Le Village Royal est un passage qui permet de s’échapper de la très animée rue Royale pour respirer dans un havre de paix tout à fait inattendu.
Dès que l’on pénètre dans cet espace piéton et paisible, on voit la superbe terrasse du restaurant Le Village.
Restaurant Le Village – terrasse
C’est donc là que j’ai déjeuné et vécu l’expérience d’une pause estivale parisienne, du type de celles que j’adore : au calme, sans voitures, sans passants, sans circulation assourdissante. La quiétude parfaite en somme.
Ici la terrasse est si calme qu’on imagine difficilement le flot continu de voitures de la rue Royale, à quelques dizaines de mètres de là.
Le décor est parfait. Des voisins de qualité puisque les marques de ce passage sont Dior, Chanel, mais aussi Agatha, ou Bell&Ross. Le luxe côtoie le plus abordable en toute sérénité. Il ne reste qu’à découvrir ce que l’on trouve dans l’assiette.
Restaurant Le Village – ce qu’on y mange
Une carte restreinte des grands classiques Costes.
On trouvera donc ici une sélection d’entrées, des traditionnelles asperges vinaigrette aux petits nems poulet basilic.
Et la superbe aubergine grillée burrata.
Pour les plats, si vous avez envie de fraicheur gourmande, la salade de homard aux herbes vous ravira !
Les desserts sont aussi les vrais incontournables de cette adresse. Et je ne vous montre pas l’éclair chocolat géant (pour 2 ou 3 personnes !) pour ne pas vous faire souffrir !
Le Village – pourquoi j’y reviendrai
Pour tester le petit déjeuner. Quel plaisir d’avoir une adresse aussi charmante à tester pour un rendez-vous matinal ou même une pause solitaire avant que Paris ne me reprenne dans ses bras. Il est servi du lundi au samedi, traditionnel ou à la cate, avec oeufs bio et boissons detox en prime.
Et je reviendrai aussi pour tester tous les desserts : on ne se refait pas !
Si vous rêvez de vous offrir un de ces somptueux chemisiers, le CODE: KENOKADA50 vous permettra de bénéficier d’une réduction de 50€ en ligne, jusqu’au 27/06/2017 ou en boutique
Pénétrer dans la boutique de Ken Okada c’est découvrir un univers onirique et aérien.
Ken Okada Paris
De légers voilages blancs qui frémissent au gré du vent. Des pièces travaillées croisées au fur et à mesure que l’on pénètre dans son univers.
Ken Okada
Et c’est là que Ken Okada expose ses créations, qu’elle les conçoit, et qu’elle les fabriques pour ses robes du soirsur mesure. Ces robes, qui se déclinent en version courte et version longue, et surtout dans une multitude de tissus que vous pourrez choisir sur place.
Ken Okada – robe du soir
Qui est Ken Okada ? Japonaise, elle a étudié dans la célèbre Bunka Fashion College, là où Kenzo lui aussi a fait ses premières armes.
Elle aussi rêve de Paris et c’est donc naturellement qu’elle arrive ici il y a une quinzaine d’années.
Elle restera et depuis 15 ans elle crée dans sa boutique atelier de la rue de la Chaise.
Ken Okada – Le chemisier au coeur
La créatrice fait du chemiser la pièce maîtresse de la tenue élégante et féminine de la femme citadine.
Structuré, nervuré, il est ludique, se porte devant derrière et vice versa grâce à un subtil jeu de boutons.
En 2009 et après 20 collections, une exposition lui est consacrée aux galeries Lafayette Hausmann : “L’histoire de la chemise Ken Okada”
Sobre, élégant jusqu’au bout des manches, il complète une tenue, s’épanouit sur un jean, se marie à la perfection avec une jupe crayon.
Une autre de ses pièces phare est ce trench robe, travaillé à l’identique des chemisiers et tout aussi ludique.
Ken Okada la parisienne
Elle a adopté Paris, et Paris l’accueille dans ses bras.
Sa boutique est implantée dans un des quartiers les plus agréables et élégants de la ville, à quelques pas du Bon Marché.
Ses clientes sont des fidèles qui savent qu’elles trouveront chez elle cette pièce unique de leur garde robe que peu d’autres auront.
Ici, grâce à la présence de l’atelier, on pose un bouton supplémentaire, on raccourcit une manche, pour un vêtement parfaitement à votre taille et adapté à votre morphologie.
Par ailleurs, année après année, c’est dans cette ville, sur ses ponts et dans ses plus beaux édifices, qu’elle organise ses défilés, parfois pour le bonheur des heureux passants présents au bon endroit au bon moment.
Comme par exemple ici, sur le pont des Arts, quand elle défile en octobre 2016 pour présenter la collection Printemps Ete 2017 actuellement en magasin.
Et pour assister à un de ses défilés, c’est très simple. En effet, je vous donne rendez-vous le 20 juin rue de la Chaise.
Là, dans sa rue, privatisée pour l’occasion, une grande fête est organisée comme chaque année. Ken Okada présentera ses créations lors d’un défilé, sur un tapis jaune cette année. Elles seront accessoirisées d’étoles de la marque EPICE. Et Serge Guilloux présentera lui aussi une mini collection.
15ème édition du pique-nique du Faubourg Saint Germain (Rue de Grenelle – Rue de la chaise)
LA MAISON DU CHOCOLAT est un monument du chocolat à PARIS. Créée en 1977, la première boutique entièrement dédiée au chocolat ouvre ses portes le 26 octobre 1977 au 225 rue du Faubourg Saint-Honoré.
LA MAISON DU CHOCOLAT – #chocischic
Robert Linxe, son créateur, était surnommé « le sorcier de la ganache » , et cette spécialité demeure, 40 ans plus tard.
C’est en 1986 que la deuxième boutique voit le jour, rue François 1er. Et c’est ici même que le chocolatier bouscule à nouveau les codes puisqu’il fait entrer le street art dans ce quartier élégant et bourgeois avec sa nouvelle collection Chocischic aux boites graffées par le célèbre Nasty.
Parce que quand on a 40 ans, il est temps de s’amuser, de s’émanciper, de surprendre. Et quoi de mieux que de s’associer à un graffeur tel que Nasty !
LA MAISON DU CHOCOLAT – Nasty aux commandes
Depuis hier donc, la vitrine du magasin rue François 1er est décorée par un superbe graff crée par Nasty.
Le message est clair : Choc is chic !
Choc is chic – Nasty
De superbes boîtes à offrir et à s’offrir, pour la beauté de la boîte, et le délice des chocolats qu’elle contient.
Le cadeau idéal pour les gourmands et pour les collectionneurs de coffrets somptueux. D’ailleurs, la boite à chapeau est à vendre sans chocolat également.
40 ans La Maison du Chocolat x Nasty
Une soirée de lancement exceptionnelle puisque l’artiste était présent, et je lui ai même servi de toile !
La MAISON DU CHOCOLAT – une année d’évènements
Vous pouvez donc d’ores et déjà vous régaler avec les chocolats ou les macarons contenus dans ces boîtes. Et les nouveautés vont continuer jusqu’à la date de l’anniversaire même, le 26 octobre.
Ainsi, le 11 octobre, la Maison du Chocolat
Et pour finir en beauté, le jeudi 26 octobre 2017, toutes les boutiques parisiennes fêteront ensemble ce 40ème anniversaire qui célèbre une grande marque créative, inventive, terriblement gourmande.
LA MAISON DU CHOCOLAT 52 Rue François 1er, 75008 Paris
La galerie Véro-Dodat n’est certainement pas la plus connue des galeries et passages parisiens.
Et pourtant.
Pourtant elle est une des plus charmante et élégante. Mais aussi discrète, très discrète.
Elle relie deux rues : la rue Jean Jacques Rousseau, et la rue du Bouloi.
Contrairement à certains passages parisiens super animés et joyeusement désordonnés, ici on a presque envie de parler à voix basse tant la discrétion semble de mise.
Ce passage fut créé en 1826 en pleine période spéculative de la Restauration.
Deux investisseurs : le charcutier Vero et Le financier Dodat décidèrent donc la création de ce passage permettant un raccourci plaisant entre Les Halles et le Palais Royal.
C’est ce positionnement qui garantit le succès immédiat du lieu, mais aussi la presence des Messageries Lafitte et Gaillard côté rue Jean Jacques Rousseau.
Ainsi , les voyageurs, en attendant leur diligence , flânaient entre les commerces de mode installés dans ce passage qui fut l’un des premiers à être éclairé au gaz à Paris.
C’est au Second Empire, quand les messageries disparaissent et que le Palais Royal de vide de ses animations plus ou moins légales que la fréquentation du lieu décroît.
Aujourd’hui encore, un peu à l’écart, elle reste relativement boudée par les badauds. Sauf pour certaines fashionistas du monde entier bien informées.
Shopping galerie Véro-Dodat
Ici se trouve la caverne d’ali baba d’amateurs de souliers à semelle rouge, le temple du stiletto, le graal des fashionistas
Christian Louboutin a installé ici sa plus somptueuse boutique, tant pour femmes que pour hommes.
photo prise sur le blog de la galerie
Et c’est donc ainsi que, même si les parisiens viennent peu fréquenter la galerie, on y croise régulièrement des modeuses du monde entier les yeux pleins de petites chaussures à semelle rouge.
Et dans sa foulée ( jeu de mot subtil) il y a le cordonnier, lui même spécialisé en Louboutin.
Sa vitrine fait autant rêver que la boutique elle même !
Et c’est ainsi que la boucle de la mode est bouclée.
Dans la galerie, on trouve aussi des accessoires, comme ces bijoux anciens chez Bruno Pepin.
Dans cette galerie si discrète, on trouve également des sacs en cuir : les sacs Il Bisonte, nés eux aussi à Florence, comme les bijoux et créations d’Angela Caputi. Comme si un coin d’Italie s’était installé ici.
Mon coup de coeur sans hésitation, le modèle modulable !
La mode est donc bien présente , mais aussi la beauté avec la marque By Terry qui elle aussi à la son flagship parisien.
Pour finir la balade, une pause dégustation. Que nous propose la galerie ?
Galerie Vero dodat – ce qu’on y mange
En fait le choix est vite fait : ce sera le Café de l’Epoque.
Installé là où se trouvaient les messageries il propose une charmante terrasse au soleil.
Je n’ai pas encore eu l’occasion de le tester, mais le cadre est juste charmant.
Et en plus, ils ont une proposition petit-déjeuner !
A bientôt pour d’autres découvertes de galeries et passages parisiens.
Sézane Paris, et plus précisément l’appartement Sézane, fait partie des derniers concept stores incontournables à Paris.
Un lieu dont le nom frémit dans les conversations, un graal, l’endroit qu’il faut connaitre quand on se revendique expert en bonnes adresses parisiennes, fashionista avertie ou IT girl éclairée.
L’endroit où il faut absolument avoir acheté récemment un accessoires, un élément vestimentaire, des chaussures, un sac, quelque chose quoi !
Back to basics. Un concept store, c’est quoi ? Et s’il fallait en citer deux à Paris, vous diriez ?
Pourquoi ? C’est simple ! Parce qu’ils ont, chacun à leur façon, innové. Créé. Inventé. Et c’est loin d’être le cas de toutes les enseignes qui ont suivi dans leur sillage en s’intitulant à leur tout fièrement » concept store ».
Colette donc : la référence absolue en termes de produit exclusif, introuvable où que ce soit ailleurs à Paris ou même en France. A la pointe de la tendance, c’est ici qu’on trouvera en avant première l’apple watch, les dernières Stan Smith, le Nokia 3310 ou encore la nouvelle montre Chanel.
Toutes les collabs les plus branchées sont lancées ici à gros coup d’évènement, rencontres, présence de l’artiste et de longues files d’attente s’installent régulièrement devant le 213 rue Saint Honoré.
Et puis il y a le célèbre water bar, où l’on peut se restaurer en croisant quelques mannequins russes de passage dans la capitale.
Et puis il y a Merci. L’idée des créateurs, Marie France et Bernard Cohen, était de créer un lieu de vieà vocation philanthropique. L’objectif atteint : scolariser des enfants à Madagascar, cette ile qui leur a tant donné lors de leur première aventure ensemble : la création de Bonpoint.
Merci est en mouvement perpétuel tout en gardant une stabilité rassurante pour la proposition food avec le used book café et la cantine, et on y trouve tout : mode, accessoires, bijoux, linge de maison, et jusqu’aux meubles. Sans oublier les accessoires pour votre cuisine ou encore des luminaires et éclairages basse consommation.
Revenons en à l’appartement Sézane.
Sézane Paris – l’appartement Sézane
De plein pied sur la rue Saint fiacre, l’appartement Sézane ressemble furieusement à une boutique.
A l’intérieur, dès la porte poussée, on plonge pour commencer dans le paradis des chaussures.
Il y a des chaussures partout. Mises en scène, entre les fleurs, sur des étagères, partout en fait.
Pas de présentoir classique, la chaussure est installe là dans un lieu de vie et les essayages s’effectuent sur de larges banquettes plutôt que sur de petits poufs inconfortables. Et puis du coup, des dizaines de clientes peuvent essayer en simultané !
Bibliothèques et fauteuils de salon, le mobilier de cette boutique a de petits airs d’appartement, c’est vrai.
Quand on y pense, tout est dans le mélange des genres.
Des livres avec des fleurs dans une bibliothèque, côtoyant des coussins, mais aussi des Tshirts et des paniers.
Et puis il y a bien entendu il y a l’espace mode. Avec quelques portants installés au coeur du salon de l’appartement, ou serait-ce dans l’entrée ?
photo L’Express
Quant aux cabines d’essayage, elles sont accueillantes, séparées de l’espace de vie, et on peut facilement imaginer les chambres derrière ces tentures.
Bon, j’avoue que le coin food manque à l’appel. Un corner coffee shop aurait été bienvenue pour pouvoir boire quelquechose avant de s’adonner au shopping en toute quiétude, ou en pause entre deux essayages.
Globalement l’appartement Sézane est un bel espace de shopping. Un bel espace dans lequel Morgane Sézalory, la créatrice de l’enseigne, vend de jolies collections, à des prix abordables, conçues à Paris puis fabriquées pour les deux tiers en Europe.
Jusque là donc, et même si je ne vois là pas de véritable innovation dans ce lieu par ailleurs plutôt agréable et spacieux, on pourrait dire qu’il s’agit là d’un concept store comme on l’entend aujourd’hui.
Mais Sézane ne s’arrête pas là, et il y a quelques mois c’est la librairie Sézane qui a vu le jour.
Sézane Paris – la libraire Sézane
Et c’est là que j’arrive à la frontière de ma compréhension du concept.
Parce que dans la librairie, ce sont des sacs qui sont vendus.
Et les livres sont relégués au rang d’objets de décoration. Voire de support pour la présentation des sacs précédemment cités.
Alors je n’ai peut-être rien compris.
Est-ce qu’ici on peut acheter tous les livres présentés, ou encore s’installer et lire tranquillement en sirotant un café, d’ailleurs offert par la maison ? Pas à ma connaissance.
Parce que les livres sont bien présents, visiblement de seconde main, sans étiquetage de prix.
Et je n’ai pas vu qui que ce soit installé et plongé dans la lecture d’un de ces ouvrages. Cela ferait d’ailleurs du lieu une bibliothèque plutôt qu’une librairie.
Par contre, les désormais célèbres bourses Sézane sont bien présentes, avec le détail du mode opératoire pour faire créer son propre modèle sur mesure.
Conclusion : dans cette « librairie Sézane « , ainsi appelée en écho supposé de l’amour des livres de ceux qui l’ont créée, le livre est mort, inexistant, transformé en papier peint version 3D.
Et là je dis non ! Parce que dans ce cas précis, il ne s’agit plus de concept, mais d’insulte aux écrivains de tous les ouvrages installés là.
Alors que quelqu’un me dise ici et maintenant que je me trompe ! Qu’on me dise qu’ici les livres sont à vendre, et que, pourquoi pas, l’argent est reversé à une association caritative ( ce qui bouclerait la boucle avec Merci et son used books café ) !
Elle est en tous cas certainement celle qui est la plus photographiée et instagramée en période de fêtes, et tout le reste de l’année !
Galerie Vivienne – un peu d’histoire
La galerie Vivienne est née en 1823 de la volonté de Maitre Marchoux, notaire habitant au 6 rue Vivienne.
Il confie à un architecte le projet de créer une galerie reliant la rue Vivienne et la rue des Petits Champs. Mais pourquoi me direz-vous ? Pour permettre de se rendre aisément dans les jardins du Palais Royal, et ses galeries, connues pour être à l’époque un haut lieu de fêtes et de jeux.
Avec ce projet, il est précisément dans l’air du temps. En effet, les premières galeries parisiennes naissaient au début du siècle et étaient la grande tendance de l’architecture urbaine de l’époque. Ces galeries et passages couverts permettant aux promeneurs et aux touristes de profiter de la ville en se protégeant de la pluie et de la boue des rues parisiennes, et des animations proposées.
La galerie est inaugurée en 1826, riche de boutiques de mode, d’une librairie, et de multiples cafés aussi.
Mais la zone de non droit des galeries du Palais Royal prend fin, sa fréquentation chute, et entraine dans son sillage la galerie Vivienne qui tombe peu à peu dans l’oubli.
Pendant le XXème siècle, toutes les galeries parisiennes tombent dans l’oubli, mais dans les années 1970 des mouvements se créent pour protéger et rénover ces vestiges architecturaux et c’est ainsi que les passages et galeries parisiens reviennent peu à peu à la vie.
Et la vie est bien là dans la galerie Vivienne !
Manger dans la Galerie Vivienne
Plusieurs options, dont ces deux restaurants : Daroco, et le bistrot Vivienne.
Chez Daroco, qui occupe ce qui était le flagship de Jean Paul Gaultier, on se régale principalement de délicieuses pizzas.
Le bistrot Vivienne lui propose une carte plus traditionnelle de bistro, dans un cadre historique.
Le bistrot Vivienne propose une terrasse sur rue.
Mais il existe également des terrasses dans la galerie, options parfaites pour les intempéries parisiennes !
Vous arrive-t-il parfois de passer devant une vitrine, de vous arrêter, et d’entrer sur un coup de tête. Pas parce que vous connaissez l’enseigne, ni parce que vous avez un besoin particulier, mais juste parce qu’elle est là, et que vous sentez bien qu’il s’y passe quelque chose ?
C’est ce qui s’est produit, hier, alors que je sortais du métro Faubourg Poissonnière. Une vitrine, un premier aperçu des marques sélectionnées, une irrépressible envie de passer la porte de » Le Square » .
Me voilà dans la place.
Il suffit d’un premier coup d’oeil circulaire pour identifier les premières cibles des essayages sauvages qui vont suivre.
Les matières sont belles, les différents espaces alléchants.
Par couleurs, par style.
Vous trouverez ici toutes les pièces incontournables du moment. Dentelle ou Wax, bomber brodé.
Et puis robes en dentelle.
Le Square
Le Square – les marques proposées
Chez Le Square, la sélection de marques est parfaite. Ultra féminité, élégant chic, la palette complète est couverte.
Un de mes coups de coeur : Essentiel Antwerp. La boutique parisienne se trouve rue du Marché Saint Honoré, mais c’est chez Le Square que j’achète enfin ma première pièce de la marque. Un pantalon noir fuselé agrémenté d’une bande de dentelle ton sur ton le long de la jambe. Ce type de vêtement qui protège du monde tant on se sent bien quand on le porte !
Essentiel Antwerp propose une gamme complète pour une garde robe trendy à mort.
N’oublions pas pour autant les autres marques proposées chez Le Square.
On ne présente plus le salon de thé Angelina. Pas question ici non plus de vous vanter les mérites du Mont blanc ni même du chocolat chaud pour lequel certains se damneraient sans l’ombre d’une hésitation !
Aujourd’hui, c’est de goûter qu’il s’agit, mais pas de n’importe quel goûter. Parce qu’un goûter chez Angelina, c’est un classique parisien.
Mais aujourd’hui, il s’agit d’un goûter spécial fête des mères. Un moment partagé entre mère et fille, ou mère et fils, ou même les deux.
Un goûter Angelina, avec des parfums d’enfance en prime.
Goûter d’enfance fête des mères
Plongeons dans nos souvenirs, pas si lointains pour certains, et repensons aux biscuits et gourmandises qui ont marqué notre enfance.
Si je vous dit barquette (de L….. ) ? Delicechoc ? Ces noms sont familiers? Les saveurs aussi ? Et bien vous allez les retrouver, en version gourmande et gourmet, dans ce goûter d’enfance.
Il s’agira donc de déguster un Petit Bateau, ou encore un Délice chic et choc !
goûter d’enfance Angelina
Et pour accompagner ces biscuits, de grands classiques du goûter toutes générations confondues : les madeleines, petites meringues, et l’incontournable mini Mont Blanc. Parce qu’après tout, nous sommes chez Angelina !
Voilà donc la proposition spécial fête des mères d’Angelina. Pour un moment tendre et complice dans un des salons de thé emblématiques de la capitale.
Goûter en famille
Et si vous avez envie de transporter la gourmandise et l’esprit Angelina chez vous pour la déguster en famille, pour la fête des mères par exemple, la superbe charlotte , version à partager, ou version individuelle, fou permettra de le faire avec délice.
Gourmandes et gourmands, rendez-vous chez Angelina pour la fête des mères
Goûter d’enfance 20€/ personne du 17 au 30 mai 2017
Vente des cadenas d’amour au Crédit Municipal de Paris
Le Crédit Municipal de Paris accueille cette vente solidaire qui se place dans la lignée parfaite de l’histoire et de l’ADN de l’établissement.
C’est la Finance Sociale et Ethique qui est au coeur de l’histoire de cet établissement qui organise également depuis plusieurs siècles des ventes aux enchères.
Il était donc naturel que ce projet aboutisse ici même.
Après avoir collecté ces preuves d’amour laissés par des milliers de touristes, la mairie a souhaité faire vivre ce chapitre de l’histoire de Paris. C’est ainsi qu’est née l’idée de la vente des cadenas d’amour.
La mise en place de cette vente a nécessité un travail de plusieurs mois, en collaboration avec la Mairie de Paris.
Les cadenas ont été préservés, sélectionnés, pour être travaillés de manière artisanale et être transformés en oeuvres d’art.
Ces 150 pièces uniques et 15 pans complets qui seront vendues pour une belle cause.
Ces trois associations ont un point commun. Elles répondent aux engagements pris par le Plan de Mobilisation de la communauté de Paris pour l’accueil des réfugiés. Mêmes valeurs, mêmes actions de bienveillance, accueil et générosité.
Ainsi, Solipam s’occupe de la prise en charge des femmes enceignes migrantes ou réfugiées. Elle les accompagne, les guide et les oriente.
Emmaüs Solidarité gère les deux centres créés à Ivry et du côté de la Porte de la chapelle pour accueillir les réfugiés. Ces centre leur propose un hébergement, des repas, et des cours pour leurs enfants.
Quant à l’Armée du Salut, elle est engagée depuis plus de 130 ans dans la lutte contre toutes les formes d’exclusion. L’accueil des migrants et des réfugiés fait partie de ses missions historiques.
Une vente qui parle d’amour. De ces cadenas d’amour, point de départ de l’histoire, à cette vente, qui rendra de l’amour à ceux qui en ont le plus besoin.
Un projet hautement symbolique aux messages positifs.
Cadenas d’amour – la vente
Elle se déroulera samedi 13 mai à 15h00 dans les locaux du Crédit municipal de Paris au 55 rue des Francs Bourgeois, mais aussi en ligne pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer.
Pour faire l’acquisition d’une des pièces exposées, vous pouvez tout d’abord aller les admirer dès demain sur place.
En voici un aperçu.
Ensuite, pensez à vous inscrire sur le site.
Et finalement, si vous le pouvez, rendez vous sur place samedi 13 à 15:00 ! Crédit Municipal de Paris 55 rue des Francs-Bourgeois 74004 paris
L’avenue des Gobelins est une superbe artère qui relie la place d’Italie et la place de l’église Saint Médard, le XIIIème et le Vème arrondissements.
On y trouve de nombreux bistrots aux terrasses confortablement installées sur de larges trottoirs. C’est ici qu’a ouvert ses portes il y a moins d’un mois une nouvelle adresse.
Phénomène assez rare sur cette avenue, et j’ai donc eu envie de tester immédiatement !
LE PERROQUET – bistrot
LE PERROQUET – comment on s’y sent
Une charmante terrasse ensoleillée – enfin, quand il fait beau, des touches de couleurs chatoyantes pour la décoration à l’intérieur et particulièrement pour la vaisselle, après tout, il est bien question de perroquet ici !
L’accueil est souriant et chaleureux. Très vite la maîtresse des lieux vient s’occuper de nous, et elle viendra aussi s’enquérir régulièrement de nos attentes. Très agréable, et très efficace. Le type d’endroit qui donne d’emblée envie d’en faire sa cantine.
Ce qu’on y mange
Pour commencer, des planches. Etant donné que le lieu propose une happy hour, c’est juste parfait. Pour commencer la soirée, ou combler une petite faim en attendant de faire un choix de plats.
Ici donc la planche saumon, le saumon sous toutes ses formes : rillettes, fumé. Parfait à partager, même à 3, pour commencer.
Une des spécialités du restaurant Le Perroquet est la viande. On le comprend à la lecture du menu.
La provenance et la race de chaque viande est précisée et revendiquée. Mais les amoureux de poisson trouvent ici leur bonheur également, sans parler des tartines et des salades pour un repas rapide et léger.
Le hamburger est goutû – oui, c’est le mot qui me vient à l’esprit en y repensant ! Et les frites délicieusement croustillantes.
Une autre spécialité du lieu : le risotto. Un petit bémol pour les galettes de parmesan accompagnant le risotto à la truffe d’été. Leur parfum était bien trop fumé. Le risotto quant à lui est parfait.
Rien à dire sur le risotto et ses brochettes de poulet.
Quant au dessert du jour, fait maison, nous nous sommes partagés une délicieuse tarte normande aux poires.
Le Perroquet – pourquoi je reviendrai
Sans doute pour un happy hour qui me permettra de découvrir les autres planches ?
Ou encore pour tester les autres desserts.
Et bien sur pour profiter du soleil, même au milieu de la journée puisqu’il est ouvert sans interruption. Mais ça, c’est en supposant qu’il referra son apparition un jour !