après LOUBOUTIN en 2009, Ladurée choisit de s’associer à Galliano !
Les fruits de ce mariage , parfumés à la rose et au gingembre , trônent dans les vitrines de la boutique de la rue du Bac…
Tentées ?
blog Paris : bons plans, restaurants, expositions, shopping…
toutes les bonnes adresses du VIIeme arrondissement de Paris
37, quai Branly
75007 – Paris
tel : 01 47 53 68 01
mardi, mercredi et dimanche de 9h à 18h ; jeudi, vendredi et samedi de 9h à 20h
le cadre : le service :
la qualité des plats: le prix :
max : 5
voici encore un de ces endroits que j’hésite parfois à révéler tant il est précieux et rare. Voilà, au moins, le ton est donné, et vous savez que vous ne lirez pas beaucoup de points critiques dans cet article.
Tout d’abord le lieu, protégé, entouré de verdure, comme l’est l’ensemble du musée.
» Tagliata de boeufs sur lit de roquette et champignons frais, accompagnés de leurs frites couteau «
nous étions deux, et nous avons pris le même plat !
Quant au dessert, il s’est résumé à un café gourmand … voilà ce qui explique le pénurie de photos!
cependant, je peux vous assurer que les assiettes que je voyais passer à destination des clients des tables alentour étaient tout aussi appétissantes que les notres ! Hors nos plats étaient excellents, on sentait la fraicheur des produits et la cuisson était juste telle qu’éspérée … ne percevez vous pas, au travers de ces frites qui débordent de leur assiette à quel point elles craquent sous la dents pour laisser exploser leurs saveurs … Un élan de lyrisme !
Voici donc la note sucrée …..
Si vous souhaitez déjeuner tranquille dans un cadre rare à Paris, en terrasse si le temps le permet, mais aussi à l’intérieur en cas d’intempérie, n’hésitez pas, allez-y ! Et, dernier point, et non le moindre, le service est parfait.
Découvrir dès leur sortie les nouveaux macarons » Ladurée – LOUBOUTIN «
Quand je prends un engagement de ce genre … je ne peux que m’y tenir !
Ce matin donc, direction Ladurée rue Bonaparte .
Surprise: une file d’attente correcte!
La vitrine est aux couleurs de la « nouvelle collection » mais pas d’émeute ! Nous sommes donc une petite élite informée ou suffisamment motivée pour se précipiter Samedi de bon matin …
Alors, pour résumer :
contrairement à ce que j’imaginais, les coffrets « LOUBOUTIN » ne sont pas déjà prêts et garnis exclusivement du nouveau macaron » figues – dattes » ; En fait, il s’agit de boîtes vides, de 3 formats diférents, et chacun choisit les parfums qu’il souhaite ….
J’ai donc choisi la réglette de 6 macarons, que j’ai garnie de 4 « figues-dattes » et deux « café ».
Le café, juste un délice; je sais qu’il n’est pas considéré comme très hype d’apprécier des parfums « classiques », et qui plus est chez Ladurée plutôt que, je ne sais pas moi, Pierre Hermé ! Et bien soit, j’assume ! Je préfère » café » à » thé vert – jasmin » !
Quant au nouveau parfum, le mélange de la datte et de la figue est parfait; on retrouve exactement le goût du fruit et si je devais émettre une petite réserve, ce serait la fragilité et la friabilité très marquée du macaron; mais est-ce bien grave? après tout, s’il s’émiette légèrement dans la bouche, on n’en perçoit que mieux les saveurs.
Voilà ! Mission du jour acccomplie , et voici pour preuve la photo du dernier macaron que je suis parvenue à maintenir intact avant d’arriver chez moi pour prendre le dernier cliché avant de l’engloutir … !
A demain !
Il était sur ma liste des « sommets » de Paris; c’est donc ma destination du jour.
Vous n’en n’aurez que des vues intérieures, la chaleur extérieure étant si suffocante qu’elle ne m’a pas permis de presser le déclencheur!
J’adore ce musée; cette lumière qui baigne ces volumes spectaculaires que l’on embrasse d’un seul regard dès le seuil passé.
Et puis ce que j’aime également et plus particulièrement, c’est l’idée de ce magnifique bâtiment, longtemps resté à l’abandon et qui finalement renait pour bénéficier d’une nouvelle vie. J’aime cette idée de la ville en mouvement, qui ne reste pas ancrée dans un passé révolu mais se réinvente encore et encore.
J’ai donc entrepris une visite « décousue », au grè de mes pas plutôt qu’en suivant un quelconque guide ou document d’information.
Tout d’abord, m’élever pour atteindre la terrasse: chaleur suffocante, quelques clichés, et retour vers la fraicheur en passant par le petit restaurant, histoire d’admirer une des horloges de la façade SEINE.
Puis direction « Les impressionistes ».
Certaines oeuvres dégagent une telle lumière que mes pas me guident vers elles, sans me laisser le moindre choix.
En font partie:
le ciel tourmenté de Van Gogh dans « Chaumes à Cordeville »
ou encore sa « sieste selon Millet »
Je découvre également Henri Edmond CROSS
Je reviens sur mes pas, de nouveau Renoir
Avant de quitter l’étage, une visite à l’un des emblêmes du musée, la danseuse de DEGAS
mais la beauté s’aperçoit aussi en transparence, quand on aperçoit l’exterieur au travers d’une horloge ou d’une fenêtre
En partant, je croise les salles Guimard, ou une nouvelle version de » l’art dans la ville, ou est-ce l’inverse «
Et enfin, admirer les entrailles de cette bâtisse somptueuse d’un autre temps
Avant de vous quitter, un peu d’histoire: la Gare est construite avec un hôtel attenant à partir de 1898 par l’architecte Victor Laloux, et inaugurés le 14 juillet 1900 pour l’Exposition universelle.
L’édifice se compose d’un hall de 32 mètres de haut sur 40 de large et 138 de long. Les structures métalliques intérieures sont recouvertes à l’extérieur par une façade de pierre. De 1900 à 1939, la gare accueille les trains desservant le sud-ouest. En 1939, la gare ne dessert plus que la banlieue. Durant la Seconde guerre mondiale, elle sert à l’expédition de colis pour les prisonniers, puis de lieu d’accueil pour leur retour à la Libération. En 1973, fermeture de l’hôtel.
C’est en 1977 qu’est décidée sa transformation en musée pour les arts de la seconde moitié du 19e siècle est décidée. L’inauguration du musée aura lieu le 1er décembre 1986.
A demain.
Deux merveilles d’architecture, construites en partie, avec le pont Alexandre III, pour surpasser le succès de l’exposition de 1889 et de sa Tour Eiffel !
Alors comment résister à les photographier, encore et encore ?!
GRAND PALAIS
PETIT PALAIS
Le coin de paradis au coeur du Petit Palais
Oh, les beaux escaliers !
A demain !