Olga Picasso – la femme de sa vie ?

Olga Picasso – l’inspiration

Olga Picasso
Olga Picasso

« Il y a les filles dont on rêve
Et celles avec qui l’on dort
Il y a les filles qu’on regrette
Et celles qui laissent des remords
Il y a les filles que l’on aime
Et celles qu’on aurait pu aimer
Puis un jour il y a la femme
Qu’on attendait »

Pablo Picasso était un homme à femmes, et aux enfants multiples. Certains légitimes, d’autres nettement moins. Olga, qu’il rencontre en 1918, après s’être séparé de sa première femme en 1916, marque sa production artistique, et continuera à l’influencer même lorsqu’il commencera à la tromper, même quand ils seront séparés.

L’exposition se concentre sur la présence de cette femme/muse qu’il peine à éradiquer de ses tableaux même s’il l’a écartée de sa vie.

Une femme pour laquelle il aurait pu fredonner les paroles de cette chanson…. Sauf que ….

Olga Picasso – la mélancolie

Dès leur rencontre Olga devient le modèle de Picasso.  De superbes portraits, des croquis, elle est partout.

Ce qui saute aux yeux, c’est l’absence de sourire, le regard lointain, la mine pensive.  Pas un sourire donc, pas un signe de joie de vivre.  Serait-ce de la mélancolie, attribuée à la séparation d’avec sa famille restée en russie ? Peut-être.

Ou bien est-ce un parti pris de l’artiste ?

Le doute s’installe indéniablement quand on voit les films de famille plus loin dans l’exposition, et qu’on découvre là une Olga rayonnante, joyeuse, et toujours prompte à jouer avec son fils, et à sourire à l’objectif.

Mais revenons en au parcours de l’exposition.

Le couple connait rapidement une ascension sociale fulgurante, et leurs lieux de villégiature en témoignent. Appartement bourgeois, villa à Juan Les Pins, et même château dont ils feront l’acquisition.

Changement de style de vie, suivi d’un changement encore plus profond : la maternité.

Olga – la maternité

Pablo et Olga auront donc un fils : Paul. Nous le connaissons tous, tant son portrait en arlequin est une des pièces clé de l’oeuvre de l’artiste.

Arlequin
Arlequin

Ici,on découvre pourtant d’autres portraits de l’enfant, dont celui-ci, qui a été mon coup de coeur.

Mais on découvre surtout la mère et l’enfant dans une relation fusionnelle.

Et tout particulièrement ce croquis, sans doute celui dans lequel transparait l’émotion la plus pure.

Et puis il suffit de rien, quelques marches, pour pénétrer dans la deuxième partie de l’exposition, celle où Olga n’est plus que difformité, bestialité et rage.

Olga Picasso – trahie

Picasso prend donc une maitresse bien plus jeune que lui, et Olga se métamorphose dans son oeuvre.

Elle le cannibalise dans cet autoportrait par exemple, ou apparait, vorace, dans le célèbre baiser.

La femme s’effacera de sa vie, mais pas de l’oeuvre de l’artiste.

Olga Picasso – Musée Picasso 21 mars – 3 Septembre 2017

5 rue de Thorigny 75003 Paris

Téléphone: 33 1 85 56 00 36.
De 9h30 à 18h00 du lundi au dimanche.

Boutique hôtel à Paris – Paris Boutik

Paris Boutik – une expérience unique

Les boutiques hôtels, on connait. Mais le concept de Paris Boutik, lui, est unique.
En effet, il s’agit là de boutiques intégralement transformées pour en faire ce qui peut être assimilé à une suite d’hôtel.

Ceci n’est donc pas vraiment un hôtel, malgré le clin d’oeil que livre l’immeuble dans lequel se trouve La Suite, et ce dès qu’on passe la première porte sur rue, et que l’on découvre au sol cette mosaïque, témoin de l’histoire de ce lieu devenu depuis immeuble de logement.

Paris Boutik – la chambre

Vue de la rue, cela donne ceci.

Paris Boutik - La Librairie
Paris Boutik – La Librairie

Une librairie donc, dont la façade a été préservée tout en l’adaptant au nouvel usage en terme d’isolation et d’insonorisation.
Cette librairie a été transformée en suite « La Librairie », soit une suite de 45m2.

Une Partie chambre et salon.

 

Une salle de bains avec baignoire, un coin cuisine équipé, et des bibliothèques, des bibliothèques, des linéaires de livres.

 

En effet, même si elle a été transformée en chambre d’hôtel par le cabinet CKA Paris, spécialisé en hôtellerie, la suite Librairie Marais a conservé le décor d’une authentique librairie du quartier du Marais avec ses poutres apparentes, ses bibliothèques et ce sentiment diffus d’être au coeur de la lecture.

Soyons clairs. Ceci n’est plus une librairie !

Et c’est pour cette raison qu’il est si surprenant de découvrir une baignoire entourée de romans et de bibliothèque rose et verte ou encore un coin cuisine où trône la comédie Humaine.

Les livres sont présents partout, à commencer par ceux que l’on vous offre dès votre arrivée : une sélection des fondateurs, aujourd’hui « L’homme à venir », un guides des meilleurs restaurants de Paris.

 

Alors, il faut le reconnaitre, être entouré de tant d’auteurs, tant de styles et tant de genres littéraires provoque une irrésistible envie de lire.

Et là, l’idée est simple. Vous laissez sur place votre dernier livre, celui que vous venez de terminer et qui est au fond de votre sac de voyage, et en échange, vous en choisissez un autre dans les rayonnages. De cette façon, même si vous en commencez la lecture en sachant que vous ne pourrez pas le terminer pendant votre séjour, vous pouvez repartir avec et terminer tranquillement de retour chez vous.

Parisboutik – les services

Quand on est à l’hôtel, on s’attend à un certain nombre de services. La possibilité de se faire un café dans sa chambre, d’écouter sa propre musique, de s’installer confortablement pour découvrir les chaines de télévision nationales et internationales.

Jusque là, c’est assez simple puisqu’il s’agit de mise à disposition de matériel. Et tout y est.

La machine Nespresso, la base Bose, et un téléviseur géant écran plat, le tout connecté à Internet bien sûr.

Et puis il y a les services qui nécessitent une intervention humaine.

Commençons par le Room service.

Pariboutik a mis en place un partenariat avec Resto In, spécialisé en livraison à domicile de plats cuisinés en provenance de restaurants parisiens . Ainsi, vous pouvez avoir accès à une sélection de restaurants qui livreront en un délai de 30 à 45 minutes.

Et le Spa ? Pour moi, un hôtel de qualité dispose d’un Spa. Un lieu qui permet de faire un massage délassant après une journée de découverte trépidante de la ville, pour se recharger avant de partir à la découverte de la ville version nocturne.

Et bien Parisboutik propose son Spa préféré, à 500 mètres de là.

Et puis, pour ceux qui arrivent tôt et ne savant pas quoi faire de leurs bagages, Paris Boutik a mis en place des accords avec des commerces à quelques pas, comme le Café Pinson, ou bien Trévor, spécialisé en mode homme.

Trevor - Haut Marais
Trevor – Haut Marais

La suite Librairie Paris Boutik – Vivre son quartier

Parce que si Paris Boutik propose tous les services que l’on peut attendre, l’idée est aussi, et surtout, de faire découvrir le quartier, au travers d’un vrai réseau de commerces amis à vivre et à découvrir.

Et en passant une nuit dans cette suite tout à fait unique, on vit une expérience qui l’est tout autant.

Aller à la découverte des multiples petites rues alentour, de la multitude de restaurants qui s’y trouvent, et faire son choix pour diner.

Dans ceux que je peux vous recommander pour les avoir testés, il y a par exemple Les Chouettes. Le cadre y est aussi convaincant que l’assiette.

Et dans les recommandations, l’Ilôt, spécialisé en produits de la mer, mais où il n’est pas possible de réserver.

Le matin, découvrir le Marché des Enfants rouges avant que la foule n’envahisse les allées fait exactement partie du type d’expérience que l’on ne peut vivre que quand on s’immerge dans un quartier et que l’on y vit, même l’espace d’une nuit.

Ce quartier est si riche en découvertes que le mieux est de se laisser porter par ses pas.

Mais pour finir, une pause au Café Charlot s’impose. Que ce soit pour prendre un café, un brunch dominical, ou un excellent déjeuner, il réunit l’essentiel : accueil, contenu de l’assiette, et décor délicieusement rétro !

Et pour passer une nuit ou plusieurs dans La Suite Librairie, ou une des prochaines qui vont ouvri dans les semaines à venir, tout est sur le site Paris Boutik.

12 rue Caffarelli
75003 PARIS
FRANCE

Kongo à la galerie Taglialatella #DigitalUnderground

Kongo – street artist français

Sa bande, c’est Jonone et tous les autres de cette génération des précurseurs du graffiti. Des influences multiculturelles puisqu’il est né à Toulouse, passe son enfance au Vietnam et dans le Sud de la France, puis part à 14 ans pour Brazzaville au Congo – c’est de là que lui vient le choix de son nom d’artiste : Kongo.

Le graffiti, moyen d’expression universel, convient parfaitement à ce défenseur du street art. Il fonde entre autre le festival international de graffiti à Bagnolet : Kosmopolite.

Sa signature est reconnaissable entre mille : un graphisme calligraphique coloré et explosif.

Aujourd’hui, c’est un nouveau projet qu’il présente à la galerie Taglialatella

Kongo – Digital Underground

Nouvelle étape pour Kongo, le projet « Digital underground » est soutenu par la galerie Taglialatella.

Au coeur de ce projet, ces nouveaux outils de communication qui ont envahi nos vies, réseaux sociaux, applications en tous genres, le digital dans tous ses états.

Je m’explique.
Sur chacun des tableaux, les icônes de nos réseaux sociaux préférés. Parce que finalement, ne sont-ils pas à la jeunesse d’aujourd’hui ce que le graffiti était à la jeunesse d’hier !
Bon, je m’emballe.
Au dela de ces icônes, qui constituent la trame, l’explosion calligraphique colorée parle aussi digital.
Approchez-vous. Regardez de plus près. vous les voyez ?
Bon, je vous en livre un, cadeau : Youtube sur celui qui a le fond vert aux icônes rouges !

Pour les autres, à vous de jouer.

Mais ce n’est que le début de l’expérience. Parce que Kongo a créé pour chaque oeuvre un complément digital, une histoire qui vient compléter l’oeuvre picturale. Une possibilité de passer d’un monde de sensations et de sentiments à un autre, la toile étant le passage entre ces univers.

Pour chaque oeuvre donc, un flashcode, et un contenu associé.

Flashez, et entrez dans l’expérience. Elle sera musicale, visuelle.
Mais elle vous invitera aussi à créér le lien avec ceux qui vous entourent dans le cas où le chargement de l’expérience prend trop de temps.

Des exemples ?
 » Dites bonjour à votre jolie voisine »
ou bien
« Il est temps de faire un gros chèque à la galerie » ( version dédiée à l’expo ! )

Pour découvrir ces expériences il vous faut donc vous rendre à la galerie Tagliealatella.

Cette exposition est le point de départ d’un projet plus vaste dans lequel Kongo va explorer ces nouveaux outils de communication.

Ne la manquez pas.

Galerie Taglialatella

117 Rue de Turenne 75003 Paris FRANCE Tel : +33 1 42 71 87 72 Info @ djtfa-paris.com

Araku coffee – tellement plus que du café

Araku coffee – un café une histoire

Ce café, qui vient de la vallée d’Araku à l’est de l’Inde, est un café bio, cultivé en biodynamie par les habitants des villages qui se trouvent dans cette région de plus de 350km2.

Au commencement donc était l’Inde. Parce qu’on ne le sait pas assez, l’Inde est une terre de café, troisième pays producteur au monde, après l’Ethiopie et le Yemen.

La vallée d’Araku est classée réserve naturelle protégée. Une vallée à l’écosystème préservé, aux terrains escarpés et aux 520 villages habités par des tribus ancestrales.

Et c’est donc ici que vont naître les 6 cafés « Araku coffee », chacun ayant une signature gustative tout à fait spécifique et propre.

Si cela est possible, c’est parce que chaque café est issu d’une parcelle sélectionnée pour sa particularité, et aussi grâce à l’expertise du caféologue Hippolyte Courty qui sélectionne, définit la torréfaction, conçoit les différents crus.

6 cafés, 6 caractères, qui se différencient par leur origine donc, leur torréfaction aussi, et aussi le moment de leur récolte.

En grains ou moulu, ils s’utilisent en filtre, moka, ou expresso. Pas de capsules pour l’instant, mais c’est prévu, avec de vraies exigences : des emballages bios, entièrement recyclables et pour un résultat à la hauteur de la qualité du café.

Des cafés de grande qualité, bio, dans de superbes boites. Mais si tout cela a été possible, c’est surtout grâce à la ténacité et la volonté de quelques hommes.

Ils changeaient le monde

Pour arriver à ce résultat exceptionnel qui devrait inspirer des initiatives similaires dans le monde entier, il fallait une équipe de passionnés, une équipe d’hommes prêts à croire que tout était possible.

Au commencement était Manoj Kumar, directeur de la Naandi Foundation ( naandi signifiant « nouveau départ » en sanskrit)

Cette fondation est née il y a 19 ans, en 1988. Fondation de charité publique, à son conseil d’administration siègent exclusivement des chefs d’entreprise indiens.  La volonté :  une nouvelle expérience  dans le secteur de développement socio-économique de l’Inde.

Permettre de déployer à grande échelle ce que le gouvernement lui même peine à mettre en place : éducation pour les filles, accès à l’eau potable, mise en oeuvre d’une agriculture durable et responsable.

Toutes ces informations, vous les trouverez bien sur sur le site de la fondation.

Mais quand c’est Manoj Kumar qui la raconte, elles prennent une toute autre dimension.

Lui, qui explique que quand on lui propose il y a 20 ans de diriger et mettre en oeuvre cette idée un peu folle, il hésite un peu avant d’abandonner une situation professionnelle stable et rémunérée pour cette aventure.

Et s’il le fait, c’est, je cite, parce qu’il était « jeune et un peu fou« .

Il commence donc par l’éducation des filles, la mortalité en couches de femmes dont il comprend qu’elle est due à l’utilisation de flèches rouillées pour couper le cordon ombilical.

Il raconte comment il doit payer les sages femmes locales pour les convaincre d’utiliser des kits stériles.

Et comment soudain, la mortalité chute, et les villageois commencent à lui faire confiance.

Après s’être occupé des femmes, il en vient aux hommes. Ces hommes, qui ne travaillent pas, et ne font rien des parcelles de terrain dont ils disposent mais où rien ne pousse, faute de compétence.

Alors il gagne leur confiance, passe des semaines à vivre avec eux, dans leurs villages, leur environnement, et peu à peu les accompagne pour acquérir les compétences qui vont faire d’eux des experts en production de café.

C’est là qu’intervient David Hogg, spécialiste en culture biologique et biodynamie. Pour rappel, ou pour information, la biodynamie consiste à utiliser des processus biologiques naturels exclusivement pour les cultures. une tendance qui devrait représenter ce que sera notre agriculture de demain. Mais nous n’en sommes pas là.

Les fermiers de la vallée d’Araku eux sont devenus des experts dans ces technique, et ont retrouvé dignité et autonomie.

C’est donc cette histoire extraordinaire qui permet aujourd’hui de pouvoir acheter ce café hors du commun à Paris.

Araku coffee – le flagship rue de Bretagne

Nous sommes tellement habitués aux flagships spectaculaires de grandes marques de thé que je ne m’étais jamais vraiment posé la question : et le café dans tout ça ?

Araku coffee Paris
Araku coffee Paris

Et là le constat est simple : le vide sidéral. Bien sur, si on écarte l’emblématique marque aux dosettes,  il y a les boutiques des cafés Richard, les quelques cafés Illy, et puis ?

Quant au packaging, toujours les cafés Richard en association avec la marque de la ville de Paris, mais quant aux autres ….

Araku coffee est donc un des précurseurs d’une nouvelle approche dans l’univers du café parisien.

Ici, vous trouverez les 6 cafés précédemment cités bien sur, mais aussi des experts qui pourront vous accompagner dans votre choix, des machines à café, et aussi des douceurs qui accompagneront à merveille votre délicieux breuvage.

Alors, vous l’aurez compris, j’ai trouvé ici, dans ce lieu, et dans cette rencontre, mille et une raisons de consommer mon café différemment.

Araku coffee 14 rue de Bretagne 75003 PARIS

Biglove caffé – enfin testé !

Biglove caffé

Le dernier né du groupe Big Mamma est arrivé. Et il va plus loin que ses grands frères puisqu’il est ouvert dès 08h00 le matin, pour le plaisir du petit déjeuner ou du brunch, tous les jours de la semaine !

Biglove caffé
Biglove caffé

Comment s’y sent-on ?

Le lieu est assez étroit, il faut le dire.

Pour mieux comprendre, souvenez vous du premier restaurant Rosebakery... Et bien c’est lui !

A tel point que les propriétaires ont décidé de céder à cette nouvelle tendance déco qui tend à mettre les étagères en salle en mode épicerie pour stocker les matières premières : farine, sucre, sel, poivre, etc..

Et ça fonctionne !

Biglove caffé - en mode épicerie
Biglove caffé – en mode épicerie

Ce qu’on y mange

D’abord, le « quand » ! Et bien ce sera dès le matin, du petit déjeuner, en passant par le brunch et le déjeuner, et jusqu’au diner.

Tout ce qu’on y mange provient d’Italie.

Biglove caffé - la carte
Biglove caffé – la carte

Des camions font l’aller retour 3 fois par semaine avec l’Italie. Les producteurs expédient à Milan ou Naples, et c’est là qu’ils récupèrent la marchandise pour la transporter jusqu’à Paris. Tout cela permet de consommer des produits en provenance de producteurs qui sont des petits artisans, des structures de rarement plus de 5 personnes. 180 producteurs en direct, dans toutes les régions italiennes, 16 charcuteries, 17 fromages, selon les saisons autour de 60 légumes et herbes fraîches et 180 cuvées de rouges, de blancs, des rosés, de pétillants, etc… Tout cela est clairement porteur de promesse de se régaler !

Et puis tout est frais !

Le frais, le fait maison, c’est la base chez Big Mamma.

Je le sais, moi qui n’avais jamais encore pu tester leur cuisine – il faut dire que pour moi, faire la queue pour manger est rédhibitoire …

Tout passe donc entre leurs mains, du café torréfié minute, aux pâtes fraiches roulées une à une chez Mamma Primi, en passant par les pâtisseries et desserts, faits chaque matin, dans chaque restaurant.

D’ailleurs, pas de congélateur, c’est la règle !

Et puis il y a le café, ou plutôt les cafés !

Tenu par des italiens exclusivement, le café tient une place centrale dans les valeurs de Biglove café. Et il est décliné, dans de multiples variantes.

les cafés du Biglove caffé
les cafés du Biglove caffé

Par exemple ici, ce latte dans sa superbe tasse – j’adore leur porcelaine d’ailleurs !

Avec une machine pareille, on ne demande pas moins !

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Pourquoi j’y reviendrai

Pour goûter les cafés, tous les café. Pour entendre l’accent chantant en direct d’Italie de tout le personnel. Et puis pour goûter les pâtes fraiches… Quant aux pizze sans gluten, pour l’instant, je laisse ça à ceux qui pensent en avoir besoin.

BIGLOVE CAFFE

30 rue Debelleyme, 75003 Paris  Ouvert tous les jours du Lundi au Dimanche, non-stop de 8h à 23h

Sans réservation.

Joyeux anniversaire Front de Mode

Front de Mode – la mode exclusive et solidaire

J’aime quand un souffle nouveau s’invite dans des univers aux codes si bien établis. Et quand ce souffle est porté par Sakina M’sa, je sais qu’une belle âme nourrit la démarche.

Front de Mode
Front de Mode

Je vous parle de Front de Mode, qui fête son premier anniversaire.

Front De Mode, qu’est ce que c’est ?

Un creative life store qui réunit plus de 60 créateurs autour d’un même engagement, d’une même volonté : donner un sens humain et responsable, capable de garder l’esprit du  » toujours plus de style » et « toujours plus de générosité »

Dans ce magasin nouvelle génération, une multitude de jeunes créateurs talentueux, des marques éco friendly, tous les espoirs de la mode d’aujourd’hui et de demain réunis là.

Vous découvrirez des collections de Prêt-à-porter pour FemmeHomme et Enfant, des lignes de chaussures,  accessoirescosmétiques et objets de décoration originaux et porteurs de valeurs.
Parmi ces créateurs retrouvez, Vivienne Westwood, Christine Phung, que j’avais découvert à ses débuts et que j’adore !

Et puis des créateurs, comme Lea Peckre, Andrea Crews, Naco Paris, Misericordia, Pic De Nore, Smith Wykes, Armoire Officielle, Veja, Pairs In Paris, Atelier Tersi, Les Partisanes, Béton x Ciré, Sakina M’sa, Blue Line, La Malle Trousseau, Nominoé, Absolution, Kure Bazaar, Honorés des prés, Exocet, De Gris, Dab Dab, JEM, Ombre Claire, Rezin, Entre 2 retro, BOdeBO, Clotaire, Epolet…

Et j’en passe !

Des pièces pointues, avec lesquelles on se sent forcément unique !

Du sweat jusqu’aux chaussettes.

Et on y trouve bien sur les deux lignes de Sakina M’sa.

Premier anniversaire

Pour fêter le premier anniversaire de ce lieu unique, une égérie de marque : la belle Imany !

Imany chez Front de Mode
Imany chez Front de Mode

Front de Mode a donc fêté son premier anniversaire. Souhaitons lui de nombreux anniversaires à venir pour nous permettre de continuer à faire de superbes découvertes !

Front de Mode  2 Rue Volta, 75003 Paris tel : 09 80 63 16 33

Empreintes Paris

Empreintes Paris

Ce nouveau lieu qui fait beaucoup parler de lui a ouvert ses portes il y a quelques semaines dans le très vivant quartier du Carreau du Temple.

Empreintes Paris
Empreintes Paris

A quelques pas de là, précisément tout près du marché des Enfants Rouges, à proximité immédiate de la trépidante rue de Bretagne.

Un quartier parfait pour tous les hipsters en quête de ce nouveau spot qui remplacera enfin Merci qui domine le quartier depuis sa création…!

Empreintes Paris est donc un nouveau « lieu », autrement intitulé « concept store » , créé à l’initiative du syndicat des métiers d’art, dédié aux métiers d’art, et ce sur 600m2, et 4 niveaux.

Une partie magasin, qui propose à la vente plus de 1000 objets réalisés dans des ateliers de créateurs français, et ce dans des domaines aussi divers que la décoration, les arts de la table, les bijoux et même le mobilier.

Les produits sont élégamment présentés, leur histoire et celle de leur créateurs mise en avant en images et textes.

Luminaires Empreintes PARIS
Luminaires Empreintes PARIS

EMPREINTES Paris, c’est aussi un café puisque c’est au 1er que Season, dont le restaurant se trouve à quelques dizaines de mètres, s’est installé. Un endroit en théorie parfait pour faire une pause en dégustant un délicieux café bio. Je dis en théorie parce que le jour où je suis passée découvrir l’endroit, le regard glacial de la personne installée derrière le comptoir m’a dissuadée de m’assoir là, comme initialement prévu !

Au sous sol, on trouve même une  salle de projection dédiée aux métiers d’art.

Ce que j’ai pensé d’Empreintes Paris ?

On est à la frontière de l’espace de vente de céramique et poteries faites à la main dans les foires et marchés de régions, et du musée qui présente les différents métiers d’art.

Les prix sont élevés, à très élevés.

L’endroit manque de vie – certes, on était lundi, le quartier entier est mort ce jour de la semaine – et il y manque l’effervescence et la diversité d’un Merci (note à moi-même : il faudrait un peu se renouveler en termes de concept store référence parisien; je pourrais par exemple parler de Fleux, ou de Colette, ou même de Seize même si je n’y suis pas encore allées !)

Bref, je retournerais y faire un tour pour voir, mais je suis loin d’être convaincue pour le moment !

Empreintes PARIS, 5 rue de Picardie, 75003 PARIS

Tu as ton JohnKyril ?

JohnKyril

Des sacs 100% cuir, 100% made in France, 100% uniques.

John Kyril
JohnKyril

JohnKyril est une marque de sacs née d’une vraie passion. Celle de Giuseppe Prestipino, l’italien, installé à Paris depuis maintenant 5 ans.

Ce qui le caractérise : sa passion.

Sa passion pour le cuir, et pour les belles choses. Les beaux sacs tout particulièrement.

Alors John quitte son Italie natale et s’installe à Paris pour créer. Créer des sacs, et tout particulièrement des cabas, made in France.

Ou plutôt : « réalisés en France » Parce que pourquoi dire en anglais ce qui est un hommage à la France !

JohnKyril – 100% cuir

Les sacs sont réalisés en cuir, 100% pur cuir. Des cuirs issus d’une tannerie française, qui fournit les plus grandes marques qui viennent à l’esprit dès que l’on pense maroquinerie de luxe. Je ne vous en dis pas plus !

Des cuirs visiblement d’une grande qualité, souples juste ce qu’il faut pour que le cabas, posé au sol, tienne sans s’effondrer.

JohnKyril – 100% réalisés en France

Il est italien de naissance mais ses produits sont français.

100% français. Les cuirs proviennent d’une tannerie à Angers, celle là même qui fournit les cuirs des plus grands noms de la maroquinerie de luxe française.

Les sacs eux sont fabriqués par la « maroquinerie Audouin » à Chôlet.

Et cette dimension patriote est revendiquée sur chacun des sacs.

Avec un petit drapeau cousu à l’intérieur, là, sur la poche intérieure, et avec la plaque, métallique ou de cuir, qui le précise encore.

Kyril
Kyril

JohnKyrill – 100% unique

Les sacs John Kyrill sont produits en quantités limitées. Plus précisément, chacun d’entre eux est une pièce unique. La marque propose en effet un nombre défini de modèles  :

  • le Tournelle,
  • le cabas : petit, moyen ou grand.
  • Et puis une jolie pochette plate doublée en toile de Jouy.
  • Et très bientôt un 48 heures, masculin cette fois.

Chaque sac produit par John Kyril est donc un de ces modèles, et chacun, je dis bien chacun, est créé dans un cuir différent.

C’est donc la garantie absolue d’avoir un sac que personne d’autre n’a ou n’aura !

Et pour finir, l’essentiel : pour acheter un de ces sacs, pour vous ou pour l’offrir, il faut prendre contact avec le créateur lui même. Et là aura lieu la rencontre. Il vous recevra dans son studio, ou dans le showroom du réseau du Bellay, grâce auquel la marque a pu naitre. Là, il vous racontera cette passion, chaque étape de la conception, le choix des cuirs, la découpe des pièces qui constituent chacun des 100 sacs produits par an.

Pas de vente en ligne donc pour ces superbes cabas au rapport qualité prix défiant toute concurrence. Mais plutôt une expérience, qui va de la rencontre à l’acquisition du sac qui sera VOTRE sac, le seul, l’unique.

Et puis deux fois par an, il réunit ses amis, clients, rencontres pour une soirée pétillante lors de laquelle il présente ses dernières créations, et là aussi on peut les acheter, en les ayant pris en main, en choisissant précisément celui qui vous séduit, qui vous correspond.

JohnKyril

http://www.johnkyril.com

53 Boulevard Beaumarchais 75003 Paris +33 1 44 61 54 72 +33 6 71 46 45 94

giuseppe.prestipino@johnkyril.com

The Little Red Door – speakeasy arty

Les speakeasies ont fleuri ces dernières années à Paris.

Pour rappel, et pour ceux qui, comme moi, n’avaient pas la moindre idée de ce dont il s’agit, les spekaeasy sont des bars dissimulés dans des endroit inattendus , sans enseigne visible, et dont le nom se passe de bouche à oreille exclusivement.

Le bar The Little Red Door en fait partie.

Et l’entrée ressemble à ceci.

little red door
little red door

Ce bar, reconnu pour sa qualité puisque il classé 49ième au classement des World 50 Best Bars en 2015 et 39ième en 2013, présente THE EVOCATIVE MENU, une nouvelle carte de cocktails au concet assez unique !

En effet, Rémy Savage, Chef barman de The Little Red Door a conçu 11 cocktails qu’il a fait déguster à 11 artistes du monde entier.
Chaque artiste a retranscrit par le dessin les sensations qu’il a éprouvé à la dégustation du cocktail. Sont nées 11 créations originales spécialement conçues pour The Little Red Door !

Donc, pour choisir votre cocktail, vous pouvez tenter l’expérience des sens vous aussi, mais en faisant le chemin inverse :

examinez les oeuvres que les cocktails ont inspiré aux artistes, et choisir votre cocktail en fonction de cette explosion de sensations visuelles !

Mais si, comme moi, vous n’êtes pas mûre pour cette aventure une peu trop conceptuelle, vous avez la possibilité de tirer la languette qui dévoile les ingrédients de chacun des cocktails !

L’endroit est surprenant, les serveurs tatoués, barbus, souriants, investis.

Et puis, si vous avez envie de cocktails plus traditionnels, ils font ça aussi !

LITTLE RED DOOR, est situé au 60 rue Charlot, mais ceci reste entre nous 😉

1951 – Maison Française

1951 – Maison française est une marque unique à plusieurs égards

1951- Maison française
1951- Maison française

Tout d’abord, parce qu’il s’agit d’une marque née d’une belle histoire familiale.`

En effet, c’est le grand père qui a travaillé le cuir le premier. C’est en 1951 qu’il ouvrit son atelier, et travailla entre autres pour Gerard Darel ou Cacharel pour qui il fabriqua des ceintures. C’est en hommage à cette date que son petit fils qui reprit l’atelier, nomma la marque. Pierre Yang-Chung décide donc de créer cette marque et une nouvelle identité afin d’évoluer dans un univers qu’il aime,  tout en restant fidèle aux méthodes de confections traditionnelles et artisanales léguées de père en fils.

Et puis, et surtout, parce qu’il y a un choix extraordinaire de tailles, de couleurs, de textures.

En passant le pas du show room de la rue Caffarelli vous allez découvrir une cavent d’Ali Baba . 6 tailles, des couleurs, des cuirs de textures différentes, des chaines à accorder à votre pochette pour la transformer en sac, j’avoue qu’il faut se préparer à prendre son temps pour choisir !

Et si toutes ces pochettes ne suffisaient pas, 1951 – Maison française proposera de petits cartables ainsi que des bourses dès l’hiver prochain ! Autant dire que le concept d’embarras du choix prendra là tout son sens !

Sans oublier les nouvelles pochettes bicolores.

1951 - Maison française
1951 – Maison française

1951 – Maison française 6, rue Caffarelli 75003 Paris Tel : +33 9 84 52 04 55

Mail : contact@1951.fr