Graine Paris – Fast good

Graine Paris – fast food méditerranéen

Le restaurant Graine Paris ( anciennement Graine bar à couscous) permet de manger rapidement de délicieux plats d’inspiration méditerranéenne.

C’est pour cette simple raison que le qualificatif de « fast good » trouvé par son créateur, Majed, colle parfaitement au concept.

Au commencement était le couscous. Et puis le taboulé a fait son apparition, la chakchouka, et tant d’autres délices du sud .

Ici, on choisit son entrée dans un présentoir réfrigéré, où se trouvent également les desserts, puis c’est au comptoir que l’on confectionne son plat en choisissant la base ( taboulé ou couscous) et les ingrédients qu’on ajoutera.

Restaurant Graine Paris
Restaurant Graine Paris

On peut ajouter de multiples ingrédients. De la viande bien sur ( tout particulièrement pour le couscous) , une très grande variété de légumes, du fromage.

Mais ce qui m’a le plus marquée, c’est la qualité de ce que j’ai dégusté. Parce que je dois reconnaitre que le côté fast, même s’il est good, avec la dimension « plateau et bol en plastique » , ne me transportait pas d’envie à priori. Et la surprise de me régaler fut donc d’autant meilleur

Graine Paris – pourquoi y revenir

En ce qui me concerne tout d’abord, pour reprendre de ce dessert aérien et délicieux – dont j’ai malheureusement oublié le nom – mais dont mes papilles se souviennent !

Une autre raison de s’y rendre, c’est précisément quand on est dans ce quartier et qu’on souhaite bien manger, sans se ruiner, et vite ! Parce que dans la catégorie « fast food », difficile de trouver mieux !

Graine Paris – http://www.grainebaracouscous.fr

7 Place Saint Augustin 75008 PARIS 01 45 22 95 78

Musée Jacquemart-André – un musée et un café

Musée Jacquemart-André – un hôtel particulier

Le musée Jacquemart-André porte les noms de ceux qui l’ont construit, puis donné vie, ensemble.

Musée Jacquemart André
Musée Jacquemart André

C’est Edouard André, riche héritier amateur d’art et collectionneur, qui confie la construction de son hôtel particulier à Henri Parent, un spécialiste de l’architecture traditionnelle. Il réalise, de 1869 à 1876, cette superbe construction, inspirée des modèles classiques, par son plan parfaitement symétrique et par le décor de ses façades.

Superbes enfilades de pièces, tentures élégantes, boiseries, et un escalier très original font les charmes du lieu.

Le salon de musique est tout particulièrement charmant et invite à la rêverie avec la musique qui envahit l’espace.

Chacune des pièces a son cachet propres, et elles sont toutes baignées de lumière.

Après leur mariage, Edouard André et Nélie Jacquemart se consacrent intégralement à leur passion de collectionneur d’art. Leur collection est très marquée par leurs voyages multiples en Italie. Les pièces ainsi collectionnées sont disposées dans tout l’hôtel particulier.

Musée Jacquemart André – expositions temporaires

Il y a donc ce que l’on peut qualifier d’exposition permanente, mais le musée accueille régulièrement des expositions temporaires.

La dernière en date, « de Zurbaran à Rothko, Collection Alicia Koplowitz – Grupo Omega Capital « , est un petit bijou mais il vous faudra vous presser pour la découvrir puisqu’il ne reste plus qu’une semaine avant qu’elle ne se termine.

Il s’agit d’une des plus grandes collectionneuses espagnoles de notre époque.
Diversité des techniques des époques et des styles, la collection est le reflet du goût et des émotions de celle qui a parcouru le chemin de l’art.

L’exposition retrace un paysage artistique large, de Goya à Gauguin et Modigliani, en passant par Rothko et Giacometti.

On commence par des artistes espagnols, Zurbarán et Goya.

La 2ème salle des italiens qui ont travaillé en Espagne Tiepolo et Antonio Joli.

Antonio Joli
Antonio Joli

Très grands plans de Venise par Antonio Joli et deux merveilles de Canaletto – Giovanni Antonio Canal.

De salle en salle des artistes aussi divers que Picasso ou Van Gogh sont exposés.

Mon coup de coeur : ce portait de Modigliani, si caractéristique de ce vague à l’âme et de l’infinie tristesse qui transparait de tous ses portraits.

Une superbe exposition à ne pas manquer, si vous trouvez une heure ou deux avant la fin de la semaine.

Musée Jacquemart André – un café restaurant

La bonne nouvelle, c’est que le musée Jacquemart-André vaut largement le déplacement, exposition temporaire ou pas, grâce à son extraordinaire café restaurant !

Ici, on peut déjeuner, bruncher, et se régaler avec les pâtisseries qui sont simplement divines et tellement nombreuses qu’il est quasiment impossible de faire un choix.

 

De multiples salades sont proposées, ainsi qu’une formule très avantageuse avec la quiche du jour ou le plat du jour ( sauf le dimanche) et la pâtisserie de son choix. Tout est servi avec le sourire, et avec une telle efficacité que même lorsque le restaurant est plein l’attente ne dépasse pas quelques minutes.

Les salades sont délicieuses, les produits frais et savoureux.

Et quant aux desserts…..Voici un aperçu restreint du chariot.

Et voici ce que nous avons dégusté. Une tarte aux abricots légèrement acidulée, et un gâteau café et noix pour lequel les qualificatifs me manquent, mais j’en ai à nouveau l’eau à la bouche à sa seule évocation !

Rendez-vous au musée Jacquemart-André donc.

158 boulevard Haussmann 75008 Paris
Tél. : 01 45 62 11 59

Ouvert tous les jours y compris les jours fériés de 10h à 18h. Nocturnes les lundis jusqu’à 20h30 en période d’exposition.

Marlette BHV MARAIS – nouvelle adresse !

Marlette – la marque bio et bonne

J’avais essayé de bruncher chez Marlette, rue des Martyrs. Mais autant dire qu’accéder à une chaise chez Marlette un dimanche après 12h15, c’est juste mission impossible.

Alors je m’étais rabattue sur la confection de leurs gâteaux chez moi, à la maison. Avec leurs préparations, si simples à utiliser, que même la plus incapable des cuisinières fait des miracles !

Si je vous dis : « ouvrir un paquet, ajoutera quelques oeufs, ou et du lait, peut être du beurre, et le tour est joué » , vous comprenez mon enthousiasme ? N’essayez pas, vous ne pourrez plus vous en passer.

Nous sommes restés jusqu’à présent dans l’univers sucré. Mais il s’avère que Marlette est parfait également pour le salé ! Et pour s’en rendre compte, il suffit de se rendre au 3ème étage du BHV Marais.

Marlette BHV Marais – excellente nouvelle

La bonne nouvelle, c’est que pour l’instant, l’information n’a pas encore vraiment circulé. Cela signifie donc que c’est le moment pour découvrir cette bonne adresse encore presque secrète.

Ici, on peut déjeuner, confortablement installé, entre deux étapes d’un shopping effréné ( surtout maintenant, précisément pendant les SOLDES ! )

Une carte alléchante, des produits frais, des formules déjeuner, et tout est préparé sur place.

Le lieu est lumineux, paisible, et donne furieusement envie de s’installer pour rester !

Pour le choix, de multiples salades, des formules, et une large proposition à emporter.

Personnellement, j’ai dégusté un bol gourmand, habituellement proposé à emporter, mais servi à table exceptionnellement par l’équipe particulièrement attentionnée je dois dire !

Marlette au BHV MARAIS
Marlette au BHV MARAIS

Le déjeuner est servi jusqu’à 14h30, mais on peut ensuite venir se régaler d’une des préparations sucrées de la marque, proposées ici à la dégustation.

En dessert, je me suis régalée avec le fondant au chocolat, un des MUST de la marque.

Marlette BHV MARAIS – pourquoi je reviendrai

Inutile de dire que je suis une gourmande invétérée, et que la perspective de tester tous les desserts MARLETTE sans avoir à les faire est alléchante, très alléchante.

Par ailleurs, j’ai une véritable affection pur le BHV, dont l’évolution en BHV MARAIS me séduit mois après mois. Un grand magasin à taille humaine, proposant une sélection de plus en plus pointue, un vrai plaisir shopping en somme.

Et savoir qu’il y a où faire une pause gourmande sans effort est un nouvel atout !

P.S je dois préciser que MARLETTE a remplacé l’espace Pâtisserie des rêves, que j’appréciais beaucoup, et j’ai donc une pensée gourmande pour cette autre marque de douceurs et délices divers !

Marlette BHV MARAIS – 52 Rue de Rivoli, 75004 Paris

Optik by Michèle B – lunettes made in Paris

Optik By Michele B – créatrice de lunettes made in Paris

Les Lunettes, chez Michele B, c’est une histoire de famille.

Optik by Michele B
Optik by Michele B

Les lunettes, elle les dessine, les conçoit, et les fabrique intégralement, à Paris, dans son atelier de la rue Pastourelle.

La gamme est si vaste qu’il faut son aide et ses conseils pour choisir entre les matériaux, les teintes, les formes.

Alors elle guide, s’imprègne des lignes du visage, et surtout des contraintes de vue, que vous soyez très myope, astigmate ou simplement presbyte.

Elle le dit : « je suis là pour faire plaisir » et elle s’adapte donc pour que vos lunettes, objet indispensable et accessoire de mode, vous les adoriez !

Optik by Michèle B – l’atelier

Dans son atelier, c’est toujours « work In progress« . Parce que tout, absolument tout est fait ici. De vrais produits « fabriqués à Paris ».

Des ébauches de monture, et puis les  précieuses machines, celles qui permettent de façonner chaque monture à la main, celles qui sont devenues si rares et si précieuses que son fils, opticien lui aussi, s’est installé à quelques centaines de mètres pour pouvoir les utiliser aussi !

Optik by Michèle B. – le choix

Quelque soit la couleur que vous aimez, votre matériau de prédilection, ou encore si vous avez envie d’une bonne dose d’excentricité, Michèle B est là pour vous.

Elle vous proposera des exemples, qu’elle adaptera à vos goûts, à la taille de votre visage, l’écartement de vos yeux, et bien sur à votre prescription.

Pour les couleurs, l’embarras du choix n’est pas une image ici.

Ceci n’est qu’un tout petit échantillon de la variété qu’elle propose, et qui peut aller jusqu’à ce type de résultat…

lunettes Optik by Michèle B
lunettes Optik by Michèle B

Pour les prix, les montures en acétate sont à partir de 449€, celles en corne de buffle 999€, et celles en écaille de tortues 2499€ (c’est donc la rareté des stocks très réglementés qui explique ce prix élevé).

Alors si vous passez dans le Haut Marais et que vous adorez les belles montures, faites un tour chez Optik by Michele B.

Optik by Michèle B. 11 Rue Pastourelle, 75003 Paris tel 09 53 87 99 41

Paris 13 – ennui total ou hype absolu ?

Quartier hype : définition

Il y a quelques semaines, Topito sortait sa carte de Paris « version honnête » . Ils y attribuaient aux 12ème et 13ème arrondissements le qualificatif de « ennui total  » ! Lors de la publication de cette carte je m’insurgeais bien sur, étant moi même habitante du 13ème depuis si longtemps.

carte_Paris-TOPITO

Et aujourd’hui, je viens faire la démonstration de la tendance, celle qui me donne raison et inscrit le 13ème,dans la tendance de l’été, et de l’avenir aussi !

Back to basics.

Mais qu’est-ce donc qu’un quartier hype ? Ou encore branché ? Je dirais même trendy ?

Est ce un repère de hipsters ? Un quartier à haute concentration de juice bars ? Un arrondissement qui abrite un barbier vintage à chaque coin de rue ? Dans lequel chaque nouveau restaurant à forcément une petite touche de déco scandinave ?

Il y faut bien sur au moins un restaurant où l’on doit faire la queue dans la rue pendant une heure minimum avant d’espérer parler à l’hôtesse.

Et puis, il y a la moyenne d’âge. Plus de 35 ans s’abstenir !

Des bars, mais pas n’importe lesquels. Perchés, dissimulés, pas forcément confortables mais où les mixologues ont une partie du corps visible couvert de tatouages. Idem d’ailleurs pour les baristas !

Voilà, quelques indices. Mais surtout, il s’agit de ce type de quartier pour lequel on est prêt à traverser Paris. Ce lieu si riche, qui a tant à offrir, qu’on y passerait volontiers quelques heures, encore et encore.

Alors revenons en au XIIIème pour découvrir ce qu’il nous propose. Parce que, contrairement à ce que certains pourraient croire, on ne s’ennuie pas dans le XIIIème ! Et nous allons découvrir ensemble que ce quartier est en passe de devenir hype, et plus encore.

Paris 13 – le charme de ses villages

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne savent pas apprécier les promenades bucoliques en peine ville.

Le XIIIème fait partie de ces arrondissement périphériques de Paris qui ont été intégrés à la capitale il y a à peine 150 ans. Il en garde ce parfum de village, et il est courant de croiser des visiteurs qui s’aventurent dans ses petites rues charmantes armés du dernier guide livrant les quartiers secrets de Paris.

La Bute aux Cailles bien sur, connue pour ses ruelles pavées mais aussi pour ses bars et ses restaurants.

Citée florale, aux rues qui portent chacune le nom d’une fleur, rue Dieulafoy et ses maisons colorées, l’arrondissement permet une promenade bucolique au coeur de la ville.

Le square des Peupliers

La rue Dieulafoy et ses charmantes petites maisons multicolores.

Et tant d’autres encore à découvrir au fil des déambulations.

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui n’aiment pas la découverte ni le voyage sans quitter la ville !

Paris 13 – l’exotisme au coin de la rue

Quand on parle du XIIIème arrondissement, il est fréquent d’entendre  » ah oui, le quartier chinois ! ». Bien sur, il s’agit là d’un raccourci pour un arrondissement si riche et aux facettes si multiples.

Néanmoins, la communauté asiatique y est effectivement très présente, et avec elle toute l’offre exotique qui permet de voyager sans sortir du périphérique.

On peur s’équiper en vaisselle et autres mugs pour un effet « ailleurs  » garanti.

Et on peut bien sur aussi se régaler, il n’y a que l’embarras du choix.

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Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne s’intéressent pas à l’art, et au street art tout particulièrement.

Paris 13 – le street art everywhere

Le XIIIème arrondissement est devenu depuis quelques années le quartier incontesté du street art à Paris. Des fresques géantes visibles du métro aérien, comme cette superbe oeuvre de INTI, ici en cours de création.

Une tour, la tour 13, qui avait tant fait parler d’elle avant de disparaitre, cet art est tellement présent qu’il existe désormais des balades guidées à sa découverte.

Sans oublier Les Frigos, qui n’ouvrent leurs portes au grand public que quelques fois par an, pour permettre de partir à la découverte de ce lieu pour le moins insolite.

J’ai listé jusqu’ici ce qui fait le charme de cet arrondissement.

Mais au delà du charme, il est désormais vivant, animé, et je m’oserai même à dire branché !

Paris 13 – bars branchés et autres péniches

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne se sont pas rendus compte que désormais, les bars branchés sont ici !

On commence par le Perchoir. Même si celui ci n’est pas encore perché. Je m’explique.

Le célèbre perchoir a pris ses quartiers au MK2 Bibliothèque. Entendez bien : pour le moment, il est en mode « posé » plutôt que « perché ». Après enquête, il s’avère que la raison en est technique et que l’an prochain il devrait pouvoir prendre de la hauteur sur les toits du cinéma.

Continuons vers les quais de la Seine, en contrebas de la BNF. C’est ici que la branchitude prend toute sa signification. Le bateau phare, le Petit Bain.

Sans oublier le Off Seine, le premier et unique hôtel flottant, célèbre pour sa bouée cygne géante, et où l’on peut prendre un verre même si on ne réside pas sur place.

offseine

Ou encore le café OZ rooftop qui s’est posé sur le toit de la Cité de la Mode et du Design.

Enseigne australienne réputée pour sa convivialité, les couleurs vives de sa déco, tout bois massif, tôle ondulée, fresque aborigène, avec un bar extérieur, une cabine Dj sur la terrasse, tout ce qui en fait un des hotspots parisiens incontournables de cette année !

Paris 13 – sans oublier tout le reste

J’ai parlé d’un certain nombre des multiples attraits du quartier. J’aurais pu aussi parler du cinéma, dont le XIIIèeme est un haiuut lieu avec sa fondation Jérôme Seydoux-Pathé, son cinéma historique les Fauvettes ou encore le célèbre MK2 bibliothèque.

Et puis il y a aussi le XIIIème estudiantin. Parce que l’arrondissement est le premier en termes de population étudiante dans toute la capitale. Et donc un arrondissement à la population jeune.

Ndlr Tiens, on a là plusieurs éléments qui concourent à faire de cet endroit un endroit cool non ?

Sans parler du plus grand incubateur européen de startups, la station F, dont l’ouverture est imminente.

En résumé, vous l’aurez compris,  le XIIIème, ça vous gagne !

SAINT JAMES et Marin Montagut

Boutique SAINT JAMES PARIS

Surtout, ne prononcez surtout pas Saint Jaïmes à l’anglaise.
Les Saint-Jamais le prendraient très mal !

SAINT JAMES PARIS
SAINT JAMES PARIS

En effet, la célèbre marque française de marinières et pulls marins tient son nom du village ou elle est née : Saint-James en Normandie

Célèbre pour ses marinières et ses pulls marins, tous conçus et fabriqués en France, la marque Saint James possède une boutique dans le Marais rue Vieille du Temple. Vous pourrez y découvrir toute la gamme, que ce soit les grands classiques ou encore les collections du moment.

Dans la gamme classique, il y a la collection  » Saint James l’atelier« .

SAINT JAMES L'ATELIER
SAINT JAMES L’ATELIER

Des marinières traditionnelles, de grande qualité, en provenance directe de leur lieu de fabrication.

Et puis il y a les collections spéciales, comme par exemple les marinières créées en collaboration avec Marin Montagut.

Saint James et Marin Montagut

Ainsi, actuellement, c’est une collaboration avec Marin Montagut qui est présentée par la maison Saint James.
Mais qui est Marin Montagut ?

Ce jeune artiste est connu pour sa collection de guides Bonjour City Map Guides. Passionné de voyages, d’art et de rencontre, il personnalise ces marinières et créé en même temps un joli guide pour découvrir les plus jolies adresses de Normandie. A l’image de ses City Map Guides.

Dans cette collection, il personnalisés 3 marinières.
Pour l’une, il ajoute en trompé l’œil les célèbres boutons dorés positionnés sur les épaules. Pour l’autre, un écusson signé de son nom.

Une collection à son image, avec un bonus : un mini guide vous sera offert pour l’chat d’une de ses marinières.

Amoureux de marinières, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Saint James Paris 116 Rue Vieille du Temple, 75003 Paris

Costumes espagnols entre ombre et lumière

Costumes espagnols entre ombre et lumière – Maison de Victor Hugo

La Maison de Victor Hugo accueille cette semaine et jusqu’au mois de septembre l’exposition « Costumes espagnols entre ombre et lumière » .

Pourquoi cette exposition dans la maison de Victor Hugo ?

Tout commence toujours dans l’enfance. Et c’est enfant, alors qu’il avait à peine 7 ans, que le petit Victor part avec sa mère et ses deux frères à la recherche de son père, le général Hugo, à Madrid. Des émotions profondes, la découverte de nouvelles sonorités, d’une langue qu’il ne connait pas. Il restera marqué à vie par ce pays qui influera profondément sur son oeuvre.

Il le dit lui même : « J’aime profondément l’Espagne. Je suis presque un de ses fils ».

L’exposition

L’exposition « Costumes espagnols entre ombre et lumière » présente un ensemble unique de costumes traditionnels espagnols.

Toutes les pièces proviennent du Museu del Traje, le musée du Costume à Madrid.

 

Pour la première fois à Paris une quarantaine de vêtements et accessoires de la fin XVIIIe au début du XXe siècle, jadis catalogués de costumes folkloriques, révèlent un incroyable savoir-faire.

On découvre ainsi l’étonnante finesse d’exécution, une vraie modernité, qui auraient inspiré les couturiers espagnols comme Balenciaga.

On pense aussi à Christian Lacroix devant ces croix, bijoux, gilets, dentelles et broderies.

Costumes espagnols – le voyage

Répartis sur quatre salles, ces costumes racontent l’âme des provinces espagnoles.

Catalogne, Aragon, Castille, Salamanque, Andalousie, Majorque et jusqu’aux Canaries, on voyage au fil des tenues.

Tels ces habits de bergers d’Estrémadure réalisés en gros draps de laine.

la mariée
la mariée

Ou encore une robe de mariée dans la région de Tolède où le cérémonial voulait que la jeune fille superpose jusqu’à cinq toilettes ou encore cet étonnant costume de veuve « riche » en soie, coton, or, satin, ornements de paillettes et fils métalliques !

En complément des costumes exposés, 39 photos de José Ortiz Echagüe (1886-1980) illustrent cette richesse de costumes régionaux.


Cette exposition fait partie de la saison Espagnole du Palais Galliera qui a débuté avec « Balenciaga, l’œuvre au noir » (actuellement au musée Bourdelle jusqu’au 16 juillet) et se clôturera avec la première rétrospective parisienne consacrée à Mariano Fortuny au Palais Galliera (4 octobre – 7 janvier 2018)

Costumes espagnols entre ombre et lumière jusqu’au 24 septembre 2017

Maison de Victor Hugo 6, place des Vosges 75004 Paris
Tél. : 01 42 72 10 16
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h

rédactrice : Chantal Manoncourt

Péniche Les Maquereaux – quais de Seine

Péniche Les Maquereaux – comment on s’y sent

L’été arrive, la chaleur s’installe sur la ville. Les parisiens sont à la recherche de fraîcheur, et de nouveauté, comme toujours !

La péniche Les Maquereaux répond à ses attentes.

Au frais, face à la Seine, et à l’Ile Saint Louis, l’endroit est agréable, les banquettes recouvertes de coussins laissent imaginer un moment de détente en dégustant les spécialités de la maison.

Les Maquereaux Paris
Les Maquereaux Paris

Sauf que voilà, quand plus d’une demi heure après la commande nous n’avons rien sur notre table, nous commençons à nous interroger. Et quand nous nous manifestons, le serveur nous répond que cela ne vaut pas la peine de s’énerver et que nous ne devons pas nous inquiéter !

Mais il ne s’agit pas de s’inquiéter. Il s’agit juste de ne pas finir saoûle en attendant cette première assiette. Rappelons quand même qu’il ne s’agit pas ici de grande cuisine. Les sardine sont servies dans leur boîte, les gambas alignées sur une assiette. Rien de très chronophage dans la préparation ! Bref.

Il s’avère qu’un problème technique d’émission des bons à l’attention de la cuisine explique tout ça.

Les serveurs sont « cool », mais pas encore très formés je crois. Quand au patron, gérant, ou encore responsable, il a fait de son mieux pour effacer le souvenir de cette attente bien trop longue et de la qualité d’écoute discutable de son serveur.

Parce qu’on peut tout excuser, tout comprendre, si l’attitude de nos interlocuteurs est la bonne !

Nos boissons ont été offertes, il nous a remercié pour notre « retour ». Disons qu’il faut leur donner une seconde chance…

Péniche Les Maquereaux – ce qu’on y mange

Sur la péniche Les Maquereaux, on mange des produits de la mer. Avec une vraie volonté d’engagement responsable. D’où le manifesto.

Et les produits de la mer sont de très bonne qualité.

Ici, il s’agit d’assiettes à partager plutôt que de restauration à proprement parler. Ou d’accompagnement d’apéro. Ou encore de grignotage léger.

Le lieu a ouvert il y a moins d’une semaine. Du coup, de maquereaux, point. Et les bulots, point non plus !

Mais les gambas étaient délicieuses, les sardines aussi. Idem pour les rillettes.

Difficile de s’exprimer sur le reste. En particulier sur la « touche sucrée » . Je ne sais pas si elle était disponible, mais nous n’avions plus l’envie de tenter le coup !

Péniche Les Maquereaux – pourquoi j’y reviendrai

L’endroit est agréable. La bonne volonté affichée par le patron lorsqu’il s’est rendu compte du fiasco est plutôt rassurante.

Alors je reviendrai pour le cadre, le verre de vin, que j’ai bien apprécié, et pour goûter les maquereaux évidemment.

Les Maquereaux – Quai de l’Hôtel de ville, 75004 Paris

Le Camondo – de l’art à la gastronomie

Le Camondo – le restaurant dans un musée

Le Camondo est une toute nouvelle adresse installée à la frontière du 8ème et du 17ème arrondissement. C’est dans le musée qui porte ce nom que le chef Alexis Le Tadic a pris ses quartiers, et que les convives pourront venir s’attabler.

Ce superbe hôtel particulier, construit au début du XXème siècle, abrite le musée Nissim de Camondo depuis le début du siècle. Grand amateur d’art du XVIIIème siècle, Moïse de Camondo y expose une collection impressionnante de mobilier et d’art. Il donne au musée le nom de Nissim De Camondo en mémoire de son fils, pilote abattu pendant la 1ère guerre mondiale.

Le Camondo – commet s’y sent-on

A peine pénètre-t-on dans les lieux qu’on découvre le superbe bar, installé dans ce qui fut la « remise aux voitures » de l’hôtel particulier.

De multiples détails d’architectures tels que les colonnes métalliques ont été préservées et le résultat est lumineux, spacieux, élégant.

Une fois le bar traversé, on découvre la belle cour jardin, havre de quiétude, ambiance feutrée, la terrasse secrète dont le nom ne tardera pas à frémir sur toutes les lèvres.

Le Camondo – qu’est ce qu’on y mange

Ici, c’est le chef Alexis Le Tadic qui nous propose sa carte qui change tous les mois.

Pour l’entrée, j’ai opté pour le carpaccio de Saint Jacques.

Quant au plat, j’ai choisi le turbot.

Mais certains n’ont pas pu résister à la spectaculaire côte de boeuf pour 2 personnes.

Pour les desserts, c’est Christophe Michalak qui signe la carte. Entre la Pavlova, le Paris Brest ou le mille feuille, comment choisir ? Pour tout vous dire, cette fois, je n’ai pas choisi.

Ce que j’ai dégusté était vraiment bon, le poisson cuit à la perfection, l’accompagnement (dont je ne sais pas à ce jour ce dont il s’agissait) particulièrement délicieux, fondant en bouche.

Mais il faut reconnaitre que le service n’a pas été à la hauteur. Le restaurant à ouvert il y a moins d’un mois. Mais l’organisation est à revoir. Pas de coordination, le vin arrive après les entrées, le café avant les desserts, et l’attente entre les plats est longue, très longue …

Alors j’ai renoncé aux desserts. Mais ce n’est que partie remise.

Le Camondo – pourquoi j’y reviendrai

Je reviendrai pour cette cour jardin si charmante et tellement unique. Sans doute pour prendre un dessert dans l’après midi, en espérant que ce créneau sera plus calme que celui du diner. Parce qu’il faut dire que malgré la jeunesse de l’établissent, l’organisation à peaufiner, le succès est déjà au rendez-vous !

Ou alors, pour prendre un verre, parce que le premier aperçu était très prometteur.

Restaurant Le Camondo 61 bis, rue de Monceau, 75008 Paris

 

Julia’s Corner – je veux tout !

Julia’s Corner

Cette boutique, je l’ai découverte au détour d’une balade, là, par hasard, rue de Turenne.

Un coup d’oeil en vitrine, l’envie d’en savoir plus, et me voilà à l’intérieur, pour mon plus grand bonheur, comme cela m’arrive régulièrement.

Julia's corner
Julia’s corner

Julia’s Corner est spécialisé en made in France, même si les sacs qui ont attiré mon oeil au premier regard sont faits en Italie. Nous y reviendrons.

Julia’s corner, c’est donc l’univers de Julia. On l’imagine entrain de choisir, de sélectionner. Chez elle, on trouve de l’épicerie fine, des accessoires, du lifestyle, des pièces pour la maison. Eclectique donc, et cohérent pourtant.

La pièce phare du moment, celle qui m’a fait passer le pas de sa porte, ce sont ces sacs, légers comme une plume. Les sacs Save my bag.

Julia’s corner – Save my bag

De la couleur, de la légèreté, et ils passent à la machine !

S’il fallait choisir un seul mot pour décrire ces sacs, ce serait : ludique ! Des modèles graphiques, des formes citadines, ils se déclinent dans de multiples couleurs, mais aussi des imprimés, et en allant sur le site de la marque on trouve des accessoires pour habiller le sac.

Pour tout dire, je vais avoir du mal à ne pas craquer dans les jours à venir …!

Et chez Julia’s corner, la tentation est multiple.

Julia’s corner – des charentaises comme à la maison

Ici, les charentaises prennent un coup de jeune et on a envie d’en choisir une paire pour chaque membre de sa famille.

C’est la marque La Pantoufle à Pépère qui est présentée.

Cette marque qui réinvente les charentaises, mais dans la plus pure tradition puisqu’elles sont toutes fabriquées en Charente. Elle leur redonne de la couleur et du peps, pour séduire les hipsters, permettre aux papis de retrouver leurs bonnes vielles charentaises, et il y en même pour femmes !

Alors c’est vrai, l’été n’est pas la période idéale pour glisser ses pieds dans des charentaises, mais je garde l’idée bien au chaud pour cet hiver.

Et je continue dans la série des tentations en tous genres chez Julia’s corner.

Julia’s corner – tentations en tous genres

Commençons par ces lunettes de soleil de la marque REZIN.

Des lunettes au design unique, basé sur une approche écologique durable, grâce à l’utilisation de bois de forêts gérées durablement . Et après chaque achat, Rezin replante un arbre. Une approche durable pour de superbes lunettes. Que demander de plus ?

Il y a aussi de superbes bougies, parfaite pour un joli cadeau élégant et tendance.

Ou encore pour les amoureux de vintage ces jolies radios.

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Et si vous imaginez que je vous ai déjà tout dit, vous vous trompez. Parce que chez Julia’s corner, les produits proposés changent régulièrement, au gré des envies de Julia.

Alors à très vite chez Julia’s Corner ?

Julia’s corner  93 rue de Turenne 75003 Paris  Tél : 09 81 06 03 08