Gabrielle Chanel – manifeste de mode

S’il est un lieu adapté pour accueillir la première rétrospective CHANEL en France, c’est bien sur celui-là : le Palais Galliera. C’est donc à l’occasion de sa réouverture après des travaux d’extension que le musée de la mode présente l’exposition « Gabrielle Chanel – manifeste de mode »

 

Gabrielle Chanel dite Coco – ombres et lumière

CHANEL est connue mondialement comme la marque icônique du chic absolu. Pourtant, on connait peu le parcours hors norme de sa fondatrice, Gabrielle Chanel, jeune orpheline devenue la créatrice de mode la plus en vue à Paris au début du XXème siècle. Comme si l’on avait voulu effacer toutes ses zones d’ombre, par crainte de ternir son image. L’exposition met en lumière le talent infini de cette femme qui a révolutionné les codes vestimentaires de la femme dès la 1ère guerre mondiale. Il me semble que c’est une occasion parfaite pour en apprendre plus sur la femme qui se cache derrière l’icône de la mode. J’ai donc creusé ce que je savais déjà en bribes. Et voici donc en quelques dates la vie de Gabrielle Chanel.

Dates clé

19 août 1983 : naissance de Gabrielle Chanel. elle perd très vite sa mère, ne connait pas son père et grandit dans un orphelinat (ou chez deux tantes)à Thiers. Aucune des deux versions n’a été démontrée à ce jour. Mais c’est à cette époque qu’elle apprend la couture.

1907-1908 : elle fait la rencontre d’officiers dans les cafés concerts où elle chante « Qui qu’a vu Coco dans l’Trocadéro ?« . C’est là qu’elle héritera du surnom COCO qui ne la quittera plus

1909 – elle devient la maitresse de Boy Capel , un jeune riche officier anglais, et le suit à Paris. C’est là qu’elle commence à exercer ses talents de modiste. en 1910, avec l’aide de Capel, elle ouvre l’adresse désormais célèbre : le fameux 21 Rue Cambon

1912 : Boy Capel l’aide à ouvrir sa première boutique à Deauville où ils séjournent l’été. Elle commence par y vendre ses fameux chapeaux puis enrichit sa gamme de vestes et de jupes. Elle donne naissance aux premières tenues en jersey, une révolution pour l’époque.

Entre les deux guerres Gabrielle Chanel développe son empire.

1921 – naissance du parfum Après avoir testé 5 échantillons elle choisit celui qui deviendra sa marque de fabrique : Chanel N°5 . Pour le produire, elle s’associe avec Pierre Wertheimer qui possède, avec son frère, la maison Bourgeois

1924 – ouverture du premier atelier de bijoux fantaisie

1926 – c’est l’avènement de sa petite robe noire qui reprend les codes de la mode garçonne : forme droite et sans col qui efface les formes féminines.

1932 – première collection de haute joaillerie

La seconde guerre mondiale – années troubles

1939 – alors qu’elle emploie 4000 ouvrières, elle est en conflit avec son personnel. Elle décide de licencier et de fermer.

Elle se lance alors dans des relations controversées, dans des cercles ouvertement antisémites. Alors qu’elle ne détient que 10% de l’entreprise, elle tente par ailleurs de spolier Pierre Wertheimer de ses parts (majoritaires) des parfums CHANEL

1941 – Elle en demande la propriété aux autorités allemandes, prétextant du départ de la famille Wertheimer pour les Etats-Unis. Elle ne parviendra pas à ses fins, les Wertheimer ayant confié le contrôle des parfums à un ami non juif qui leur rendra après la guerre

1941 – 1944 elle vit toujours au Ritz, pourtant devenu le quartier général de la Luftwaffe. Elle y entretient une relation amoureuse avec un attaché d’ambassade allemand soupçonné de travailler pour favoriser la collaboration. On pense même qu’elle est alors recrutée comme agent allemand.

1944 – Elle s’exile en Suisse après avoir été interrogée par les FFI (forces française de l’intérieur) mais elle relachée. On soupçonne un appui haut placé, et par ailleurs les preuves connues aujourd’hui n’étainet alors pas à la disposition des autorités. Elle demeurera 10 ans en Suisse.

Après l’exil

1954 – son retour marque la renaissance de ses collections et les nouveaux codes qu’elle inscrit dans la durée. C’est à cette époque que naissent le célèbre tailleur en tweed, ainsi que le 2.55, sac à main en cuir matelassé devenu pièce icônique. Elle renoue alors avec le succès.

Années 60 – alors que la mode évolue et que les jupes se raccourcissent , elle reste figée sur les lignes traditionnelles de son tailleur emblématique

1971 – décès de Gabrielle Chanel.

Gabrielle Chanel – parcours chronologique

La première partie de l’exposition est construite de façon chronologique. On y suit le parcours de Chanel,  de  simple modiste à révolutionnaire de la mode, de Paris à Deauville en passant par Biarritz.

On perçoit immédiatement la signature Chanel : un chic simple, qui emprunte des codes à la tenue masculine et dédouane la femme de la rigidité des vêtements d’alors.

Elle les remplace par des matières fluides, sensuelles, féminines et agréables à porter.

On passe des petites robes noires et modèles sport des Années folles jusqu’aux robes sophistiquées des années 30.

En passant bien sur, une salle est dédiée au N° 5. C’est la voix de Marylin Monroe qui en est le fond sonore.

L’allure, toujours et avant tout, avec des lignes sobres, un luxe presque austère. En matière de couleurs, les tenues sont monochromes, souvent dans des teintes discrètes d’écru ou de noir. Cependant des rouges profonds ainsi que des bleus nuit viennent égayer la palette.

On oscille parfois également entre mesure et excès

Mais c’est la modernité qui l’emporte.

Gabrielle CHANEL - la modernité
Gabrielle CHANEL – la modernité

Manifeste de mode – les codes CHANEL

La seconde partie de l’exposition elle, invite à décrypter les codes vestimentaires CHANEL.

Le tailleur en tweed gansé est à l’honneur dès la première salle.  Un espace est dédié aux les publications presse de l’époque le concernant.

Vient ensuite le prototype de l’escarpin bicolore.

Le célébrissime sac matelassé 2.55 trône en bonne place.

Chanel accordait une place majeure à l’accessoire, et les vitrines qui  contiennent ses bijoux fantaisie et de haute joaillerie en sont la démonstration.

Et le coup de grâce se situe dans ce couloir qui présente toutes les tenues les plus mythiques de la créatrice.

Sans oublier la salle qui semble aller jusqu’à l’infini grâce à un subtil jeux de miroirs et une pénombre voulue, et où trônent des robes majestueusement belles.

Rendez-vous donc dès le 1er octobre au Palais Galliera.

Gabrielle Chanel – Manifeste de mode du 1er octobre 2020 au 18 juillet 2021
Palais Galliera 10, Avenue Pierre Ier de Serbie 75116 Paris
Tél : 01 56 52 86 00

Après l’expo, on mange où ?

Je vous propose deux options. Si vous souhaitez déjeuner simplement dans un bistrot à la carte classique, je vous recommande WAKNINE, juste en face du musée.

Un des avantages est que vous pourrez vous y rendre à toute heure, pour vous restaurer, prendre un verre voire même une pâtisserie.

Deuxième possibilité, si vous avez envie de prolonger la visite par une soirée avec vue, le restaurant Girafe vous attend au Trocadéro à quelques pas de là. Spécialité poissons et crustacés, et surtout, vue imprenable su la dame de fer !

Et c’est sans oublier l’essentiel : ce qu’on trouve dans l’assiette !

Restaurant Girafe 1 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75016 Paris

L’endroit des Batignolles – the place to be

Le village des Batignolles a un charme discret à peine boulversé par son succès grandissant. Les rues semblent plus paisibles que dans le reste de la capitale, les boutiques ont le charme de leur sélection unique et exclusive, bien loin des franchises qui ont envahi nos rues. Et pourtant, c’est un quartier où je ne me rends que rarement. Déjeuner à l’Endroit des Batignolles était donc une occasion inespérée !

L’Endroit des Batignolles – Au centre du village

Face à l’église Saint Marie des Batignolles,  sur la jolie petite place du Dr. Felix Lobligeois, on sait immédiatement que l’Endroit a bien trouvé sa place. J’avais découvert ce restaurant il y a plusieurs années, et j’ai été ravie d’y revenir après les changements qu’il a traversés ces derniers mois. Une jolie terrasse, qui donne envie d’été, mais en cette période encore hivernale c’est à l’intérieur que tout se passe.

La salle est agréable, une brasserie traditionnelle avec une touche de modernité. L’espace a été repensé, plus lumineux, plus confortable et spacieux. Le bar aussi donne envie de s’y installer immédiatement ! Une fois attablé, on peut étudier la carte et les formules. Et c’est là une belle surprise. dans ce quartier plus que branché, on peut encore déjeuner à moins de 20€ ! Et cela tout en ayant le choix entre trois propositions aussi bien pour l’entrée que le plat ou le dessert !

L'endroit Batignolles - la formule
L’endroit des Batignolles – la formule

L’endroit des Batignolles – dans l’assiette

Le seul problème que j’ai rencontré : l’embarras du choix. A la carte on trouve une telle variété de plats alléchants qu’il faut prendre le temps de la réflexion !

En entrée, la première belle surprise : cette « belle salade crevettes avocat  » qui mérite si bien son nom.

On continue sur le plat : poulpe mariné et ses petits légumes. Là encore, copieux – aujourd’hui on dit généreux – et définitivement délicieux.

L'endroit Batignolles - poulpe et ses légumes
L’endroit Batignolles – poulpe et ses légumes

Quand au steack de thon mi cuit il n’a rien à lui envier !

steack de thon mi cuit - L'endroit
steack de thon mi cuit – L’endroit

Venons en à la cerise sur le gâteau, autrement dit le clou du repas : les desserts ! Et ils sont à la hauteur de ce qui a précédé ! La pavlova est gargantuesque et pourtant elle se dévore sans difficulté…

Et la tatin banane est une gourmandise absolue !

Gardez en tête que les horaires d’ouverture permettent de se régaler dès le petit déjeuner et jusqu’au bout de la nuit puisque l’Endroit est ouvert de 08h00 à 02h00 tous les jours… Alors que ce soit pour le déjeuner, le gouter ou le diner, sans oublier juste prendre un verre, rendez-vous à l’Endroit !

L’Endroit 67 Place du Dr Félix Lobligeois, 75017 Paris

Citeco – la cité de l’économie

Dit comme ça, je vous l’accorde, cela ne fait pas forcément rêver ! La cité de l’économie… Mais croyez moi sur parole, vous allez adorer. Avant même de passer le pas de la porte. Vous allez comprendre pourquoi en suivant ma visite guidée. C’est parti !

La cité de l’économie – un palais 3 vies

L’hôtel Gaillard, au sein duquel est installée la cité de l’économie, a eu de multiples vies.

Cité de l'économie - CITECO
Cité de l’économie – CITECO

Il est inauguré en 1885 après 4 ans de travaux de construction par son premier propriétaire, le banquier Emile Gaillard qui y vivra jusqu’à son décès en 1902. L’hôtel particulier est racheté en 1919 par la Banque de France qui en fait une succursale bancaire. En 1999 l’hôtel Gaillard est classé monument historique, et c’est en 2006 qu’il ferme ses portes.  Les vestiges de ces deux premiers vies demeurent dans la nouvelle version de l’édifice qui entame aujourd’hui sa 3ème étape d’existence en se transformant en lieu de découverte et de pédagogie, la Cité de l’économie. C’est tout d’abord la façade majestueuse, agrémentée de ses élégantes tourelles qui s’envolent vers le ciel, qui vous séduira. L’émerveillement se poursuivra lorsque vous découvrirez l’escalier majestueux qui surplombe les espaces de réception.

C’est d’ailleurs là que commence la visite.

La cité de l’Economie – un lieu, de multiples espaces de découverte

Le défi de la Cité de l’économie est clair : rendre l’économie attrayante, et accessible au plus grand nombre. La découverte est orchestrée autour de 6 thématiques : échanges, acteurs, marchés, instabilités, régulations, et l’on finit dans ce qui fut la salle des coffres de cette succursale historique de la Banque de France.

Cité de l'économie - salle des coffres
Cité de l’économie – salle des coffres

Tout est fait pour rendre la découverte ludique, en s’appuyant sur de nombreux dispositifs interactifs, mais aussi des cas concrets, comme par exemple l’histoire de la fabrication d’un simple jean et les impacts au niveau de l’économie mondiale, ou encore le financement des retraites.

Chaque thématique est illustrée par des données chiffrées, des vidéos et des tutoriels, mais surtout de nombreux dispositifs interactifs.

Le dernier jeu s’articule autour de la négociation avec pour ambition la réduction de l’empreinte carbone de 9 pays fictifs  qui doivent se fixer des objectifs régionaux puis mondiaux. Tellement d’actualité !

La cité de l’économie – l’exposition de la rentrée

La cité de l’économie propose dès la rentrée une exposition temporaire intitulée « Nés quelque part ». En écho au dernier jeu proposé dans l’installation permanente, les visiteurs se voient proposer une aventure à la croisée du théâtre et du jeu de rôles. Cette expérience leur permettra de toucher du doigt les enjeux du climat et du développement durable dans le monde. 18 personnages, 6 pays : vous serez propulsés dans la vie d’une de ces personnes, afin de  vivre les enjeux quotidiens du climat et du développement auxquels il doit faire face, comprendre les solutions qui s’offrent à lui. Parce que rien ne vaut l’immersion dans une situation réelle pour mieux l’appréhender et la comprendre.

exposition Nés quelque part
du 26 septembre au 24 novembre 2019
Cité de l’Economie 1 Place du Général Catroux, 75017 Paris

Diner étoilé à la scène Thélème

La scène Thélème est un lieu multi facettes. Chargé d’histoire culinaire puisque son locataire précédent n’était autre que Guy Savoy, il appartient aujourd’hui à Jean-Marie Gurné, qui renouvelle le concept ainsi que l’équipe. Balade gustative au pays de Yoshitaka Takayanagi, le nouveau chef.

dîner à la Scène Thélème
dîner à la Scène Thélème

La scène Thélème – en toute simplicité

Dès que l’on passe le seuil de ce restaurant discret installé dans une petite rue calme à quelques pas des Champs Elysées, on perçoit la volonté de privilégier la simplicité. Le décor est sobre, l’accueil chaleureux. Mais c’est surtout dans l’assiette que ce parti pris prend tout son sens : le chef, Yoshitaka Takayanagi, fait le choix de beaux produits simples de qualité, qu’il s’applique à sublimer. Pour permettre au plus grand nombre de pouvoir déguster un repas étoilé, depuis le 5 mars, le restaurant propose une nouvelle carte aux tarifs accessibles pour une expérience dans les étoiles.

Quant à ceux qui s’interrogent sur ce nom mystérieux  » la scène Thélème » , il y a une explication ! Le restaurant transforme régulièrement une partie de la salle en salle de spectacle intimiste pour associer plaisirs des sens au plaisir du théâtre.

La Scène Thélème – délices dans l’assiette

A la scène Thélème, le produit est roi. Aussi, plutôt que de lister des plats, la carte liste des légumes, viandes, poissons. C’est dans cette sélection que le chef puise son inspiration. En 3, 4 ou 6 actes, on peut ainsi découvrir ses créations, la finesse et la subtilité de sa cuisine, toujours simple et délicate.

La générosité est au rendez-vous avec les amuse bouche tels que ces mini gougères au craquelin de charbon végétal, crémeux fromage de chèvre ou encore les petit pois et gelée de petit pois, glace à l’oseille.

L’asperge verte (cuite à l’anglaise, lustrée à la vinaigrette), est délicieusement relevée par des sardines marinées et un jaune d’œuf confit.

Que ce soit la lotte et sa déclinaison de brocolis ou le carré d’agneau de Lozère rôti, on perçoit le respect du chef  pour son produit qu’il sublime à la perfection.

Les desserts ne sont pas en reste, avec la Pavlova exotique , et le sublime tube de gavottes au cacao, mousse chocolat guanaja et tonka, crème sirop d’érable, cheveux d’ange accompagné de sa crème glacée café.

La Scène Thélème 18 rue Troyon, 75017 Paris
Une étoile Michelin

A partir de 65€ par personne
http://www.lascenetheleme.fr/
01 77 37 60 99
Du mardi au samedi
Restaurant
Midi 12h30 à 14h00
Soir 19h30 à 21h30

Pépins production – et que la nature envahisse Paris

Pépins production – la pépinière de quartier

Les citadins que nous sommes ont besoin de laisser entrer la nature à nouveau dans leurs vies. Planter, cultiver, soigner, voir s’épanouir une fleur une plante ou même un fruit sont des plaisirs trop rares à Paris.

Pépins production est une association dont l’objectif est d’accompagner de manière responsable le processus de végétalisation urbaine grâce au développement d’un réseau de pépinières de quartier.

Ce sont des lieux participatifs dédiés au partage de connaissances et à la production écologique de jeunes plants. Et tout ça se passe à Paris.

Pépins production contribue ainsi à faire de Paris une ville dans laquelle la nature a toute sa place. Et ce n’est pas fini !

Aujourd’hui ils sont déjà installés dans l’est parisien, et aussi dans le quartier latin.

Pépins production
Pépins production

Au coeur de ce projet, l’approvisionnement végétal responsable, en limitant l’empreinte écologique de la fabrication du jardin citadin, tout en soutenant une filière végétale responsable. Au sein de ces pépinières, les habitants du quartier sont acteurs, et les plants produits permettent d’approvisionner les écoles, les jardins partagés ou encore les balconnières du quartier.

Ici, des végétaux produits à partir de semences vivantes et non traitées, avec des substrats fabriqués à partir de déchets urbains dans un cycle vertueux.

Les 2 Vaches – bio et impliquées

La marque Les 2 vaches propose des produits laitiers bios, mais plus encore. Des fermes au sein desquelles le bien être animal est garanti, l’accompagnement régulier d’initiatives solidaires, bref, une démarche globale responsable et solidaire, voire même militante !

Alors il est dans l’ordre des choses que pour la sortie de ses nouveaux yaourts à boire, la marque vous propose de soutenir vous aussi un des 3 projets responsables qui mettent de la vie dans la ville, dont Pépins production.

Ainsi, lorsque vous achèterez un Bio à boire, et même si on vous l’offre dans la rue, vous disposerez d’un code barre qui vous permettra, grâce aux 2 Vaches qui reverseront 1€,  de contribuer à la collecte Ulule d’un des trois projets proposés. Autant vous dire que je vous conseille vivement de choisir Pépins production. Mais c’est vous qui voyez !

Le colorful market

Dès demain, et jusqu’au 19 novembre, vous pourrez rencontrer les représentants des 3 projets soutenus par Les 2 Vaches dans le cadre du colorful market organisé dans le Parc Martin Luther King.

Vous pourrez ainsi participer à des ateliers citoyens, assister à des performance live de street art, rencontrer les associations du quartier, vivre une vie de village en ville en somme !

Et pour tout savoir sur un des autres projets proposés, les Alchimistes, lisez tous les détails dans cet article très détaillé. Parce qu’après tout, quoi de plus complémentaire que du compost urbain pour faire pousser les plants de Pépins production !

Alors, on se retrouve demain ?

Parc Martin Muther King 147 Rue Cardinet, 75017 Paris

 

 

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Les boutiques du Palais – séance shopping

Les boutiques du Palais se trouvent, comme leur nom le laisse deviner, au coeur du bâtiment du Palais des Congrès.
J’avais déjà eu l’occasion de les parcourir rapidement à l’occasion d’une pause lors d’un évènement qui se déroulait là, et j’avais gardé le souvenir d’une variété assez surprenante d’enseignes, que je n’avais pas imaginées dans ce lieu synonyme pour moi de salle de congrès, de séminaires, et aussi de spectacles bien sur !
Alors quand on m’a proposé de visiter le lieu avec le regard de la shoppeuse que je suis, j’ai dit oui !
Et j’ai adoré !
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D’abord la richesse des enseignes.
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Dans les boutiques du Palais, tout le monde trouve chaussure à son pied.
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 Et je dois dire que c’est tout particulièrement vrai pour les hommes. Vous pourrez choisir la patine du modèle de votre choix pour une paire de chaussures juste uniques ! J’avoue d’ailleurs que je ne connaissais pas cette enseigne au nom intrigant : JM Le Gazel
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 Et puis il y a également Finsbury et Bexley.
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Mais venons en aux femmes. Là aussi, tout y est : chaussures, prêt à porter, sacs  main, impossible de résister !
Commençons par les sacs à mains : on ne se refait pas. Donc, pour commencer,  j’ai craqué pour ces merveilles aux couleurs joyeuses chez L’Espionne : Celine, toujours une valeur sure !
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Et on ne s’arrête pas là : Lancel vous accueille au Rez de chaussée dès que vous pénètrez dans l’enceinte du Palais des Congrès.
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 Zadig et Voltaire met également sa maroquinerie en valeur, avec bien sur le prêt à porter.
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 C’est chez Sinéquanone et chez Gérard Darel que je me suis attardée.
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Sinéquanone est une marque qui me convient et que j’aime depuis longtemps. Toutes mes petites robe s noires viennent de chez elle. Et là, j’ai eu l’occasions de découvrir que la marque évolue, s’enrichit, s’adapte à son temps. Et j’ai aimé de nouveau !
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Et c’est là que j’ai craqué pour un jean huilé et une veste courte !
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Au coeur des boutiques du Palais, il y a également la large proposition alimentaire.
Que ce soit à emporter avec l’enseigne britannique préférée des parisiens : Marks et Spencer vous propose toute son offre alimentaire spéciale Noël !
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Ou encore le salon de thé Angelina.
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Vous l’aurez compris, Les Boutiques du Palais abritent tout ce qu’il vous faut pour une pause shopping, avec un tel choix que vous ne pourrez simplement pas repartir les mains vides !
Les Boutique du Palais

2 Place de la Porte Maillot, 75017 Paris
Téléphone :01 40 68 22 22

Saint Valentin – Men only chez les maitres barbiers perruquiers

Avez vous remarqué ces derniers mois une recrudescence de barbes allongées, parfaitement taillées accrochées au cou de la gente masculine ?
Je plaisante bien sur ! La tendance est là, installée, apparemment pour durer.
Alors plutôt que de la combattre, nous pouvons l’accompagner. Comment ?
En offrant un coffret « Men only » pour la Saint Valentin.
coffret Cadeau Barbier
coffret Cadeau Barbier
C’est le salon récemment installé entre les quartiers des Batignolles et Epinettes qui propose un coffret prestation complète : Les Maitres Barbiers Perruquiers.
Le coffret coûte 38 euros (le prix d’une coupe/ shampoing/brushing + taille de barbe) et la prestation dure environ 40 minutes.
le shampooing est agrémenté d’un massage du crâne, un peu plus long que d’habitude…
Le rasage peut être une taille de barbe (ciseaux, coupe-chou, tondeuse) ou rasage à l’ancienne.
Bref, les hommes avertis sont déjà tentés à la lecture de ce descriptif . Quant aux femmes, sachez que vous ne pourrez pas accompagner vos hommes dans ce salon destiné aux homes exclusivement. Même pas de magazine féminins à feuilleter !
 
Et pour tout savoir sur leur actualité, suivez les sur instagram : @lesmaitresbarbiersperruquiers
ou sur leur compte Facebook  
 
Les Maitres Barbiers Perruquiers
3 Rue des Apennins
75017 Paris

Schwartz’s Deli – un régal

Schwartz’s Deli – se régaler avec le sourire

22 avenue Niel 75017 Paris
01 42 67 65 79
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Les hamburgers : un sujet largement abordé sur la place de Paris. Et pourtant, voici une enseigne qui tire son épingle du jeu !

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Pourquoi me direz-vous ? C’est simple !

Tout d’abord, il y a le sourire ! Un accueil parfait, quelques notes d’humour, mais toujours doublées d’une efficacité parfaite, d’une écoute sans faille.

Ensuite, l’atmosphère du lieu. Entre diner et restaurant familial, nappes à carreaux vichy rouge et blanc, posters et décoration à la new yorkaise plus vraie que nature.

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Et puis bien sur, ce qui pour beaucoup est l’essentiel : ce que l’on trouve dans son assiette !

Commençons donc par la première spécialité du lieu : les hamburgers. 

La viande est la clé de l’histoire. Mais les frites n’ont rien à lui envier !

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Et pour ceux comme moi qui, ce soir là, rêvaient de hotdog, je peux vous garantir que le Hot Dog Schwartz vaut largement le déplacement !

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Cela vous semble copieux ? vous avez raison ! Mais si bon que j’en suis venue à bout sans aucune peine !

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Deuxième talent de l’offre de Schwartz’s deli : les sandwichs au pastrami ! Et là, je vous met au défi de m’en proposer qui soit plus alléchant, plus gourmand, plus délicieux !

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PAstrami Schwartz's deli
PAstrami Schwartz’s deli

 

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Non, je n ‘ai pas photographié le pâté de foie de volaille et les union rings pris en apéro, pas plus que les cheese cake, fruits rouges ou oreo, que nous avons dévoré au dessert – même si, je dois le reconnaitre, cette version très crémeuse du cheesecake n’est pas celle que je préfère.

Pour tout ça, il faudra que vous alliez tester sur place !

Et sachez qu’il y a aussi un Schwartz’s deli rue des Ecouffes !

A bon entendeur …

La photo du mois – Les Batignolles

Tous les mois, nous sommes maintenant plus de 250 je crois, à vous proposer une photo sur un thème choisi par l’un des participants . Pour le mois de mai, la photo devra contenir  les couleurs de notre drapeau.

Alors je vous livre un coin de Paris, France, dans le village des Batignolles !

Batignolles

Et pour les autres participations, c’est ici !

A chaque jour sa photo, A’icha, Agnès, Akaieric, Alban, Alexinparis, Alice Wonderland, Angélique, Ann, Anne, Annick, Arwen, Aude, Ava, Bestofava, BiGBuGS, Blogoth67, Calamonique, Cécile – Une quadra, Cécile Atch’oum, Cekoline, Céline in Paris, CetO, Champagne, Chat bleu, Chloé, Christophe, Claire’s Blog, Crearine, Cricriyom from Paris, Cynthia, Dame Skarlette, DelphineF, Dr. CaSo, dreamtravelshoot, E, El Padawan, Elodie, Elsa, eSlovénie, Eurydice, Fanfan Raccoon, Filamots, François le Niçois, Frédéric, Galinette, Geneviève T., Gilsoub, Giselle 43, Gizeh, Guillaume, hibiscus, Homeos-tasie, Hypeandcie, Isa de fromSide2Side, Isaquarel, J’adore j’adhère, Joane, Josiane, Julia, Kantu, KK-huète En Bretannie, Krn, La Berlinoise, La Dum, La Fille de l’Air, La Nantaise à Paris, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Laurie, Lavandine, Lavandine83, Les bonheurs d’Anne & Alex, Les Filles du Web, Louisianne, Lucile et Rod, Lyonelk, magda627, Mahlyn, Mamysoren, Maria Graphia, Marie, Marmotte, MauriceMonAmour, Memories from anywhere, Mimireliton, MissCarole, Morgane Byloos Photography, Nana, Nicky, Nie, Philae, Pica Moye, Pilisi, Pixeline, princesse Emalia, Proserpinne, Renepaulhenry, Rythme Indigo, Sephiraph, Stephane08, Sylvie, Tataflo, Testinaute, Thalie, The Parisienne, The Singapore Miminews, Trousse cadette, Tuxana, Un jour, une vie, Une niçoise, Vanilla, Viviane, Woocares, Xoliv’

L’endroit – restaurant des Batignolles

EDIT : L’Endroit existe toujours mais s’est refait une beauté ! alors pour tout savoir sur L’Endroit d’aujourd’hui, cliquez !

L’endroit : découverte au coeur des Batignolles

L’endroit

67 Place du Docteur Félix Lobligeois, 75017 Paris

Tel : 01 42 29 50 00 

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Partis à la découverte du quartier des Batignolles, nous n’avions aucune idée de restaurant pour notre déjeuner. Nous avions décider pour une fois de ne pas traquer la dernière adresse à la mode, mais de juste flâner et de laisser notre instinct nous guider . Pari gagné !

Après avoir déambulé dans ce charmant village des Batignolles, admiré le joli jardin malgré un temps peu clément…

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En ce qui concerne les restaurants, il n’y a que l’embarras du choix. Alors nous avons opté pour L’endroit !

Une jolie terrasse, que nous testerons lors de notre prochaine visite car il faisait trop froid, et un intérieur accueillant, à la hauteur de l’accueil des serveurs !

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Le cadre

Accueillant donc, décoration sobre et fauteuils confortables. La vue sur la petite place est particulièrement plaisante, un véritable air de village en plein Paris !

Une carte alléchante, qui propose une variété de plats simples et prometteurs, ainsi qu’un choix de brunchs qui satisferont toutes les envies : sucrées, salées, mixtes !

Les plats

Un menu de vraie brasserie et tous ses incontournables. Mais aussi une proposition de brunch,  servi le dimanche bien sur, mais aussi samedis et jours fériés, et ça, je trouve ça très bien pensé.

la carte de l'endroit
la carte de l’endroit
les brunchs de l'endroit
les brunchs de l’endroit

Ce qu’il est capital de savoir et de garder en tête c’est que L’endroit convient tout particulièrement aux grosses faims ! Je me permets d’insister, et vous allez vite comprendre à la vue de nos plats. Je vous confirme aussi que les plats vus sur les autres tables étaient du même style, jusqu’aux salades servies dans de grands saladiers en verre remplis à ras bord !

Le magret donc, entier …

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Le demi poulet, géant …

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Tout était très bon, savoureux et copieux, je répète, copieux !

Bien sur, un dessert s’impose, et nous l’avons choisi léger et frais, fraises pour l’un, glaces pour l’autre . Ces choix ont parfaitement clôturé ce déjeuner parfait !

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Alors si vous êtes du côté de ce charmant quartier des Batignolles, je vous recommande sincèrement de découvrir ce restaurant.

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