Gauguin l’alchimiste – Grand Palais

Gauguin l’alchimiste – l’histoire de l’exposition

L’exposition Gauguin l’alchimiste réunit plus de 230 oeuvres de l’artiste, dont seules 54 sont des peintures.

Le ton est donc donné. On va découvrir ici les facettes méconnues de la production artistique de l’artiste.

C’est la première exposition à adopter l’angle de l’étude de la complémentarité des créations de Paul Gauguin. Ici, ce sont céramiques, sculptures, blocs de bois même qui côtoient gravures et dessins en complément des tableaux familiers ou plus méconnus.

Vase avec Leda et le cygne
Vase avec Leda et le cygne

Des oeuvres rassemblées des 4 coins du monde, du musée d’Orsay au Musée Pouchkine en passant par l’Art Institute de Chicago.

C’est en collaboration avec ce dernier qu’est née l’idée de cette exposition unique. L’Art Institute de Chicago détient un fonds extrêmement conséquent d’oeuvres graphiques de Gauguin, mises à disposition pour cette exposition. Pour les sculptures, et céramiques, c’est le musée d’Orsay qui est mis à contribution.

Gauguin l’alchimiste – le parcours de l’exposition

Il s’agit là d’un voyage. Dans le temps avec la fresque chronologique que l’on découvre dans la première salle et qui décrit le parcours de Gauguin. Voyage géographique, au gré des différentes destinations de l’artiste, mais aussi  un voyage dans son oeuvre bien plus multiple que je ne l’imaginais.

Le droit d’oser, c’est ce qu’il revendique et c’est ainsi que l’exposition commence. Avec cette revendication qu’il clame et met en oeuvre de Paris à la Bretagne puis jusqu’aux îles.

On découvre ses premières inspirations dans la première section de l’exposition : la fabrique des images. Ici, dans le laboratoire des formes, on découvre ses débuts avec ce Degas dont il reprend certains motifs dans plusieurs de ses oeuvres.

Pissarro sera son guide et celui qui le lancera dans le monde des impressionnistes.

Il s’inspirera un temps de ses oeuvres.

Camille Pissarro - la bergère bretonne
Camille Pissarro – la bergère
Paul Gauguin - la bergère bretonne
Paul Gauguin – la bergère bretonne

On observe déjà les allers retours d’un support à un autre, la façon dont chacune de ses créations alimente l’autre.

De l’esquisse au tableau.

Et de l’objet lui même à sa représentation.

La deuxième section se concentre sur sa période bretonne.

Ici prennent forme ses variations sur le motif.

D’un support à un autre. Du bois à la céramique comme sur cette oeuvre en céramique et son pendant sculpté.

Cette exposition peut être hautement ludique si l’on se lance dans une chasse aux représentations similaires dans des oeuvres si multiples.

Ou encore en cherchant le mélange des oeuvres quand Gauguin se met en mode Inception

Changeons d’étage, pour entrer dans l’univers des îles. Un premier voyage à Tahiti permet à Paul Gauguin de construire sa première imagerie de la vie tahitienne. Habitée de douceur, simplicité, et jeunes filles pures et en harmonie avec la nature.

Cet imagier des tropiques met également en lumière le manuscrit de Gauguin, Noa Noa, journal de ses voyages riche en illustrations de sa main.

Noa Noa
Noa Noa

L’exposition se finit par « En son décor » et le lieu où Paul Gauguin finira sa vie : la maison du jouir.

Gauguin l’alchimiste – Gauguin sauvage et sulfureux ?

Parce qu’il faut le dire, l’histoire de Paul Gauguin est faite de rencontres et de ruptures assez violentes.

Commençons par Pissarro, son mentor, son modèle, celui qui le lance dans la sphère artistique parisienne.

Et puis il se fâche avec lui, brutalement, définitivement, tel l’élève qui soudain veut dominer son maître.

Entre temps, ou serait-ce en même temps, c’est aussi avec Paul Signac qu’il se brouille pour ne plus jamais revenir sur cette rupture.

En 1888, c’est chez Vincent Van Gogh qu’il s’installe à Arles. Un tête à tête qui se terminera comme on sait : Vincent Van Gogh se coupera une oreille.

Et puis il y a sa relation aux colonies, et aux « bons sauvages » comme il les a décrits.

Gauguin, un homme complexe, dans son oeuvre comme dans sa personnalité.

Gauguin l’alchimiste du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018

GRAND PALAIS, GALERIES NATIONALES
3, avenue du Général Eisenhower
75008 Paris

 

Chez Nathalie – restaurant dans le XIIIème

Chez Nathalie – c’est un peu chez moi

Ce restaurant porte parfaitement son nom, enfin le mien ! Il existe depuis 15 ans, et s’est toujours trouvé sur mon chemin. Face à l’école primaire de mini moi, puis à quelques pas de son collège, et dans tous les cas dans un rayon de quelques centaines de mètres de chez moi.

Voilà des années que je n’y étais pas retournée, et ce n’est donc pas une découverte, mais une redécouverte.

Chez Nathalie – ce qu’on y mange

Ici, tout est fait maison comme l’indique le label sur la carte mais surtout l’animation en cuisine. Une carte resserrée, pour des produits frais et de saison.

En atteste par exemple le velouté de châtaigne ou encore la purée de potiron.

Les produits sont de qualité, la cuisson parfaite, qu’il s’agisse du plat du jour, le coeur de rumsteck et ses pommes sautées, ou encore le cabillaud, dont on sait à quelle point la cuisson fait tout !

Quant au dessert que j’ai choisi, il est parfait de simplicité.

dessert - chez Nathalie
dessert – chez Nathalie

Chez Nathalie – pourquoi j’y retournerai

C’est assez simple. Parce que je viens de redécouvrir cette adresse, et qu’un restaurant de qualité à moins de 500 mètres de chez moi, ça n’a pas de prix !

Sachant que la carte change visiblement régulièrement, voire même très souvent, je sais que je serai surprise à chaque fois, et c’est une perspective qui me convient !

Chez Nathalie 45 Rue Vandrezanne, 75013 Paris tel : 01 45 80 20 42

Exposition Bourdelle et l’antique

Bourdelle et l’antique – la sculpture au début du XXème siècle

L’exposition Bourdelle et l’antique accompagne le visiteur dans la sculpture du début du siècle dernier au travers de l’influence de la sculpture antique sur les artistes qui ont marqué les premières décennies du XXème.

Bourdelle et l'antique
Bourdelle et l’antique

On découvre ainsi dans quelle mesure la Grèce antique a façonné la création de Bourdelle, mais aussi celle de ses contemporains dont on peut admirer de multiple oeuvres.

Ainsi, Picasso, Modogliani, mais aussi Rodin et Maillol bien sûr ( ennemi juré de Bourdelle) sont présentés pour illustrer le propos et alimenter les parralèles créatifs.

L’occasion de (re) découvrir l’oeuvre du sculpteur, et de tous ceux qui l’ont inspiré.

Près de 150 oeuvres d’artistes multiples sont ainsi réunies autour des oeuvres majeures de Bourdelle lui même qui rythment la visite de cette exposition.

Bourdelle et l’antique – le parcours de l’exposition

L’exposition s’articule autour de 7 oeuvres majeures de l’artiste. Pour chacune d’entre elles sont présentés les sources d’inspiration, puisées dans la Grèce antique, dans l’observation des oeuvres que l’artiste étudie, analyse pour créer à son tour.

La première oeuvre sculpturale est ce buste de Pallas.

Son visage deviendra masque, comme s’il sortait d’une fouille archéologique.

Pallas de Bourdelle
Pallas de Bourdelle

Cette oeuvre est un véritable tournant dans son oeuvre.

Nous sommes en 1903, et il modèle un buste de femme en terre, dont on voit ici la version de marbre et de bronze.
Il entre là dans une approche de simplification extrême et s’éloigne d’un certain réalisme de ses oeuvres précédentes.

La deuxième oeuvre que l’on découvre est son Apollon.

Il commence par un modèle en terre qu’il laisse à l’abandon.
Quand il le retrouve des années plus tard, il décide de bâtir une œuvre nouvelle à partir de ce portrait abîmé, détérioré par le temps et les intempéries.

Restée longtemps confidentielle, c’est la version exposée ici en bronze à la patinee dorée qui deviendra l’oeuvre finale.

Apollon - Bourdelle
Apollon – Bourdelle

On arrive ensuite dans la salle qui accueille une des oeuvres les plus célèbres du sculpteur : Herakles archer.

Inspirée du célèbre archer d’Egine, il  donne une dimension charnelle et presque sexuelle à cette oeuvre monumentale.

Positionnée au centre de la pièce elle permet au visiteur de la contempler sous tous les angles.

Herakles archer - Bourdelle
Herakles archer – Bourdelle

Herakles archer fut un très grand succès lors de l’exposition de 1910, et l’on voit comment cette sculpture inspira d’autres artistes tels que Henri Laurens et sa musicienne à la harpe.

Vient ensuite sa Cléopâtre, portrait de son élève grecque, Cléopâtre Stevastos.

Cléopâtre Bourdelle
Cléopâtre Bourdelle

Sont présentées ensemble plusieurs oeuvres des artistes contemporains de l’époque, permettant ainsi de comprendre les influences et inspirations mutuelles.

Une occasion pour moi de tomber en amour devant ce petit bijou de Modigliani.

La visite continue

On passe d’une déesse, Pénélope

A l’univers des faunes et des satyres, inspiration, avec Isadora Duncan des fresques du théâtre des Champs Elysées réalisées par Bourdelle.

 

Cette exposition est donc un voyage dans le temps, de la Grèce antique au début du XXème siècle, mais aussi un voyage dans la sculpture des premières décennies du siècle.

Bourdelle et l’antique du 4 octobre 2017 au 4 février 2018

Musée Antoine Bourdelle 

18, rue Antoine Bourdelle 75015 Paris
Tél. : +33 (0)1 49 54 73 73

Instax Jean-Charles de Castelbajac chez Colette

Instax Jean-Charles de Castelbajac – un objet collector

L’Instax, c’est ce joli appareil aux couleurs acidulées ou pimpantes, qui permet en instantané d’avoir de jolies photos papier.

Cet appareil que l’on saisit au moment d’un éclat de rire, dans les instants de complicité, pour en garder la preuve ailleurs que sur un smartphone.

Un cadeau parfait pour les moments de partage, ceux pendant lesquels on veut immortaliser chaque minute.

Alors c’est avec Jean-Charles de Castelbajac que la marque s’associe cette année pour une collaboration arty en diable!

Jean-Charles de Castelbajac, c’est pour moi une longue histoire d’amour. Des souvenirs qui remontent à si longtemps d’une collection exclusive vendue au Drugstore Publicis. Je ne sais même pas si lui même se souvient de ce superbe imperméable et de son parapluie assorti qui m’ont fait tant rêver.

Et déjà, il y a si longtemps, la même signature : 3 couleurs primaires qui explosent sur fond blanc. Un style unique, inimitable, reconnaissable entre mille.

Et ce sont exactement les qualificatifs que l’on peut attribuer à cet Instax mini bicolore by JCC+

Il est joyeux, pimpant, bicolore pour la première fois pour un Instax, et la dragonne elle aussi est pop à souhaits !

Cette collaboration pense aussi à la famille avec le « INSTAX Family box by JCC+ « . Ici, un appareil uni, un pack de films, et une boite qui se déplie pour se transformer en arbre généalogique décoré par JCC.

Le cadeau de Noël parfait en résumé !

Vous avez déjà terriblement envie du coffret Instax mini bicolore by JCC+ ? Direction Colette dès aujourd’hui : il est en vente en exclusivité dans ce concept store mythique. Et si vous êtes prêts à patienter, ce sera à partir du 15 octobre en ligne sur la boutique FUJIFILM

Colette 213 rue Saint-Honoré 75001 Paris

Instax Jean-Charles de Castelbajac – l’exposition chez Joyce

Jean Charles de Castelbajac est un artiste touche à tout.

Alors, pour illustrer son univers grâce à l’Instar, lui et ses fils ont utilisé l’appareil pour créer, et les résultats de cette expérience unique sont exposé dans la galerie Joyce, au Palais Royal. Des oeuvres photographiques uniques à découvrir jusqu’au 28 octobre 2017.

Une seule famille, mais des personnalités et des styles très différents. Ici, les photos du père.

Et là celles d’un des fils.

A découvrir au détour d’une balade dans les superbes jardins du Palais Royal !

Galerie Joyce 168 Galerie de Valois, 75001 Paris

INDRESS – nouvelle boutique dans le Haut Marais

INDRESS – un esprit avant tout

La marque INDRESS est une marque née en deux temps. En 2001 quand sa créatrice, Wies Schulte, créé le premier produit INDRESS, un cabas réversible en coton qui remporte immédiatement un succès fulgurant.

Puis en 2005, avec le lancement du prêt à porter.

L’esprit d’INDRESS est de proposer des pièces faciles à porter. Des basiques revisités, dans des matières innovantes ou différentes de celles que l’on attend pour chacun des vêtements dessinés.

Ainsi le tailleur pantalon sera décliné en lurex, mais les blouses seront confectionnées en soie.

Des pièces parfaitement coupées, pour une garde robe élégante et féminine, même si certains vêtements sont empruntés à la garde robe masculine.

INDRESS – la boutique rue Charlot

C’est dans le Haut Marais que Wies Schulte, désormais associée à  Maud Courault, ouvre sa première boutique en propre. Un espace lumineux qui se découpe en deux salles permettant de présenter les 25 pièces qui constituent chaque collection.

Ici, chaque robe, pull, top ou costume est présenté en association pour imaginer un look parfait, élégant, féminin et unique.

Et puis il y a les broches signature de la créatrice. La broche qui bouleverse une tenue, même un simple sweat qui devient un fashion statement.

Cette broche est déclinée en des dizaines de couleurs et permet de réinventer un look à volonté !

Mon coup de coeur sera définitivement pour cette robe en soie à l’imprimé délicat en ton sur ton, et la broche bien sur, indispensable !

Les finitions sont raffinées, de délicats boutons couverts de soie qui font ressurgir à l’esprit des images de robe de mariée.

Alors soyons fous, réinventons la plus simple des tenues avec une touche de fantaisie !

 

INDRESS 74 rue Charlot 75003 PARIS

tel : 01 42 41 37 94 

Ouvert du mardi au samedi, de 11h à 19h

La Monnaie de Paris – Renaissance

La Monnaie de Paris

Le 30 septembre, le 11 Conti ouvre enfin ses portes au grand public, après des années de transformation.

Le 11 Conti, c’est le musée de la Monnaie de Paris. C’est l’adresse de la Monnaie de Paris. Ce « coffre-fort » qu’est la Monnaie de Paris devient un lieu ouvert sur la ville au cœur du 6èmearrondissement, et on peut y découvrir la beauté de l’édifice tout d’abord, des cours intérieurs qui avaient été couvertes et reprennent vie, et bien sur les métiers et l’histoire de cette industrie artisanale qui accompagne la vie des français depuis le IXème siècle.

Enfin, la nouvelle boutique est spectaculaire, installée dans l’ancienne fonderie qui devient l’écrin des créations exceptionnelles de pièces et de monnaies.

Sans oublier le restaurant gastronomique du chef étoilé Guy Savoy, également installé dans ce lieu.

Monnaie de Paris
Monnaie de Paris

La Monnaie de Paris est née en 864 pour « battre monnaie ». Cela en fait la plus vieille entreprise du monde ! C’est en décembre 1775 qu’elle s’installe dans ses locaux de la rue de Conti.

C’est donc dans ses locaux, totalement rénovés, désormais ouverts sur l’extérieur ainsi que sur les artisans qui y travaillent, que nous allons pouvoir découvrir l’art de créer ces monnaies auxquelles on prête aujourd’hui si peu d’attention

La Monnaie de Paris – le parcours de découverte des monnaies

Un parcours expérimental permet aux visiteurs que nous sommes d’être acteurs de la visite, de découvrir à travers des vues sur les ateliers la dernière usine de Paris, de voir les artisans en action, là, à leur poste de travail.

Les savoir-faire, les secrets de fabrication de la monnaie ainsi que les collections patrimoniales de l’institution, pour certaines conservées à l’abris des regards jusqu’alors, seront enfin dévoilés au public.

On assiste en direct à la gravure, la frappe, au calibrage, on découvre les machines utilisées au fil des ans, jusqu’au résultat final que sont les monnaies créées dans cette institution.

On découvre aussi ici le mètre étalon, mais aussi les racines de l’école des Mines !

La Monnaie de Paris – la fonderie devient boutique

La Monnaie de Paris produit donc aujourd’hui des monnaies. Des pièces exceptionnelles qui séduiront tous les collectionneurs, et les autres !

Actuellement par exemple, c’et la collection Jean Paul Gaultier qui est à l’honneur. Faites un tour du côté de l’exposition de ces petites merveilles, et découvrez la mise en scène créée pour les accompagner.

La Monnaie de Paris 11 quai de CONTI 75006 PARIS

 

Restaurant L’Avenue – hype, fashion, branché !

Restaurant L’Avenue – Comment on s’y sent

Le restaurant L’Avenue est une institution du Triangle D’Or à Paris.

Installé sur l’avenue Montaigne, à quelques pas des grandes stations de radio parisiennes que sont RTL et Europe1, mais aussi des palaces et enseignes prestigieuses installées à proximité.

Ici se côtoient riches touristes, hommes politiques,  journalistes de renom, directrices d’agence de RP, acteurs incognitos. Pour exemple, on y rencontrait tous les matins Jean-Pierre Elkabach accompagné d’un ou deux ministres, après sa matinale sur Europe1.

On vient donc pour s’attabler en terrasse ou prétendument dissimulé derrière d’épais rideaux de velours, et pour être vu quand on est célèbre ou que l’on espère le devenir.

Ou pour voir, assister à la comédie humaine qui se déroule là, tout au long de la journée, et pendant toute l’année. Une des périodes clé est la Fashion Week bien sur, quand les mannequins viennent s’ajouter à la clientèle précédemment citée.

C’est donc pour déjeuner, un dimanche, que nous avons vécu notre première expérience à L’Avenue.

Une hôtesse longiligne nous installe en terrasse. Il est tôt, il y a peu de monde, et l’endroit est plaisant.

Restaurant l’Avenue – Ce qu’on y mange

Qualité, efficacité.

Restaurant l'Avenue - La carte
Restaurant l’Avenue – La carte

Les plats proposés sont convenus. Une carte signée Costes, sans surprise.

Les tarifs eux, sont LA surprise. Parce que même pour des parisiens habitués à certains excès tarifaires dans la restauration, là, l’établissement se surpasse.

Le service est très efficace, les plats servis rapidement. Ils sont esthétiques, les produits de qualité, et le tout agréable au palais.

Risotto et tom yam répondent à notre attente gustative.

Les desserts sont bons, parfaitement instagramables, la tarte aux fraises en particulier !

Restaurant l’Avenue – Pourquoi je reviendrai

Certainement pas pour un déjeuner complet. Parce que même si le repas était bon, et l’expérience sympathique, je pense qu’en vous montrant cette note, je n’ai pas besoin d’ajouter quoi que ce soit !

Alors bien sur, il y a eu le surfeur californien qui s’est installé à côté de nous. Il était accompagné de Bob. Son chien. Un tout petit chien qui ne colle pas du tout avec l’idée que j’avais d’un chien de surfeur. Parce que le surfeur, lui, a tous les attributs – du surfeur je veux dire. Grand, blond, les yeux bleus, musclé, souriant, et terriblement sympathique. Comment résister quand il commence la conversation en nous disant : « meet Bob« . Puis il continue avec « you guys live in Paris ?  »

Nous apprendrons donc qu’il adore prendre son café ici, qu’il habite rue François 1er, et qu’il est à Paris « for business and for fun » !

Disons donc que si je retourne à l’Avenue, ce sera pour prendre en café, et espérer revoir Bob et son maitre ! Je prendrai même peut-être son numéro, pour le donner à mini moi qui saura peut-être quoi en faire 😉

Restaurant l’Avenue 41 avenue Montaigne 75008 Paris

Biocoop – le plus grand magasin de France

Biocoop – le bio près de chez vous

Impossible de passer à côté : le bio est partout.
Dans toutes les enseignes dont c’est la spécialité comme Naturalia par exemple , Bio C bon et les autres.
Le bio est désormais présent dans toutes les grandes surfaces, en marque propre ou en vente de marques traditionnelles, et puis au rayon fruits et légumes aussi bien sur.

Parce que nous sommes devenus conscients au fil des années de l’importance de la qualité des produits que nous consommons, pour notre santé, et aussi pour celle de la planète.

Alors le Bio, c’est un label, avec ses règles et ses choix imposés. Mais Biocoop va plus loin, bien plus loin, et ça me plait !

Biocoop – bio et local

Biocoop est une enseigne pionnière dans le domaine du bio.

Pionnière dans sa structure puisqu’elle naît il y a plus de 30 ans de la volonté de consommateurs et des producteurs, animés par une même volonté de soutenir une agriculture biologique pour développer une consommation bio de qualité, à une époque où la définition même du bio est en devenir.

Biocoop
Biocoop

Et depuis 30 ans, Biocoop oeuvre pour faire toujours mieux, sur plusieurs registres qui vont bien au delà du simple label bio.

Soutien aux producteurs, y compris avec la mise en avant de ceux en cours de conversion, acteur de la structuration des filières agricoles biologiques, privilège du commerce équitable, autant d’actions qui vont au delà de l’application du label pur et simple.

Il y a plus de 400 magasins Biocoop en France, mais il n’y en avait pas près de chez moi. C’est chose faite ! Et pas n’importe lequel puisque c’est rue de Tolbiac qu’est né le plus grand Biocoop de France. Visite guidée.

Biocoop La Ruche Tolbiac

Un superbe magasin, spacieux, lumineux, qui donne envie de tout acheter.

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Des fruits et légumes de saison, majoritairement de producteurs locaux, voilà l’engagement, au delà de la dimension bio.

Et le pari est réussi : prix au plus juste, et produits délicieux – le raisin, on dirait du miel !

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Pain frais, énorme variété de fromages, linéaires de produits frais et congelé, choix immense de thés, tisanes, tout y est.

Une des spécificités de Biocoop, c’est le choix unique dans la vente en vrac.

Epicerie sèche bien sur, avec une variété énorme de biscuits, céréales, pâtes et riz.

Mais aussi, et là c’est une grande nouveauté, le vrac liquide. Ici vous pourrez acheter votre huile, d’olive ou de tournesol, en apportant votre bouteille ( vous pouvez acheter la première sur place) pour la remplir du produit et de la quantité de votre choix.

Idem pour le miel, le sirop d’agave, et désormais même un choix de vins !

Et enfin, encore une nouveauté, punique en son genre : le vrac liquide pour les produits d’entretien.

Autant vous dire que je suis séduite ! Fini les bouteilles en plastique que l’on jète à répétition : désormais, je viendrai prendre ici mon liquide vaisselle, ma lessive, et mon nettoyant multi usage.

Bons pour la planète, imbattables en termes de prix.

Je ne les ai pas encore testés et il faut bien sur que l’efficacité soit au rendez vous.

Autant vous dire que désormais c’est ici que je viendrai faire mes courses, toutes mes courses. Y compris ces biscuits fourrés aux dates à côté desquels il est difficile de passer sans céder à la tentation.

J’ai d’ailleurs commencé !

Biocoop La Ruche Tolbiac – 180 Rue de Tolbiac, 75013 Paris

 

Caroline Abram – des lunettes pour les femmes

Caroline Abram – qui est-elle ?

La marque et la créatrice ne font qu’un. Féminine, joyeuse, délicieusement rétro.

Des formes que l’on imagine sur le nez de starlettes hollywoodiennes.  Des modèles  destinées à toutes les femmes qui veulent se sentir belles, sensuelles, ou un brin décalée.

Ses parents sont respectivement opticien et ophtalmo et c’est dans la boutique d’optique de sa mère aux Abbesses qu’elle exerce tout d’abord comme opticienne.

Elle commence par des chaînes et chaînettes qu’elle fabrique elle même.

Et puis les bijounettes aussi. Ces bijoux de lunettes qui les rendent uniques.

bijounette Caroline Abram
bijounette Caroline Abram

Sa première création d’optique sera son premier grand succès : le face-à-main ! Un véritable bijou qui permet d’avoir à portée de main un accessoire bijou à la dimension ultra pratique.

Un collier pas comme les autres en somme, et les fashionistas l’ont bien compris.

Caroline Abram – la boutique

J’avais déjà repéré ses lunettes, et aussi ses faces-à-main chez l’Artisan du regard rue des Martyrs. Quelle ne fut pas ma joie en marchant boulevard Raspail de découvrir qu’elle avait une adresse dans laquelle on pouvait trouver toutes ses créations !

Ici, tous les modèles sont installés, à portée de main pour des essayages plaisir jusqu’au choix final.

Des lunettes principalement made in France. Chaque modèle est décliné en 6 couleurs. chaque modèle a ses spécificités, en acétate, en stainless steel, et aux formes variées meêm si la dimension papillonnante est très présente à ma grande joie !

La ligne des lunettes Caroline Abram est unique : c’est pour cette raison qu’elles ne sont ni signées, ni logotées : elles se suffisent à elles même.

Caroline Abram et moi

Bonjour, je m’appelle Nathalie, j’ai arrêté de me colorer les cheveux ( je fais partie des #GoingGrey, cette nouvelle communauté qui va peu à peu prendre le pouvoir sur la planète !)

Et en plus, je suis presbyte ! Alors lunettes pour lunettes, puisqu’il en faut, mon approche est simple : j’en veux beaucoup, de toutes les couleurs, avec des formes légèrement papillonnantes que j’aime tant.

Et bien chez Caroline Abram, c’est comme si toutes les lunettes que j’aime étaient réunies en un seul lieu.

Lunettes Caroline Abram
Lunettes Caroline Abram

Et la bonne nouvelle, c’est que je dois renouveler mes lunettes : aurez-vous deviné chez qui je vais me rendre avec ma nouvelle ordonnance ?

La seule question sera alors de savoir si je choisis les Uilia, ou peut-être les Grace, ou encore les Romy, pour leurs branches spectaculaires ?

 

Je vous dis ça très vite !

Caroline ABRAM 38 boulevard Raspail 75007 Paris

 

 

Tammy & Benjamin – des sacs made in Paris

Tammy & Benjamin – l’histoire

Elle, c’est Tammy. Lui, c’est Benjamin.

Elle étudiante à Esmod, lui en école de commerce branche entreprenariat. Alors quand leurs chemins se croisent, c’est comme une évidence. Elle apporte sa touche artistique, lui sa volonté d’entreprendre et de créer.

La marque nait en 2013, avec une première collection qui prend ses racines dans le projet de fin d’études de Tammy. A cette époque déjà, elle créait des sacs, un à un, à la main.

L’histoire de Tammy & Benjamin est donc celle de ces jolies marques qui naissent d’une passion et s’épanouissent grâce à l’énergie que les créateurs insuflent à leur projet.

Tammy & Benjamin – des sacs made in Paris

Leur premier show room sera donc en plein coeur de Paris, à Bastille.

La fabrication se déroule aussi à Paris, dans un atelier du Xème arrondissement, et désormais c’est à Bastille que se déroule le contrôle qualité.
La boutique de la rue de Poitou suivra quelques années après puisqu’elle date d’octobre 2016.

Cette boutique à la scénarisation unique avec cet arbre spectaculaire en plein centre, et des sacs exposés tels de petits bijoux.

Comme par exemple ce modèle Jeanne et son superbe noeud rouge qui ne peut laisser indifférent.

Les sacs Tammy & Benjamin, on les reconnait si bien.

Tammy & Benjamin – des sacs reconnaissables entre mille

Les sacs de la marque ont des lignes graphiques et géométriques. Un look affirmé pour des sacs rigiques qui se tiennent, se posent, et ne se déforment jamais.

Et puis cette touche vintage qui transparait dans le choix des fermoirs et du métal couleur bronze patiné utilisé.

Ainsi, le modèle Elisabeth est un modèle apparu dans la toute première collection et toujours présent.

Les modèles Hatbox sont plus récents, et un des modèles phare : je le comprends si bien à la vue de cette déclinaison que j’adore !

La majeur partie des sacs a des prénoms féminins.  Elisabeth, précédemment cité, ou encore Jeanne, et puis aussi Charlotte, et enfin Alexia, mon coup de coeur je dois dire.

La boutique est si jolie, et dans un quartier parfait pour une balade shopping : vous savez ce qu’il vous reste à faire !

Tammy & Benjamin 33 rue de Poitou 75003 Paris