Vous avez envie d’oublier la grisaille et le froid ? De renouer avec l’enfant qui sommeille en vous ? Plongez dans l’univers enchanté de l’exposition House of Dreamers !
House of dreamers Paris
House of Dreamers – tour d’Europe du rêve
L’exposition immersive « House of Dreamers » s’installe au Carrousel du Louvre à Paris. Elle vous offre une expérience inédite intégralement dédiée à l’univers des rêveurs. Après avoir déjà attiré plus d’un million de visiteurs à Milan, Madrid et Rome, cette exposition conçue par les designers italiennes Elena et Giulia Sella pose ses décors dans la capitale. Avec ses 18 installations immersives, « House of Dreamers » invite ses visiteurs à plonger dans un environnement féerique, riche en couleurs et en ambiances variées, propice à l’émerveillement et à la découverte.
House of Dreamers – sons et lumières
Chaque installation de l’exposition propose une expérience unique, dans des univers enchanteurs et merveilleux.
House of dreamers
Parmi les œuvres phares, on trouve « Changer de perspective« , « Reach for the stars« , « Sparkle more » et « Enjoy today« . Les participants peuvent explorer une piscine à boules géante aux teintes rose bonbon, découvrir une chambre suspendue au plafond ou se promener dans une forêt enchantée.
House of dreamers – forêt enchantée
Chaque espace est conçu pour stimuler les sens grâce à des projections, des ambiances sonores et des jeux de lumière. Comment ne pas retomber en enfance lorsque l’on vous offre l’occasion de plonger dans une piscine à balles !
Quant à moi, je me défoulerais volontiers sur ces superbes punching ball rose bonbon !
Retrouver son âme d’enfant
On va donc se lâcher sur un dancefloor multicolore, s’installer confortablement dans un salon renversant, ou en déambulant dans des allées parfumées croulant sur des tonnes de fleurs !
Après son passage à Paris, l’exposition continuera sa tournée à Londres, offrant à un nouveau public la possibilité de vivre cette expérience sensorielle unique. Alors, prêts à embarquer pour un voyage au cœur de vos rêves et à découvrir un monde où l’imagination n’a pas de limites ? direction la House of Dreamers !
House of Dreamers jusqu’au 12 janvier 2025 Carrousel du Louvre 99, Rue de Rivoli, 75001 Paris
Depuis une décennie une tendance se dessine clairement à Paris : la naissance de structures qui imaginent, conçoivent et créent les restaurants de demain. On ne parle plus de chef mais d’expérience 360 degrés. Lieu, atmosphère, service deviennent la signature de ces adresses où l’on ne sait plus qui est en cuisine .Est-ce qu’on y a gagné au change ?
MUN – Paris Society
Paris Society– histoire d’un succès
Le succès le plus retentissant en termes d’acquisitions de restaurants et de développement revient indéniablement au groupe Paris Society. Petit à petit ses adresses sont devenues des incontournables de la place parisienne, puis le rythme s’est brutalement accéléré. Au commencement étaient Monsieur Bleu ou encore Girafe.
Puis, dans un désordre chronologique assumé, on citera Mun, Bambini, Loulou ou Coco. Sans oublier Bonnie ou encore Dar Mima. Dans l’euphorie du succès, Paris Society s’est attaqué au rachat d’institutions parisiennes. Il y a eu Maison Blanche, complètement remodelé pour devenir Gigi. Et surtout Maxim’s et Laurent, désormais dans le giron de cet ogre de la restauration parisienne qui comptabilise aujourd’hui 29 adressesdans le monde.
Se revendiquant pionniers d’un certain art de recevoir à la française, les restaurant Paris Society appliquent un modèle désormais parfaitement rôdé à chacune de leurs adresses.
Lieu, et souvent vue hors norme, décoration léchée, service uniformisé. Quand au contenu de l’assiette, il est sans vraie surprise. En d’autres termes, la proposition est aseptisée, avec comme seule promesse une certaine garantie d’expérience globale, sans excès d’émotion ni d’âme. Promesse tenue ? Ca dépend !
Moi aussi j’ai cédé aux sirènes de la tendance, et j’ai testé Bambini, Coco, Mun et aussi Girafe, la suite Girafe et même Monsieur Bleu (contre ma volonté, et il y a longtemps !). Dans le meilleur des cas, l’expérience était correcte, le lieu exceptionnel. Pour le reste, service lamentable, assiette désespérement banale, et toujours addition exhorbitante. Et puis il y a eu Maxim’s.
Paris Society – focus Maxim’s
Après de longs travaux, cette institution parisienne a rouvert ses portes. Le décor, roccoco à souhait, ne déçoit pas. Tout a été préservé, des vitraux aux tentures, en passant par le superbe bar et ses luminaires art nouveau. On plonge dans le temps, on rêve de croiser La Callas ou Marlene Dietrich. Mission accomplie donc pour la conservation et la restauration des lieux.
Passons donc à la proposition culinaire.
La promesse consiste en ce que le site du restaurant qualifie de « classiques réinventés« . Pourquoi pas ? Seulement voilà… Il faudrait que l’on m’explique en quoi un triste soufflé dégonflé constitue une réinvention de ce plat que j’affectionne tant….
Et ce n’est pas terminé.
Ce cabillaud a subi un aller retour en cuisine puisque servi froid. Il est alors passé par la case micro-ondes et m’est revenu sous cette forme. Trop cuit, une sauce dénaturée par un réchauffement trop brutal. Le tout alors que les autres convives avaient déjà terminé leur plat…
Quant au dessert, comment un chef ose-t-il qualifier ce magma informe définitivement peu appétissant de « oeufs à la neige » ?
Je vous épargnerais le service amateur, l’addition ben trop salée. Alors il faut reconnaitre que la plus grande partie des clients étaient des touristes alléchés par la promesse d’un déjeuner mythique dans un lieu historique. Ils repartiront avec une bien triste image de ce que la restauration parisienne a à offrir.
Paris Society – total fail ou win du bout des lèvres ?
Maintenant que le décor est posé, parlons de l’expérience client. Pour commencer, il faut réserver. Et rien n’est moins simple. Même si un numéro de téléphone apparait sur le site du restaurant convoité, je vous mets au défi de joindre quelqu’un. En tous cas, personnellement, je n’y suis jamais arrivée. Heureusement, Paris Society a créé sa propre app ! Là, une fois votre compte créé, à priori, vous pouvez réserver. Sauf que les réservations ouvrent une à deux semaines avant la date, ça dépend des restaurants, ça dépend du créneau ciblé : déjeuner ou diner.
On dirait simplement que l’humain a disparu. Avec une constance qui vaut pour l’ensemble des restaurants. Et même lorsque l’humain prend le relai, en accueil ou service dans un des restaurants, il a perdu toute initiative, débitant un texte préformaté, à la limite de la caricature quand l’hôte ou l’hôtesse débute dans son rôle.
Quant aux tarifs, ils sont particulièrement élevés, voire même excessifs, là aussi, quelque soit l’adresse choisie. Disons que la vue est incorporée à l’addition.
Pourtant, ça fonctionne. La plupart des restaurants affichent complet, surtout en soirée. Ces rois du buzz ont su se rendre indispensables, idéalement adaptés à un post Instagram.
Il semblerait néanmoins que les clients viennent une fois, sans retour, si on en croit la moyenne des notes attribuées aux différentes adresses : Coco plafonne à 3,4,Dar Mima 3,3 ou encore Bambini 3,1 !
Est-ce que cet indicateur va finir par alerter les clients trop prompts à se précipiter sous prétexte de vue spectaculaire ? Et surtout, est ce que ces notes vont enfin décider Paris Society à revoir leur concept en y mettant service et qualité de l’assiette au coeur de la promesse ?
Il y a quelques semaines Monoprix lance une collection Prisunic en hommage à la marque emblématique des années 70. Parmi les produits : un tablier. Rappelé aujourd’hui pour cause de présence excessive produits toxiques. Les collectors deviennent ainsi l’objet du scandale Prisunic.
Tablier Prisunic
Monoprix – expertise marketing
La communication de Monoprix frôle la perfection. Une touche d’humour, un design tendance et surtout la revendication de valeurs de proximité et de qualité. Sur le site de la marque on peut lire que cette enseigne propose « des marques propres répondant à toutes les attentes et ayant pour socle commun la qualité ».
Les experts marketing de Monoprix maîtrisent tous les codes, toutes les formulations tendancieuses qui, si lues en diagonale, laissent penser que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes des produits de qualité.
Prenons un exemple : la quête du made in France. Les citadins, clientèle cible de l’enseigne, recherchent de plus en plus des produits de qualité, fabriqués à proximité, en Europe voire même en France. Monoprix joue volontiers sur cette tendance. Et participe ainsi à tromper sa clientèle. Ainsi, la formulation « créé à Paris « a le vent en poupe. Apposée sur des produits directement importés de Chine. D’ailleurs, quelle est la vraie définition de « créér »? Le choix du verbe est plus qu’ambigu lorsque d’autres marques optent pour le « designed à Paris », qui ne laisse en aucun cas imaginer qu’il s’agisse de la production.
Monoprix – la collection Prisunic
Consciente de l’engouement pour cette enseigne que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, Monoprix à déjà lancé à plusieurs reprises des objets au logo emblématique de Prisunic. Fin 2023, la marque lance une large nouvelle gamme. Meubles, déco, cabas, caddie, et tablier. Les produits se vendent comme des petits pains. Et tout particulièrement le trio le plus abordable : cabas, caddie, tablier. Design emblématique, couleurs joyeuses, les quinqua et plus se les arrachent. Pour ensuite les arborer fièrement, reconnaissables entre mille.
Prisunic représente tout un pan de mon enfance. Je n’ai donc pas pu résister. Plus de cabas ni de caddie disponibles. Je me suis donc tournée vers le tablier. Reçu aujourd’hui et fièrement essayé immédiatement. Jusqu’à la lecture du mail par lequel le scandale arriva.
Monoprix – le scandale Prisunic
Quelques heures après la réception du tablier tant attendu, l’objet d’un mail attire mon attention. Envoyé par le service client Monoprix, il est intitulé « rappel produit »
Je fais mes courses alimentaires chez Monoprix et je me précipite donc pour lire le contenu : c’est le tablier qui est rappelé !
« Suite à la détection de plusieurs substances (Phtalate et Cadmium) à des taux supérieurs à la réglementation en vigueur, Monoprix procède aujourd’hui, par mesure de précaution au rappel du produit suivant…».
Viennent ensuite des phrases type pour rassurer le client ( et peut-être de mettre à l’abri de toute poursuite ?) : « les substances en cause ne présentent pas de danger immédiat. L’évaluation indique un risque potentiel chronique, c’est-à-dire un effet potentiel pour la santé à long terme en cas d’exposition répétée et en forte concentration. »
La conclusion est dans doute la phrase la plus ironique « Nous vous présentons toutes nos excuses pour la gêne occasionnée et vous assurons que tout est mis en œuvre pour garantir la sécurité des produits vendus dans nos rayons ».
Mais au fait, à quel moment du circuit de production et de mise en vente mettez vous quoi que ce soit en œuvre pour garantir cette sécurité ? Parce que oui, ce tablier, comme d’ailleurs les cabas, les caddies et probablement de multiples autres objets de cette collection, et d’autres d’ailleurs, ont été fabriqués en Chine. Si, si, c’est précisé sur l’étiquette !
Détail omis dans les multiples communications qui ont précédé cette belle collection. Cette communication dans laquelle rien ne laisse penser qu’il y ait le moindre risque à acheter une des créations concoctées pour l’occasion . Commençons par les prix : un tablier en tissus plastifié à 30€. On comprend qu’en fait l’essentiel du coup doit être attribué au bureau de design qui a d’ailleurs fait du très beau travail.
Lorsqu’on achète chez Shein ou Temu, tout est clair : chaque produit coûte quelques euros, vient du bout du monde, et a été fabriqué dans des conditions plus que douteuses. Chez Monoprix, le message est plus sournois. D’aucuns diraient « subtil ». Les prix se situent dans une fourchette moyenne haute, et les valeurs revendiquées ne permettent en aucun cas de s’attendre à la situation décrite.
Nous saurons désormais à quoi nous en tenir. Je sais qu’en ce qui me concerne, Monoprix, c’est fini.
Amoureux de bijoux, ceci est pour vous. Je vous propose aujourd’hui une sélection de créatrices de bijoux au caractère si marqué qu’ils transforment celles et ceux qui les portent. Des bijoux sculpture qui communiquent leur force et leur puissance.
Bijoux sculpture – Okan Studio
Chez Okan studio, le bijou se veut sculpture. Il est vecteur de force et de puissance, quelque soit la collection.
Au commencement était NAMI. Des volumes hyper présents, qui s’adaptent à chaque bijou, bague, boucle ou manchette, mais toujours avec ce même caractère inégalé.
OKAN Studio – bague NAMI
A la collection NAMI s’est ajoutée ITO. Les volumes se sont allégés, les lignes sont devenues plus aériennes, la proposition s’est étoffée.
OKAN studio – bague de poing ITO
Pour la dernière collection, KIRA, les lignes s’envolent, se courbent se féminisent plus encore.
bijoux sculpture OKAN Studio – collection KIRA
Féminines et rock à la fois, les pics d’oreille subliment le visage. Quant aux bagues, à porter seule ou en cumul, elles habillent la main en accompagnant chacun de ses mouvements.
Okan studio (à partir de 150€) 34 rue de Malte 75011 Paris sur rendez-vous
Charlotte Chesnais
Les créations de Charlotte Chesnais ne tiennent souvent qu’à un fil qui s’enroule autour de votre doigt, enlace le poignet, habille le décolleté. A la frontière du bijou et de la sculpture, ses bijoux révèlent à merveille la sensualité de celle qui les porte.
Ainsi les noms de ses bagues évoquent mouvement et fluidité, précisément à leur image. Que ce soit la bague « ribbon » (ruban) ou la bague « round trip », elles sont tout en fluidité et souplesse, serpentant le long du doigt.
Les formes sont épurées, incarnant une sensualité délicate.
Annelise Michelson se joue de la matière. Avec ses créations, les drapés se veulent asymétriques, les lignes organiques.
Ainsi, sa bague drapée, proposée en plusieurs volumes, pour femme ainsi que pour homme. Cette pièce emblématique de sa collection est devenue un incontournable de sa proposition.
Afin de sublimer ses créations, Annelise Michelson dispose désormais d’une galerie boutique à Paris. Un décor sculptural dans lequel on peut admirer tous ses bijoux et les essayer.
Les créations Annelise Michelson sont toutes Fabriquées en France. Pour se faire plaisir sans remord, la gamme de prix de ses bijoux débute à 140€ avec ce ravissant bracelet lien. Parfait pour (se) faire un petit cadeau, sans occasion particulière, juste pour le plaisir !
Annelise Michelson Galerie-Boutique ouverte du lundi au vendredi de 10H à 19H et le samedi sur rendez-vous. 28 Rue Boissy D’Anglas 75008 Paris. (+33 6 08 82 43 90 )
La période de Noël est particulièrement propice à l’apparition de lieux éphémères dans la capitale. En quête d’idées de cadeaux ? Friands d’originalité et de belles découvertes ? L’occasion est parfaite : les pop-up de Noël arrivent.
Pop-up de Noël – champagne !
Ca se passe rue de Turenne du 17 au 27 novembre 2022. la Maison Ruinart ouvre sa Maison 1729. Vous pourrez découvrir un somptueux bar à champagne sur fond de vignes au coeur du terroir champenois. Le lieu a été pensé pour plonger dans l’univers de Ruinart, tout en vivant moments oenologiques et gastronomiques proposés par des chefs étoilés, mais aussi par la cheffe Alessandra Montagne, dont le restaurant Nossone désemplit pas !
On pourra prendre un verre, plusieurs, se régaler d’un accord mets vins ou d’un brunch. Il suffit de réserver.
tarifs :Découverte Maison 1729 et Bar à Champagne : 15 € Dégustation découverte : entre 50 € et 100 € Déjeuners et dîners : entre 95 € et 350€ Brunch de la Maison Ruinart : 75 €
MAISON 1729 116 rue de Turenne 75003 Paris Du 17 au 27 Novembre
Pop-up Make My Lemonade – il vous donne la banane !
Make My Lemonade ouvre un pop-up store dédié à son sac banane. Logique : il s’agit clairement d’un des accessoiresiconiques de cette jolie marque. Habituellement vendues en pré-commande, les fashionistas se les arrachent.
Alors Make My Lemonade nous offre, pour Noël, de les avoir toutes à disposition pendant quelques jours. Elles sont couvertes de sequins, en jean brut ou encore en moumoute léopard.
Make My Lemonade Popup
Un pop-up au décor pop-acidulé accueillera les curieuses, celles qui connaissent et qui vont enfin pouvoir s’offrir le modèle convoité, et les autres qui ne pourront pas résister à la tentation !
Popup Make My Lemonade du 16 rue 20 Novembre 2022 de 11h – 20h
15 rue Debelleyme 75003 Paris
Pop-up douceur – les cachemires de Monoprix
On les attend tous les ans : les cachemires de Monoprix sont connus de tous les fidèles de l’enseigne. Chaque année, de nouvelles couleurs et de nouveaux modèles sont proposés et les clients se les arrachent. A l’approche des fêtes, la marque se surpasse puisqu’elle nous annonce la plus belle offre jamais proposée à ce jour. Dans une galerie parisienne du Haut-Marais, Monoprix promet une expérience immersive dans un univers pop aux couleurs flashy. Quant aux modèles, ils vont nous prendre par surprise !
cachemires Monoprix
Pop-up Monoprix cachemire du 7 au 11 décembre 2022 80 rue de Turenne 75003 Paris de 11h30 à 19h30
Dada market – pop-up engagé
Pour sa deuxième édition, le Dada Market vous propose 800m2 de shopping responsable. Une centaine de créateurs français sera réuni.
Céline Kadara
Que vous cherchiez un cadeau pour la décoration d’intérieur, des cosmétiques naturels, de l’épicerie fine, ou encore à couvrir des enfants de cadeaux, vous trouverez votre bonheur. Et vous soutiendrez ainsi de jeunes talents.
Kakapo
Durabilité, responsabilité et consommation locale définissent à la perfection cet évènement qui a pour vocation de privilégier le « mieux consommer ».
Quoi de plus parfait pour Noël: faire plaisir, tout en encourageant les talents !
Dada Market 3 et 4 décembre Galerie Joseph 116 rue de Turenne 75003 Paris
Ricola – pop-up définitif !
Connaissez-vous les bonbons Ricola ? Pour certains, la seule évocation de cette marque fait fredonner un air qui a accompagné bon nombre de campagnes publicitaires pour ces bonbons qui évoquent les montagnes suisses. Pour d’autres, il s’agit plutôt de goûts hors normes, à base de plantes cueillies dans les alpes. Et puis il y a les autres, qui n’en ont jamais entendu parler ! C’est l’occasion pour tous de (re) découvrir cette marque dans la nouvelle boutique joyeuse et colorée qui ouvrira ses portes le 15 novembre. La marque choisit donc d’ouvrir une adresse permanente en plein rush des pop-up !
boutique Ricola Paris
Vous pourrez participer à divers ateliers autour des plantes et de la fabrication du célèbre bonbon. Ce sera aussi l’occasion de découvrir les nouveaux produits ou de créer des coffrets personnalisables. Comment résister à un bar à bonbons ?
boutique RICOLA 4 rue Pavée Paris 4ème
ouverture le 15 novembre
tous les jours du lundi au vendredi de 11h à 19h et samedi dimanche de 10h à 20h
Il y a les « 111 lieux autour de Paris à ne pas manquer« . Mais il y a également les 3 lieux à ne pas manquer pendant les Journées du Patrimoine. Le choix est tellement vaste qu’il est toujours difficile de choisir. Alors faites moi confiance, suivez le guide !
Lieux à ne pas manquer pendant les journées du patrimoine – le beffroi de Montrouge
Montrouge – le beffroi
Ce beffroi a la musique chevillée au corps. Son carillon entonne régulièrement des airs populaires tels que Vive le vent ou le Jazz et la Java. A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine des concerts seront proposés en entrée libre dès le vendredi soir. Des performances artistiques s’y dérouleront également. Par ailleurs, le beffroi sera ouvert en visite libresamedi 17 et dimanche 18 de 10h00 à 18h00. L’occasion de découvrir une fresque monumentale de l’artiste Moebius, ancien habitant de Montrouge.
Beffroi Montrouge – fresque Moebius (photo officielle du site de la ville de Montrouge)
Enfin, c’est également le carillon qui nous ouvre exceptionnellement ses portes. Il est le plus grand d’Île-de-France avec ses 49 cloches. L’exposition en place permet de guider le visiteur tout au long de ses marches et de percer les secrets de ses cloches. LE tout pour terminer en apothéose avec, à son sommet, une vue imprenable sur tout Paris.
Accès carillon SAMEDI 17 et DIMANCHE 18 Accès libre au niveau du – 41, avenue de la République Montrouge De 10h à 18h
Le domaine de Grosbois – au trot !
Domaine de Grosbois
Le Domaine de Grosbois a le cheval au coeur. Il se déploie sur 412 hectares, alternant bois étangs et prairies. Il dispose de toutes les installations nécessaires à l’entrainement de chevaux trotteurs qui se préparent ici avant de participer aux courses qui leur sont dédiées à l’hippodrome de Vincennes, à une quinzaine de kilomètres de là.
Pendant l’année le domaine n’est pas ouvert aux visites du grand public. C’est pour cette raison qu’il faut saisir l’occasion des Journées du Patrimoine. Deux parcours sont prévus. Le premier est une balade paysagère, aux abords du château, profitant d’une balade à pieds pour apprendre l’histoire de ce merveilleux domaine. Le second consiste en une visite guidée du centre d’entrainement hippique. Toutefois, si vous n’avez pas l’opportunité de participer à ces visites, vous pouvez toujours lire la page 30 de « 111 lieux autour de Paris à ne pas manquer » !
Domaine de Grosbois Avenue du Maréchal-De-Lattre-De-Tassigny 94470 BOISSY-SAINT-LEGER
Hôpitaux de Saint-Maurice – le marquis de Sade y perdit la tête
Situés à Saint-Maurice, ces hôpitaux, et tout particulièrement l’hôpital d’Esquirol, fut longtemps connu sous l’intitulé d’asile de Charenton.
Hôpitaux de Saint-Maurice
Un de ses plus célèbres hôtes fut le marquis de Sade. C’est dans cet hôpital que Jean-Etienne Esquirol développa des traitements innovants, socle de la médecine psychiatrique moderne.
Des visites guidées sont proposées le dimanche des Journées du Patrimoine.
dimanche 18 septembre 2022 – 10:30 – 12:30, 14:30 – 16:30 sur inscription
Hôpitaux de Saint-Maurice 14 Rue du Val d’Osne, 94410 Saint-Maurice, France
Les Journées du Patrimoine approchent à grands pas. A la recherche d’une idée de visite insolite ? J’ai ce qu’il vous faut. L’atelier de chalcographie de la RMN-GP à La Plaine Saint-Denis.
L’atelier de chalcographie de la RMN—GP– clarification
Je l’ai découvert à l’occasion de la rédaction de mon dernier livre » 111 lieux autour de Paris à ne pas manquer » et il vaut le détour. Commençons par clarifier cet intitulé qui peut sembler plutôt mystérieux. La chalcographie est une technique d’impression d’estampes à partir de plaques de cuivre. Quant à la RMN-GP, il s’agit de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais. Cet établissement public a des missions multiples. Accompagner la diffusion du patrimoine muséographique, mettre en valeur et exploiter le Grand Palais, en font partie. La RMN est également gestionnaire du musée du Luxembourg, à Paris.
L’atelier de chalcographie fut créé en 1797. Longtemps installé au Louvre, il déménage à la Plaine Saint Denis au début des années 2000.
L’atelier de chalcographie – activités
Dans cet atelier on imprime donc des estampes en utilisant la technique de l’eau forte sur la base de matrices de cuivre. Les matrices utilisées datent, pour les plus anciennes, du XVIIIème siècle ! L’atelier en détient plus de 13000, mais elles sont en cours de reprises par le Louvre afin de garantir leur conservation.
C’est également au sein de l’atelier que se transmet ce savoir ancestral. Les imprimeurs accueillent ainsi stagiaires et apprentis afin de leur enseigner les techniques ainsi que les gestes d’une activité que peu exercent désormais.
Les Journées du Patrimoine – une occasion unique
Habituellement peu facile d’accès, l’atelier ouvre exceptionnellement ses portes à l’occasion des Journées du Patrimoine. Ce sera l’occasion d’échanger avec les artisans d’art présents sur place. Une façon unique de découvrir la variété des oeuvres produites. Qui aurait imaginé que l’on pouvait s’offrir une estampe de Louis Bourgeois, Georges Baselitz ou encore JR, sans se ruiner ? C’est possible grâce à la collaboration de l’atelier avec des artistes contemporains prêts à renoncer à leur droit de signature pour entrer dans les prestigieuses collections du Louvre.
Vous voulez connaitre la joie et la fierté de pouvoir dire « c’est moi qui l’ai fait » ? Vous êtes à la recherche de l’inspiration ? J’ai trouvé pour vous la rue du DIY à Paris ! Il s’agit de la rue d’Alexandrie. Vous me suivez ?
La rue du DIY à Paris – Pigeon Coq
Quand on aime, on ne compte pas. Voilà pourquoi le premier atelier de DIY rue d’Alexandrie sera toujours pour moi l’atelier Pigeon Coq. C’est d’ailleurs grâce à lui que j’ai découvert la rue d’Alexandrie.
Chez Pigeon Coq, on perce, on coud, on assemble, pour réaliser le sac ou l’accessoire maroquinerie de ses rêves. J’ai assisté à l’atelier « sac à main« , sachant qu’il en existe également un pour les petits accessoires de maroquinerie. La séance se déroule en plusieurs étapes.
D’abord, il faut choisir son modèle. Puis les cuirs nécessaires à sa réalisation. Ensuite on perce des trous réguliers pour la couture à venir. Puis vient le choix du fil. Vient ensuite la décoration. Toutes ces étapes se font sous l’oeil bienveillant de la coach de l’atelier, dans un joyeux brouhaha de discussions et d’échanges. Une fois les choix validés par les participantes et les démonstrations effectuées par l’experte, on peut se lancer. La couture est un moment silencieux et presque solennel. Chacune se concentre et veille à la régularité de son point ! Le perçage du cuir pour accueillir un oeillet ou un clou décoratif sont des moments d’intense concentration : il ne faudrait pas commettre l’irréparable !
En fin d’atelier, chacune arbore fièrement sa création, et il y a de quoi.
L’atelier Pigeon Coqest donc une excellente idée d’activité du week-end, seule ou entre amies.
Pigeon Coq 5 rue d’Alexandrie 75002 Paris sur réservation
Mazette – une adresse DIY aux propositions multiples
Ici, on peut coudre, modeler, scraper, peindre.
Et puis aussi sculpter, découper, coller, assembler.
La formule est tout à fait unique : chez Mazette, une très large variété de matériel et d’outillage est mise mise à la disposition des créatrices en herbe comme des plus expérimentées.
Dans la partie boutique on peut acheter les matières premièresnécessaires. Quant aux conseils, ils sont disponibles sur une plateforme de tutos accessible à tous. Il n’y a plus qu’à se laisser guider.
Chez Mazette on peut s’essayer à toutes les activités créatives possibles. La première fois, il suffit d’entrer en passant. L’activité est facturée au temps passé. Et si vous y prenez goût, des formules permettent de revenir régulièrement en laissant sur place les créations en cours. Les formules ont des noms évocateurs tels que sapristi , saperlipopette et bien sur mazette.
Elles vont de 4 heures de création par mois à l’accès illimité.
En sortant de ce lieu de création unique en son genre, on s’écrie : « Mazette, c’est moi qui l’ai fait » !
L’herbier (herbarium) a vu le jour à Bologne au XVIème siècle. Il est utilisé depuis pour catégoriser les plantes alimentant ainsi les études botaniques. Les amoureux de la nature en ont confectionné de tous temps afin d’immortaliser la beauté de la nature. Des tableaux ornent ainsi de nombreuses maisons de campagne, transmis de génération en génération. Tombés en désuétude, ils ont fait une réapparition spectaculaire !
Herbarium a su réinventer le concept, en le modernisant, le réintroduisant ainsi dans notre décoration d’intérieur. Chez Herbarium, on peut acheter des herbiers déjà confectionnés. Mais on peut également avoir le plaisir de les créer soi-même. Chacun peut choisir !
Herbarium 3 rue d’Alexandrie 75002 Paris sur réservation
Grâce à la jolie marque PigeonCoq et ses box de DIY maroquinerie, notre créativité ne va plus avoir aucune limite ! Pour celles qui préfèrent être guidées par un artisan expert, Pigeon Coq propose également des ateliers. Sans oublier un bar à customisation qui vient d’ouvrir ses portes au Bon Marché. L’embarras du choix !
Pigeoncoq – DIY maroquinerie
C’est Juliette Chauveau qui a pensé et conçu Pigeon Coq. Elle a pensé à toutes celles qui rêvent de pouvoir dire « c’est moi qui l’ai fait » . Au commencement était l’envie de proposer à toues de pouvoir son propre sac. En utilisant des ressources non utilisées, voire même du cuir recyclé. Ce matériau noble que Pigeon Coq va nous permettre de réutiliser pour créer notre modèle unique.
Les box DIY de Pigeon Coq
Envie de créer votre propre accessoire maroquinerie avant de plonger dans le tourbillon de la rentrée ?Vous pensez que vous n’y arriverez jamais ? Détrompez-vous ! Les box de Pigeon Coq transforment la création en un jeu d’enfant. Aujourd’hui il y a 16 box, qui vont du porte clé au sac à main en passant par la couverture de l’agenda de votre rentrée
Le concept : à l’intérieur d’une box, on trouve tous les éléments nécessaires à la confection du produit choisi.
Il y a le cuir, recyclé, le fil et les aiguilles, l’emporte pièce, la clouterie et la métallerie. Le livret d’explications propose un pas à pas extrêmement précis et détaillé. Et le résultat est au rendez-vous !
Pour cet étui à lunettes qui ne me quitte plus, comptez moins d’une heure de réalisation. Pour le mini sac clouté de la BOX N°4, environ deux heures !
Les atouts de ces box sont multiples. Pour commencer, le choix de modèles est tel que chacun y trouvera son bonheur. Une fois la box choisie, c’est le contenu qui est exceptionnel. Bien sur, il y a tout ce qu’un attend d’y trouver : les matériaux, les outils, et les instructions. Mais en plus, l’erreur est prévue : deux fois plus de fil que nécessaire, des clous de décoration en grande quantité. Bref, Pigeoncoq a vraiment pensé à tout ! Le premier prix est de 29€, pourquoi se prover !
DIY : les ateliers
Parce qu’il est souvent plus simple de se lancer dans la création en étant accompagnée, les ateliers Pigeoncoq vous accueillent plusieurs fois par semaine. En vous inscrivant, vous choisirez de confectionner un accessoire, ou bien un sac, petit ou grand. Une fois sur place, vous pourrez sélectionner les couleurs de chaque élément, ainsi que les matériaux. Il sera lors temps de se lancer ! Pour l’inspiration, vous pouvez compter sur Pigeoncoq !
Bar à customisation – rendez-vous au Bon Marché
Jusqu’au 2 octobre, une troisième option s’offre à vous ! Il s’agit du bar à customisation installé au Bon Marché. Une occasion unique de créer intégralement votre propre box de A à Z ! Pas de couleurs imposées, vous avez le champ libre. Bien sur, des membres de l’équipe Pigeoncoq sont sur place pour vous accompagner dans vos choix.
Alors, prêts à vous lancer dans la création ?
Atelier Pigeoncoq 7 rue d’Alexandrie Paris 75002 France – sur réservation
Bar à customisation Le Bon Marché 24 Rue de Sèvres, 75007 Paris
Il y a trois ans déjà, je publiais mon premier livre. Il s’agissait de Paris, et des artisans qui y exercent leur talent. Pour mon deuxième guide, je sors de ma zone de confort pour partir à la découverte de ce qui sera le Paris de demain ! Ce nouveau livre est intitulé « 111 lieux autour de Paris à ne pas manquer » : lesquels connaissez-vous ?
111 lieux autour de Paris à ne pas manquer – éditions Emons
Tout commence en 2008 avec « 111 lieux à Cologne à ne pas manquer« . C’est là que réside l’explication de ce nombre étrange : 111. En effet, à Cologne, le 11/11 à 11h11 commence le carnaval de la ville ! On comprend l’importance que revêt le nombre 11… Et comme 11 lieux ne suffisait pas, le choix a été d’en sélectionner 111 ! Le parti pris : s’intéresser à des lieux méconnus, insolites, aux anecdotes et aux histoires qui les rendent uniques. Depuis plus de 10 ans, les guides « 111 lieux » ont débusqué les trésors de l’Allemagne, de la Belgique, de la France, du Luxembourg ou encore de la Suisse. Ils ont ainsi permis aux locaux comme aux visiteurs de passage de s’émerveiller devant ces adresses qui leur ont révélé leur secret. Il y a un an, lorsque la maison Emons m’a proposé d’écrire ce nouvel opus, j’ai saisi l’occasion ! Voilà comment j’ai franchi le périphérique pour explorer les départements limitrophes, voire même au delà …
111 lieux autour de Paris à ne pas manquer – il y a tant à voir
S’il ne fallait en citer qu’un, je ne saurais pas faire ! Tant de lieux passionnants dans des catégories si différentes et diversifiées.
Chocolaterie Menier – Noisiel
Il y a ceux qui nous rappellent un passé glorieux, ou pas si glorieux que ça.
Ceux qui sont une ode à la nature avec des étendues de nature inespérées au coeur de cette urbanisation galopante.
La région parisienne a également été un véritable terrain d’expérimentation pour les tendances architecturales de toutes sortes. Mais surtout, le Grand Paris démontre à chaque instant l’énergie et l’inventivité de ses habitants. Ceux qui créent, réunissent, innovent pour la communauté. Vous l’aurez compris, il est impossible de ne citer qu’un seul de ces endroits, , mais ce que je retiendrai, c’est la richesse absolue de ces départements que l’on réduit trop souvent à l’intitulé général de « banlieue » !
111 lieux – teasing
Si je vous disais que j’ai pratiqué le concept de la baguette suspendue à Montreuil ? Comprendrez-vous de quoi je parle ?
Ou encore que j’ai découvert la passerelle qui peut se vanter d’avoir réuni Fulgurance Bienvenue, Eugène Poubelle et Gustave Eiffel ? Saurez-vous deviner où elle se trouve ?
Je m’arrête là, et je vous invite à vous précipiter sur ce livre pour découvrir 111 pépites auxquelles on ne s’attend pas ! Ca tombe bien, il sort demain !