C’est bientôt la rentrée: alors, qu’est-ce qu’on décide?

septembre

faites un petit sondage autour de vous, du genre :

« alors, c’est bientôt la rentrée, content de rentrer/revenir/reprendre le travail ? »

Effet immédiat : mine défaite, voire horrifiée, de l’interlocuteur/trice!

Aors quoi, qu’est ce qui explique cette réaction quasi pavlovienne ?

Pourtant, on revient de vacances, moral au beau fixe, corps hâlé et légèrement plus athlétique, kilomètre quotidien de natation oblige …!

Alors que se passe-t-il !?!

Pourquoi la seule évocation de la rentrée génère-t-elle de manière immédiate un noeud à l’estomac ?

J’ai la réponse : le retour inévitable et immuable du quotidien …!

Ces sables mouvants qui nous accueillent sous un masque de bienveillance, et dans lesquels, sans l’ombre d’un doute, nous finissons, année après année, par nous enliser …

Mais pas cette fois, pas cette année, j’ai identifié l’ennemi, il est débusqué, il ne s’en sortira pas !

Non, cette fois, ni les journées qui raccourcissent, ni la grisaille qui s’installe, ni les trombes de pluie, ni la réorganisation annuelle de mon entreprise ne viendront à bout de mon énergie !

Mais une fois cette décision prise, elle me mène naturellement à une interrogation plus profonde :

affronter ce quotidien sous un nouvel angle ?      

OU

changer de vie ?      

La réponse n’étant pas simple, je me laisse le temps de la réflexion …!

donnez-moi votre avis !

A demain.

Pas d’accord ! Anecdotes parisiennes en août

Je ne sais pas vous, mais à priori j’aime plutôt bien, et voire même beaucoup le mois d’août à PARIS.

Une circulation fluide, enfin si on oublie les légères perturbations liées à la fermeture des quais, PARIS Plage oblige; nous n’évoquerons pas non plus les différents travaux de voierie tellement adaptés à cette période de l’année… Bon, évidemment il y a aussi les magasins fermés , sans compter les restaurants, et quand on en trouve un ouvert, il est en général envahi par les touristes ou les quelques parisiens ayant omis de prendre leurs congés estivaux…!

Bon, d’accord, je force un peu le trait… 😉 En, fait, j’adore PARIS en août !

Oui mais voilà, il y a tout de même un point noir, de taille, et j’en ai fait les frais à deux reprises cette semaine, et là, il y a de quoi dégouter la plus enthousiaste des enthousiastes !!

Je vous explique : commençons par une devinette :

Que voyez vous là ?

Bonne réponse : un supposé marché, totalement vide ! En même temps, quoi d’étonnant, sachant que cette photo a été prise à 09h00 du matin dimanche dernier !

Et alors, me direz-vous ?! Et alors ?? Et bien figurez vous que c’est là que je me suis garée dimanche quand j’ai déposé ma puce et une copine Gare Montparnasse pour qu’elles puissent prendre leur train vers la Bretagne. Et quand je reviens récupérer ma voiture, un PV sur le pare-brise ! Un PV de 35€ !!

Alors là, vous imaginez ce qui me vient en tête !

J’avais bien regardé, il s’agissait d’une vraie place de stationnement, payante en général, et gratuite en août. Je n’avais juste pas vu le panneau d’interdiction de stationnement le diamnche pour cause de marché de la création, 200 mètres plus bas; oui mais voilà, ce marché, il commence à 10h00, et très visiblement je ne génais absolument personne.

Alors là, je dis : d’accord quand, m’installant confortablement sur une place de livraison, j’empêche le camion de livraison de fruits et légumes de travailler, l’obligeant à obstruer la rue pendant le déchargement de sa marchandise, et créant ainsi un de ces fameux bouchons parisiens que nous aimons tant ! D’accord si je prenais une place d’handicapé, parce que, comme ils le disaient « si vous prenez ma place, prenez mon handicap ».

Mais pas d’accord quand il s’agit d’occuper un escadron de contractuelles désoeuvrées un dimanche d’août !

La plupart des rue parisiennes sont gratuites en août, y compris la rue Edgar Quinet qui est celle que j’évoque en l’occurence. Alors pourquoi ne pas pousser le bons sens jusqu’au bout, et adapter le rester !

Bon, je vous ai raconté mon dimanche. Et bien figurez vous que ce n’était pas fini !

Mardi, je m’aventure du côté de la rue de la Roquette dans le XIème, et après avoir tourné, et tourné encore, je me résouds à me garer sur une place de livraison, dans une toute petite rue transverse, et devant un commerce visiblement fermé en août. Et bien là, les représentants de l’ordre se sont surpassés : quand je suis revenue, devinez quoi…………………. pas de voiture !

Alors oui, je l’ai récupérée, une fois le numéro et l’adresse de la fourrière trouvés, et oui, c’est la première fois que cela m’arrive, donc je pourrai ajouter cette aventure à ma liste de « nouveautés de l’été »…

Mais enfin, je dois le dire, JE NE SUIS PAS D’ACCORD !!!!

A demain ! 🙂