Bijoux sculpture – faites votre choix à Paris

Amoureux de bijoux, ceci est pour vous. Je vous propose aujourd’hui une sélection de créatrices de bijoux au caractère si marqué qu’ils transforment celles et ceux qui les portent. Des bijoux sculpture qui communiquent leur force et leur puissance.

Bijoux sculpture – Okan Studio

Chez Okan studio, le bijou se veut sculpture. Il est vecteur de force et de puissance, quelque soit la collection.

Au commencement était NAMI. Des volumes hyper présents, qui s’adaptent à chaque bijou, bague, boucle ou manchette, mais toujours avec ce même caractère inégalé.

OKAN Studio - bague NAMI
OKAN Studio – bague NAMI

A la collection NAMI s’est ajoutée ITO. Les volumes se sont allégés, les lignes sont devenues plus aériennes, la proposition s’est étoffée.

OKAN studio - bague de poing ITO
OKAN studio – bague de poing ITO

Pour la dernière collection, KIRA, les lignes s’envolent, se courbent se féminisent plus encore.

OKAN Studio - collection KIRA
bijoux sculpture OKAN Studio – collection KIRA

Féminines et rock à la fois, les pics d’oreille subliment le visage. Quant aux bagues, à porter seule ou en cumul, elles habillent la main en accompagnant chacun de ses mouvements.

Okan studio (à partir de 150€)
34 rue de Malte 75011 Paris  sur rendez-vous

Charlotte Chesnais

Les créations de Charlotte Chesnais ne tiennent souvent qu’à un fil qui s’enroule autour de votre doigt, enlace le poignet, habille le décolleté.  A la frontière du bijou et de la sculpture, ses bijoux révèlent à merveille la sensualité de celle qui les porte.

Ainsi les noms de ses bagues évoquent mouvement et fluidité, précisément à leur image. Que ce soit la bague « ribbon » (ruban) ou la bague « round trip », elles sont tout en fluidité et souplesse, serpentant le long du doigt.


Les formes sont épurées, incarnant une sensualité délicate.

Charlotte Chesnais (à partir de 495€)
10 Rue d’Alger, 75001 Paris

169 Boulevard Saint Germain 75006 Paris

– également au Bon Marché Rive Gauche

Annelise Michelson

Annelise Michelson se joue de la matière. Avec ses créations, les drapés se veulent asymétriques, les lignes organiques.

Ainsi, sa bague drapée, proposée en plusieurs volumes, pour femme ainsi que pour homme. Cette pièce emblématique de sa collection est devenue un incontournable de sa proposition.

Afin de sublimer ses créations, Annelise Michelson dispose désormais d’une galerie boutique à Paris. Un décor sculptural dans lequel on peut admirer tous ses bijoux et les essayer.

Les créations Annelise Michelson sont toutes Fabriquées en France. Pour se faire plaisir sans remord, la gamme de prix de ses bijoux débute à 140€ avec ce ravissant bracelet lien. Parfait pour (se) faire un petit cadeau, sans occasion particulière, juste pour le plaisir !

Annelise Michelson
Galerie-Boutique ouverte du lundi au vendredi de 10H à 19H et le samedi sur rendez-vous.
28 Rue Boissy D’Anglas 75008 Paris. (+33 6 08 82 43 90 )

Bijoux Fantaisie – avons-nous capitulé ?

La bijouterie fantaisie connaît un essor d’autant plus marqué que le prix de l’or a explosé ces dernières années. Achat compulsif, petit cadeau que l’on s’autorise quand on cherche un plaisir éphémère à prix abordable. De nouvelles marques sont apparues, toutes plus tentantes les unes que les autres. Mais devons nous pour autant capituler ? Faire semblant que ce type d’achat n’a aucun impact sur le monde qui nous entoure ?

Louyetu – le premier

Il y a eu l’affaire Louyetu. On découvrait soudainement que le « made in Paris » revendiqué haut et fort était un simple assemblage d’éléments qui provenaient bien de Chine. Les témoignages d’anciens salariés pleuvent, les langues se délient. Le tout sur un fond de maltraitance salariale. C’est comme si Louyetu devenait soudainement l’exemple même de ce qui se fait de pire dans l’univers des startups et de la consommation débridée. Et puis, comme souvent dans notre monde de zapping, un scandale en chasse un autre. Louyetu a certes perdu quelques dizaines de milliers d’abonnés sur Instagram, masi pour le reste ? Difficile à dire ? Est-ce que depuis ces révélations la boutique emblématique de la rue Volney désemplit ? Je ne crois pas ! La vie a repris son cours, Louyetu continue  à exceller dans son narratif. Et la vie continue… Démonstration est faite que l’indignation est passagère lorsqu’elle se confronte à l’envie.

Purelei

J’avoue avoir été séduite par le design des bijoux Purelei. Soudain, ils ont envahi les posts des influenceuses mode que je suis depuis longtemps et j’avoue, j’ai été tentée. Mais cette fois, échaudée par l’expérience de Louyetu, j’ai décidé de creuser. Sur le site, les visuels sont superbes. Les bijoux sont proposés dans les trois teintes de l’or : jaune, blanc et rose. La recherche se fait par type de bijou, par tendance, par collection. Par contre, impossible de trouver l’origine des bijoux. Où sont-ils fabriqués ? Mystère ! Alors j’ai contacté leur service client. Première information : le design est réalisé en Allemagne. Il a fallu plusieurs relances, pour que je reçoive enfin l’information : tout est fabriqué en Chine. Finalement, pourquoi être étonnée ? De tels prix pour de tels bijoux, jamais ils n’auraient pu être fabriqués en Europe. Pas de surprise, mais simplement l’évidence que l’on s’emploie si souvent à ne pas regarder en face.

Zag – la cerise sur le gâteau

Les bijoux ZAG sont an acier inoxydable. On les trouve dans tous les concept stores et autres boutiques multi marques de bijoux tendance et abordables. L’acier inoxydable n’étant pas un matériau précieux, on aurait pu imaginer qu’ils provenaient d’une usine européenne. Seulement voilà, la marque revendique clairement sa provenance.  Et c’est bien la première fois que je vois une marque qui revendique une « fabrication artisanale….en Chine » ! Ou l’art et la manière de créer l’association la plus improbable pour utiliser le mot « artisanat ». En insultant au passage tous ceux qui peuvent réellement prétendre à cette qualité.

La question demeure : avons nous capitulé ? Allons nous nous laisser guider par des impulsions et des envies, aussi passagères soient-elles, en connaissance de cause. Ce sautoir parfait pour la dernière petite robe noire achetée, ces petites bagues addictives ou ces bracelets aux pierres soit disant porteuses de vertus apaisantes : nous sont-ils indispensables ? Ne pourrions nous pas nous en passer ? Et participer ainsi, à notre petite échelle, à la diminution du délire de consommation qui nous a responsables de collaboration aveugle avec des méthodes de production indignes.

 

pulls TRICOT Paris – la marque de cachemire recyclé

S’offrir un pull en cachemire recyclé, aux finitions parfaites, fabriqué en Italie, et à un prix juste, c’est possible avec les pulls Tricot ! Amoureuses et amoureux de pulls infiniment moelleux, à la coupe sobre et élégante, ceci est pour vous !

pulls TRICOT Paris
pulls TRICOT Paris

Pulls TRICOT Paris – la genèse

Comme c’est souvent le cas, au commencement, il y a une rencontre, une compatibilité parfaite. Il y a un peu moins de trois ans, Rémy le créatif, qui en est déjà à sa troisième marque, et Tom , digital wizzard, créateur de la plateforme Genius, décident de collaborer. Ils vont capitaliser sur leurs compétences si complémentaires : la passion maille de Rémy, le talent digital de Tom.

La suite est comme une évidence. Les pulls TRICOT Paris sont nés. Ils font le choix d’une gamme de classiques, indispensables de la garde robe. Les matières sont nobles et responsables. Pas de point de vente physique, ils ont fait le choix du 100% digital. Mais comme toute règle est pensée pour être enfreinte, on peut exceptionnellement retrouver les pulls TRICOT en pop up. L’année dernière, ils étaient chez Merci lors de l’installation dédiée à la maille. On me dit dans l’oreillette qu’ils pourraient faire à nouveau partie de la sélection Merci pour Noël 2022.

Tricot paris – Cachemire recyclé

Les cachemires TRICOT sont tricotés avec 75% de fibres recyclées. Le recyclage s’effectue à côté de Florence à partir de bobines de stocks de fil dormants ou de pulls retransformées en fil. Le tricotage est ensuite réalisé à côté de Venise. Les 35% de cachemire vierge ajoutés garantissent la longueur de la fibre finale et la solidité du pull final.

Les modèles proposés se caractérisent par des coupes classiques, twistées par un détail de finition, comme les côtes plates à deux niveaux .

Le toucher est moelleux, la tenue parfaite. Pas de collections, mais de nouvelles couleurs qui viennent régulièrement enrichir la gamme proposée et de nouvelles coupes au fil des idées des créateurs.

Tricot Paris – la gamme tricotée main

Complémentaire de la ligne cachemire, la proposition tricotée main fait le bonheur des amoureux de gros pulls en laine mèche en direct des Andes. Des ateliers à Lima ou des tricoteuses créent de superbes pulls en laine provenant d’exploitations locales.

Coup de cœur double pour le pull à torsade centrale. Sans oublier la superbe veste bleu, blanc, rouge proposée dans la sélection homme mais qui est si parfaite pour la femme en mode oversize !

La marque TRICOT propose également une sélection de modèles en coton bio. Tout est là pour choisir ces basiques dont vous ne vous séparerez plus !

prix du modèle cachemire recyclé col rond : 159€ / polo cachemire recyclé : 219€

Merci Tricot pour le joli pull que je ne quitte plus !

Le retour d’Anny Blatt

Pour certaines la seule évocation de cette marque renvoie à des images, des matières duveteuses et des souvenirs télévisuels. Pour les plus jeunes, Anny Blatt n’évoque rien. Et pourtant, c’est l’heure du grand retour d’Anny Blatt.

Le retour d’Anny Blatt – retour vers le passé

JACQUES PAVLOVSKY/SYGMA VIA GETTY IMAGES (site Vanity fair)
JACQUES PAVLOVSKY/SYGMA VIA GETTY IMAGES (site Vanity Fair)

Si je ne devais n’en citer qu’une, ce serait l’image d’Anne Sinclair dans un de ces pulls colorés et duveteux qu’elle arborait lorsqu’elle présentait son émission 7/7. On attendait avec presqu’autant d’impatience de découvrir le nouveau modèle qu’elle porterait que les sujets d’actualité qu’elle allait traiter. Vous l’aurez compris, dans les années 1980 Anny Blatt était une marque de laine haut de gamme, et de pulls prêts à porter dans lesquels on rêvait de se blottir. Mais les années ont passé, les tendances ont changé. Une après l’autre les boutiques Anny Blatt ont fermé leur porte. Personnellement je suis restée avec cette interrogation : que ressent-on lorsque l’on porte un pull Anny Blatt ? Ces matières sont elles aussi agréables qu’elles en ont l’air ? Leur look ample, riche en fronces et boutons dorés résisterait-il au temps ? Le cachemire, largement démocratisé,  aura-t-il tout balayé relayant ainsi cette marque et ses créations aux oubliettes de la mode ?

Anny Blatt – nouvelle vie

Seulement voilà, aujourd’hui  la marque revient en force grâce à la volonté de deux passionnées : Anne Molineau, styliste de la marque depuis plus de 20 ans et Marion Carrette, entrepreneuse du web, qui décident de racheter la marque et ses archives en 2020.

Le parti pris est clair : proposer des pulls tricotés exclusivement à la commande. La volonté est  celle d’une production raisonnée, sans stocks ni soldes ou gaspillage. Les ateliers sont français, tout comme l’angora. Le mohair, quasi inexistant en France, provient du premier élevage mondial en Afrique du Sud.

Quand on parcourt le site on reconnaît immédiatement la signature des modèles d’antan : matières duveteuses, couleurs chatoyantes, touches discrètes de doré.

Anny Blatt – DIY

Le tricot a fait son grand retour depuis quelques années.  Anny Blatt peut donc revenir à ses basiques : proposer de superbes fils qui vous permettront de mettre vos talents en action.

Ainsi, des kits sont déjà tout prêts pour vous, contenant la laine, les aiguilles et bien sûr les instructions de réalisation. Parce que qu’y a-t-il de plus gratifiant que de pouvoir affirmer haut et fort : »c’est moi qui l’ai fait »!

Vous laisserez vous tenter par le pull déjà tricoté ou par le kit complet qui vous permettra de démontrer vos talents ? Ou bien déciderez vous que ce qui est né dans les années 80 et qui allait si bien à vos grands-mères n’a plus sa place dans notre siècle  ?

Gros pull douillet – 4 adresses parisiennes

Quoi de mieux qu’un joli gros pull pour l’hiver qui arrive ? J’ai toujours adoré me blottir dans un pull moelleux et douillet. Et voilà qu’après des années de pulls en laine mérinos, fins et ajustés, ou encore de modèles crop, je vous annonce le retour du gros pull douillet, de préférence tricoté main d’ailleurs ! Et du coup, comme les boutiques parisiennes ont rouvert leurs portes, suivez-moi !

Gros pull douillet – Koshka Mashka

Chez elle, les pulls sont tricotés main et viennent directement d’Arménie, son pays d’origine.

Un festival de couleurs, de mailles délicates faites de torsades et d’ajourés. Chaque pièce est absolument unique. Et je ne vous cache pas qu’ils partent comme des petits pains ! Pour tout vous dire, le modèle turquoise est désormais chez moi ! La bonne nouvelle, c’est qu’elle reçoit de nouveaux modèles en permanence. Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire : direction le Haut-Marais !

Koshka 36 Rue de Poitou, 75003 Paris

Le cachemire – toujours une bonne idée chez From Future

Je me souviens encore de la première fois. La première fois où j’ai vu les vitrines éclatantes de lumière de From Future, là, rue de Rennes, à quelques pas de l’église Saint-Germain des Près.

Depuis quelques années c’est vrai, le cachemire se réinvente. Bien loin des gammes de gris et beige, la couleur éclate. Sans parler des lignes qui se lâchent, l’oversize qui s’est installé pour durer. Avec From Future, le cachemire rencontre la couleur c’est sur. Et c’est pas tout ! Parce que ce sont les jacquards pétants et les messages chargés de sens qui rendent les pulls From Future uniques !

From Future 54 rue de Rennes 75006 Paris

Les pulls ADT chez l’Habit Français

Chez L’Habit Français, tout est made in France. Y compris les superbes pulls ADT Paris.  Ils sont vaporeux, délicieusement douillets et pourtant sexy en diable avec ce mohair provenant en direct des Pyrénées Atlantiques !

Le travail des manches, les volumes et le moelleux visible de l’ensemble donnent envie de se précipiter pour l’acheter !

Dans tous les cas vous trouverez votre bonheur chez l’Habit Français !

L’Habit Français 9 Rue de Seine, 75006 Paris

Stella Pardo – elle assume ses responsabilités

La marque de pulls en laine ou coton 100% faits main revendique avant tout une démarche responsable humaine comme environnementale. Tout d’abord donc, on est dans le fait main, pour une production restreinte et pensée pour toucher celles qui repensent leur mode de consommation. Les matériaux utilisés sont naturels, et bios dans certain cas. Quant aux teintures, elles sont réalisées avec des plantes et fleurs. Enfin, c’est au Pérou que les pulls sont confectionnés, par des femmes, mères célibataires, leur garantissant ainsi une activité régulière et un revenu.

L’histoire et les valeurs de cette marque sont belles. Les pulls également !

Stella Pardo
Stella Pardo

C’est au coeur du Marais que vous pourrez les découvrir et faire votre choix.

En maille traditionnelle et pourtant tellement modernes, ces pulls sauront ravir notre hiver !

Stella Pardo 51 Rue de Turenne, 75003 Paris

 

Trendy et joli, le sac vegan débarque en force !

Les sacs à main, c’est ma passion. Et j’ai toujours attaché une grande importance à la qualité du modèle sur lequel je jetais mon dévolu. Toujours en 100% cuir. Et puis petit à petit, j’ai commencé à regarder de plus près les sacs 100% vegan. Au début, il y a quelques années, il faut bien le dire, ils étaient très laids ! Mais aujourd’hui, le sac vegan a tout pour plaire.

Ashoka Paris – haute maroquinerie 100% végane

Les sacs Ashoka sont 100% végan, et la marque a remporté le « Peta fashion award 2018 & 2019« . Les matières utilisées sont fabriquées à base de déchets de pommes (apple skin), ou encore de bouteilles de plastique recyclées. Autant dire que c’est une vraie bonne surprise ! Le rendu est bluffant. Quand aux lignes des différents modèles, elles sont actuelles, d’une modernité parfaite, et d’une élégance assumée.

Mon premier coup de coeur : le modèle Paname ! Pas très étonnant si l’on y pense…

Le Paname a ce look qui n’a rien à envier aux modèles cuir les plus trendy de ces dernières années. Mélange de texture pour un air plus vrai que nature !

Deuxième coup de coeur : la collaboration avec Pamela Anderson le Pamela box ! Une signature définitivement garante du côté branché, mais aussi de la dimension écoresponsable !

fabrication en Thaïlande

Gamme de prix : 280€ pour le Paname, 270€ pour le Pamela Box

Behotz – Le top du top ?

Dans le choix d’un sac vegan, plusieurs éléments rentrent en ligne de compte : les matériaux utilisés, le lieu de fabrication, et les modèles proposés. On peut dire que la marque Behotz coche toutes les cases. Surtout quand on est adepte du sac seau. en effet, les sacs Behotz sont fabriqués en France. Par ailleurs, les matériaux utilisés sont tous issus du recyclage. Idéal pour la planète. Et enfin, leur modèle phare est un sac seau, le modèle ZAGO.

La marque remplit donc tous les critères pour satisfaire celles qui souhaitent privilégier le commerce local, les matériaux sans impact sur l’environnement, et la défense de la cause animale.

fabrication française
Sac Zago 320€

Intemporea – féminine et généreuse

La marque Intemporea revendique « des sacs inspirés par les femmes« . Et j’ajouterais « pour les femmes », en tous cas « pour moi ». Parce que j’adore plusieurs de leurs modèles !

Chaque modèle porte le nom d’une femme inspirante. Et pour moi, ce sera Queen B., et Oprah !

C’est peut-être cette petite touche vintage qui m’a séduite ? Ou encore le côté texturé en mode croco qui est juste parfait !

Par ailleurs, la marque soutient l’association Room To Read qui finance l’éducation des petites filles issues de familles pauvres au Cambodge.

Cependant, il faut dire que le lieu de fabrication n’est pas précisé, et que le matériau utilisé est le polyuréthane, dont l’impact sur l’environnement est contesté.

Queen B. : 119€ , Oprah : 99€

lieu de fabrication ? Matière : polyuréthane

Jean-Louis Mahé – le modèle rock

Ici, je parle d’un modèle spécifique parce que la marque propose principalement des vêtements et des chaussures. Mais son modèle Zebra Black and gold se distingue clairement par son look rock !

Labellisé Peta, la marque reverse 1% de ses bénéfices à une association de protection des animaux et de l’environnement. Quant au matériau utilisé, il n’est pas clairement décrit, mais Jean-Louis Mahé revendique de « travailler sur une matière 100% végétale et écologique ».

Choisir le Sac vegan ? Oui, mais pour défendre quelle cause ?

Ma conclusion de ce voyage dans le monde de la maroquinerie vegan est la suivante : même si la recherche progresse sur les matériaux ( l’apple skin est un bon exemple, mais aussi le cuir de raisin) tous les matériaux utilisés pour remplacer le cuir animal n’ont pas encore vraiment fait la démonstration de leur neutralité pour l’environnement, loin de là. Impossible par exemple d’affirmer que le PU (polyuréthane) pollue moins que l’élevage.

La labellisation PETA, elle, garantit au moins l’absence de souffrance animale. Il nous faut donc choisir un combat faute de pouvoir les mener tous de front !

Pour ce qui me concerne, c’est la marque Ashoka qui est mon gros coup de coeur.

Koshka Mashka – mode made in PARIS

Koshka Mashka fabrique à Paris les pièces incontournables de votre garde-robe. Féminité, lignes indémodables et étoffes atypiques, souvent issues de stocks des plus grandes maisons de couture françaises et italiennes. Voici donc le cocktail mode qu’il nous faut absolument !

Koshka Mashka
Koshka Mashka

Koshka Mashka Paris – de l’Arménie à Paris

Mari, la créatrice de Koshka Mashka Paris, a évolué dans le monde de la mode tout au long de sa carrière. Tout commence en Arménie dont elle est originaire et où elle fait ses études aux Beaux arts. Puis c’est en Italie qu’elle pose ses valises. Elle  y travaille pour les plus grandes maisons de couture.

Arrivée à Paris, elle créé sa marque en 2007 et c’est en 2013 qu’elle ouvre enfin sa boutique parisienne dans le Haut-Marais. Et oui, c’est un scoop : la marque initiale Koshka Mashka vient de changer de nom pour devenir Koshka Mashka Paris.

Koshka Mashka
Koshka Mashka

Sa passion, son moteur créatif, ce sont les étoffes. Elle choisit toujours de superbes tissus, souvent issus de fins de série de grandes marques de couture. Sinon, c’est en Italie et en France qu’elle les sélectionne. Son credo : proposer des pièces uniques, intemporelles, que l’on portera à l’infini, jusqu’à l’usure. Pour une mode raisonnée, loin de la fast fashion que nous ne connaissons que trop bien.

Koshka Mashka – pour que toutes les femmes soient belles

C’est l’approche de Mari : créer des vêtements pour que chaque femme ait la satisfaction de se sentir bien et belle. Chaque pièce a ce petit détail qui la rend absolument unique.
Elle affectionne particulièrement le jean, qui pour elle est « magique« . Alors elle invente des coupes, adapte à votre silhouette, pour qu’il soit juste parfait. Et elle décline ce tissus sous toutes ses formes. Slim, à pont, bootcut ou droit, chaque morphologie a le sien.
 La rayure fait aussi partie de sa signature, et elle en joue à l’infini.
 De son pays natal, l’Arménie, elle fait venir de superbes pulls faits main.

Si je vous dis que le craquage est garanti, vous me croyez ?

Chemisiers fluides, trenchs en pièce forte qui détermine un look, manteau, capes et blousons, votre coup de coeur est chez Koshka !

 Koshka Mashka 36 Rue de Poitou, 75003 Paris

Laulhère – Le béret dans tous ses états

Depuis quelques années, le couvre chef sous toutes ses formes a fait son retour sur les podiums, et donc naturellement dans nos looks. Après le bob qui remporte un franc succès à la surprise de tous, voilà donc le béret, chapeau traditionnel français, qui devient lui aussi accessoire indispensable de la garde robe. Il est donc évident de vous présenter la marque de bérets Laulhère, et sa magnifique boutique rue du Faubourg Saint Honoré.

Laulhère Paris
Laulhère Paris

Laulhère – le béret en héritage

Les bérets Laulhère existent depuis 1840. C’est au pied des Pyrénées que la maison perpétue la fabrication de ce couvre chef si emblématiquement français. Attention, nous sommes ici dans le Béarn, et non pas dans le Pays Basque.

A la grande époque du béret, lorsque chaque village avait le sien, on dénombrait pas moins de 40 usines de production dans le sud ouest de la France.

Aujourd’hui, il existe quelques jeunes petits ateliers, mais Laulhère est le dernier site historique de la région.  Le savoir-faire qui y est perpétué lui vaut d’ailleurs d’être labellisée EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant)

C’est ce savoir-faire inégalé dans le monde auquel l’armée française fait appel pour habiller ses soldats, tout comme d’autres armées dans le monde, ainsi que l’ONU.

La fabrication d’un béret

Le saviez-vous ? Un béret est avant tout un tricot. Ici, on ne tisse pas, on tricote une galette qui nécessite un exercice unique fait de mailles, d’augmentations et de diminutions. Au commencement était le fil, un fil de Mérinos d’une finesse absolue. Les étapes sont multiples : tricotage, remaillage, feutrage suivi de la teinture. Et c’est à ce moment que vient l’étape de mise en forme (enformage). Enfin vient l’ennoblissement qui donne à la laine précédemment feutrée douceur et soyeux. On finit sur la doublure, baleinage en cuir déterminant le tour de tête. Sans oublier l’écusson intérieur, véritable signature.

Laulhère – 100% mode

C’est en 2017 avec le défilé DIOR que le béret fait officiellement son retour sur le devant de la mode.

Laulhère se saisit de ce renouveau pour créer de nouvelles collections, sans pour autant délaisser les grands classiques et intemporelles.

Désormais vous pourrez même rehausser un look estival avec ces bérets aux étoffes plus légères et broderies florales.

Quant à l’hiver, il pourra autoriser toutes les fantaisies.

Une chose est sure, après avoir visité la superbe boutique parisienne Laulhère , vous ne verrez plus jamais le béret de la même façon !

Laulhère 14-16 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris (au fond de la cour) ouvert de 11h00 à 19h00 tous les jours sauf dimanche

Cabaia – une marque, un état d’esprit

Cabaia est une marque mono produit qui propose un nouveau produit tous les 6 mois depuis sa création, il y a maintenant 3 ans. Mais plus qu’un produit, elle propose un état d’esprit. Joyeuse, colorée, personnalisable, le coup de coeur en toute saison.

serviettes de plage Cabaïa
serviettes de plage Cabaïa

Cabaia- met ton bonnet

Au commencement était un serial entrepreneur, Bastien Valensi. Il pense le concept, choisit sa marque. Très vite rejoint par Emilien Foiret, ensemble ils vont faire grandir Cabaia et développer leur premier produit : le bonnet. Bien vu ! Cet accessoire de mode avait commencé à faire son retour sur les têtes des fashionistas. Un bonnet Cabaia, c’est plus qu’un bonnet, c’est un état d’esprit.

Colorés, ils répondent tous à un nom de cocktail. Pour que cet accessoire en soit en fait plusieurs chaque bonnet est livré avec trois pompons. Parfait pour changer de look en un clin de pression.
Ce n’est plus la saison mais je dois vous dévoiler le secret de l’hiver prochain : Cabaia sort une collection de bonnets bébé et enfants, dur le même principe avec une doublure douillette en sus !

Fini le drame de la chaussette orpheline

Cabaia a résolu ce problème auquel nous avons toutes été confrontées un jour : celui de la chaussette orpheline. Leurs chaussettes, vendues en paires ( petit clin d’oeil à une marque qui revendique une solution en vendant des paires de 3 chaussettes! Mais What???) sont inséparables !


Donc, sur les chaussettes Cabaia, les inséparables, un bouton sur l’une, une boutonnière de l’autre. Avant de les mettre à laver il suffit de les assembler et le problème est réglé. De plus, leurs motifs mettent de la joie dans vos chaussures !

Tour du monde en 80 sacs

Last but not least, le dernier né des concepts est le sac à dos. Proposé en 11 couleurs, il offre une multitudes de possibilités de le personnaliser grâce aux 22 pochettes disponibles.

En effet, chaque sac contient une pochette de la même teinte, qui peut rester dans le sac ou de fixer sur l’extérieur. Et une deuxième, imprimée , pour ces jours gris où l’on a envie de mettre de la bonne humeur dans notre vie. Le bonnets portent des noms de cocktails, pour les sacs, ce sont des noms de ville et pour chaque pochette, celui d’un monument historique. Voyage, voyage !

Autre particularité du sac à dos Cabaïa, son design ! Contrairement aux sacs à dos traditionnels tels que nous les connaissons, le Cabaïa s’ouvre par le haut, pour plus de simplicité, et peut aussi se porter à bout de bras, avec ses deux poignées supérieures.

Tant de bonnes raisons d’être séduit par Cabaïa !

 

C’est le moment d’acheter une marinière à Paris

« La marinière ma chériiiie, c’est un basique, un intemporel de la garde robe chic et branchée » ! Et non, il n’est pas indispensable de partir en Bretagne pour trouver l’authentique marinière en mode pull, Tshirt coton one size, traditionnel ou avec un twist fashion. Idées pour acheter une marinière à Paris !

Une marinière – mais pourquoi ?

La marinière, c’est d’abord un vêtement de marin. Wikipedia nous le dit  » c’est un décret officiel du 27 mars 1858 introduit dans la liste officielle des tenues de matelot de la Marine nationale le tricot rayé bleu indigo et blanc décrivant ainsi ses caractéristiques techniques : « Le corps de la chemise devra compter 21 rayures blanches, chacune deux fois plus large que les 20 à 21 rayures bleu indigo. » »

Alors comment est-il arrivé dans la garde robe de la parisienne chic – ou plus précisément de la femme chic, parisienne ou pas ? S’il fallait désigner une seule coupable, ce serait Mlle Chanel, qui dès 1917, porte ce tricot rayé qu’elle achète dans les boutiques du port à Deauville ! Mais attention, Yves Saint Laurent s’en est aussi mêlé, comme pour chacun des bouleversements des tenues vestimentaires féminines et c’est lui qui introduit le premier ce vêtement dans sa collection « matelot » de 1966. La marinière entre ainsi dans nos dressings pour ne plus jamais en sortir !

Traditionnelle avec un zeste de fashion attitude

Je n’ai qu’un mot pour vous, ou plutôt deux : Saint James (lisez « Saint Jaaame » et pas « Saint Jaymes » à l’anglaise, parce que c’est le nom du village historique où la manufacture est installée, en Normandie  )

Maison  restée dans la même famille pendant des générations, elle est reprise par ses salariés en 1990 et a su se réinventer au fil du temps et des tendances tout en préservant un savoir faire historique. Ici, on trouve la marinière traditionnelle, le célèbre pull marin, mais également des collaborations ancrées dans l’univers fashion avec des créateurs tels que Marin Montagut, ou encore des marques comme FAGUO.

Saint James préserve ses grands classiques, avec sa gamme Atelier dédiée aux essentiels que sont marinière, pull marin et caban. Elle se permet aussi d’en jouer au fil des saisons en les réinventant pour notre plus grand plaisir. Mon coup de coeur sera ce modèle et sa discrète touche de lurex rouge (109€) .

Marinière Saint James
Marinière Saint James

 

Saint James à Paris
Rive Gauche, 66, rue de Rennes, 75006 PARIS.
Rive Droite, 44 rue Cler, 75007 PARIS et « SAINT JAMES Madeleine », 5 rue Tronchet, 75008 PARIS

En mode tradition bretonne

Armor Lux née à Quimper est un marque bretonne ancrée dans sa longue histoire débutée en 1938. Des étoffes de grande qualité, des modèles traditionnels, valeurs sures de celles qui tiennent à leur pull marin authentique et leur marinière emblématique. La marque habille les collaborateurs de la SNCF depuis 2014.

A vous d’accessoiriser ces produits classiques et de grande qualité pour apporter un twist décalé à cet intemporel indétronable.

Ma préférence va à ce modèle au col subtilement différent et qui fait toute la différence.

marinière Armor Lux
marinière Armor Lux

Actuellement en solde à 63€20

Armor Lux 
Rive droite 86 Rue de Turenne, 75003 Paris 01 57 40 63 98
Rive gauche 274 Rue de Vaugirard, 75015 Paris 01 42 50 30 73

Le petit Dernier

Sylvain et Jérôme sont les fondateurs de la marque Flageolet, connue pour ses noeuds papillons, mais aussi chaussettes, bonnets et foulards. Quand ils découvrent la marque bretonne Le Minor c’est un coup de coeur et en 2018, ils rachètent cette entreprise spécialisée en vêtements marins en général, et marinières en particulier.

Parce qu’ils sont 100 % bretons, les produits de la mer ne sont travaillés qu’avec des matières premières françaises. La marque revendique une qualité supérieure de tissage et des marinières qui durent longtemps, très longtemps, plus de 10 ans.

Ils ont désormais une boutique à Paris, la première. L’occasion de découvrir leurs créations. D’autant que leur eshop n’est pas encore en ligne, mais cela ne saurait tarder !

Le Minor  5 Rue du Sabot, 75006 Paris