Les luminaires de Céline Wright ont une histoire. L’histoire de leur créatrice qui, ayant vécu au Japon, s’est inspirée de techniques locales pour créer ses luminaires aériens et poétiques.
Céline Wright
Depuis 18 ans elle créé des luminaires en papier japonais, inspirée par la matériau végétal et minéral.
Ses luminaires sont faits à la main, et ils évoquent calme et sérénité. La main et le pinceau pour uniques outils, ses luminaires sont principalement fabriqués dans son atelier à Montreuil.
Qu’ils soient suspensions ou à poser , ses luminaires m’ont donné l’occasion de découvrir un matériau que je ne connaissais pas : le washi, papier japonais à la blancheur inaltérable, extrêmement résistant, translucide, et permettant de réaliser des créations d’une extrême légèreté.
Ainsi, si vous rêvez d’un luminaire « cirrus », d’une envergure de plus de 2 mètres, sachez qu’il pèsera moins de 5 kilos !
Commercialisés en points de vente spécialisés jusqu’à ce jour, vous pourrez désormais les admirer et les acheter dans la boutique qu’elle vient d’ouvrir sur l’Ile Saint Louis, rue Saint Louis en l’Ile.
Céline Wright
Voici donc un aperçu de ses créations. Chacun porte un nom poétique.
Ainsi, les appliques rondes murales répondent au nom de Diva, et elles existent aussi en suspension, ou encore en version lampadaire à poser au sol.
Le lampadaire longiligne dont la forme rappelle des ailes s’appelle lui » Envol « .
Alors, quand vous serez en quête de lumière, faites un tour chez Céline Wright, sur l’Ile Saint Louis.
Mon vieil ami – un restaurant pour les amoureux des légumes
Mon vieil Ami
69 rue Saint Louis en l’Ile 75004 PARIS
01 40 46 01 35
cadre
Mon vieil ami se trouve en plein coeur de l’Ile Saint Louis, et plus précisément encore, de la rue Saint Louis en l’Ile. Un bon point d’emblée en ce qui me concerne ! La salle n’est pas très grande, sobrement décorée et aménagée.
service
L’accueil est chaleureux, le service efficace. Rien de plus à ajouter sur ce sujet, et, à vrai dire, c’est plutôt bon signe !
la proposition culinaire
Le menu ne peut pas le dire plus clairement : ici, les légumes sont rois ! Vous remarquerez que ce sont eux qui donnent leurs noms aux plats, plutôt que les viandes ou poissons qu’ils accompagnent !
Ainsi, si je vous dis » blettes et poireaux » , saurez vous qu’il faudra penser » pintade rôtie » ?! Et bien ici, oui !
La carte est suffisamment variée pour que chacun y trouve le plat de son choix, et pourtant assez courte pour que le risque de s’y perdre soit proche de zéro !
Des plats traditionnels, revus pour que le légume puisse s’y exprimer pleinement.
Mon Vieil Ami CassouletMon Vieil Ami StJacques
Et le résultat est une vraie réussite. On se régale, jusqu’au dessert ! Regardez cette version du vacherin et vous comprendrez !
Donc si je résume, je vous recommande cette adresse, tant pour la qualité du repas que vous y dégusterez que pour la ballade qu’elle vous permettra sur cette ile que j’aime tant !
38 Saint Louis – un nouveau joyau de la rue Saint-Louis en L’Ile
Le 38 Saint Louis est un commerce qui a toujours vendu des fromages. Bien sur, le patron était bougon comme il se doit, ne vous offrait un sourire que très rarement, et accordait peu d’importance à l’image qu’il donnait à ses clients… Si je vous dis tout ça, c’est que je le tiens d’une cliente de longue date qui sait de quoi elle parle !
Mais les choses ont changé … En effet, le 38 Saint Louis est désormais tenu par des commerçants comme j’aimerais en trouver dans tous ces petits commerces de proximité … Jugez vous même !
Deux jeunes entrepreneurs, amoureux des beaux et bons produits, et qui encouragent de jeunes talents comme eux, dans les univers de l’oenologie, ou encore d’autres mets artisanaux .
Grâce à Priscilla j’ai découvert cet endroit il y a quelques jours. Au delà de son emplacement rêvé, l’Ile Saint Louis que j’affectionne tant, j’ai découvert un certain nombre des produits proposés en les dégustant, et je vous garantis que quand vous irez, vous allez aimer vous aussi !
Je ne vais pas vous lister l’intégralité des produits dégustés, mais en voici un aperçu.
Commençons par ce saumon fumé, aux saveurs que vous ne connaissez pas encore, même si vous avez déjà mangé du saumon fumé ! En effet, en provenance d’Ecosse, il es télexé en pleine mer, dans une zone à la frontière de trois mers et océans. Des eaux particulièrement, pures, une durée d’élevage bien plus longue que la durée moyenne des saumons d’élevage, et c’est la garanti d’une vraie chair , totalement dénuée de gras, un délice ! Je l’avais d’ailleurs déjà découvert quand il avait été commercialisé pour les fêtes par les Galeries Lafayette Gourmet, et j’avais craqué de la même façon !
Pour déguster ce saumon, une boisson que je ne connaissais pas : du whisky mélangé à de l’eau – d’Ecosse bien sur . Et bien moi qui n’aime pas le whisky, j’ai apprécié !
Suivent ensuite une variété de fromages et de vins. Leurs points communs : je jeune producteurs dynamiques, de jeunes vignerons passionnés qui réinventent ces produits emblématiques : agriculture biologique, production en quantités artisanales.
D’ailleurs, quand je dis jeune, je dis jeune d’esprit, car l’un de ces vignerons a 52 ans et fait du vin depuis 5 ans !
Donc, pour résumer, quelques images, et une recommandation: allez-y ! C’est ouvert tous les jours de la semaine, et jusqu’à 21h00!
FERMé 38 Saint Louis 38 rue Saint-Louis en l’Ile 75004 PARIS FERMé
cet établissement n’existe plus, il a fermé ses portes. Si j’osais, je dirais que les effets de mode ne peuvent pas suffire, et cette fermeture en est sans doute une illustration.
Le Sergent Recruteur.
Sergent Recruteur Facade
41 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris
Téléphone :01 43 54 75 42
cadre
service
rapport qualité/prix
Et pourtant, tout avait si bien commencé…
Bon, d’accord, ayant réservé le jour même pour le soir, je n’avais pu obtenir que des places au bar, sur chaise haute. Mais finalement, m’étais-je dit, le principal n’était-il pas de pouvoir enfin découvrir ce restaurant dont j’avais tellement entendu parlé, et qui de surcroit est sur MON ile !
Sergent Recruteur Bar
Nous voilà donc installés, au bar. On vient nous expliquer le concept, un menu dégustation, à base de produits frais, naturels, récoltés dans la ferme de Normandie qui produit les légumes pour le restaurant, et pour le reste, de bons produits de la mer, en provenance directe de nos belles côtes françaises. La salle est vide, et le personnel très attentionné… Cela ne va pas durer.
Premier sujet de surprise : la personne qui nous liste rapidement les 8 ou 10 plats que nous allons déguster. Bien sur, il nous précise que si l’un des mets ne nous convient pas, il suffit de le préciser. Mais pas de menu imprimé, juste une énumération rapide et peu détaillée. Et dont le contenu va changer, mais nous ne le savons pas encore !
Et commence le service.
Alors c’est vrai, je l’avoue, le concept de dégustation de 10 plats différents, sans choix aucun, de manière totalement imposée par un chef tout puissant, je ne suis pas fan. Mais si chaque bouchée, chaque portion, aussi petite soit-elle, me propulsait dans des abîmes de plaisir et me faisait grimper aux rideaux ? On ne sait jamais, la surprise peut-être bonne… Ou pas !
D’abord, une chose : Le Sergent Recruteur ne porte pas bien son nom, et il faudrait plutôt le renommer pour que la dimension japonisante soit clairement annoncée. Quand dans chaque plat le chef éprouve l’irrépressible besoin de glisser saké, yuzu et autres saveurs nippones, mieux vaut le savoir d’emblée !
Revenons en aux différents plats : un d’eux devait être du foie gras poêlé, mon pêcher mignon. Mais plat après plat, de foie gras, point. Et quand, arrivés au dessert, je pose la question à celui qui nous avait fait cette promesse, il m’explique qu’effectivement le chef, parfois, décide d’apporter des modifications, de façon totalement unilatérale : et bien c’est ainsi que notre foie gras a été remplacé par des oursins !
Et là je dis non ! Parce qu’à quoi bon demander si certains mets ne nous conviennent pas pour ensuite les remplacer sans autre forme de procès ?!
Sinon, je résumerai ce repas en disant que ce qui a dominé, c’est le compliqué, et le tarabiscoté.
Quand je mange dans ce type de restaurant, je me dis que le chef est passé à côté de l’essentiel : le vrai plaisir de manger. Ce plaisir qui fait qu’une bouchée une fois dégustée vous laisse une sensation de plénitude qui vous renvoie à vos plus beaux souvenirs gustatifs ou vous crée ceux de demain.
Ce plaisir de découvrir ces fameux beaux et bons produits de qualité, dont la simplicité est la meilleure signature.
Pour être tout à fait juste, je dois le dire, cela s’est presque produit avec la « déclinaison de choux d’automne, vinaigrette praliné « . Là, on est presque au niveau de Passard et ses symphonies de légumes.
J’aimerais que l’on oublie cette masturbation de neurones version gastronomique, pour en revenir à l’essentiel, des mets simples, des produits qui font redécouvrir les saveurs, sans le besoin de les noyer dans un exotisme de bon ton.
Alors je vous livre en vrac la liste des intitulés et descriptifs ronflants égrénés durant ces deux heures et demie interminables que mon dos, et mon corps entier, perchés sur ce tabouret de luxe qui nous a servi de siège me reprocheront pendant quelques jours je le crains.
– Amuse bouche
– Rillette de canard et oignon rouge, jus de carotte gingembre, soupe potiron
– Pain et beurre faits maison, légumes en provenance d’une femme en normandie
– Sole de saint gille croix de vie
– Œuf cuit à basse température, crème aigrelette et golden caviar (si basse température qu’il en est cru)
– Salade homard et betterave multicolore
– Oursin yuzu shawamoushi (?)
– Déclinaison de choux d’automne vinaigrette praliné et yuzu
– Sole consommé de veau
– Poularde de la Sarthe émulsion vin jaune truffe noire
Et quelques images pour illustrer le propos.
Quant à la note, elle était nettement plus savoureuse que les mets dégustés ! 150€ par personne.
Tout cela m’apprendra à vouloir me plier aux diktats de la mode gastronomique parisienne.
Je retiendrai donc de cette expérience que l’essentiel est le plaisir et le bon moment partagé, qu’à cela contribuent un nombre important d’éléments, qui vont de l’ambiance du lieu à la qualité des mets en passant par le sourire du personnel. De tous ces ingrédients, seul le sourire était présent, mais il n’a pas suffi.
Ann’s cookies ne nous livrera pas sa recette… Heureusement, il nous reste ses cookies !
Gourmandes que nous sommes, il est difficile de résister à un cookie ! Alors quand je découvre que l’Ile Saint Louis, mon lieu préféré du monde, recèle un trésor gustatif, c’est le combo absolu !
Ann’s cookies est donc une sorte de « french cookie jar » !
Tout commence par une belle histoire : Ann, étudiante en Angleterre. Elle y découvre la saveur des cookies, moelleux et délicieux. Des années plus tard, nostalgique, et n’ayant pas retrouvé ces saveurs et ces textures, elle commence à les confectionner elle même en mettant au point sa propre recette ! Seulement voilà, ils sont bons, très bons ! Et tout le monde en demande ! Alors elle décide de créer sa propre entreprise!
Des cookies uniques, à la recette tenue secrète, mais dont les ingrédients sont parfaitement identifiés et de qualité !
Parce qu’au delà d’une bonne recette, le succès tient aussi aux ingrédients bien sur !
Alors Ann les choisit un à un : des oeufs fermiers ou Bio, du beurre AOP du Poitou, et du sucre de canne en provenance directe des Antilles !
L’offre est spectaculaire : des grands classiques aux parfums de saison ( pour Noël, elle avait concocté un mélange parfait orange-cannelle) en passant par la version régressive à base de Nutella !
Vous pouvez donc les consommer et les acheter sur place …
A l’unité, en boite carton ou boite métal, il y a même une version mini !
Et si vous ne passez pas par l’Ile Saint Louis, elle livre dans Paris intramuros du lundi au vendredi de 12h00 à 18h00 pour 6€, et peut envoyer aussi dans toute la France et en Europe par colissimo .. Tentant, non ?!
Alors vous, les cookies, vous les faites, vous les achetez, vous les aimez moelleux à souhaits ?
NB la boutique est fermée jusqu’au 23 janvier pour congés. Rendez-vous le 24 !
Ann’s cookies
60 rue Saint Louis en l’Ile 75004 PARIS
pour commander : info@anns-cookies.com ou 01 55 42 14 88
un café comme on les aime et comme il en reste de moins en moins : du bois, du cuir patiné, de la céramique, de grands miroirs …
Un lieu où l’on se sent bien, dans un quartier que j’adore … Difficile d’être objective !
le service
L’accueil est courtois, le service rapide . Même dans une salle pleine aux heures de pointe, l’efficacité souriante est de mise !
les plats
Le menu vous propose tout ce que pouvez attendre d’un bistrot parisien, avec un petit plus : a gamme d’oeufs bio acommodés de façons multiples et diverses !
Vous trouverez donc : la traditionnelle salade de chèvre chaud, aux chèvres dorés à point et au pain croustillant juste comme il faut …
Et puis aussi le cheeseburger et son cornet de frite élégamment présentées …
ou encore l’indispensable confit de canard et ses pommes sarladaises ( légèrement trop cuit mais extrêmement gouteux si j’en crois LUI )
et, parce qu’il en faut toujours, du poisson et ses haricots verts, intitulé » juste un filet de bar et ses haricots verts » !
Bien sur, pour les amateurs de bonne viande, l’entrecôte est naturellement présente !
Quant aux desserts, deux options pour les gourmands : soit le café du même nom, riche mais , pour ce qui me concerne, un peu décevant en termes de variété : macarons et financiers, sans échantillons des desserts proposés à la carte, soit une variété de patisseries présentées sous cloche, au mille feuilles plus que prometteur !
Et pour finir, une surprise plus que plaisante … Un thé vert menthe naturelle, présenté de façon tou à fait authentique .. !
Pour résumer, le St Regis pourrait rapidement devenir mon QG : deux fois en une semaine, ça tourne à l’habitude, non ?
Je trouve l’endroit très agréable, une pause bienvenue lors d’une promenade sur l’Ile …. Est ce que le fait d’y avaoir déjeuné coude à coude avec Djamel Debouze a ajouté un point positif à mon appréciation ? Certainement, d’autant plus qu’il est extrêmement sympathique , de ce que j’ai pu entendre, et ce même si Melissa n’était pas là !
Sucre Bleu est une jolie boutique au coeur de mon île préférée, L’Ile Saint Louis.
Dans cette boutique, vous découvrirez une sélection élégante de bijoux, tous sélectionnés par Elle : Anne Grima .
Elle en parle avec passion, connait chacune des créatrices, chaque secret de chaque pièce présentée.
Mais l’objet phare, celui qui attire immédiatement l’oeil, et sur lequel elle est intarissable c’est, sans l’ombre d’un doute ….
L’éventail !
Sachez le, il s’agit là de l’accessoire indispensable, celui dont vous imaginiez pouvoir vous passer, mais celui que vous ne quitterez plus quand elle vous aurez pénétré dans ce temple de l’éventail !
Anne sait vous apprivoiser, vous intriguer avec cette objet si terriblement féminin !
Un mouvement vif du poignet, il déploie ses ailes et vous séduit d’emblée.
Dentelle, bois, ou encore tissus imprimé, toutes ces merveilles sont les créations de l’espagnole la plus moderne du moment, celle qui a su donner une nouvelle vie à cet objet chargé de culture et de symboles : Véra Pilo !
Vous en trouverez donc de toutes les couleurs et de tous les styles, vous permettant ainsi de les assortir à chacune de vos tenues …
Quant à moi, j’ai eu mon coup de coeur, et je n’en démordrai pas !
Chez Anne vous trouverez aussi de la fantaisie de qualité .
Les Néreïdes …
et la petite soeur : N2 …
Parfait pour toutes les amoureuses de jolis sautoirs, et aussi pour les passionnées de danse !
L’Espagne est aussi présente à travers une créatrice de bijoux : Milà Gonzàlez. Quand vous verrez ces boucles ornées de Swarovski turquoises, vous n’aurez qu’une envie, c’est de les voir orner vos oreilles !
Vous connaissez mon amour pour les brcelets et autres bangles: et bien ici vous trouverez forcément votre bonheur …
Et, ce qui n’a pas de prix, l’accueil souriant et professionnel de celle qui saura vous guider dans votre choix en vous communiquant la passion de ces objets !
Alors, envie de vous faire plaisir ? vous savez ce qu’il vous reste à faire !
La rue Saint Louis en L’Île est au coeur de ce havre de paix qu’est, à mes yeux, l’Ile Saint Louis !
Ainsi, pour faire durer le plaisir, la visite se déroulera en plusieurs étapes .. commençons par le côté impair !
A l’angle de ce qui fut » l’ile aux vaches « , se trouve un restaurant dont le nom est un clin d’oeil à cette histoire ancienne …
Difficile de vous donner un avis sur la qualité du restaurant … J’y suis allée il y a 10 ans ! Cela dit, on doit lui reconnaitre sa longévité !
Continuons notre progression …
Dans cette rue, vous aurez l’embarras du choix concernant le plaisir des papilles …
Restaurant de gastronomie traditionnelle, bon, et abordable …
Ou encore un restaurant italien dont je vous ai déjà dit le plus grand bien …
Et puis il y a ces lieux de perdition pour les gourmands en goguette …
Et pourtant, LE Berthillon est de l’autre côté de la rue des deux Ponts … ! Mais, nous le savons tous, Berthillon est omniprésent sur cette île !
Et puis, il y a ce glacier témeraire, voire inconscient, qui a osé s’installer au coeur du fief du glacier parisien historique …
Et un autre, encore plus récent …
Mais, de grâce, ne vous aventurez pas à rentrer dans ce lieu qui se prétend commercialiser des produits aussi naturel que les patisseries de vos grand mères, et où tout s’avère être à base d’huiles en tous genres, sans une trace du bon beurre que l’on trouvait dans les biscuits d’un goûter tel que dans nos souvenirs d’enfance …
Sur l’Ile Saint Louis, vous trouverez de la couleur …
des objets colorés, amusants, et qui se permettent le luxe d’être aussi fonctionnels !
Et puis il y a des bijoux chez Sobral, des vêtements chez Nina …
Mais il y a aussi des petits commerçants, du genre de ceux qui disparaissent peu à peu au profit de plus grandes surfaces sans âme .. Et bien sur l’île, ils ont tenu bon !
L’Ile Saint Louis est un village au sein de la vile, j’éspère qu’elle gardera son authenticité !
C’est sur l’Ile Saint Louis que j’ai découvert cette marque de bijoux et d’objets qui égaieront votre maison et orneront vos poignets et votre cou : SOBRAL !
Pour apprécier SOBRAL, il faut tout d’abord aimer la couleur et la joie de vivre ! C’est un concentré de bonne humeur, alliant originalité et esthétique. Alors amateurs de grisaille, passez votre chemin !
Sobral, des bijoux aux couleurs acidulées en été, qui donnent envie de les dévorer !
La boutique se trouve en plein coeur de l’Ile Saint Louis …
quand on y pénètre, c’est d’abord la chaleur des couleurs qui saute aux yeux …
alors observons plus en détails …
tout d’abord une des toutes dernières collections …
et puis une des collections » historiques » , qui existe depuis toujours
PoP Art
et d’autres merveilles encore dont je ne connais pas les noms !
et puis, comment résister à un brésilien qui en plus aime PARIS … !
Mais Sobral, c’est aussi l’histoire d’un homme, Carlos Sobral, et de son pays, le Brésil. Et cette histoire, je ne tarderai pas à vous la conter … !
Et ces somptueux bijoux, je ne tarderai pas à vous en parler, à nouveau … !
Il faut dire que l’accueil est tellement parfait dans cette boutique que c’est un véritable plaisir de s’y rendre!
Et, pour vous faire patienter, encore quelques photos, de presse celle ci !
Elle a cette dimension humaine qui donne la sensation d’être au coeur d’un village reculé, en particulier le dimanche matin, avant l’arrivée des touristes et badauds en tous genres ! Savez vous que cette ile , initialement Ile Notre Dame, commence à faire l’objet de plan d’urbanisme sous Henri IV, et que les traveausx sont confiés à Christophe Marie, entrepreneur général des Ponts. Marie s’associe à deux entrepreneurs, Lugles Poulletier et François Le Regrattier, et est chargé à ses frais de combler le chenal, de construire des ponts pérennes et de renforcer les quais, en échange d’un droit sur le lotissement du terrain. Deux rues perpendiculaires à la rue centrale, rue Saint Louis en l’Ile, portent le nom de ces deux entrepreneurs. Quand à la deuxième ile qui fut rattachée à l’Ile Notre dame pour former l’Ile Saint Louis, l’Ile aux vaches, c’est un restaurant qui nous rappelle son existence : L’Ilot Vache !!
Alors voici quelques images pour étayer le propos ….
