Grand corps malade – casino de Paris

Il s’appelle Fabien , et c’est bien lui qu’on voit sur scène. Il nous raconte son histoire, celle qui a fait de lui celui dont-il chante  » appelez moi Grand Corps Malade « 

Il a l’air d’un roseau, long et frêle, et , comme lui, il plie sans se briser un seul instant, e ce quelque soit la force de la tempête .

Un concenté d’émotion et surtout de vie. Des textes si poétiques que nos classiques n’ont qu’à bien se tenir, si justes qu’on en a des frissons, si pleins d’émotions que les larmes coulent – une première en ce qui me concerne en concert !

Il se joue des mots … comme des maux de sa vie. Il a un tel appétit de vivre qu’il ne nous reste plus qu’à lui emboiter le pas.

Il s’éclaire au « clair de sa plume« , il « remet à aujourd’hui ce qu’il pourrait faire demain« .

Le temps est précieux, il le sait, il le dit, « il est déjà midi vingt« .

Il aime la vie, comme un fou, comme quelqu’un qui en a compris le prix.

A l’école de la vie « il a géré les trous noirs« , et il ne nous reste qu’ à tirer des leçons de la sagesse et de la lucidité qui émanent de ce jeune homme de 28 ans qui a bien plus de recul et d’intelligence face à l’existence que bon nombre de ses ainés.

Il « tutoie les nuages« , et ça nous fait du bien .

Un public différent de ce que j’imaginais, où toutes générations et toutes origines se mêlent et s’unissent dans une même émotion l’espace d’un concert.

Il nous dit que la vie vaut la peine d’être vécue, et on le croit !

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