Roast Paris – 100% poulet fermier

EDIT : le restaurant a fermé depuis la rédaction de cet article

Roast Paris – le poulet dans tous ses états

Tout commence par un séjour à Amsterdam. Le créateur découvre un restaurant spécialisé en poulet. L’idée est née.

Il décide de créer Roast Paris, un restaurant spécialisé en poulet. Mais pas n’importe quo poulet : du poulet de qualité, fermier, label rouge.

Le lieu est lumineux, agréable et efficace.

Le spot parfait pour un déjeuner de qualité dans une atmosphère de simplicité et de convivialité.

Roast Paris – ce qu’on y mange

Vous l’aurez compris, mais je vais vous faire plaisir, je le redis, ici, on mange du poulet. Cela étant dit, je me suis laissée dire par le créateur que d’autres volailles pourraient se joindre à la carte d’ici peu !

Quart de poulet pour les appétits modérés, demi poulet pour les gros appétits.

Et puis il y a l’invention locale : les froasts ! Des frites au parmesan, persil et ail. Un conseil ? N’en prenez pas, sinon vous ne pourrez plus vous arrêter d’en manger.

Et puis il y a en entrée ces délicieuses pépites de poulet. Bien loin des nuggets, on sent la chair du poulet qui fond dans la bouche à chaque bouchée.

Concernant les desserts, un cheese cake crémeux et savoureux est proposé pour finir ce repas en beauté.

Roast Paris – pourquoi je reviendrai

Sans aucun doute pour les froast bien sur. Mais aussi pour voir si d’autres volailles ont rejoint la carte. Et puis il semblerait que leur carte de cocktails soit très alléchante.  Enfin et surtout quand je chercherai un restaurant pour un déjeuner de qualité à prix abordable dans le quartier.

Roast Paris 25 rue Louis blanc 75010 Paris

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Marie Curie – une femme au Panthéon

Marie Curie – une femme au Panthéon

On célèbre cette année les 150 ans de la naissance de Marie Curie née Slodowska.

Cette scientifique polonaise, française d’adoption, a révolutionné la science par ses découvertes sur la radioactivité. On connait son nom bien sur, mais l’exposition installée en son honneur au Panthéon nous en apprend beaucoup plus sur la femme, la scientifique, la mère, l’épouse, la féministe.

Marie Curie est donc à l’honneur au Panthéon. Et ce n’est pas la première fois puisqu’elle fut la première femme panthéonisée pour ses propres mérites en 1995 ( D’autres femmes y furent enterrées, mais en tant qu’épouses de )

Alors suivez-moi, partons à la rencontre de Marie Curie.

Marie Curie – l’exposition

L’exposition se déroule sur un mode chronologique en un prologue et 5 chapitres.

Prologue

On découvre que Marie Slodowska, polonaise, arrive en France pour étudier,  les femmes ne pouvant accéder à l’université en Pologne.

C’est donc à la Sorbonne qu’elle étudiera les sciences. Très vite, elle démontre ses qualités et ses compétences.

Chapitre 1  les travaux communs de Pierre et Marie

Elle obtient 2 licences : une de mathématiques et une de physique.
Repérée par ses professeurs et en particulier par Pierre Curie, elle se lance dans une thèse de doctorat centrée sur les radiations émises par certains minerais, et tout particulièrement l’uranium.Elle effectue ses mesures avec des appareils fabriqués par Pierre Curie lui-même.

Dans ce chapitre, on peut voir un des carnets d’étude de Marie Curie. Ouvert sur une page spécifique on peut néanmoins voir les autres pages en version numérique.


Ses découvertes révolutionnent la physique de l’époque. Marie Curie obtient donc son premier prix Nobel avec son professeur Pierre Curie.

Le diplôme original du prix Nobel est exposé ici.  Il est plutôt émouvant de pouvoir l’admirer, le toucher presque.


Chapitre 2 Marie Curie la femme et la mère

C’est ensuite la femme que l’on apprend à connaitre. Celle qui sourit sur sa photo le jour de son mariage.

La mère aussi, qui annote les photos de ses enfants dans les albums qu’elle a confectionnés.

Il y a aussi la lettre envoyée par Pierre à Marie alors qu’elle était repartie en Pologne, et qui la convaincra de revenir.
Mais aussi l’annonce du décès de Pierre dans un accident de circulation.


A ce décès, elle reprend la chaire de son mari, devenant ainsi la première femme à enseigner à La Sorbonne.

Chapitre 3 la savante aux 2 prix nobels

Dans ce chapitre on découvre que pourtant la France peut maltraiter ses talents, et  cette grande scientifique en particulier.

Ainsi, ce scandale concernant son entrée à l’académie. une bataille terrible a lieu entre M.Branly extrémiste nationaliste et Marie Curie à qui on reproche ses origines.

Puis c’est le scandale Langecin avec qui elle a une relation.
ces scandales successifs entacheront même l’attribution de son 2eme prix Nobel. Elle remporte effectivement le prix,  mais on l’invite à ne pas venir le recevoir.
Elle viendra quand même et les femmes suédoises organiseront son accueil.

Chapitre 4 aspects médicinaux

Quand la guerre éclate Marie Curie profite de sa notoriété pour récupérér du matériel de radiographie , équipe des véhicules civils et se rend auprès des blessés avec sa fille pour radiographier les blessés.


Chapitre 5 panthéonisation

On termine donc la visite par la dernière étape. Celle de la panthéonisation de Marie Curie par François Mitterrand.


Un conseil : regardez bien l’extrait du film « les Palmes de M.Schultz » qui tourne sur l’écran installé dans cet espace. On y découvre deux figurants pas comme les autres ! A vous de découvrir de qui il s’agit…

Marie Curie – au Panthéon et tout autour

L’exposition est installée depuis le 8 novembre et jusqu’au 4 mars 2018. Et pour mieux découvrir cette grande dame, plusieurs parcours sont proposés.

Promenade commentée, conférence au musée Curie à quelques pas du Panthéon, sans oublier la nuit au Panthéon qui revient pour une découverte magique et mystérieuse à la lampe torche.

Alors il ne vous reste plus qu’à faire votre choix, et surtout penser à réserver.

Marie Curie au Panthéon Place du Panthéon, 75005 Paris

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Pépins production – et que la nature envahisse Paris

Pépins production – la pépinière de quartier

Les citadins que nous sommes ont besoin de laisser entrer la nature à nouveau dans leurs vies. Planter, cultiver, soigner, voir s’épanouir une fleur une plante ou même un fruit sont des plaisirs trop rares à Paris.

Pépins production est une association dont l’objectif est d’accompagner de manière responsable le processus de végétalisation urbaine grâce au développement d’un réseau de pépinières de quartier.

Ce sont des lieux participatifs dédiés au partage de connaissances et à la production écologique de jeunes plants. Et tout ça se passe à Paris.

Pépins production contribue ainsi à faire de Paris une ville dans laquelle la nature a toute sa place. Et ce n’est pas fini !

Aujourd’hui ils sont déjà installés dans l’est parisien, et aussi dans le quartier latin.

Pépins production
Pépins production

Au coeur de ce projet, l’approvisionnement végétal responsable, en limitant l’empreinte écologique de la fabrication du jardin citadin, tout en soutenant une filière végétale responsable. Au sein de ces pépinières, les habitants du quartier sont acteurs, et les plants produits permettent d’approvisionner les écoles, les jardins partagés ou encore les balconnières du quartier.

Ici, des végétaux produits à partir de semences vivantes et non traitées, avec des substrats fabriqués à partir de déchets urbains dans un cycle vertueux.

Les 2 Vaches – bio et impliquées

La marque Les 2 vaches propose des produits laitiers bios, mais plus encore. Des fermes au sein desquelles le bien être animal est garanti, l’accompagnement régulier d’initiatives solidaires, bref, une démarche globale responsable et solidaire, voire même militante !

Alors il est dans l’ordre des choses que pour la sortie de ses nouveaux yaourts à boire, la marque vous propose de soutenir vous aussi un des 3 projets responsables qui mettent de la vie dans la ville, dont Pépins production.

Ainsi, lorsque vous achèterez un Bio à boire, et même si on vous l’offre dans la rue, vous disposerez d’un code barre qui vous permettra, grâce aux 2 Vaches qui reverseront 1€,  de contribuer à la collecte Ulule d’un des trois projets proposés. Autant vous dire que je vous conseille vivement de choisir Pépins production. Mais c’est vous qui voyez !

Le colorful market

Dès demain, et jusqu’au 19 novembre, vous pourrez rencontrer les représentants des 3 projets soutenus par Les 2 Vaches dans le cadre du colorful market organisé dans le Parc Martin Luther King.

Vous pourrez ainsi participer à des ateliers citoyens, assister à des performance live de street art, rencontrer les associations du quartier, vivre une vie de village en ville en somme !

Et pour tout savoir sur un des autres projets proposés, les Alchimistes, lisez tous les détails dans cet article très détaillé. Parce qu’après tout, quoi de plus complémentaire que du compost urbain pour faire pousser les plants de Pépins production !

Alors, on se retrouve demain ?

Parc Martin Muther King 147 Rue Cardinet, 75017 Paris

 

 

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Philippe Ferrandis – parurier à Paris

Philippe Ferrandis – Parurier à Paris depuis 30 ans

Paris comme une évidence pour cet artiste créateur qui s’est installé dans la capitale il y a 30 ans pour ne plus jamais la quitter.

Parce que Paris, c’est simplement « the place to be » pour ce parurier qui créé des pièces reconnaissables entre toutes, mêlant élégance et audace, pour des femmes de caractère. De celles qui osent, et qui savent se faire remarquer en arborant des colliers impressionnants, des manchettes spectaculaires, des bijoux uniques en somme.

J’ai rencontré Philippe Ferrandis le jour même de l’annonce du lancement du label « fabriqué à Paris« .

Et quand je lui pose la question :
 » Allez vous postuler ?« , sa réponse est sans appel : « Et comment ! »

Il a clairement Paris chevillé au corps, et ses adresses successives le démontrent.

Son premier atelier se situait rue Montorgueil, puis il démenage rue Froissart, précisément  là où Bon Ton s’est installé désormais.  Plus tard viendra la Place des Victoires. Et le voilà depuis 10 ans installé au Viaduc des Arts, haut lieu de l’artisanat parisien.

Philippe Ferrandis – l’atelier

Dans l’atelier du Viaduc des Arts, chacun s’active. Emaillage, sertissage, art du métal, chacun sa spécialité, chacun ses outils, chacun son étape de la création, pour arriver au résultat final.

Mais au départ bien sur, il y a l’idée qui jaillit, le bijou qui prend forme dans l’esprit de son créateur. Du croquis au bijou l’idée chemine et finit par prendre sa forme définitive.

Dès que l’on pousse la porte on perçoit l’effervescence, la création qui est partout.

Chaque bijou qui prend forme et nait des mains de ces artistes passionnés.

Les pierres et leur serti cohabitent séparément avant de se rejoindre pour former le bijou finalisé.

Philippe Ferrandis – collection anniversaire

Jusqu’à aujourd’hui Philippe Ferrandis créait deux collections par an, toujours différentes, toujours inspirées. La minéralité par les pierres multiples sélectionnées avec soin, tout comme l’architecturalité pour la structure même du bijou.

Ici, quelques pièces uniques, mais aussi des éléments de la nouvelle collection qui célèbre l’amour !

Vous pourrez avoir ici un aperçu de ses multiples créations, plus particulièrement ici des pièces uniques.

Pour la collection anniversaire le créateur va sublimer les techniques développées tout au long de ces années. Pour cet anniversaire exceptionnel, Philippe Ferrandis souhaite orienter sa création vers des pièces uniques, tout en maintenant des collections bi annuelles, mais en plus petite quantité.

Pour continuer à créer des pièces uniques, toujours plus fortes. Parce que ce qu’il aime c’est la création, le chic, inventer des bijoux que les femmes qui les achèteront s’approprieront.

Les pièces uniques ont d’ailleurs déjà leur écrin avec la boutique rue Saint Honoré et par ailleurs,  dès le 22 novembre, certaines seront exposées dans les boutiques de la rue Bonaparte et de la rue Scribe.

Rendez-vous chez Philippe Ferrandis.

Philippe Ferrandis l’atelier 109 Avenue Daumesnil, 75012 Paris

 

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Restaurant Belle Maison – il porte si bien son nom

Belle Maison – Comment on s’y sent

La Belle Maison va devenir une institution du quartier, du côté de SOPI. Normal, elle porte si bien son nom.

J’ai découvert ce restaurant pour la première fois pour sa décoration.

Mais cette fois, il s’agissait bien de venir manger.

Les restaurants de poisson de qualité et à des prix abordables sont finalement assez rares quand on y pense. Alors je dois dire que j’étais impatiente de découvrir La Belle Maison !

C’est à l’étage que nous avons été installés.

L’accueil a été parfait, et le service aussi. C’est tellement agréable d’être accueilli avec le sourire, mais aussi de voir les plats s’enchainer à un rythme parfait, celui qui permet de savourer, bavarder, échanger, sans pour autant se retrouver à se demander si nos assiettes se sont perdues entre la cuisine et notre table !

Belle Maison – ce qu’on y mange

Ici donc, le poisson et les produits de la mer sont à l’honneur.

Pour faire simple, nous avons tout testé dans la partie « à partager » , tout sauf les moules : il n’y en avait plus.

Et nous nous sommes délectés de chaque bouchée. Entre les rillettes de cabillaud qui fondent dans la bouche – qui eut cru que le cabillaud pouvait avoir une vraie saveur , et puis les bulots, délicieusement parfumés, au goût fumé, parfait écho aux sardines.

La suite fut tout aussi excellente. Comme si les embruns marins venaient faire frémir nos papilles.

Une carte resserrée, et des produits frais d’une qualité rare.

Le repas finit sur une touche sucrée, réussie elle aussi. Et pour vous, ce sera le Saint Honoré et sa marmelade d’orange, ou figues rôties ?

Belle Maison – pourquoi je reviendrai

Pour commencer, parce que je n’ai pas pu goûter les moules  marinières, et j’adore ça ! Ensuite, pour espérer pouvoir déguster l’un des plats qui n’étaient plus disponibles.

C’est sans doute la seule déception du repas : ni le bar, ni le plat du jour n’étaient plus disponibles lors du service de 21h30, celui pour lequel nous avions réservés.

La carte étant réduite afin de garantir la fraîcheur des produits, il est dommage de se retrouver encore plus restreints dans nos choix.

Le soir même j’ai reçu un mini questionnaire satisfaction. Rare, et très appréciable je trouve. Une vraie démonstration de l’intérêt porté au ressenti du client, même après son départ. Je valide !

Belle Maison
Belle Maison

Vous l’aurez compris, cette adresse est à garder précieusement pour toute envie pressante de poissons frais.

La Belle Maison 4 Rue de Navarin, 75009 Paris

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Claus Paris s’installe à Saint Germain des Près

Claus Paris – le haut lieu du petit déjeuner

Claus Paris est une véritable référence du petit déjeuner à Paris. Installé rue Jean-Jacques Rousseau depuis 2016, l’enseigne passe la rivière et s’installe rive gauche

Haut lieu du petit déjeuner et des instagrameurs influents, l’établissement de la rue Jean Jacques Rousseau ne désemplit pas dès l’ouverture de ses portes le matin et jusqu’à sa fermeture.

C’est pour cette raison qu’il faut se précipiter rue Clément, à 2 pas du marche Saint Germain, pour tester et découvrir la nouvelle adresse Claus.

Claus Paris Saint Germain
Claus Paris Saint Germain

La salle est lumineuse et accueillante, le velours des banquettes et les fleurs en décoration donnent un esprit cocooning au lieu.

Claus Paris – ce qu’on y mange

Les présentoirs croulent sous les pâtisseries maison.

Parce que chez Claus, tout est fait maison , une grande partie des produits est bio, et on trouve même du sans gluten.

 

Impossible de tout tester en une seule fois, vous vous en doutez.

Ce que je peux vous garantir, c’est que les petits scones aux figues étaient délicieusement tièdes et moelleux.

Pour le café, je dois avouer que je n’ai pas été enthousiasmée, esthétiquement en tous cas.

Claus Paris – pourquoi faut-il y aller ?

La surprise de découvrir la salle vide fut grande quand j’ai passé la porte. Cela risque de ne pas durer !
D’ailleurs le téléphone sonnait régulièrement pour des demandes de réservation.
Et la réponse était invariablement la même : nous ne prenons pas de reservation pour le moment mais n’hésitez pas à venir, il y a de la place.

Alors allez-y, pour le plaisir d’être au calme, avant le rush quand l’information de l’ouverture de cette adresse aura circulé.

Et puis, une bonne adresse à Saint Germain pour petit déjeuner ou même goûter, ça vaut la peine d’y penser !

J’ajouterai quand même : soyez prudents le week-end ! Parce que les habitants du quartier ont déjà repéré le lieu et s’y précipitent en famille le weekend.

Claus Paris 2 rue Clément 75006 PARIS 33 1 55 26 95 10

Le méchoui du Prince

Le méchoui du Prince, une histoire de famille avant tout

Un père, son fils. Mêmes valeurs, même envie de faire plaisir à ses clients.

Le restaurant existe depuis 1969 et lorsqu’il  inaugure Le Méchoui du Prince en 1969, Mohamed Amrane crée l’événement puisqu’il s’agit là de la toute première adresse parisienne dédiée à la cuisine marocaine au coeur du quartier latin.

Installé en plein coeur du quartier latin, rue Monsieur Le Prince, il n’a pas cédé aux sirènes de la branchitude. Le décor est authentique et fait voyager. Lumière tamisée, parfums d’épices, les papilles frémissent déjà avant même l’arrivée des plats qui vont nous régaler.

Le succès est au rendez-vous dès l’ouverture du restaurant, et jusqu’à ce jour si j’en crois la salle remplie en ce vendredi soir.

Il semblerait que même les sénateurs, en voisins, en ont fait leur cantine. A tester de jour aussi donc.

Le méchoui du Prince – ce qu’on y mange

Ici, on mange des plats copieux, très copieux. Des couscous et des tajines, et bien sûr le fameux méchoui qui a donné son nom au restaurant.

Générosité, c’est le maître mot. Dans le service, dans les plats aussi bien surtout tout dire, les deux couscous que nous avons sélectionnés nous ont offert un repas très copieux dans le restaurant, et un autre à la maison – merci le doggy bag !

Alors bien sûr, il y a les kemias en entrée, et ça, ça ne pardonne pas. Nous avons cédé.

Cette  « Mosaïque de Kemia » qu’il a mise à la carte depuis la rentrée et qui permet ainsi de plonger dans le vif du sujet en dégustant briouats farcis aux légumes, chèvre ou thon, salade de carottes au cumin, orange et coriandre, caviar d’aubergines et Mechouia.

Impossible de résister à ces délicieuses carottes, au caviar d’aubergine ou encore aux belles olives charnues.

Et pour conclure ce repas plus que copieux, tous les desserts que l’on connait, baklavas et cornes de gazelle, sont au rendez-vous eux aussi.

Enfin, et c’est important à préciser, le rapport qualité prix est parfait.
D’ailleurs, les habitués ne s’y trompent pas et ils reviennent encore et encore.

Le Méchoui du Prince – pourquoi j’y reviendrai

Pour commencer, pour goûter le méchoui. Parce que, j’ai oublié de vous le préciser, l’épaule d’agneau fondait dans la bouche dans le couscous. Alors j’imagine sans peine ce que peut être le méchoui.

Et puis peut-être aussi pour y croiser Gérard Depardieu qui a déclaré que c’était là le meilleur couscous de Paris, ou encore Matthieu Chedid, un client fidèle.

Ou tout simplement quand j’aurai une soudaine envie d’un bon couscous.

Le Méchoui du Prince 34-36, rue Monsieur le Prince  75006 Paris Tel : 01 40 51 88 48

Ouvert le lundi de 19h à 23h et du mardi au dimanche de 12h à 15h et de 19h à 23h

N.B exceptionnellement je n’ai pas utilisé mes photos dont je n’étais pas du tout satisfaite mais celles fournies  par le restaurant

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Philippe Audibert – des bijoux 100% fabriqués à Paris

Philippe Audibert – l’amour de Saint Germain des Près

Philippe Audibert vient du sud. Il y a 30 ans il s’installe à Paris.

Tombé amoureux de Saint Germain des Près il ne la quittera jamais. C’est dans cette ville, et dans ce quartier, qu’il puise son inspiration.

Il créé donc une PME 100% parisienne.

Un atelier rue de Rennes, en plein coeur de son quartier de prédilection. La marque était vendu dans de multiple enseignes multi marques. Et puis, naturellement, il ouvre la première et unique boutique de la marque, Place Alphonse Deville, à proximité du lieu de la création.

La marque Philippe Audibert est donc une marque parisienne et fière de l’être.

Et puis il faut bien se l’avouer, le prestige du « Fait à Paris » est unique dans le monde, pour une clientèle internationale friande de la qualité française et du style parisien.

Philippe Audibert est dans la capitale depuis 20 ans, et il y restera.

Philippe Audibert – des bijoux comme des sculptures

S’il ne fallait en citer qu’un seul, ce serait pour moi : la manchette.

Philippe Audibert - manchettes
Philippe Audibert – manchettes

Des manchettes spectaculaires, graphiques, sculpturales. En étain plaqué or ou argent. Pour femme, et aussi pour homme.

Sans oublier les manchettes tout de Swarovski vêtues, imposantes et pourtant si agréables à porter sur leur base élastiquée.

Sans oublier les pièces uniques telles que celle-ci, créée spécialement pour Beyoncé !

Et puis il y a les sautoirs. Des pièces présentes, élégantes et contemporaines.

Ils existent en doré et argenté bien sur. Dans une multitude de mailles graphiques qui rendent le choix impossible.

Philippe Audibert – ses pièces uniques et sa collection homme

Je vous ai déjà donné un avant goût avec le bijou réalisé pour Beyoncé. Mais il ne s’arrête pas là.

Ses pièces uniques sont exposées en boutique, et sont là pour faire rêver.

Philippe Audibert - collier plastron
Philippe Audibert – collier plastron

Et puis les hommes qui ne sont pas en reste.

Ici, une dimension ethnique, pour des manchettes et des joncs que l’on peut cumuler au poignet. Je le sais, je l’ai constaté moi même en boutique !

Pour l’avenir, des projets et des collaborations.

Mais il est trop tôt pour en savoir plus : les 30 ans de la marque se dérouleront en 2019 et c’est à ce moment là que les secrets seront révélés.

Philippe Audibert 1 Place Alphonse Déville, 75006 Paris

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François 1er et l’art des Pays-Bas – Musée du Louvre

François 1er et l’art des Pays-Bas – les choses sont claires

Dans cette exposition qui ouvre ses portes aujourd’hui, le parti pris est annoncé d’emblée. Il s’agira ici de se concentrer sur la création des artistes originaires des Pays-Bas, moins connue du grand public, à l’époque du règne de François 1er.

En effet, alors que naturellement on associe le nom de François 1er à la Renaissance et tout particulièrement aux peintres italiens, on méconnait la création de cette période par les peintre des Pays-Bas.

C’est donc cet angle qu’a choisi la commissaire de l’exposition, Cécile Scaillierez.

« Montrer que les arts en France sous François 1er ne se résument pas au triomphe de l’italianisme … était le projet que nous avions proposé  » 

On découvrira donc ici les plus connus des portraitistes : Jean Clouet et Corneille de La Haye, mais plutôt que de les isoler ils sont ici rattachés à leurs compatriotes.

Portrait de François 1er - Jean Clouet
Portrait de François 1er – Jean Clouet

Par ailleurs, le portrait, bien que représenté, ne constitue qu’une petite part de l’exposition, qui met en avant les multiples supports tels que la tapisserie, le vitrail, l’enluminure aussi, clou du parcours en ce qui me concerne.

 

François 1er et l’art des Pays-Bas – Parcours de l’exposition

On commence l’exposition par un axe de l’influence anversoise. Toute la Picardie et jusqu’à Paris sont touchés par cette tendance.

A tout seigneur tout honneur, le premier tableau est celui de l’affiche de l’exposition, portrait du roi par Jean Clouet.

François 1er par Jean Clouet
François 1er par Jean Clouet

Remarque d’ordre pratique : ce tableau est un petit format, et cela prend par surprise. Soyez préparés à vous approcher pour l’apprécier dans tous ses détails.

Après avoir admiré une oeuvre exceptionnelle du maitre d’Amiens.

Et le triptyque de Jan de Beer.

On plonge rapidement dans les merveilles de l’enluminure avec Godefroy le Batave et son « Triomphe de la religion ».

Un artiste découvert il y a peu se démarque particulièrement : Noël Bellemare qui touche à toutes les techniques tel que la tapisserie, le vitrail, l’enluminure.

Curieusement d’ailleurs, ce livre d’heures que j’aurais pu observer pendant des heures est précisément l’oeuvre pour laquelle le commentaire précise que « ses modèles flamands cèdent la place à l’influence de la gravure italienne » . J’aurais tendance à penser que je suis définitivement plus sensible à l’art italien de l’époque…

On plonge ensuite dans une superbe galerie des portraits.

C’est sans aucun doute dans la collection personnel de François 1er que se trouve un des joyaux de l’exposition : « le livre d’heures à l’usage de Paris » acheté par François 1er pour l’offrir à sa nièce.

Un joyau au sens premier du terme puisque sa reliure est luxueusement ornée de pierres précieuses.

Joyau également par la beauté des miniatures que l’on devine sur la seule page visible.

Puis l’on pénètre dans une superbe galerie de portraits aux artistes multiples.

On plonge ensuite dans un autre courant, celui d’artistes venus de notre actuelle Hollande tels que Gregoire Guerard et Bartholomeus Pons .

L’exposition se termine sur une évocation de la production d’eaux fortes faites à Fontainebleau

 

On a donc ici un panorama assez complet de cet aspect de l’art en France sous le règne de Francois 1er sur lequel les projecteurs n’avaient pas été pointés jusque là : l’art des Pays-Bas.

Exposition François 1er l’art des Pays-Bas
du 18 octobre 2017 au 15 janvier 2018 Musée du Louvre Rue de Rivoli 75001 PARIS
fermé le mardi

Laboté – des soins 100% sur mesure

Laboté Paris – un espace 100% beauté

Quand on pénètre dans l’espace Laboté de la rue Madame, on se sent juste bien. L’espace est lumineux, la décoration est épurée. Et puis il y a le laboratoire.

Ce laboratoire entièrement vitré que l’on voit de la rue comme de l’intérieur. Et c’est là que sera créée votre crème, juste pour vous.

Lors de la première visite chez Laboté, une analyse beauté complète est effectuée, sur la base d’un questionnaire simple. Il permet de comprendre l’environnement dans lequel vous évoluez, votre propre perception de votre peau, et puis vos attentes et vos envies.

 

Cette exploration beauté est effectuée par un docteur en pharmacie, et elle permet de déterminer niveau d’hydratation, de nutrition, de la peau, densité tuissualire, réactivité cutanée. Pour un soin sur mesure.

Vient alors le moment de créer LA crème, VOTRE crème sur mesure.

Laboté – frais, naturel et sur mesure

Cette crème sur mesure va être créée sur la base d’actifs naturels. Pas de silicone, ni paraben, aucun conservateur ni additif. C’est l’utilisation de plantes connues pour leurs vertus telles que l’hibiscus régenerant ou encore le magnolia antioxydant qui permet d’obtenir les résultats attendus et de répondre aux envies exprimées.

On choisit sa texture, plus épaisse ou plus légère. Et puis son parfum, si on le souhaite. Même la couleur de l’étiquette.

Une fois la crème définie et conçue, elle porte votre nom, et sera votre pour 3 mois. Les 3 mois pendant lesquels vous l’utiliserez.

A ce jour, Laboté proposait une crème de jour, un une crème de nuit, et un sérum.

Aujourd’hui naît la dernière nouveauté de la marque : l’infusion florale nettoyante.

Laboté – infusion florale nettoyante

Parce que se nettoyer le visage, il faut bien se l’avouer, c’est un vrai défi au quotidien. Le savon est agressif, l’eau calcaire, la peau malmenée encore et encore.

Alors cette infusion florale, allez savoir, c’est peut-être LA solution. Parce que le concept est prometteur !

Je m’explique. Il s’agit d’un liquide à texture huileuse. On en applique deux ou 3 pressions que l’on applique sur le visage, et, en massant légèrement, on voit le maquillage disparaitre, et donc les impuretés invisibles à l’oeil nu également.

Sauf que l’on ne s’arrête pas là ! On applique alors de l’eau et la texture change, pour se transformer en lait, qui hydrate la peau et la laisse parfaitement douce au toucher.

Et là c’est le bonheur !

Je continue le test, et je vous tiens au courant.

Et en attendant, pensez à faire un tour rue Madame.

infusion florale nettoyante : 28€

Laboté 11 rue Madame 75006 PARIS