Marie Curie – une femme au Panthéon

Marie Curie – une femme au Panthéon

On célèbre cette année les 150 ans de la naissance de Marie Curie née Slodowska.

Cette scientifique polonaise, française d’adoption, a révolutionné la science par ses découvertes sur la radioactivité. On connait son nom bien sur, mais l’exposition installée en son honneur au Panthéon nous en apprend beaucoup plus sur la femme, la scientifique, la mère, l’épouse, la féministe.

Marie Curie est donc à l’honneur au Panthéon. Et ce n’est pas la première fois puisqu’elle fut la première femme panthéonisée pour ses propres mérites en 1995 ( D’autres femmes y furent enterrées, mais en tant qu’épouses de )

Alors suivez-moi, partons à la rencontre de Marie Curie.

Marie Curie – l’exposition

L’exposition se déroule sur un mode chronologique en un prologue et 5 chapitres.

Prologue

On découvre que Marie Slodowska, polonaise, arrive en France pour étudier,  les femmes ne pouvant accéder à l’université en Pologne.

C’est donc à la Sorbonne qu’elle étudiera les sciences. Très vite, elle démontre ses qualités et ses compétences.

Chapitre 1  les travaux communs de Pierre et Marie

Elle obtient 2 licences : une de mathématiques et une de physique.
Repérée par ses professeurs et en particulier par Pierre Curie, elle se lance dans une thèse de doctorat centrée sur les radiations émises par certains minerais, et tout particulièrement l’uranium.Elle effectue ses mesures avec des appareils fabriqués par Pierre Curie lui-même.

Dans ce chapitre, on peut voir un des carnets d’étude de Marie Curie. Ouvert sur une page spécifique on peut néanmoins voir les autres pages en version numérique.


Ses découvertes révolutionnent la physique de l’époque. Marie Curie obtient donc son premier prix Nobel avec son professeur Pierre Curie.

Le diplôme original du prix Nobel est exposé ici.  Il est plutôt émouvant de pouvoir l’admirer, le toucher presque.


Chapitre 2 Marie Curie la femme et la mère

C’est ensuite la femme que l’on apprend à connaitre. Celle qui sourit sur sa photo le jour de son mariage.

La mère aussi, qui annote les photos de ses enfants dans les albums qu’elle a confectionnés.

Il y a aussi la lettre envoyée par Pierre à Marie alors qu’elle était repartie en Pologne, et qui la convaincra de revenir.
Mais aussi l’annonce du décès de Pierre dans un accident de circulation.


A ce décès, elle reprend la chaire de son mari, devenant ainsi la première femme à enseigner à La Sorbonne.

Chapitre 3 la savante aux 2 prix nobels

Dans ce chapitre on découvre que pourtant la France peut maltraiter ses talents, et  cette grande scientifique en particulier.

Ainsi, ce scandale concernant son entrée à l’académie. une bataille terrible a lieu entre M.Branly extrémiste nationaliste et Marie Curie à qui on reproche ses origines.

Puis c’est le scandale Langecin avec qui elle a une relation.
ces scandales successifs entacheront même l’attribution de son 2eme prix Nobel. Elle remporte effectivement le prix,  mais on l’invite à ne pas venir le recevoir.
Elle viendra quand même et les femmes suédoises organiseront son accueil.

Chapitre 4 aspects médicinaux

Quand la guerre éclate Marie Curie profite de sa notoriété pour récupérér du matériel de radiographie , équipe des véhicules civils et se rend auprès des blessés avec sa fille pour radiographier les blessés.


Chapitre 5 panthéonisation

On termine donc la visite par la dernière étape. Celle de la panthéonisation de Marie Curie par François Mitterrand.


Un conseil : regardez bien l’extrait du film « les Palmes de M.Schultz » qui tourne sur l’écran installé dans cet espace. On y découvre deux figurants pas comme les autres ! A vous de découvrir de qui il s’agit…

Marie Curie – au Panthéon et tout autour

L’exposition est installée depuis le 8 novembre et jusqu’au 4 mars 2018. Et pour mieux découvrir cette grande dame, plusieurs parcours sont proposés.

Promenade commentée, conférence au musée Curie à quelques pas du Panthéon, sans oublier la nuit au Panthéon qui revient pour une découverte magique et mystérieuse à la lampe torche.

Alors il ne vous reste plus qu’à faire votre choix, et surtout penser à réserver.

Marie Curie au Panthéon Place du Panthéon, 75005 Paris

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François 1er et l’art des Pays-Bas – Musée du Louvre

François 1er et l’art des Pays-Bas – les choses sont claires

Dans cette exposition qui ouvre ses portes aujourd’hui, le parti pris est annoncé d’emblée. Il s’agira ici de se concentrer sur la création des artistes originaires des Pays-Bas, moins connue du grand public, à l’époque du règne de François 1er.

En effet, alors que naturellement on associe le nom de François 1er à la Renaissance et tout particulièrement aux peintres italiens, on méconnait la création de cette période par les peintre des Pays-Bas.

C’est donc cet angle qu’a choisi la commissaire de l’exposition, Cécile Scaillierez.

« Montrer que les arts en France sous François 1er ne se résument pas au triomphe de l’italianisme … était le projet que nous avions proposé  » 

On découvrira donc ici les plus connus des portraitistes : Jean Clouet et Corneille de La Haye, mais plutôt que de les isoler ils sont ici rattachés à leurs compatriotes.

Portrait de François 1er - Jean Clouet
Portrait de François 1er – Jean Clouet

Par ailleurs, le portrait, bien que représenté, ne constitue qu’une petite part de l’exposition, qui met en avant les multiples supports tels que la tapisserie, le vitrail, l’enluminure aussi, clou du parcours en ce qui me concerne.

 

François 1er et l’art des Pays-Bas – Parcours de l’exposition

On commence l’exposition par un axe de l’influence anversoise. Toute la Picardie et jusqu’à Paris sont touchés par cette tendance.

A tout seigneur tout honneur, le premier tableau est celui de l’affiche de l’exposition, portrait du roi par Jean Clouet.

François 1er par Jean Clouet
François 1er par Jean Clouet

Remarque d’ordre pratique : ce tableau est un petit format, et cela prend par surprise. Soyez préparés à vous approcher pour l’apprécier dans tous ses détails.

Après avoir admiré une oeuvre exceptionnelle du maitre d’Amiens.

Et le triptyque de Jan de Beer.

On plonge rapidement dans les merveilles de l’enluminure avec Godefroy le Batave et son « Triomphe de la religion ».

Un artiste découvert il y a peu se démarque particulièrement : Noël Bellemare qui touche à toutes les techniques tel que la tapisserie, le vitrail, l’enluminure.

Curieusement d’ailleurs, ce livre d’heures que j’aurais pu observer pendant des heures est précisément l’oeuvre pour laquelle le commentaire précise que « ses modèles flamands cèdent la place à l’influence de la gravure italienne » . J’aurais tendance à penser que je suis définitivement plus sensible à l’art italien de l’époque…

On plonge ensuite dans une superbe galerie des portraits.

C’est sans aucun doute dans la collection personnel de François 1er que se trouve un des joyaux de l’exposition : « le livre d’heures à l’usage de Paris » acheté par François 1er pour l’offrir à sa nièce.

Un joyau au sens premier du terme puisque sa reliure est luxueusement ornée de pierres précieuses.

Joyau également par la beauté des miniatures que l’on devine sur la seule page visible.

Puis l’on pénètre dans une superbe galerie de portraits aux artistes multiples.

On plonge ensuite dans un autre courant, celui d’artistes venus de notre actuelle Hollande tels que Gregoire Guerard et Bartholomeus Pons .

L’exposition se termine sur une évocation de la production d’eaux fortes faites à Fontainebleau

 

On a donc ici un panorama assez complet de cet aspect de l’art en France sous le règne de Francois 1er sur lequel les projecteurs n’avaient pas été pointés jusque là : l’art des Pays-Bas.

Exposition François 1er l’art des Pays-Bas
du 18 octobre 2017 au 15 janvier 2018 Musée du Louvre Rue de Rivoli 75001 PARIS
fermé le mardi

Gauguin l’alchimiste – Grand Palais

Gauguin l’alchimiste – l’histoire de l’exposition

L’exposition Gauguin l’alchimiste réunit plus de 230 oeuvres de l’artiste, dont seules 54 sont des peintures.

Le ton est donc donné. On va découvrir ici les facettes méconnues de la production artistique de l’artiste.

C’est la première exposition à adopter l’angle de l’étude de la complémentarité des créations de Paul Gauguin. Ici, ce sont céramiques, sculptures, blocs de bois même qui côtoient gravures et dessins en complément des tableaux familiers ou plus méconnus.

Vase avec Leda et le cygne
Vase avec Leda et le cygne

Des oeuvres rassemblées des 4 coins du monde, du musée d’Orsay au Musée Pouchkine en passant par l’Art Institute de Chicago.

C’est en collaboration avec ce dernier qu’est née l’idée de cette exposition unique. L’Art Institute de Chicago détient un fonds extrêmement conséquent d’oeuvres graphiques de Gauguin, mises à disposition pour cette exposition. Pour les sculptures, et céramiques, c’est le musée d’Orsay qui est mis à contribution.

Gauguin l’alchimiste – le parcours de l’exposition

Il s’agit là d’un voyage. Dans le temps avec la fresque chronologique que l’on découvre dans la première salle et qui décrit le parcours de Gauguin. Voyage géographique, au gré des différentes destinations de l’artiste, mais aussi  un voyage dans son oeuvre bien plus multiple que je ne l’imaginais.

Le droit d’oser, c’est ce qu’il revendique et c’est ainsi que l’exposition commence. Avec cette revendication qu’il clame et met en oeuvre de Paris à la Bretagne puis jusqu’aux îles.

On découvre ses premières inspirations dans la première section de l’exposition : la fabrique des images. Ici, dans le laboratoire des formes, on découvre ses débuts avec ce Degas dont il reprend certains motifs dans plusieurs de ses oeuvres.

Pissarro sera son guide et celui qui le lancera dans le monde des impressionnistes.

Il s’inspirera un temps de ses oeuvres.

Camille Pissarro - la bergère bretonne
Camille Pissarro – la bergère
Paul Gauguin - la bergère bretonne
Paul Gauguin – la bergère bretonne

On observe déjà les allers retours d’un support à un autre, la façon dont chacune de ses créations alimente l’autre.

De l’esquisse au tableau.

Et de l’objet lui même à sa représentation.

La deuxième section se concentre sur sa période bretonne.

Ici prennent forme ses variations sur le motif.

D’un support à un autre. Du bois à la céramique comme sur cette oeuvre en céramique et son pendant sculpté.

Cette exposition peut être hautement ludique si l’on se lance dans une chasse aux représentations similaires dans des oeuvres si multiples.

Ou encore en cherchant le mélange des oeuvres quand Gauguin se met en mode Inception

Changeons d’étage, pour entrer dans l’univers des îles. Un premier voyage à Tahiti permet à Paul Gauguin de construire sa première imagerie de la vie tahitienne. Habitée de douceur, simplicité, et jeunes filles pures et en harmonie avec la nature.

Cet imagier des tropiques met également en lumière le manuscrit de Gauguin, Noa Noa, journal de ses voyages riche en illustrations de sa main.

Noa Noa
Noa Noa

L’exposition se finit par « En son décor » et le lieu où Paul Gauguin finira sa vie : la maison du jouir.

Gauguin l’alchimiste – Gauguin sauvage et sulfureux ?

Parce qu’il faut le dire, l’histoire de Paul Gauguin est faite de rencontres et de ruptures assez violentes.

Commençons par Pissarro, son mentor, son modèle, celui qui le lance dans la sphère artistique parisienne.

Et puis il se fâche avec lui, brutalement, définitivement, tel l’élève qui soudain veut dominer son maître.

Entre temps, ou serait-ce en même temps, c’est aussi avec Paul Signac qu’il se brouille pour ne plus jamais revenir sur cette rupture.

En 1888, c’est chez Vincent Van Gogh qu’il s’installe à Arles. Un tête à tête qui se terminera comme on sait : Vincent Van Gogh se coupera une oreille.

Et puis il y a sa relation aux colonies, et aux « bons sauvages » comme il les a décrits.

Gauguin, un homme complexe, dans son oeuvre comme dans sa personnalité.

Gauguin l’alchimiste du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018

GRAND PALAIS, GALERIES NATIONALES
3, avenue du Général Eisenhower
75008 Paris

 

Exposition Bourdelle et l’antique

Bourdelle et l’antique – la sculpture au début du XXème siècle

L’exposition Bourdelle et l’antique accompagne le visiteur dans la sculpture du début du siècle dernier au travers de l’influence de la sculpture antique sur les artistes qui ont marqué les premières décennies du XXème.

Bourdelle et l'antique
Bourdelle et l’antique

On découvre ainsi dans quelle mesure la Grèce antique a façonné la création de Bourdelle, mais aussi celle de ses contemporains dont on peut admirer de multiple oeuvres.

Ainsi, Picasso, Modogliani, mais aussi Rodin et Maillol bien sûr ( ennemi juré de Bourdelle) sont présentés pour illustrer le propos et alimenter les parralèles créatifs.

L’occasion de (re) découvrir l’oeuvre du sculpteur, et de tous ceux qui l’ont inspiré.

Près de 150 oeuvres d’artistes multiples sont ainsi réunies autour des oeuvres majeures de Bourdelle lui même qui rythment la visite de cette exposition.

Bourdelle et l’antique – le parcours de l’exposition

L’exposition s’articule autour de 7 oeuvres majeures de l’artiste. Pour chacune d’entre elles sont présentés les sources d’inspiration, puisées dans la Grèce antique, dans l’observation des oeuvres que l’artiste étudie, analyse pour créer à son tour.

La première oeuvre sculpturale est ce buste de Pallas.

Son visage deviendra masque, comme s’il sortait d’une fouille archéologique.

Pallas de Bourdelle
Pallas de Bourdelle

Cette oeuvre est un véritable tournant dans son oeuvre.

Nous sommes en 1903, et il modèle un buste de femme en terre, dont on voit ici la version de marbre et de bronze.
Il entre là dans une approche de simplification extrême et s’éloigne d’un certain réalisme de ses oeuvres précédentes.

La deuxième oeuvre que l’on découvre est son Apollon.

Il commence par un modèle en terre qu’il laisse à l’abandon.
Quand il le retrouve des années plus tard, il décide de bâtir une œuvre nouvelle à partir de ce portrait abîmé, détérioré par le temps et les intempéries.

Restée longtemps confidentielle, c’est la version exposée ici en bronze à la patinee dorée qui deviendra l’oeuvre finale.

Apollon - Bourdelle
Apollon – Bourdelle

On arrive ensuite dans la salle qui accueille une des oeuvres les plus célèbres du sculpteur : Herakles archer.

Inspirée du célèbre archer d’Egine, il  donne une dimension charnelle et presque sexuelle à cette oeuvre monumentale.

Positionnée au centre de la pièce elle permet au visiteur de la contempler sous tous les angles.

Herakles archer - Bourdelle
Herakles archer – Bourdelle

Herakles archer fut un très grand succès lors de l’exposition de 1910, et l’on voit comment cette sculpture inspira d’autres artistes tels que Henri Laurens et sa musicienne à la harpe.

Vient ensuite sa Cléopâtre, portrait de son élève grecque, Cléopâtre Stevastos.

Cléopâtre Bourdelle
Cléopâtre Bourdelle

Sont présentées ensemble plusieurs oeuvres des artistes contemporains de l’époque, permettant ainsi de comprendre les influences et inspirations mutuelles.

Une occasion pour moi de tomber en amour devant ce petit bijou de Modigliani.

La visite continue

On passe d’une déesse, Pénélope

A l’univers des faunes et des satyres, inspiration, avec Isadora Duncan des fresques du théâtre des Champs Elysées réalisées par Bourdelle.

 

Cette exposition est donc un voyage dans le temps, de la Grèce antique au début du XXème siècle, mais aussi un voyage dans la sculpture des premières décennies du siècle.

Bourdelle et l’antique du 4 octobre 2017 au 4 février 2018

Musée Antoine Bourdelle 

18, rue Antoine Bourdelle 75015 Paris
Tél. : +33 (0)1 49 54 73 73

Instax Jean-Charles de Castelbajac chez Colette

Instax Jean-Charles de Castelbajac – un objet collector

L’Instax, c’est ce joli appareil aux couleurs acidulées ou pimpantes, qui permet en instantané d’avoir de jolies photos papier.

Cet appareil que l’on saisit au moment d’un éclat de rire, dans les instants de complicité, pour en garder la preuve ailleurs que sur un smartphone.

Un cadeau parfait pour les moments de partage, ceux pendant lesquels on veut immortaliser chaque minute.

Alors c’est avec Jean-Charles de Castelbajac que la marque s’associe cette année pour une collaboration arty en diable!

Jean-Charles de Castelbajac, c’est pour moi une longue histoire d’amour. Des souvenirs qui remontent à si longtemps d’une collection exclusive vendue au Drugstore Publicis. Je ne sais même pas si lui même se souvient de ce superbe imperméable et de son parapluie assorti qui m’ont fait tant rêver.

Et déjà, il y a si longtemps, la même signature : 3 couleurs primaires qui explosent sur fond blanc. Un style unique, inimitable, reconnaissable entre mille.

Et ce sont exactement les qualificatifs que l’on peut attribuer à cet Instax mini bicolore by JCC+

Il est joyeux, pimpant, bicolore pour la première fois pour un Instax, et la dragonne elle aussi est pop à souhaits !

Cette collaboration pense aussi à la famille avec le « INSTAX Family box by JCC+ « . Ici, un appareil uni, un pack de films, et une boite qui se déplie pour se transformer en arbre généalogique décoré par JCC.

Le cadeau de Noël parfait en résumé !

Vous avez déjà terriblement envie du coffret Instax mini bicolore by JCC+ ? Direction Colette dès aujourd’hui : il est en vente en exclusivité dans ce concept store mythique. Et si vous êtes prêts à patienter, ce sera à partir du 15 octobre en ligne sur la boutique FUJIFILM

Colette 213 rue Saint-Honoré 75001 Paris

Instax Jean-Charles de Castelbajac – l’exposition chez Joyce

Jean Charles de Castelbajac est un artiste touche à tout.

Alors, pour illustrer son univers grâce à l’Instar, lui et ses fils ont utilisé l’appareil pour créer, et les résultats de cette expérience unique sont exposé dans la galerie Joyce, au Palais Royal. Des oeuvres photographiques uniques à découvrir jusqu’au 28 octobre 2017.

Une seule famille, mais des personnalités et des styles très différents. Ici, les photos du père.

Et là celles d’un des fils.

A découvrir au détour d’une balade dans les superbes jardins du Palais Royal !

Galerie Joyce 168 Galerie de Valois, 75001 Paris

La Monnaie de Paris – Renaissance

La Monnaie de Paris

Le 30 septembre, le 11 Conti ouvre enfin ses portes au grand public, après des années de transformation.

Le 11 Conti, c’est le musée de la Monnaie de Paris. C’est l’adresse de la Monnaie de Paris. Ce « coffre-fort » qu’est la Monnaie de Paris devient un lieu ouvert sur la ville au cœur du 6èmearrondissement, et on peut y découvrir la beauté de l’édifice tout d’abord, des cours intérieurs qui avaient été couvertes et reprennent vie, et bien sur les métiers et l’histoire de cette industrie artisanale qui accompagne la vie des français depuis le IXème siècle.

Enfin, la nouvelle boutique est spectaculaire, installée dans l’ancienne fonderie qui devient l’écrin des créations exceptionnelles de pièces et de monnaies.

Sans oublier le restaurant gastronomique du chef étoilé Guy Savoy, également installé dans ce lieu.

Monnaie de Paris
Monnaie de Paris

La Monnaie de Paris est née en 864 pour « battre monnaie ». Cela en fait la plus vieille entreprise du monde ! C’est en décembre 1775 qu’elle s’installe dans ses locaux de la rue de Conti.

C’est donc dans ses locaux, totalement rénovés, désormais ouverts sur l’extérieur ainsi que sur les artisans qui y travaillent, que nous allons pouvoir découvrir l’art de créer ces monnaies auxquelles on prête aujourd’hui si peu d’attention

La Monnaie de Paris – le parcours de découverte des monnaies

Un parcours expérimental permet aux visiteurs que nous sommes d’être acteurs de la visite, de découvrir à travers des vues sur les ateliers la dernière usine de Paris, de voir les artisans en action, là, à leur poste de travail.

Les savoir-faire, les secrets de fabrication de la monnaie ainsi que les collections patrimoniales de l’institution, pour certaines conservées à l’abris des regards jusqu’alors, seront enfin dévoilés au public.

On assiste en direct à la gravure, la frappe, au calibrage, on découvre les machines utilisées au fil des ans, jusqu’au résultat final que sont les monnaies créées dans cette institution.

On découvre aussi ici le mètre étalon, mais aussi les racines de l’école des Mines !

La Monnaie de Paris – la fonderie devient boutique

La Monnaie de Paris produit donc aujourd’hui des monnaies. Des pièces exceptionnelles qui séduiront tous les collectionneurs, et les autres !

Actuellement par exemple, c’et la collection Jean Paul Gaultier qui est à l’honneur. Faites un tour du côté de l’exposition de ces petites merveilles, et découvrez la mise en scène créée pour les accompagner.

La Monnaie de Paris 11 quai de CONTI 75006 PARIS

 

Redécouvrir Paris en trois livres

Redécouvrir Paris

Parce qu’en vacances Paris me manque ! Si, si ! Alors en guise de lecture estivale, installée sur un hamac, je parcours les dernières parutions, celles dont j’espère qu’elles vont me donner de nouvelles idées pour partir en vadrouille dès la rentrée.

J’ai donc parcouru, étudié, décortiqué trois ouvrages très différents. Deux qui permettent d’avoir une vision globale de notre belle capitale, et un qui prend un tout autre chemin en célébrant un quartier cher à ceux qui ont conçu et écrit le livre : le village Paul Bert. Nous y reviendrons.

Commençons donc par les ouvrages généralistes.

Redécouvrir Paris – PARIS surprises 500 coups de coeur

Le concept est simple et annoncé dans le titre.

500 coups de coeur, adresses et lieux, à découvrir ou redécouvrir, classés par thématiques :
100 thèmes, 5 propositions pour chacun d’entre eux ! Original, riche, et adapté tant aux touristes ( francophones !) qu’aux parisiens d’ailleurs.
Un concept qui m’a séduite.
Des adresses très récentes par exemple, comme ces nouveaux bars secrets dont on se passe les adresses en faisant jurer la plus grande discrétion.
Une grande variété de thèmes, qui va de la jolie promenade, aux bars de palaces, en passant par les plus jolis cinémas, et bien sur le shopping : boutiques pour enfants, magasins de jouets, mais aussi « sur mesure «  et papeteries. On trouve même 5 adresses de mercerie, parce que, comme chacun sait, le DIY fait son come back !
Bon, j’avoue que l’absence du XIIIème dans la carte générale de PARIS intitulée « vue d’ensemble » m’a heurtée, et aurait pu devenir une raison de refermer le livre de façon définitive ! D’autant que certaines adresses de mon arrondissement sont évoquées dans le livre, comme la Butte aux Cailles, ou encore le restaurant Les Cailloux, mais elles sont rattachées au Quartier Latin. Bref.
Bien sur, pour les parisiens avertis, la proposition est parfois convenue et quelques fois incomplète comme par exemple la sélection des 5 lieux « mono produits » dans lesquels n’apparaissent pas les célèbres choux alors que Popellini était le précurseur de ce concept qui a fait de nombreux émules depuis.
Mais il s’agit là d’un référentiel plutôt complet qui peut s’avérer utile pour touristes comme pour parisiens.

Redécouvrir Paris – Tip-Top tips to Paris

Là, vous l’aurez compris, la cible est anglophone. On commence par 7 balades recommandées pour découvrir la ville à pieds.
 
La première, conçue pour moi, guide nos pas le long des deux îles de la capitale.
Les conseils et tips sont tantôt historiques, tantôt pratiques.
Par exemple, on apprend le nom des îles qui étaient à cet emplacement 400 ans auparavant : l’ile au Juifs, l’île de la Gourdaine, l’île aux vaches et l’île aux cygnes.
Côté pratique, il est recommandé de venir visiter Notre Dame dès l’ouverture, ou d’être prêt à patienter longtemps, longtemps, la visite étant sans réservation.
De ci de là, une adresse pour manger : Berthillon, ou la place Dauphine ( sans précision de restaurant) .
7 visites à pied, qui représentent la moitié du livre environ.
Puis viennent les recommandations thématiques : musées, parcs et jardins, marchés, un chapitre très conséquent sur les délices du palais, un peu de shopping, on finit sur les incontournables romantiques de la ville, et le tour est joué.
En résumé, sympathique pour des idées de promenades à pieds, et très riche en bonnes adresses pour les gourmands ! Il manque à mon goût des images ( le livre est en texte exclusivement).
Par ailleurs, dans la rubrique adresses gourmandes, le choix est très vaste, mais les informations pas homogènes : pour certains on a l’adresse , d’autres adresse et téléphone, et même parfois aussi le site internet, mais rien de systématique !

Redécouvrir Paris – focus sur le Village Paul Bert

Ici, c’est aux parisiens que l’on s’adresse. En partant à la rencontre de ce quartier village et de ceux qui l’animent au sens propre du terme.
 Ainsi, chaque page tournée est une rencontre. Une rencontre avec des passionnés. Il y a là certaines des adresses les plus courues de Paris. Septime et son chef Bertrand Grébaut. D’ailleurs, pour le plaise de savourer un de ses plats, il vous offre
 ses poireaux crayons, oseille, oeufs de truite et mûres sauvages.

La promenade continue, et du Chardenoux de Cyril Lignac au Bistrot Paul Bert de Thierry Laurent, ce sont rencontres, partage de recettes, et mêmes bonnes adresses.

Découvrir les portraits des créateurs passionnés de ces adresses aux noms déjà familiers donne envie d’immédiatement les tester toutes !

Alors il nous faut remercier François Simon, un critique gastronomique, Bertrand Aboyneau, un des restaurateurs de cette rue, et aussi Rosapark, agence de com, qui se sont unis pour donner naissance à ce très beau livre.

Peut-être que Village Paul Bert sera le premier d’une longue liste d’autres villages de Paris !

Salon de la Photo 2017 – c’est presque bientôt

Le Salon de la Photo fête ses 10 ans

Cet évènement annuel est une rencontre phare pour les amoureux de la photographie.

Chaque année le Salon accueille une exposition d’un artiste de renommée mondiale, et cette année, pour l’anniversaire de ses dix ans, c’est  Sebastião Salgado, une des grandes figures de la photographie contemporaine, qui est à l’honneur avec deux expositions de ses oeuvres.

Salon de la photo
Salon de la photo

La première s’intitule Parfum de Rêve.

Commencé en 2002 au moment de la rencontre entre Sebastião Salgado et Illy, c’est un voyage à travers les pays producteurs de café, basé sur une valeur précise: le développement durable.

Des images en noir et blanc qui célèbrent le quotidien de ceux qui travaillent sur ses plantations. Un témoignage photographique construit, image après image, dans les pays où Illy achète son café comme le Brésil, l’Inde, l’Indonésie, l’Ethiopie, le Guatémala, et tant d’autres.

La deuxième exposition dédiée au photographe consistera en quarante oeuvres issues des Collections de la Maison Européenne de la Photographie allant d’Autres Amériques (1985) jusqu’à Exodes (2000). Une façon originale de découvrir l’évolution du travail de Sebastião Salgado.

Salon de la Photo – demandez le programme

Un photographe de renom à l’honneur comme chaque année, mais surtout tous les amateurs de photo également. Ici, c’est le paradis pour tous ceux qui pratiquent, un peu, beaucoup, passionnément.

Il y a les nouveautés en termes de matériel et de techniques. Le Salon de la Photo permet de découvrir les derniers modèles, les derniers bijoux concoctés par chaque marque, et les innovations techniques en termes de matériel ou encore d’impression.

Et puis il y a les artistes. Experimentés ou en passe de l’être.

Vous pouvez d’ailleurs voter pour votre photographe préféré dans la liste des nouveaux talents sélectionnés pour l’édition 2017.

Salon de la Photo 2017 – tarif réduit

Pour que nous puissions tous ensemble fêter cet anniversaire des 10 ans du Salon, profiter des expositions, découvrir toutes les nouveautés , je vous offre une réduction de 50% sur votre billet d’entrée.

Avec le code THPN17 en vous connectant sur https://badge.lesalondelaphoto.com/accueil.htm, vous pourrez ainsi acheter vos billets au tarif de 6 € et être prêts pour ces journées dédiées à la photo !

On se voit au Salon ?

Salon de la photo 2017 – du jeudi 9 novembre au lundi 13 novembre 2017

Journées du patrimoine 2017 – êtes vous prêts ?

Journée du patrimoine 2017 – pour ne rien manquer

Les journées du patrimoine ont une caractéristique : elles reviennent chaque année !

Et chaque année se posent les mêmes questions : que faire ? Quoi visiter ?

Et pour ne rien manquer, il faut se préparer. Planifier.

Journées européennes du Patrimoine
Journées européennes du Patrimoine

Entre les lieux habituellement ouverts au public moyennant paiement et qui deviennent gratuits pendant ces deux journées, ceux qui ne sont ouverts que pendant ces 48 heures extra-ordinaires, entrainant des files d’attente conséquentes mais pour des endroits qui en valent certainement la peine, comme par exemple l’hôtel d’Evreux, mieux connu sous le nom de L’Elysée !

Capture d’écran 2017-09-05 à 09.01.21Et enfin ceux qui ouvrent leurs portes exclusivement sur inscription, le choix est rude. Cette année Jeunesse et Patrimoine sont à l’honneur, avec de multiples propositions pour les familles et les enfants. Alors allons y !

Journées du patrimoine 2017 – celles qu’il faut réserver

Pour les amoureux d’horlogerie, la Maison Bucherer célèbre la 34ème édition des Journées Européennes du Patrimoine et s’inscrit dans le programme des Journées Européennes du Patrimoine .


La maison ouvrira ses portes autour de trois animations horlogères pour petits et grands.
Au programme : un jeu de piste à travers le magasin pour les enfants, une immersion dans les rouages d’un mouvement, ainsi qu’un voyage au cœur de l’horlogerie afin de découvrir les nouvelles technologies et les nouveaux matériaux utilisés aujourd’hui.

La participation se fera sur rendez-vous uniquement au travers d’une plateforme de réservation : www.buchererparisreservation.fr

Vous adorez la belle maroquinerie, Lancel vous accueille !

Pour la première fois, la Maison Lancel ouvre ses portes pour ces Journées du Patrimoine 2017 et va vous permettre de découvrir la diversité des métiers et des savoir-faire au sein de son hôtel particulier de la rue Ampère, dans le XVIIè arrondissement, à Paris.

Lancel a choisi d’ouvrir ses portes pour une visite exclusive et privée dévoilant des pièces d’archives uniques

• l’Atelier : un voyage au cœur de la création avec mise en lumière des étapes de conception d’un sac en présence d’un compagnon du devoir.

 la visite commentée sur l’histoire de la maison Lancel de 1876 à nos jours : présentation des pièces historiques et l’innovation de la maison à travers les époques.

La visite dure 40 minutes et les créneaux sont organisés de 10h à 18h – sur inscription. Attention, à l’heure où je j’écris, certains créneaux sont déjà complets, mais il reste encore pas mal de places alors c’est le moment ou jamais !

Pour participer, il vous faut envoyer un email à l’adresse :
journeesdupatrimoine@lancel.fr en précisant vos coordonnées, les noms et prénoms des participants (maximum 4 personnes) et l’horaire de visite souhaité. Une confirmation d’inscription vous sera ensuite envoyée.

Les Galeries Lafayette ne sont pas en reste et proposent visites et ateliers pour enfants. Une  occasion de coupler découverte et shopping, et d’en apprendre plus sur les grands magasins en général, et sur les Galeries Lafayette en particulier, depuis leur naissance en 1894.

Toujours dans la catégorie Grands Magasins, le BHV Marais propose de découvrir son jardin perché. Une occasion de découvrir  un espace de 1 420 m² de culture verticale, soit la plus grande surface végétalisée verticale implantée sur un toit en France.

Et puis il y a la RATP qui participe comme chaque année. Partez à la découverte du patrimoine de cette instituion, des coulisses, et participez à un jeu de piste. Bien sur, là aussi il faut s’inscrire ! Et les inscriptions débutent tout simplement MAINTENANT !

Enfin, un dernier évènement pour les enfants, petits et grands : les ateliers Ravensburger à la Maison de l’Alsace pour fabriquer tous les monuments parisiens en puzzle 3D !

Pensez à vous inscrire sur l’évènement Facebook !

Journées du Patrimoine 2017 – et tout le reste !

Il y a tant à voir, vous avez l’embarras du choix ! Et pour démêler tout ça et faire le tri, le site officiel fonctionne par géo localisation, et filtres en tous genres.

Prenons quelqu’un qui ne souhaite pas sortir de Paris – toute ressemblance avec une personne ayant existé est fortuite bien sur !

Et bien voilà un aperçu synthétique des possibilités.

Sur la droite apparait la liste des 856 évènements symbolisés sur la carte ! Si toutefois vous avez une idée plus précise, vous pouvez filtrer.

Par exemple, prenons les évènements gratuits, ouverture exceptionnelle, première participation, et cela donne ceci.

Vous l’aurez compris, les possibilités sont multiples, il ne reste plus qu’à choisir !

Journées Européennes du Patrimoine 16 et 17 septembre 2017 

Le Panthéon – 3 très bonnes raisons de le visiter

Le Panthéon – aux grands hommes

Le Panthéon, nous le connaissons tous. Un lieu mythique, un point de vue extraordinaire depuis la rue Soufflot, là, à quelques pas des jardins du Luxembourg. Mais est-ce que vous le connaissez VRAIMENT ?

Alors suivez-moi, pour une découverte à angles multiples, et de bas en haut.

Visiter le Panthéon – avoir le souffle coupé

Quand on pénètre dans le Panthéon, c’est l’architecture même de l’édifice qui s’impose d’emblée et vous coupe le souffle.

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Impossible de rester insensible à cet édifice unique imaginé par M. Soufflot, qui a donné son nom à la rue qui y mène depuis le jardin du Luxembourg. Son ambition était de rivaliser avec Saint-Pierre de Rome et Saint-Paul à Londres. Le péristyle monumental par ailleurs s’inspire du Panthéon d’Agrippa à Rome.

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Ici, on est happé vers le haut par cette coupole qui culmine  à 67 mètres.

Shot with DXO ONE Camera
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Initialement construit pour être une église, au XVIIIème siècle, qui abriterait la châsse de sainte Geneviève, ce monument a maintenant vocation à honorer de grands personnages ayant marqué l’Histoire de France

Il faut savoir qu’on ne voit en réalité qu’une petite partie de sa structure. En effet, il n’y a pas une coupole mais 3, en mille feuilles, comme on peut le voir sur la maquette en coupe du monument.

Imposant également, le célèbre pendule de Foucault, qui démontre que la terre tourne à ceux qui en douteraient.

C’est en 1851 que l’inventeur Léon Foucault invite tout le monde à un grand événement, à Paris : « Venez voir tourner la terre » ! Il présentera à tous son « Pendule », ce drôle d’instrument qui a pour but de prouver que la terre tourne sur elle-même !

Accroché au plafond, il y a un très long fil auquel est suspendue une boule en métal doré, tout près du sol. Elle pèse 28 kilos. Elle se balance d’avant en arrière, très lentement, comme une balançoire sans jamais repasser  au même endroit.  Foucault explique ce curieux phénomène : selon lui, son pendule se balance bien correctement mais c’est le sol qui a légèrement bougé entre l’aller et le retour du pendule. C’est parce que la planète tourne tout doucement sur elle-même et nous avec.

Tout s’explique donc.

Visiter le Panthéon – plonger dans la crypte

Après l’émerveillement de la solennité du lieu quand on pénètre dans le Panthéon, il est temps de plonger dans la crypte.

C’est là que se trouvent les sépultures des  personnes inhumées au Panthéon (dont 4 femmes depuis 1995), ceux dont on sent battre les belles âmes entre les murs et qui donnent vie au lieu.

Je ne suis pas parvenue à trouver le nombre précis de personnalités. Il varie entre 75 et plus de 80 selon les sources, dont 4 femmes « pour leur mérite propre  » et celles qui sont là en tant qu’épouses.

Une chose est certaine, celle qui disait en 1992  » qu’il n’y ait aucune femme au Panthéon, c’est nier ce que dans le passé les femmes ont apporté à la patrie  » , sera la 5ème femme panthéonisée : Simone Veil. Et son mari sera a ses côtés, premier homme inhumée en tant qu’époux.

Visiter le Panthéon – prendre de la hauteur

Et puis le moment est venu de prendre de la hauteur.

Parce que depuis avril 2017 et jusqu’au mois d’octobre, il est  possible d’accéder au sommet de l’édifice et de découvrir une vue à couper le souffle.

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Au fur et à mesure de la progression dans les étages l’édifice se livre au regard du visiteur permettant de découvrir de nouveaux angles.

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On découvre la coupole de l’extérieur avant d’atteindre le point culminant de ce périple unique.

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Le coucher du soleil est indéniablement un moment parfait pour cette découverte qui est réservée à 50 personnes par visite,  aux horaires suivants : 11h00, 14h30, 15h30 16h30 (sous réserves)

Vue panoramique à 360° sur Paris. 206 marches. 35 mètres de haut.

Une telle vue se mérite, mais elle en vaut tellement la peine !

Alors quand vous irez visiter le Panthéon, gardez en tête que pour 2€ de plus vous aurez accès à une vue unique dont on ne sait pas quand il sera possible de la voir à nouveau.

Centre des Monuments Nationaux – le Panthéon  

place du Panthéon Place du Panthéon, 75005 Paris