Découvrir Montmartre

 A la découverte des quartiers de Paris

Pariscityvision : un nom connu par les parisiens. Particulièrement ses bus à deux étages qui permettent de découvrir la ville confortablement installé et sans effort.

Mais Pariscityvison propose plus : des visites sont proposées pour partir à la découverte des quartiers parisiens, accompagné d’un guide, ou même de comédiens.

Arpenter les rues, s’arrêter pour découvrir une statue, un point de vue, apprendre tous les détails historiques du quartier avec un guide professionnel qui connait la ville mieux que sa poche.

La liste des quartiers à découvrir est longue est variée. un moyen de redécouvrir un pan de la ville que l’on croit déjà connaitre, ou bien de partir s’aventurer à l’autre bout de la capitale, là où généralement on ne s’aventure pas.

Et puis il y a des visites thématiques, comme les lieux de tournage, ou la découverte gourmande du Marais.

J’ai choisi de m’aventurer du côté de Montmartre. Soit donc la version « à l’autre bout de la ville » en ce qui me concerne, moi qui m’aventure rarement si loin de mon XIIIème !

Découvrir Montmartre

Montmartre est une carte postale parisienne. Photographiée, filmée des millions de fois, la Butte oscille entre destination touristique et village parisien typique.

Le Sacré Coeur bien sur, la place du Tertre bien entendu, mais il y a tant d’autres pépites à découvrir.

Et une histoire à apprendre, celle qui passe par des hommes pieux décapités, des peintres en goguette, de courageux chevaliers torturés et pendus pour n’avoir pas voulu se découvrir au passage d’une procession.

Découvrir Montmartre avec PariscityVision

C’est parti pour deux heures de découverte.

La promenade commence précisément boulevard de Rochechouart , là où se trouvait le mur des fermiers généraux, frontière entre Paris intramuros et les communes limitrophes.

Ces mêmes communes qui, avec Napoléon III , vont être intégrées à la ville en 1860, doublant ainsi la surface de la ville et sa capacité à accueillir ceux qui y travaillent.

C’est son expérience personnelle qui joue sur ses choix et ses décisions de modernisation de la ville.
Les années passées à Londres et en Italie l’inspirent et c’est ainsi que sont lancés les grands travaux haussmaniens qui bouleversent le paysage urbain, assainissent la ville, fluidifient le trafic et la circulation.

Bien sur, ces travaux permettent aussi à l’empereur de contrôler le territoire, puisque les quartiers populaires du centre de la ville sont rasés pour être remplacées par de superbes avenues, larges et faciles à maitriser en cas d’émeutes et autres manifestations populaires.

Traversons donc le boulevard Rochechouart, qui est la frontière entre le IXème et le XVIIIème, et c’est parti pour l’ascension de la Butte.

Le Sacré Cœur est donc là, omni présent, au bout de chaque ruelle, au détour de chaque rue.
son existence est intimement liée à la commune de Paris et à la chute de Napoléon III.

En effet, le déclenchement de la Commune de Paris part de Montmartre où se trouvent d’importants stocks de canons.

Cette révolte fait l’objet d’une répression très violente du gouvernement.
A la suite de ces évènements un haut dignitaire de l’église demande pardon à Dieu au nom de la France et fait vœu public d’ériger un temple pour que la France soit pardonnée des massacres perpétrés.

C’est ainsi qu’est décidée la construction de cette église,  construction longue et très compliquée principalement à cause des contraintes géologiques et de la présence de carrières sous-terraines qui rend tous travaux complexes.

C’est donc entre 1875 et 1923 que la construction progresse, évolue.

Nous voici donc au pied de la basilique.

Ne manquez pas, dans la montée, après le funiculaire, de prendre sur votre gauche, pour rejoindre l’angle des rues Azaïs et Saint Eleuthère d’où la  vue sur Paris et la Tour Eiffel est unique.

En passant aussi, découvrez la statue de ce chevalier mort exécuté à 19 ans pour n’avoir pas voulu se découvrir au passage d’une procession : le chevalier de la Barre.

Mais d’où vient le nom Montmartre ?
2 versions cohabitent.

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L’une basée sur l’existence d’un temple romain à l’emplacement de l’actuelle basilique Saint Pierre, derrière le Sacré Coeur, basilique dans laquelle se trouvent deux colonnes à priori issues des ruines de ce temple, dédié à Mars. C’est donc de là que viendrait le nom de la butte.

L’autre, que je préfère personnellement, serait associée au martyr de Saint Denis, premier évêque de Paris, qui fut décapité mais prit sa tête entre ses mains pour se diriger vers Saint Denis où il s’écroula.

Découvrir Montmarte, c’est aussi découvrir les lieux au travers du regard et de la vie des artistes qui y vécurent, et de ceux qu’on y trouve aujourd’hui, sur la place du Tertre par exemple.

Van Gogh est un des noms illustres de ceux qui ont marqué la Butte, même s’il n’y vécut pas comme Renoir ou Pissaro.

Utrillo également, et sa célèbre maison Rose, sans doute un des édifices les plus photographiés du quartier.

Les ruelles que l’on peut emprunter sont si nombreuses. Très vite, on peut s’extraire de la foule dense des touristes et découvrir la Butte cachée, plus secrète.

Celle que mannequins et photographes amateurs ou professionnels apprécient tout particulièrement.

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En redescendant, on rencontre une pâtisserie récemment installée, celle de Gilles Marchal.

Mais aussi le célèbre Moulin de la Galette.

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Et bien sur, ce sont les Abbesses avec leurs cafés , le mur des Je T’aime, et la station de métro la plus profonde de Paris.

Vous l’aurez compris, deux heures de balade guidée sont la meilleure façon de commencer l’exploration que vous continuerez ensuite seuls, avec une envie irrépressible d’en découvrir encore plus !

Merci PariscityVision pour cette jolie promenade.

Passage des Panoramas

Passage des Panoramas

Au premier coup d’oeil, il semble que ce passage historique parisien soit restée bloqué dans le temps

FAUX !!!!

En fait, en y regardant à deux fois, tous les signes de renouveau sont là.

Passage des Panoramas
Passage des Panoramas

Mais commençons par le commencement…

Passage des Panoramas – un peu d’histoire

Le passage des Panoramas est un des tout premiers passages couverts parisiens. Il date de 1800, époque florissante pour ces nouveautés architecturales vouées à protéger les les promeneurs des intempéries.

Ce qui le caractérise c’est qu’il a innové avec des toitures vitrées puis, en 1816, le premier essai d’éclairage au gaz. Ainsi, quand on y pense, il est l’ancêtre des galeries marchandes du XIXe siècle et des centres commerciaux du XXème.

Mais pourquoi ce nom ?

Lors de sa création une exposition commerciale était installée au-dessus de l’entrée. Elle consistait en deux rotondes où étaient peints des tableaux panoramiques représentant des paysages de Paris, Toulon, Rome, Jérusalem et d’autres grandes villes célèbres. Les rotondes ont disparu, mais le nom est resté.

Venons en maintenant aux commerces que l’on trouve dans ce passage.

Les commerces historiques du passage des Panoramas

Ce qui saute aux yeux dès que l’on pénètre dans le passage, c’est la présence de multiples enseignes dédiées aux philatélistes, et autres commerces pour collectionneurs de cartes postales, monnaies, voire même autographes.

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dans le passage des Panoramas se trouvait  l’atelier d’un graveur historique parisien, Stern Graveur, qui a malheureusement du céder son local pour le laisser devenir un restaurant salon de thé.

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Et pourtant. Cet imprimeur avait une vraie place dans notre patrimoine national puisqu’il avait un client, non des moindres, puisqu’il s’agit de  l’Elysée.

Heureusement, il n’est parti que pour s’installer au plus près de son président de client puisque l’adresse parisienne est désormais au 131 rue du Faubourg Saint Honoré !

Dans ces commerces historiques, des bistrots. Mais voilà le renouvellement qui arrive, et il le fait par les tendances gastronomiques du moment, et donc par le bonheur des papilles !

Manger dans le Passage des Panoramas

Commençons par » Canard et Champagne »  – french paradox

Canard & champagne
Canard & champagne

Une ancienne chocolaterie, qui héberge donc ce nouveau restaurant à la proposition gourmande et terroir , et ce tous les jours de la semaine, y compris le dimanche puisqu’il propose un brunch, au champagne bien sur !

Au menu, crêpes épaisses aux fruits des bois, des viennoiseries, du canard et du champagne !

Pour accompagner ce moment de convivialité, choisissez entre un jus d’orange, un mimosa et du champagne !

Petit + malin :  pour les parisiens en quête de quiétude le dimanche après-midi, Canard & Champagne met à la disposition des clients des nounous dans la salle du restaurant.

Brunch le dimanche, de 12h à 17h – 29 euros Coupe à partir de 6 euros et open champagne dès 25 euros

Dans un tout autre registre, mais toujours dans la catégorie « food », c’est Noglu – restaurant et épicerie – qui s’est installé ici.

Noglu Paris
Noglu Paris

Ici, on s’adresse à ce que je qualifierais de mode – au risque de me faire insulter par les gourous du  TSG « tout sauf  gluten  » – mais j’assume !

Vous pourrez donc déguster sur place, mais aussi acheter à emporte. On est jamais trop prudent, ou trop gourmand.

Noglu 16, passage des Panoramas, 75002 Paris Ouvert du lundi au samedi midi : 12h – 14h30
Et du mardi au samedi soir : 19h30 – 22h
Tel : 01 40 26 41 24

Voilà donc la démonstration qu’un même passage peut accueillir l’histoire en la préservant, et la nouveauté dans toutes ses expressions !

Passage des Panoramas 11 boulevard Montmartre 75002 PARIS

Promenade Avenue Montaigne

L’Avenue Montaigne est un mythe. Pilier du triangle d’or, elle offre aux yeux émerveillés vitrines des plus grandes marques du luxe à la française, restaurants où se croise le tout Paris, hôtel 5 étoiles, théâtre et salle de spectacles pour mélomanes.

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Et bien sur, celui qui la domine majestueusement de jour comme de nuit : le Plaza Athénée. En hiver, ce sont de superbes lierres qui ornent les balcons, et en été, une nuée de géraniums rouge sang éclairent cette façade somptueuses.

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PLaza

L’avenue Montaigne est et a toujours été le haut lieu de la mode et de l’élégance, en tous cas depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Les preuves de cette naissance à la mode sont encore visibles au sol, pour ceux qui ont la curiosité de regarder où ils posent les pieds.

On commence par Paul Poiret, le premier couturier, qui, avec Madeleine Vionnet, a supprimé le corset en 1906, en créant des robes taille haute. Il devient ainsi un pionnier de l’émancipation féminine.

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Et, au delà de la dimension historique, celle qui explique l’alignement de ces superbes immeubles et leurs petits jardins sur rue, celle qui fait revivre la première édition du sacre du printemps de Stravinsky au Théâtre des Champs Elysées, ou encore celle qui vous raconte le restaurant « Maison blanche », au delà de tout cela il y a….

Le Shopping ! Ou au moins le lèche vitrine, pour le plaisir des yeux.

En effet, l’Avenue Montaigne est le haut lieu de la virée shopping à la parisienne.

Suivez moi !

Quand on se promène Avenue Montaigne, il faut faire un vrai choix : côté pair, ou côté impair ?

J’ai commencé par vous montrer la mosaïque au sol, voici les vitrines devant lesquelles elle se trouvent : celles de Dior ! Nous sommes donc du côté pair !

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Continuons notre progression, pour découvrir les merveilles de Dior enfant.

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Et puis il y a Bluemarine, au 56. 

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Juste à côté de Dolce, au 54.

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Ralph Lauren est au 52, et ne déroge pas à l’architecture de l’avenue, perron élégant, et jolies grilles dorées.

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L’oeil sera attiré tantôt par les merveilles en vitrine, et tantôt par le style architectural, mais je vous garantis qu’une promenade avenue Montaigne ne peut pas laisser indifférent !

Alors, vous êtes prêts pour une balade le long d’une avenue mythique ?

On pourrait prendre un café à L’Avenue, et avec un peu de chance, croiser un ou deux ministres, en compagnie de Jean-Pierre Elkabbach !

Art liberté – du Mur de Berlin au street art

La gare de l’Est a bien changé ! voilà des années que je ne m’étais pas rendue dans ce quartier, et la surprise a été de taille.

Un fronton resplendissant, une superbe esplanade devant le bâtiment principal, et une exposition artistique, colorée, à la dimension historique puisqu’il s’agit de faire découvrir les peintres emblématiques qui ont oeuvré sur le mur de Berlin, ainsi que de multiples grands artistes internationaux du street art.

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« Art Liberté – du Mur de Berlin au Street Art » est un projet porté par SNCF en partenariat avec La Mairie de Paris, la Mairie du 10ème arrondissement avec la contribution de Sylvestre Verger Art Organisation (SVO Art), propriétaire d’une collection hors norme de morceaux du Mur de Berlin.

Cet événement est le premier acte d’un projet commun visant à améliorer la liaison entre les quartiers des gares de Paris-Est et de Paris-Nord / Magenta.

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Depuis le 15 avril, la Gare de l’Est surprend les riverains, et les visiteurs comme moi, avec une fresque de 47 mètres de long réalisée sur le mur de la rue d’Alsace (Paris 10ème) par Thierry NoirChristophe Emmanuel Bouchet et Kiddy Citny. Ces trois précurseurs du street art ont été les premiers à peindre des fresques sur le Mur de Berlin dès 1984.

Des artistes français familiers ont également participé : Mesnager par exemple.

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Ou encore Jef Aerosol.

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Trois Trabant, voitures mythiques de l’ex RDA transformées en œuvres d’art par Christophe Emmanuel Bouchet,Thierry Noir et Kiddy Citny ont été placées au coeur de l’exposition. 

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Pour la première fois dans une exposition, les visiteurs peuvent découvrir en vidéo la création des œuvres et écouter les commentaires des artistes, grâce aux QR codes et leur téléphone portable

Gare de l’Est Paris 75010

La rue du Chevaleret – à découvrir de toute urgence

La rue du Chevaleret est une rue qui a plusieurs vies. Coincée dans le XIIIème arrondissement en contrebas de la rue Tolbiac, à l’ombre du nouveau bâtiment qui couvre les voies ferrées et héberge un H&M géant, on n’aurait pu ne pas donner cher de sa peau…. Et pourtant !

La voici qui renait, vivante, dynamique, comme ces rues parisiennes que j’aime tant, et nous propose un éventail d’enseignes, principalement alimentaires mais pas que, toutes tenues par de jeunes entrepreneurs audacieux et dynamiques.

Commençons du côté pair, par la boucherie nouvelle génération.

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Boucherie Persillé
Boucherie Persillé

Persillé 66 rue du Chevaleret

Un nouveau type de commerce de proximité autour de la viande : de l’éleveur, directement au consommateur. De la viande française de grande qualité,emballée sous vide , en libre service.

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Plus de 70 références de produits, viande fraiche, charcuterie, volaille, rôtisserie. Chez Persillé, vous pouvez aussi déjeuner en choisissant votre viande qui sera cuite sur place et accompagnée de frites maison ou des légumes de la semaine. Et quand il fait beau, les tables billot sortent sur la terrasse. Des tartares, des burgers, des grillades, vous allez vous régaler  chez Persillé.

Continuons chez le voisin, une sorte de caverne d’ail baba pour gourmands.

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J'aime ton goût
J’aime ton goût

 J’aime ton goût 68 rue du Chevaleret 75013 Paris

Les amoureux d’arômes et de saveurs du monde et de nos régions vont trouver ici de quoi les combler.

Dès que l’on passe le pas de la porte, le lieu surprend. En effet, son plafond a été conçu par un lauréat de l’école Boulle, et ça se voit !

J'aime ton goût
J’aime ton goût

Cafés, thés, chocolats, confiseries, biscuits, miels et confitures, épices et condiments, vous trouverez tout ce qui réjouira vos papilles chez J’aime ton goût.

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Sans parler de ces superbes tasses en Fine China,   de vraies merveilles.

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J’AIME TON GOÛT est né de la rencontre entre un maitre artisan torréfacteur parisien et un commercial passionné du quartier Paris Rive Gauche. N’hésitez pas à aller lui rendre visite, il vous racontera tout avec passion !

En progressant sur la rue, c’est la rencontre du fait maison bio chez Yuman.

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YUMAN 70 rue du Chevaleret

Gilles Tessier, voyageur et amoureux de la planète ouvre YUMAN, restaurant 100% biologique. Son crédo : agir au quotidien, avec enthousiasme, pour sa santé et celle de la planète.

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Chez YUMAN, tout est ‘’fait maison’’, à partir de produits frais, de saison et locaux. Chaque jour des plats avec viande et poisson, végétariens, sans gluten ou sans laitage son proposés.

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Cantine à midi, restaurant le soir, (élu parmi les 5 meilleurs de la capitale)

Chez Yuman ce weekend, pour cette fête du printemps, vous pourrez déguster un brunch, le premier ! Pensez à réserver.

Après une belle balade sur le côté pair de la rue du Chevaleret, un petit cocktail s’impose ! Ce sera chez Kitty !

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Le soixante douze 72 rue du Chevaleret

C’est le tout nouveau restaurant afro caribéen de Ketty Sina !

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L’équipe du 72 vous y propose une cuisine et des cocktails métissés midi et soir dans une ambiance chaleureuse ! Au programme : concerts, happy hours, brunchs, après midi Salsa, soirées à thèmes… Venez découvrir ce tout nouveau lieu dédié au métissage culinaire et musical !

 Puis il est temps de traverser pour découvrir le côté impair de la rue.

En face

Un café installé là depuis 10 ans : L’arobase café

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L’arobase café 101 rue du Chevaleret 75013 Paris

Il a vu grandir le quartier et ses habitants. Fidèles à l’ambiance conviviale instaurée par sa fondatrice Chloé, Rodolphe et son équipe ont repris le flambeau. Au menu : café, brunch, déjeuners, bagels .

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Wifi, presse quotidienne, expositions : un lieu idéal pour tous vos rendez vous. 

Ce weekend, brunch dès 11h00, et ce sera désormais le cas tous les dimanches.

Son voisin est encadreur. 

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L’encadreur 103 rue du Chevaleret

Arrivé en septembre dernier Vincent Tiercin, fils et petit fils d’encadreur d’art, se fait un plaisir de vous conseiller sur vos projets d’encadrement. Dans cette ancienne boucherie du début
du siècle dernier vous trouverez une palette spectaculaire de cadres pour pouvoir encadrer toutes vos oeuvres. Il dispose aussi d’un espace galerie, où il accueille une sélection d’artistes dont les oeuvres sont encadrées par ses soins bien sur. Un lieu où l’art et le savoir-faire sont mis en avant pour un bonheur au quotidien.

Je vous ai donné là un aperçu de la richesse de ce petit bout de rue qui devient grand !

A l’image de la Jeune rue, ou encore de la rue du Nil, une démonstration de l’énergie, l’enthousiasme de ces nouveaux commerces de quartier que l’on aime tant.

Alors on se donne rendez vous pour le printemps du Chevaleret dès vendredi ? tout le programme des festivités est !

Soleil sur PARIS

Aujourd’hui, histoire sans paroles.

Juste quelques images de Paris sous le soleil, pour le plaisir de nos yeux et de nos corps engourdis par l’hiver.

Paris sous le soleil - Notre Dame
Notre Dame

 

Paris sous le soleil - Hôtel de Ville
Hôtel de Ville
Paris sous le soleil - Parvis Beaubourg
Parvis Beaubourg
Paris sous le soleil - Beaubourg
Beaubourg
Terrasse ensoleillée
Terrasse ensoleillée
Place des Vosges
Place des Vosges
Sur un banc, au soleil
Sur un banc, au soleil
Place des Vosges
Place des Vosges
Arcades
Arcades
Notre Dame
Notre Dame

La boucle est bouclée !

Et vous, comment allez-vous profiter de ce temps printanier ?

 

La rue des Martyrs- rue des métiers de bouche

La rue des Martyrs – en commençant par le haut

Voilà une rue au coeur de l’actualité parisienne depuis maintenant quelques années. Une rue vivante, animée, réservée aux pistons le weekend, et proposant un très large choix de propositions gastronomiques.

On commence donc par la place Lino Ventura. 

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Un incontournable de ce SOPI que l’on ne présente plus … South of Pigalle, vous voyez !

Alors bien sur, impossible de vous parler de tout ! Et puis il y a aussi de charmantes boutiques de vêtements, mais nous y reviendrons.

Pour commencer donc, la partie haute de la rue, des adresses pour bruncher, et un focus sur « Le pain quotidien ».

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Bien sur, il y a le café Marlette. Mais malheureusement cet endroit ne prend pas de réservation. Victime de la qualité de ses produits, et donc d’un succès  d’une constance remarquable, et aussi de la gentillessse du personnel puisque, alors que je m’adressais à elle pour lui dire que nous ne pourrions attendre plus longtemps, la charmante hôtesse m’a tout de même proposé de gouter un morceau de leur délicieux financier, histoire de me faire regretter notre départ prématuré !

Mais cet endroit est vraiment trop exigu, et je ne saurais que leur recommander  de très vite s’agrandir !

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Juste à côté, Fuxia. Valeur sure pour un repas italien comme je les aime. Je n’ai jamais testé celui ci, mais nous sommes des habitués de celui face au Jardin du Luxembourg, ainsi que de celui qui se trouve place du marché Saint Honoré, et nous n’avons jamais été déçus.

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En face, dans un autre registre, de quoi se régaler avec une belle gaufre, pour le dessert par exemple ? C’est le Comptoir Belge, et je le testerai très vite, c’est promis. Une gaufre, cela ne se refuse pas !

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A côté des gaufres, une épicerie dédiée au saumon.

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Et puis Lov’ Organic, un classique désormais des thés et infusions bio de qualité.

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Et le Pain Quotidien, qui nous accueillera pour ce brunch dominical. Une valeur sure, déjà testée rue de Varenne, et très fiable concernant la qualité des produits, même si le service est un peu chaotique en ce dimanche matin. Nous n’aurons pas eu nos confitures et la gaufre commandée a été oubliée. Mais finalement, c’est tant mieux : tout est si copieux que cela aurait été largement superflu d’ajouter à nos brunchs et petit déjeuners une gaufre supplémentaire !

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Autre point positif : on peut prendre un brunch bien sur, mais aussi tout ce qui est à la carte en cas de petite faim, et ça, c’est très appréciable !

Mais les brunchs valent le détour , et voici donc le Royal Charcuterie et le Royal Saumon.

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Et le chocolat chaud commence par une expérience de création puisque qu’on vous sert le bol de lait et le pot de chocolat !

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La promenade s’arrête là pour aujourd’hui, mais comme je vous le disais, la découverte ne fait que commencer.

Il y aura de la glace, quand le soleil reviendra !

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Et des cookies en toute saison !

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Café Marlette 51 Rue des Martyrs, 75009 Paris tel : 01 48 74 89 73

Fuxia 51 Rue des Martyrs Paris

Le comptoir belge 58 Rue des Martyrs, 75009 Paris

Le Pain quotidien 54 Rue des Martyrs, 75009 Paris tel: 01 42 81 92 09

Lov’Organic 54 Rue des Martyrs, 75009 Paris

Glazed 54 rue des Martyrs 75009 Paris

 

A la découverte du Paris vert et durable

Une journée sous le signe du développement durable.

C’est ce que nous ont proposé ParisOTC et Paris Zigzag, pour une journée éco responsable au coeur de Paris.

Rendez-vous dans le Marais, dans un hôtel dont nous allions vite découvrir qu’il portait bien son nom : Les Jardins du Marais.

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Point de départ d’une journée riche en découverte pour nous toutes, amoureuses de Paris.

Les jardins du Marais est un hôtel unique en son genre. Pourquoi ? Parce qu’il dispose du plus grand jardin d’hôtel à ciel ouvert.

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 Et pour cause : il s’agit en fait d’une ancienne rue privée piétonne qui fait désormais partie intégrante du lieu. L’hôtel s’articule donc autour de cet espace désormais privé et dispose ainsi de plus de 200 chambres.

C’est dans ce charmant espace privé, calme, paisible, que les hôtes de l’hôtel peuvent venir se ressourcer avant de repartir à l’assaut de la ville.

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 Cet hôtel a également la particularité de privilégier les produits bio, équitables, et de proximité. Imaginez, pains et viennoiseries proviennent exclusivement de leur « bonne boulangerie du coin de la rue ». quant aux autres produites, tels que le thé, les yaourts, les compotes, ils sont, soit en provenance du commerce équitable, soit bio.

La suite de la promenade nous guide, à pieds, au coeur du Marais et de ses jolies petites rue. Nous les connaissons toutes me direz-vous? Et bien sachez qu’il y a toujours des découvertes au coin de la rue, c’est bien ça qui fait le secret de Paris non ?!

Tout d’abord, ce barbier, qui existe depuis toujours, et qui a donc été par cette nouvelle tendance hipster qui a fait jaillir ici et là des échoppes similaires à la sienne : Alain rue Saint Claude .

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La différence ? Il était là bien avant , et sera là bien après que ce phénomène étrange de la mode masculine aura disparu …

Puis nous profitons de la présence d’une guide de Paris Zigzag pour regarder autour de nous avec un oeil encore plus curieux qu’à l’habitude.

Par exemple, le saviez-vous ? Ces inscriptions que l’on retrouve dans le Marais dur les mur, sous les plaques, étaient là au XVIIème siècle pour signifier l’appartenance d’un terrain à un fief, seigneurial au religieux.

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La balade se poursuit pour nous mener dans un endroit aussi paisible qu’inattendu : le Jardin Anne Frank, à deux pas du centre Beaubourg, aussi secret que son célèbre voisin est ostentatoire ! Et puis il y a ce jardin partagé qu’il abrite et qui permet aux habitants du quartier de cultiver, récolter et savourer ensemble des produits du jardin, si inattendus dans un tel environnement urbain !

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Après cette matinée riche et variée, c’est chez MERCI, boulevard Beaumarchais, que nous nous sommes rendus pour déjeuner.

MERCI, vous le savez, est LE lieu parisien que je cite quand on me demande de ne donner qu’un seul nom d’endroit incontournable à Paris ! Et j’ai pu constater avec grand plaisir que les autres participantes à cette journée qui ont découvert l’endroit pour l’occasion ont elles aussi adoré ! 

Normal me direz vous, l’endroit est génial … Et on y mange très bien!

Là aussi, bio et produits de proximité sont à l’honneur sur la carte, dans un environnement de verdure puisque la salle du restaurant s’ouvre sur une petite cour  contenant un mini potager.

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Les produits sont gouteux, les saveurs variées, chaque plat, chaque jus ayant sa particularité qui le rend unique.

Risotto cantine Merci
Risotto cantine Merci
jus frais cantine Merci
jus frais cantine Merci

Et les desserts… Les mots me manquent, comme à chaque fois !

Gâteau au fromage cantine Merci
Gâteau au fromage cantine Merci

La journée a continué sans moi car j’ai du quitter le groupe après ce délicieux déjeuner.

Mais je peux vous dire que j’ai pu entrevoir des aspects de Paris que je n’imaginais pas grâce à cette belle demi journée.

Merci donc pour cette belle visite et à très vite pour d’autres découvertes parisiennes !