Valises Bande à Part – voyage voyage

On a tous connu l’attente des bagages devant un tapis roulant sur lequel se succèdent valise grises et valises noires. Ce moment gênant lorsque l’on empoigne l’une d’elles pour se rendre compte finalement qu’elle ne nous appartient pas. Sans parler du fait qu’une valise noire pour partir au soleil, quelle déprime ! Et bien avec les valises Bande à Part, tout ça, c’est fini.

Valises Bande à Part – une idée de génie

Le voyage ne se conçoit pas sans bagage. Et le choix valise est devenu un élément clé des préparatifs. Voire même un fashion statement, un accessoire qui vous définit et qui définit l’essence même du voyage à venir. Alors  il y a les bagages souples – non, je ne citerai pas la marque (L—–T) qui a envahi nos Instagram et les rayons des grands magasins. Je n’en parlerai pas parce qu’elle a fait le choix déterminant du bagage souple, voire mou. Et je  la boycotte pour cette raison précise. Une valise est rigide ou ne sera pas ! Et ça, Bande à Part Paris l’a compris. La marque a aussi compris l’importance de mettre de la couleur dans nos vies et dans nos voyages. Mais le coup de génie, c’est précisément la bande qui donne son nom à la marque.

Valise personnalisables

Pour personnaliser votre valise, les options sont multiples. Pour commencer, choisissons la taille de la valise. elle est proposée dans les 3 formats assez traditionnels : taille cabine, taille moyenne jusqu’à une semaine de séjour, et version géante si vous avez prévu de vous faire la malle pour longtemps.

Vient ensuite la couleur. Des couleurs qui pétillent, des couleurs éclatantes, ou encore des teintes plus sobres, vous trouverez votre bonheur.

Et on finit avec la cerise sur le gâteau de la personnalisation : la bande amovible ! Parce que changer de valise à chaque nouvelle destination, c’est compliqué, mais de scratcher une bande de tissus pour la remplacer par un autre modèle, c’est tellement simple ! Cette bande de tissus interchangeable qui s’adaptera à vos envies, vos destinations, vos humeurs du moment.

Valises Bande à Part – c’est parti

Maintenant que je vous ai convaincus qu’une valise Bande à Part est indispensable à votre bonheur de voyageur, il vous suffit de vous rendre au 16 Boulevard des Capucines, la boutique ouvre aujourd’hui ! Ou bien connectez vous sur le site de vente en ligne, dès qu’il sera disponible, et c’est une histoire d’heures, ou de quelques jours !

Bande à Part 16 Boulevard des Capucines 75009 Paris

 

Go for good Galeries Lafayette – pour une entreprise responsable

Les Galeries Lafayette : une institution parisienne du shopping, la référence en termes de sapin de Noël, la plus belle coupole de la capitale, le grand magasin par excellence. On ne la présente plus et pourtant, cette institution a décidé de nous surprendre et de se tourner vers l’avenir. Une prise de conscience qui se traduit par des actions fortes et une démarche responsable à tous les étages de l’entreprise, au propre et au figuré !

Go for Good Galeries Lafayette – prise de conscience

Les Galeries Lafayette ont pris la décision d’agir face à des faits incontestables : la mode, au coeur de l’activité du grand magasin, est devenue l’une de industries les plus polluantes au monde. Les acheteurs que nous sommes pêchent sans doute par excès, les collections se multiplient, et avec elles nait la tentation de sur consommation à laquelle nous cédons.  Sans oublier la prise en compte, ou pas, de la provenance des produits que nous achetons, les conditions de fabrication, les matériaux utilisés. Les Galeries Lafayette qui analysent cette tendance depuis plusieurs années maintenant, ont donc décidé de passer à l’action avec le mouvement Go For Good.

Go for Good – les actions

Les Galeries Lafayette ont donc décidé de passer à l’action.

Actions sur leur propre communauté pour commencer, soit 400 marques lancées dans une transformation qui vise à tendre vers un commerce raisonnable et raisonné. Depuis des années déjà, les Galeries Lafayette ont mis en oeuvre une politique rigoureuse de contrôle des conditions sociales de production chez leurs fournisseurs.

Actions en réinventant l’ensemble de leur activité pour répondre aux enjeux environnementaux. Ainsi, les Galeries Lafayette travaillent sur leurs bâtiments pour les rendre plus durables, font le choix de modes et des circuits de transport plus vertueux et tendent à une utilisation plus circulaire de la matière tant au niveau de la production que de la distribution.

Action en lançant Go for Good, un mouvement relationnel, créatif et engagé au service d’un commerce plus responsable. Ce mouvement commencera par prendre la forme d’une une manifestation du 29 août au 10 octobre 2018, réinventant l’expérience de l’ensemble du réseau de magasins Galeries Lafayette et parrainée par  celle que l’on ne présente plus,  l’ambassadrice de la mode responsable à travers le monde : Stella McCartney

Go For Good – les marques qui rejoignent le mouvement

De nombreuses marques familières se sont jointes aux Galeries Lafayette et j’espère sincèrement que cette tendance perdurera. Zadig et Voltaire ou encore BA&SH ont créé leur premier produit bio, responsable.

Il y a également ces marques qui par essence sont impliquées dans une démarche responsable.  Elles sont elles aussi mises en visibilité. Ainsi, dans la catégorie beauté, celles qui optent pour le packaging le plus minimaliste comme ou bien celles qui détiennent le label bio.

Les sacs à dos Fjall Raven entièrement conçus à partir de matériaux recyclés sont naturellement de la partie également.

L’univers de la bijouterie n’est pas en reste avec la marque Guérin joaillerie qui créé des bijoux en or recyclé.

La démarche Go For Good est prometteuse. Espérons qu’elle perdurera pour grandir et s’élargir à l’ensemble des marques vendues aux Galeries Lafayette. Quand un tel acteur du commerce entraine avec lui les marques françaises et les autres, on ne peut qu’être un peu plus optimiste !

Galeries Lafayette 40 boulevard Haussmann 75009 Paris

Frichti et Wework – une idylle est née

Frichti : kezaco ? Wework : mais de quoi s’agit-il ? Vous ne savez répondre à aucune de ces questions ? Une vague idée peut-être ? En tous cas, ce que je peux vous dire, c’est qu’ils se sont associés pour créer une nouvelle offre à leur image. Frichti et Wework, c’était naturel : deux startups qui multiplient les idées. C’est les weworkers qui sont contents !  Décryptage.

Frichti : pour manger frais, bon et à un prix abordable

Frichti est une toute jeune startup de la food tech. Elle vous propose de bien manger en vous faisant livrer chez vous, sur votre lieu de travail, seul ou à plusieurs, et à toute heure de la journée. Enfin, si vous habiter à Paris ou sa très proche banlieue. Des produits frais, en provenance de producteurs locaux. Cuisinés chaque jour dans le laboratoire Frichti du sud de Paris, vos plats vous sont livrés dans un créneau horaire de une heure que vous choisissez vous même, en camions électriques puis vélos ou scooter électrique. 100% propre donc.

Une offre variée, faite de 8 entrées, 8 plats, 8 desserts, et une carte qui change tous les jours, c’est ce que propose Frichti pour ceux qui rêvaient de manger vite et bien, et le tout sans se ruiner puisque le prix moyen du repas se situe entre 9 et 12€

Wework

Comme son nom le laisse deviner WeWork est un espace de coworking. Importé des Etats Unis, le premier espace s’est installé rue Lafayette il y a un an et le succès va au delà des espérances si on en croit la foule de weworkers croisés partout dans le bâtiment. Des bureaux, dédiés ou pas selon le type d’abonnement, mensuel dans tous les cas, un excellent café  à volonté, l’accès aux multiples salles de réunions, voilà ce que vous proposent ces 12000m2 de surface.

Sans oublier la sublime terrasse avec vue sur le Sacre Cœur ! Et puis il y a les lunchs pédagogiques pour favoriser l’échange, le partage, tout ce qui fait l’ADN d’un espace de coworking bien pensé. Un tel succès d’ailleurs qu’il n’y a plus d’abonnement en mode bureau dédié disponible pour le moment !

Frichti et Wework – le garde manger

Wework parle aux startupeurs alors c’est tout naturellement que naît l’idée de ce partenariat avec Frichti. Un point de réception dans l’atrium de ce bâtiment art deco préservé pour vivre une nouvelle vie, un engagement de délai de livraison raccourci puisque c’est en un quart d’heure que l’on peut récupérer son repas, voilà les atouts de ce garde manger qui pourra répondre à tous les appétits et toutes les envies des weworkers.

Alors, weworkers, vous savez désormais où vous fournir pour déjeuner. Et pour les autres, ceux qui n’ont pas de bureau chez Wework, vous pouvez commander Frichti chez vous, ou sur votre lieu de travail, traditionnel ou pas ! Bon appétit !

WeWork 33 Rue la Fayette, 75009 Paris

Restaurant Josefin – un lieu pas comme les autres

Restaurant Josefin – hôtel BANKE

Jamais un hôtel n’avait si bien porté son nom. En effet, nous sommes ici dans l’ancien siège d’une banque. Le bâtiment, conçu au début du 20ème siècle par les architectes Paul Friesé et Cassien Bernard, a été transformé en hôtel en 2009.

La structure imposante, les escaliers monumentaux ont été conservés et donne au lieu sa majesté.

Si l’on est chanceux, on peut même avoir accès à la salle des coffres historiques, privatisable pour tout évènement lorsque l’on souhaite ajouter une touche de mystère à une soirée qui se déroule dans les sous sols, avec les invités entourés des coffres qui abritaient les trésors des clients d’antan

C’est donc dans cet édifice unique que vous accueille le restaurant Josefin.

Joséfin – ce qu’on y mange

Ici, c’est la rencontre de la cuisine espagnole et de la cuisine française.

L’assiette est élegante, la cuisine raffinée, mêlant saveurs ibériques et terroir français.

Que vous soyez mer ou terre, vous trouverez votre bonheur dans la carte qui évolue avec les saisons.

Cette semaine par exemple, le chef propose du cabillaud confit, ou de l’effiloché de veau. Parfait pour toutes les faims.

Joséfin – pourquoi j’y reviendrai

Une suggestion du jour à 22€ en service rapide, dans un cadre élégant et calme, avec une assiette inventive et savoureuse, c’est inespéré dans ce quartier où les bonnes adresses sont rares.

Et puis je me suis laissée dire que le bar n’était pas sans intérêt… Encore une autre occasion de me rendre à l’hôtel Banke !

Restaurant Joséfin – Hôtel Banke 20 rue Lafayette 75009 Paris

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrerEnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

Le Printemps du Goût – rendez vous des gourmands

Le Printemps du Goût – Quand Le Printemps devient gourmand

Cela n’avait échappé à personne : des grands magasins parisiens, Le Printemps était le seul à ne pas avoir d’offre gourmande.

Le Bon Marché a longtemps été une référence absolue dans le domaine de l’épicerie de luxe avec La Grande épicerie qui a d’ailleurs ouvert récemment une deuxième adresse pour assoir sa présence. Puis ce sont les Galeries Lafayette qui ont ouvert leur Lafayette gourmet.

Jamais deux sans trois. Le Printemps du goût a ouvert ses portes en ce mois de janvier 2018.

Et Le Printemps n’a pas fait les choses à moitié puisque ce sont deux étages qui sont dédiés à la gourmandise et la gastronomie.

Le Printemps du Goût – L’épicerie au 7ème ciel

C’est au 7ème étage du Printemps de l’Homme que l’on pourra faire ses courses en épicerie. Ici, des rayonnages entiers dédiés à la moutarde, à l’huile d’olive ou aux conserves de légumes.

Dégustations orchestrées par les artisans eux mêmes, on peut goûter et choisir parmi ces dizaines de propositions gourmandes en direct de nos terroirs.

Une multitude de miels aussi, et de confitures pour faire honneur au petit déjeuner ou au goûter. Pour les gros gourmands, des confitures en mode gargantuesque de La chambre aux confitures.

Et puis  il y a là premier lieu de restauration, avec la Maison Dubernet & Thierry Marx qui frappent un grand coup. Le Chef signe une carte originale pour cette maison historique.

Bon à savoir : le restaurant est ouvert tous les midis et propose un brunch le dimanche matin à partir de 11h00.

Le Printemps du Goût – se régaler au 8ème

Mais ce n’est pas fini. Passons maintenant au 8ème étage.

Pour un déjeuner sur les toits de Paris, le Printemps du goût a soigné son offre.

A la sortie des escalators des cageots de légumes frais vous plongent dans l’atmosphère de ces halles gourmandes. Ce n’est sans doute pas ici que nous ferons nos achats de légumes, mais le décor est ainsi posé.

Quant aux chefs qui vous régaleront, ils sont à eux seuls une promesse : Akrame Benallal, Gontran Cherrier, Laurent Dubois et Christophe Michalak.

Les univers de la boucherie, de la pâtisserie, ou encore des fromages sont présents.

On peut s’installer dans les multiples espaces de restauration, et se régaler tout en profitant de la vue à couper le souffle.

Alors évidemment, vivement l’été pour pouvoir s’installer aussi en terrasse !

Printemps du Goût 7ème et 8ème étage du Printemps de l’Homme 64, boulevard Haussmann, Paris, 75009

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

Opera National de Paris – la saison anniversaire

Opéra National de Paris – deux anniversaires une saison d’exception

En 2019 l’Opéra National de Paris célèbrera ses 350 ans et l’Opéra Bastille ses 30 ans.

Un double anniversaire pour une institution que deux hommes, deux dirigeants, ont impulsée, à 320 ans d’écart : Louis XIV et François Mitterand.

Tous les deux mus par la volonté de transmettre. Et sans doute également par un égo hors du commun les poussant à laisser une trace indélébile dans l’histoire de leur pays.

Transmettre de génération en génération avec l’académie et l’école de danse.
Transmettre le répertoire pour que ce patrimoine vive et perdure.
Mais aussi servir la création, proposer de nouvelles œuvres ainsi que la relecture d’oeuvres plus classiques du répertoire.

Autant d’engagements revendiqués par Stéphane Lissner, le directeur général de l’Opéra National de Paris, qui a introduit la soirée d’exception de lancement de la programmation de cette année anniversaire à laquelle j’ai eu la chance d’assister hier soir.

Opéra National de Paris – La saison anniversaire

Les Opéras français

Cette saison anniversaire reposera sur 3 piliers, trois œuvres emblématiques.
Les Huguenots, créé en 1836 et  plus jamais représenté depuis 1936.

Les Troyens pour l’Opéra Bastille, choix naturel puisque c’est sur cette oeuvre que se déroula le premier lever de rideau à Bastille.

Et enfin les Indes galantes qui sera présenté à l’opéra Bastille en septembre 2019

La saison Opéras rendra hommage aux metteurs en scène avec le retour de metteurs en scène ayant déjà collaboré avec l’Opéra de Paris, tels que Romeo Castellucci, ainsi qu’aux chanteurs. Hommages et grands retours seront au programme.

La saison du ballet

Même philosophie dans la nouvelle saison du ballet puisque la programmation sera faite d’héritage et de création, sans oublier de nombreuses compagnies invitées.

Ainsi la Martha Graham Dance Company reviendra avec des oeuvres emblématiques de son répertoire.

Quant à la découverte de nouveaux chorégraphes, c’est avec Ohad Nahari qui revisitera l’une de ses oeuvres pour les danseurs de l’Opéra de Paris que Decadance fera son entrée au répertoire.

Les collaborations avec de grandes institutions françaises

L’Opéra National de Paris accueillera cette année encore de multiples expositions en collaborations avec des institutions culturelles françaises.
Avec la Bibliothèque Nationale de France l’Opéra retracera l’activité de l’Académie royale de Musique depuis l’époque du Roi Soleil jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.

Grâce au musée d’Orsay, Degas à l’Opéra permettra de retracer le portrait de l’Opéra de Paris au XIXème siècle.

Evenement doublement exceptionnel puisqu’à cette occasion l’Orchestre et les choeurs de l’Opéra se produiront pour un concert dans la grande nef du musée alors q’un spectacle associant Aurélie Dupont et le Ballet sera donné dans les espaces publics du musée !

Opéra National de Paris – le saviez-vous ?

On a souvent tendance à associer l’Opéra de Paris à des tarifs inabordables. Et pourtant.

Pourtant depuis quelques années et dans une volonté d’ouverture à de nouveaux publics, l’Opéra National de Paris propose une panoplie d’offres et de propositions permettant d’accéder aux spectacles sans se ruiner.

Commençons par les jeunes. Ils ont moins de 28 ans, et peuvent avoir accès à deux types d’abonnement jeunes.

L’abonnement 4 spectacles pour 65€, ou encore l’accès aux avant premières jeunes ( 11 dans l’année) pour la somme de 10€ !

Toujours jeunes, mais juste un peu plus mûrs, les moins de 40 ans ont eux aussi droit à des faveurs.

Six représentations sont ainsi dédiées à cette population, avec la réduction exceptionnelle de 40% sur toutes les catégories des places !

Enfin, pour les familles, celles n’ayant jamais assisté à un spectacle bénéficieront de prix très attractifs sur 4 spectacles de la saison : 250 places par représentation sont proposées au tarif de 25€ par adulte et 10€ par enfant de moins de 18 ans. Sans oublier un accompagnement et une découverte du théâtre.

Pour conclure, je vous dirais que j’ai vibré pendant l’intégralité de la représentation. J’ai admiré la grâce dès la première performance de Julien Guillemard, danseur du Ballet de l’Opéra national de Paris qui a ouvert la soirée sur un air de Lulli.

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

J’ai adoré la modernité de l’extrait de Don Giovanni.

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

J’ai été happée par un tableau de Degas prenant vie sous nos yeux grâce à la délicatesse et la beauté des élèves de l’Ecole de Danse de l’Opéra.

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

Et je pourrais continuer ainsi pour tous les extraits qui nous ont été offerts, jusqu’au final, « forêt paisible  » de l’opéra « Les Indes Galantes« , dont la modernité de la prestation et des effets techniques était bluffante pour un opéra du XVIIIème siècle !

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

En résumé, vous l’aurez compris, l’urgence désormais est de se connecter au site de réservations, ouvertes depuis aujourd’hui, et de sélectionner les spectacles de vos rêves !

Palais Garnier Place de l’Opéra 75009 Paris 

Opéra Bastille  Place de la Bastille 75012 Paris

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrerEnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

Les Méduses Vertes – votre prochain sac made in Paris

Les Méduses Vertes – Leila Ludwig

Quand un objet, un sac en particulier, raconte une histoire, porte en lui l’âme de sa créatrice, il prend soudainement une nouvelle dimension.

Voilà pourquoi je vais vous conter l’histoire de Leila, la créatrice des méduses vertes.
Leila a eu plusieurs vies. Des vies qui l’ont menée de Tunisie en Normandie, puis à Marseille , et la prochaine étape, on ne sait pas encore !

Plusieurs vies professionnelles aussi.
Et une envie de vivre pleinement, parce qu’on ne vit qu’une seule fois, et on ne le sait que trop quand la maladie passe par là.

Alors elle a décidé de faire ce qu’elle aime, elle qui passe son temps à dessiner des looks, et des sacs.
La rencontre avec le cuir sera décisive. Parce que cette matière elle l’aime, elle vit avec elle.

Ce sera donc des sacs. Les Méduses Vertes  sont nées.

Les Méduses Vertes – naissance d’une marque

Commençons par le nom : pourquoi des Méduses ? Pourquoi vertes ?!
Les Meduses, c’est son enfance. Les vacances à la mer avec ses sœurs, les moments de bonheur de l’insouciance, ponctués par quelques piqûres de ces petits mollusques que l’on trouve en bord de mer !
Quant à la couleur verte, c’est celle de la première peau qui l’a fait vibrer, la première peau qu’elle a achetée, d’un vert vif, joyeux, éclatant.
Le nom est né.
Quand au modèle, il est unique, décline en 3 tailles et de multiples couleurs et matières. Très sobre, il a une signature unique, ce rabas à la découpe discrète qui s’inspire d’une silhouette stylisée de méduse.

Les Méduses Vertes
Les Méduses Vertes

C’est le Sao Tome. Le nom d’une île où le mari de Leila a passé année après année ses vacances de Noël en famille.
Un sac muni d’une chaîne or, que l’on peut porter en bandoulière, ou en pochette pour le plus grand des 3.

Des couleurs sobres,rouge ou noir uni.

Ou bien en mode Rock, le Red Leo. Avec cette touche rouge, symbole de vie et d’amour.

Les Méduses Vertes – Made in Paris

Ces sacs portent en eux une histoire, la joie de vivre, l’amour de la famille.

Et pour couronner cette belle histoire, ils sont fabriqués à Paris !

Parce qu’après une quête de l’artisan qui saurait répondre à ses exigences de qualité et de finition, quête qui l’a menée de Tunisie à Marseille, c’est finalement à Paris que Leila a trouvé ce savoir faire unique qu’elle recherchait avec ténacité.


Les Sao Tome sont donc fabriqués à Paris, et vendus dans de superbes enseignes. Le Printemps Haussmann, où j’ai pu les découvrir dans le popup qui a pris fin hier. La Marque est désormais au niveau -1.


Ou encore chez l’Exception , cette enseigne qui sait tellement bien déceler les talents et les produits de qualité.

Et bien sur, vous pouvez aussi aller sur son site, où vous trouverez l’intégralité des modèles.

Les Méduses Vertes Printemps Haussmann 64 Boulevard Haussmann 75009 Paris

Restaurant Belle Maison – il porte si bien son nom

Belle Maison – Comment on s’y sent

La Belle Maison va devenir une institution du quartier, du côté de SOPI. Normal, elle porte si bien son nom.

J’ai découvert ce restaurant pour la première fois pour sa décoration.

Mais cette fois, il s’agissait bien de venir manger.

Les restaurants de poisson de qualité et à des prix abordables sont finalement assez rares quand on y pense. Alors je dois dire que j’étais impatiente de découvrir La Belle Maison !

C’est à l’étage que nous avons été installés.

L’accueil a été parfait, et le service aussi. C’est tellement agréable d’être accueilli avec le sourire, mais aussi de voir les plats s’enchainer à un rythme parfait, celui qui permet de savourer, bavarder, échanger, sans pour autant se retrouver à se demander si nos assiettes se sont perdues entre la cuisine et notre table !

Belle Maison – ce qu’on y mange

Ici donc, le poisson et les produits de la mer sont à l’honneur.

Pour faire simple, nous avons tout testé dans la partie « à partager » , tout sauf les moules : il n’y en avait plus.

Et nous nous sommes délectés de chaque bouchée. Entre les rillettes de cabillaud qui fondent dans la bouche – qui eut cru que le cabillaud pouvait avoir une vraie saveur , et puis les bulots, délicieusement parfumés, au goût fumé, parfait écho aux sardines.

La suite fut tout aussi excellente. Comme si les embruns marins venaient faire frémir nos papilles.

Une carte resserrée, et des produits frais d’une qualité rare.

Le repas finit sur une touche sucrée, réussie elle aussi. Et pour vous, ce sera le Saint Honoré et sa marmelade d’orange, ou figues rôties ?

Belle Maison – pourquoi je reviendrai

Pour commencer, parce que je n’ai pas pu goûter les moules  marinières, et j’adore ça ! Ensuite, pour espérer pouvoir déguster l’un des plats qui n’étaient plus disponibles.

C’est sans doute la seule déception du repas : ni le bar, ni le plat du jour n’étaient plus disponibles lors du service de 21h30, celui pour lequel nous avions réservés.

La carte étant réduite afin de garantir la fraîcheur des produits, il est dommage de se retrouver encore plus restreints dans nos choix.

Le soir même j’ai reçu un mini questionnaire satisfaction. Rare, et très appréciable je trouve. Une vraie démonstration de l’intérêt porté au ressenti du client, même après son départ. Je valide !

Belle Maison
Belle Maison

Vous l’aurez compris, cette adresse est à garder précieusement pour toute envie pressante de poissons frais.

La Belle Maison 4 Rue de Navarin, 75009 Paris

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

Pink Mamma – le petit dernier

Pink Mamma – groupe Big Mamma

Le succès unique du groupe Big Mamma n’aura échappé à aucun parisien. Une progression spectaculaire – 6 restaurants en 3 ans – et des files d’attente qui ne le sont pas moins – spectaculaires !

Alors pour tout vous dire, jusqu’à aujourd’hui, ma seule expérience Big Mamma était un passage chez BigLove Caffé un matin de semaine, histoire d’être sûre de trouver de la place sans devoir attendre – parce que j’ai des principes, et l’un d’entre eux est simple : je ne fais pas la queue pour manger à Paris, ni ailleurs, sauf s’il s’agit d’une question de vie ou de mort !

Revenons en à Pink Mamma. Indéniablement le plus spectaculaire des 6 puisque ce restaurant est installé sur 4 étages dans un immeuble de SOPI.

4 étages, chacun avec une ambiance, une atmosphère, une spécialité. Le plus photographié étant bien sur le dernier étage sous verrière, lumineux et photogénique, mais à éviter à tout prix quand la température est encore estivale – effet de serre garanti.

En progressant en descente, on croise l’étage fruits et légumes.

Ou encore celui dédié aux viandes, spécialité du lieu. Dans tous les cas, ambiance conviviale et chaleureuse pour ce haut lieu de la food parisienne, avec l’accent italien en prime, puisque le serveurs, comme la majorité des produits, sont originaires d’Italie.

Pink Mamma – ce qu’on y mange

Ici, la spécialité annoncée est la viande. Et un étage complet lui est dédié, avec comptoir ouvert sur les grillades.

Mais on y trouve aussi bien sur les grands classiques Big Mamma, c’est à dire les délices à l’italienne : pizze tout particulièrement, et puis antipasti, sans oublier les burrate.

Pink Mamma - la carte
Pink Mamma – la carte

Pour en venir à l’essentiel donc, on mange bien, très bien.

Viande goûteuse, pizza à la hauteur des attentes que l’on place immanquablement dans une adresse qui se revendique 100% italienne.

Pâte légère et croustillante, délicates fleurs de courgette viennent accueillir la truffe qui dégage ce parfum unique qui met l’eau à la bouche dès son arrivée sur la table.

Quant au dessert, aussi gourmand que photogénique.

On notera également la très jolie vaisselle, signature des restaurants Big Mamma, et qui est, à ma surprise, d’origine polonaise.

Tout cela participe évidemment au succès de l’adresse sur Instagram aussi !

Pink Mamma – pourquoi je reviendrai

La question est plutôt : quand est ce que je revendrai ?

Parce que ce jour béni où j’ai pu tester, les planètes étaient alignées.

  • Paris vidée de ses habitants pour cause de vacances.
  • Un dimanche, très tôt, garantissant ainsi une place sans file d’attente. Enfin, ne nous emballons pas : une place oui, mais au comptoir, parce que ce dimanche de juillet le restaurant était déjà quasi plein à 12h30, et quelques temps après notre installation, la file d’attente s’installait elle aussi !

Je suis ravie de pouvoir désormais parler de Big Mamma en connaissance de cause, après une découverte absolument concluante tant pour le lieu que pour l’accueil ou le contenu de l’assiette.

Mais je crains fort de ne pas y retourner de si tôt. Parce que, même si je comprends qu’il est plus facile pour les restaurateurs de ne gérer aucune réservation et de concentrer sur la qualité des produits, je me dis qu’il y a probablement une autre voie que celle qui consiste à entretenir des files d’attente monstrueuses pour une hypitude garantie.

Pink Mamma 20bis, Rue de Douai, 75009 Paris
Réservation : ah, ben non en fait, il n’y en a pas !
ouvert tous les jours pour le déjeuner à partir de 11h45 ou 12h00 selon les jours, et pour le diner à partir de 19h00

 

Bucherer – l’amour de l’horlogerie

Bucherer – une belle histoire Suisse

Bucherer est une marque Suisse, née à Lucerne en 1888.

Au coeur de l’histoire de cette marque, une famille : la famille Bucherer.

En 1888 Carl F. Bucherer et son épouse Luise ouvrent à Lucerne un magasin dédié aux montres et à la joaillerie. Le succès est rapidement au rendez-vous, et la toute jeune Maison voit sa réputation dépasser les frontières de la ville.

Après les parents ce sont les deux fils de Carl F. Bucherer, Ernst et Carl Eduard, qui prennent le relai à la tête d’une marque désormais réputée pour son remarquable sens du service, son large choix, et le savoir-faire de ses ateliers.

Chacun a son domaine de prédilection :  l’horlogerie pour Ernst et la joaillerie pour Carl Eduard. Et c’est donc dans ces univers qu’ils vont contribuer au développement de la maison Bucherer.

L’histoire se créé autour de collaborations privilégiées, souvent le fruit de rencontres et d’amitiés, avec des Maisons d’horlogerie prestigieuses, que la Maison Bucherer propose à tous les amoureux de haute horlogerie.

Après la Suisse, de nouveaux espaces de prestige au nom de Bucherer s’ouvrent en Allemagne et en Autriche.

Bucherer – le nouveau temple parisien de l’horlogerie

Et Bucherer arrive à Paris.

C’est à l’emplacement du magasin historique Old England, à l’angle de la rue Scribe et du boulevard des Capucines, que la marque s’est installée dans ce superbe édifice à la façade boisée.

C’est d’ailleurs en collaboration avec les services de l’Architecture et du Patrimoine de Paris, que Bucherer a oeuvré pour faire rénover la façade à l’identique en aillant à coeur de conserver son aspect initial.

L’intérieur a également fait l’objet d’un travail de décoration remarquable, avec cet éclairage tout en légèreté et en délicatesse que l’on doit à Valeria Nascimento.

Dans ce magnifique établissement vous trouverez le plus grand choix de montres à Paris.

Un atout absolu de ce temple de l’horlogerie au sein duquel on trouve désormais 33 marques, tous les grands noms de l’horlogerie de prestige.

Ajoutons que c’est ici même que Rolex dispose de son plus grand espace d’exposition en Europe, au coeur de cet établissement organisé sur 3 étages et 2200m2.

Quand on pénètre dans les lieux, l’accueil est attentionné, et tout est fait pour permettre d’acquérir la montre de ses rêves, dans une palette de budget assez large pour que le rêve devienne réalité. Tous les employés connaissent l’ensemble des marques, et ils peuvent ainsi guider l’acheteur dans son choix en toute objectivité.

Bucherer – et des bijoux aussi

Mais comme je vous le disais, la Maison Bucherer en Suisse propose horlogerie ET joaillerie. Imaginez mon enthousiasme, moi, l’addict aux bijoux, quand j’ai appris que désormais on pourrait aussi s’offrit une bague ou un bracelet dans la boutique parisienne.

Coup de coeur absolu pour cette collection dans laquelle or et diamants s’entremêlent, en version or blanc ou or rose.

Ou encore pour ce délicieux ras de cou qui convient à toutes.

A noter, des prix pensés pour que même l’or et les diamants soient accessibles.

Pour exemple, quelques tarifs  :
Collier ras du cou or rose et diamants : 790€
Bague double (une ligne diamant 0,43 cts et une ligne maillon) or 18 carats et diamants :  2190 €
Créoles en or rose (1 ligne diamants et 1 ligne maillon) : 4 790€

Bucherer Paris 

12 Boulevard des Capucines, 75009 Paris
Téléphone :01 70 99 18 88