Ou encore pour les amoureux de vintage ces jolies radios.

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Et si vous imaginez que je vous ai déjà tout dit, vous vous trompez. Parce que chez Julia’s corner, les produits proposés changent régulièrement, au gré des envies de Julia.

Alors à très vite chez Julia’s Corner ?

Julia’s corner  93 rue de Turenne 75003 Paris  Tél : 09 81 06 03 08

Des Mots et Des Arts – vivre l’art à Paris

Des Mots et des Arts – le concept

Des Mots et des Arts vous propose de partir à la découverte de tout ce que Paris peut proposer d’artistique. Une façon éclairée de vivre l’art à Paris. Une façon aussi de s’autoriser ce que l’on n’aurait peut-être pas fait naturellement . Par exemple, entrer dans une des multiples galeries d’art parisiennes. Ces lieux dont on ose peut-être pas pousser la porte naturellement et qui pourtant recèlent de vrais trésors, aussi.

Des visites de galeries, d’expositions parisiennes.

Et puis Des Mots et des Arts propose également des visites guidées de Paris. Pour découvrir ou redécouvrir les passages couverts, ou encore le méconnu et pourtant magnifique hôtel de Lauzun.

Et puis des cours. Des cours annuels ou en cycles trimestriels comme par exemple un cycle thématique complet d’histoire de l’art, ou encore l’art contemporain après 1945.

Des apéros arty, et peut-être mon favori, « mardi, c’est galerie  » : pour faire d’une pause déjeuner un moment de plaisir artistique.

Et j’ai testé, le parcours de galeries.

Des Mots et des Arts – découverte de galeries

Un parcours multiple, qui permet de commencer à comprendre un quartier et ce qu’il  propose en matière d’art.

Ce jour là, c’était le Marais.

Une heure et demie, en petit groupe, et accompagnée par un docteur en histoire de l’art, tout aussi passionnant que son titre est impressionnant.

Il savait poser le contexte, situer l’artiste et la galerie dans leur contexte artistique historique, permettant ainsi de comprendre, et cela même sans apprécier l’oeuvre dans certains cas.

Un quartier, trois galeries, trois univers.

Des Mots et des Arts – un quartier, trois galeries

Galerie Lazarew.

Au commencement était un collectionneur d’art : Alexandre Lazarew.

Découverte d’artistes émergents, mais aussi redécouverte d’artistes confirmées dans tous les cas, des choix motivés avant tout par les coups de coeur du créateur de la galerie et de son associée.

Lors de notre visite, c’est l’artiste Shaka qui était exposé. Un artiste français qui vient du streetart puisqu’il commence le graffiti en 1995. Mais très vite, il va au delà.

Il entre aux Beaux Arts, se confronte à différentes techniques artistiques, sculpture, peinture à l’huile, sérigraphie et tant d’autre.

Chez Shaka, le thème central sont « les écorchés« , la violence de la société et son impact sur nos vies, nos corps, nos âmes. Des personnages sans armure qui montrent leur vrai visage et leurs émotions.

Le carrousel ici représente cette tendance à recommencer encore et encore sans apprendre de ses erreurs.
Il s’inspire du streetart avec l’utilisation du lettrage, mais il utilise peinture à l’huile et techniques traditionnelles.

Ni sculpture ni tableau, ses créations questionnent les formats traditionnels de l’art.
Quand une œuvre surgit du tableau elle entre dans le monde du spectateur et l’intègre ainsi dans la création.

On est ici dans de l’art figuratif pur.

Et si vous aimez Shaka, soyez vigilants : dans un mois il créera une œuvre en live devant Beaubourg.

Galerie des multiples

Cette galerie, créée en 2002 par Sandrine Balleydier et Gilles Drouault, a une double vocation : studio de création graphique et galerie de multiples, la volonté étant de participer à leur façon à l’accessibilité de l’art contemporain.
Toujours pièces multiples pour rendre l’art plus accessible.
Ici, c’est le minimalisme qui prime.

Notre guide nous explique que l’artiste du moment effectue un travail sur la lumière et l’espace, tendance artistique qui apparait à partir des années 60.
Le concept : présenter des objets avec lesquelles le spectateur a un rapport physique. Des objets du quotidien qui deviendraient art.

Les artistes prèsentent plutôt qu’ils ne représentent.


La Galerie des Multiples est également connue pour son programme 100 pour 100.
100 artistes qui produisent 100 œuvres à 100€ pour rendre l’art abordable encore.

Vous l’aurez compris sans doute, j’ai été nettement moins sensible aux objets présentés ici, mais j’ai beaucoup apprécié les explications simples et chronologiques de notre guide.

Galerie Perrotin dernière étape.

Nous finissons le parcours dans « la galerie des galeries ». La galerie Perrotin, sans doute une des plus connues du quartier voire même de Paris.

 

Dans la lignée de Takashi Murakami, premier artiste de cette galerie, le créateur de cette galerie crée une sorte d’incubateur pour de nouveaux artistes dont celle exposée en ce moment : Aya Takano.

 

Au Japon, les éditeurs de bandes dessinées sont reconnus en tant qu’artistes contrairement à ce qui se passe en Europe.

Aya Takano créé un monde onirique. Elle y représente ses obsessions, la découverte de soi, de la féminité, la lutte de la lumière contre l’ombre.Une sorte de conte initiatique qui part d’un monde très technologie vers un autre monde en harmonie avec la nature.

 

Ce que ce parcours m’a clairement montré, c’est la richesse de la proposition artistique des galeries de ce quartier. Visiter avec Des Mots et des Arts permet de pousser la porte de ces galeries où nous n’entrerions peut-être pas naturellement , et aller ainsi au devant de superbes découvertes !

Galerie Lazarew 14 Rue du Perche, 75003 Paris

Galerie des multiples 17 Rue Saint-Gilles, 75003 Paris

Galerie Perrotin 76 Rue de Turenne, 75003 Paris

 

Braderie L’Eclaireur : à vous d’en profiter !

Braderie L’Eclaireur – de bonnes affaires à faire

L’Eclaireur est une référence parisienne en terme de shopping.

Sélection pointue, grandes marques, l’essentiel et le superflu sont ici, pour la fashionista qui dort en nous.

crédit photo sebastienborda
crédit photo sebastienborda

Par contre, ne nous le cachons pas, les prix sont ceux des produits de grande marque sélectionnés. Elevés.

Et L’Eclaireur avait abandonné le rituel de la braderie depuis plusieurs années.

Mais heureusement, il y a maintenant une bonne nouvelle, et elle est pour vous !

Braderie L’Eclaireur – Le retour

Ne faisons pas durer le suspens :  on va pouvoir faire des affaires de nouveau. Se faire plaisir sans se ruiner.

Donc, en résumé, dès demain, vous pourrez vous offrir le IT bag de vos rêves, la paire de chaussures qui remet de bonne humeur en toutes circonstances, et ce pendant trois jours avec réassort quotidien.

Parce que L’Eclaireur brade ses stocks des trois dernières années, avec des réductions qui donnent des palpitations, jusqu’à 70% !! Oui, oui !

crédit photo sebastienborda
crédit photo sebastienborda

Donc, je ne le redirai pas : trois jours de braderie, dès demain, jeudi 20 avril, et pendant 3 jours.

Vous êtes encore là ?

 20 au 22 Avril de 11h00 à 19h00 au Loft Sévigné, 46 rue de Sévigné, 75003 Paris. 

Café Charlot – un bistrot comme je les aime

Café Charlot – Haut Marais

Ici, on a tout. Le décor, en mode vintage, les serveurs hipsters à la barbe parfaitement taillée et la tenue noir et blanc historique. Et en plus, on y mange bien !

Café Charlot – comment on s’y sent

Café Charlot
Café Charlot

Le décor d’un bistro traditionnel pour un restaurant bien actuel. Mosaiques et carrelage blanc, ventilateurs d’antan au plafond.

Il faut dire que cette ancienne pâtisserie a vu son décor préservé pour devenir un café restaurant, y compris la façade dont l’enseigne a été préservée.

Le café Charlot – ce qu’on y mange

Ici, des entrées traditionnelles, telles que les escargots de bourgogne ou l’avocat vinaigrette, ainsi que de beaux produits d’enseignes parisiennes bien connues comme Da Rosa par exemple.

Et puis aussi des plats de bistro, des burgers, des salades, des croques et des bagels.

Notre repas fut frugal ce jour là, et je ne pourrai pas vous montrer une grande variété de plats.

Je peux juste vous dire que ce que nous avons pris était délicieux, et nous nous sommes régalés.

Parce que, même quand il s’agit de plats simples, la qualité des produits utilisés fait la différence.

Sans oublier les desserts de la célèbre maison Sénequier !

Pourquoi j’y reviendrai

Pour le brunch dominical ? Ou pour un vrai déjeuner en profitant de la terrasse ? Et pour finir, pour goûter un ou plusieurs des desserts bien sur ! Comme on peut le voir, les raisons potentielles sont multiples.

Café Charlot 38 Rue de Bretagne, 75003 Paris