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LA #PFW (Paris Fashion Week), c’est fini !
Et le spectacle aussi donc. D’ailleurs, on dirait qu’il était temps, si l’on en juge par tous ces privilégiés, pourtant installés en front row, mais très concentrés sur leurs portables !
Voici donc, en clin d’oeil, des images du seul défilé auquel j’ai assisté, et qui pour moi, était un superbe spectacle !
Yves saint Laurent – le mythe
La haute couture m’a toujours fascinée. Et pour moi, elle a toujours été incarnée.
Celui qui l’incarnait était Yves Saint Laurent.
L’agence Cultival ouvre au public des lieux tenus secrets de Paris à travers des visites guidées insolites et inédites. C’est grâce à ce concept unique que j’ai eu le plaisir de découvrir l’ancienne maison de couture Yves Saint Laurent, dans laquelle il s’était installée en 1974 et qui deviendra en 2002 la fondation Bergé Yves Saint Laurent.
Un voyage dans la mémoire de celui qui a participé au changement de la vie des femmes en leur donnant le pouvoir. Un grand moment d’émotion pour la fan et l’admiratrice absolue que je suis.
La mémoire puisque ce lieu abrite un fond d’archives, 40000 dessins de sa main, 5000 vêtements, des accessoires, rubans et dentelles conservés dans des conditions muséales.
La visite commence par le salon de défilés et le lieu d’essayage. Un salon d’accueil pour la clientèle couture, qui prenait rendez-vous après les défilés pour pouvoir admirer à nouveaux certains des modèles dans la quiétude de ce boudoir.
Les séances d’essayage se déroulaient dans la salle attenante derrière de grands paravents que l’on peut toujours découvrir en passant la porte. Les couleurs et les étoffes sont celles qu’Yves Saint Laurent avait lui-même sélectionnées.
Cette cabine d’essayage qui s’apparente plutôt à un salon disposait même d’un passage secret derrière une porte miroir pour accéder directement aux ateliers, permettant ainsi au personnel d’aller et venir entre la cliente et les ateliers sans traverser les salons ni emprunter l’escalier principal.
Après cette première immersion dans l’univers de la maison, c’est le moment de pénétrer dans l’antre du maitre , et dans l’histoire de la haute couture. Quelques marches, une porte à code qui s’entrouvre, et nous voilà dans le bureau du maitre. Soudain, le silence se fait, et nous avons toutes ce sentiment diffus de passer de l’autre côté du miroir.
C’est là aussi Yves Saint Laurent lui même qui a décidé des objets laissés sur ce bureau quand YSL Haute couture a cessé son activité en 2002.
Même les crayons sont les siens, laissés là pour la postérité. On y aperçoit aussi une canne de M. DIOR, du blé, symbole qui suivra Yves saint Laurent tout au long de son existence. Et puis des figurines de bouledogue français, son chien fétiche; Mujik 4 est d’ailleurs toujours vivant, et il vient encore régulièrement dans ce lieu où il a passé tant de temps avec son maitre qu’il ne quittait jamais.
Les célèbres smoking sont là, omniprésents. Chaque modèle a sa signature, son style, ses particularités.
Le tout premier, né en 1966, créé pour Catherine Deneuve qui lui sera fidèle toute sa vie.
Tous les smokings sont là, du premier en 62 à la robe smoking de 2001. Ils sont tous différents. On découvre ce travail sur le noir par les matières qui rend chacun d’entre eux unique.
En fait, Yves Saint Laurent était le Soulage de la haute couture.
Dans cette pièce se trouvent également « les toiles ». Cette promesse des tenues en devenir.
Chacune des 81 collections Haute Couture Yves Saint Laurent est archivée ici. Des archives papiers conservés dans des boîtes spécifiques anti acide. Nous avons la chance de pouvoir découvrir celle de la collection 2001.
Les croquis tout d’abord.
Des croquis si simples et pourtant on perçoit déjà le mouvement, l’élégance du modèle.
Puis vient la bible, dans laquelle les croquis sont déclinés, accompagnés de bouts d’étoffes, suggestions pour la création finale.
Si vous rêvez de posséder l’intégralité des croquis, vous le pouvez, grâce à ces coffrets dans lesquelss vous retrouverez l’ensemble des collections.
Je pourrais continuer pendant des heures à vous décrire les pièces emblématiques, de la saharienne à la robe Mondrian, ou encore à vous conter l’atmosphère qui se dégage de la vidéo tournée lors d’une séance de confection des robes, en présence du maitre et de tous ceux qui l’ont accompagné.
Je ne peux que vous recommander de faire cette visite si vous avez ne serait-ce qu’un dixième de la passion que j’avais pour les créations de ce génie qui aimait les femmes.
Et pourtant, il avait un regret, qu’il a exprimé clairement : ne pas avoir inventé le jean. Si je l’avais rencontré, je lui aurais dit que tout ce qu’il a offert aux femmes, le pouvoir, l’élégance, la féminité, grâce à ses tenues, vaut bien plus que cette étoffe, certes magique !
Une visite unique à ne manquer sous aucun prétexte.
Fondation Bergé YSL
5 avenue Marceau 75008 PARIS
Christine Phung – l’hiver, ses éléments, la nature.
Christine Phung s’inspire des éléments, toujours, et de la puissance de la nature. Elle raconte une histoire, au travers de ses imprimés, des matières et des plissés.
Mais avant de vous faire découvrir ses créations, celles que j’ai aimées, et celles que j’ai adorées, voilà ce qui se passe avant un défilé !
Tout commence dans la rue.
Elles arrivent, lookées, clairement là pour voir, et surtout pour être vues. Et les paparrazzi sont là, ils connaissent les règles du jeu : ils mitraillent, elles posent. Parfois il y a échange de cartes de visite, parfois de vraies rencontres artistiques, et souvent, je suppose, rien. Ils se sont pliés aux règles de ce jeu mystérieux dont ils sont les seuls à détenir les règles. Et les badauds sont là, qui observent, curieux.
Puis les heureux élus pénètrent dans le lieu du défilé. Là, les hôtes connaissent des codes que même les invités comme moi ne maitrisent pas . Un coup d’oeil à l’invitation, et certains se retrouvent installés sur la très convoitée front row, d’autres plus en retrait, et même parfois debouts. Un coup d’oeil circulaire permet de découvrir les visages des célébrités, car il y en a toujours.
Les autres attendent, patiemment, le nez dans leur smartphone.
Ou encore, en train d’observer, les autres, ceux qu’ils connaissent, ceux qu’ils découvrent.
Et puis c’est le défilé qui commence, et une chanteuse est là, qui donne le ton, le rythme.
Et c’est l’hiver qui arrive, fièrement.
Des skis, de superbes pulls, et le célèbre teddy, la signature de la créatrice.
Pour cet hiver, elle nous parle de la montagne, bien sur. Les imprimés racontent un paysage bleu glacier.
Et puis des robes fluides, légères, avec ce plissé signature de la créatrice.
Et voilà, c’est fini ! Je vous ai montré quelques uns de mes coups de coeur. Christine Phung a souri, elle avait de quoi !
Bravo !
Difficile d’ignorer que la Fashion Week s’est déroulée à Paris cette semaine. J’ai vu un défilé, unique pour moi, à tous les sens du terme !
Je vous livre donc encore un petit extrait filmé, pour le plaisir des yeux.
Et me permet de découvrir sa nouvelle collection montres et bijoux !
Mais de quoi est-ce que je parle ?
Calvin Klein m’a proposé de vivre une séance photo dans un célèbre studio parisien.
Au détour d’une ruelle entre la rue de la Roquette et le Père Lachaise, le studio « Le Petit oiseau va sortir » fait partie de ces studios parisiens qui hébergent les shootings les plus prestigieux ; et cette fois, c’était nous, les invitées de Calvin Klein !
Tout commence d’abord par une séance maquillage bien sur !
Parce que, même si je l’ignorais, Calvin Klein fait aussi du maquillage, et la palette proposée est très riche !
Un moment assez unique de découverte des couleurs et des textures, y compris celles que je n’aurais jamais utilisées spontanément ! Une occasion donc de plonger dans l’inconnu !
Et puis la découverte de la nouvelle collection de montres et de bijoux. en ce qui me concerne, le coup de coeur va à ce modèle, version dorée…
Mais le choix est vaste !
Et j’avoue que les manchettes, et leurs bagues assorties m’ont également fait de l’oeil !
Le studio est prêt, il ne reste plus qu’à poser. Mais là, je dois dire que je ne suis pas dans mon élément et je vous épargnerai ce spectacle !
En attendant, j’ai passé un moment exceptionnel, vécu une vie de star pendant quelques heures, et c’est bien agréable ! Sans parler des superbes bijoux Calvin Klein que j’ai toujours aimés pour leur sobriété, leurs lignes pures, bref, ce qui fait qu’un bijou est si agréable à porter !
Alors, vous, les montres et bijoux Calvin Klein ? Vous aimez ? Vous connaissez ? Vous découvrez ?
Le showroom Bensimon est dissimulé dans le Xème arrondissement, tout près du quai de Jemmapes. Dès l’entrée, la couleur est de mise puisque les façades de boutiques aux alentours et les graff sur les murs donnent le ton.
Mais l’essentiel est à l’intérieur !
Alors cette fois, je ne vous parlerai pas des collections femme, homme ou ado, et pourtant , les couleurs, les matières naturelles, tout donne envie de les découvrir et de les adopter…
Non, pour cette fois, je ne vous parlerai que des célebrissimes tennis Bensimon !
Parce que ces tennis sont ancrées dans nos mémoires depuis des décennies, et qu’elles ont réussi le tour de force de passer de générations en générations, d’année en année, de saison en saison !
Démonstration …
Le Tie an dye.
Le liberty.
Le camouflage.
L’uni coloré.
Les trop mimis dentelles.
Le genre jean délavé .
Le joli chiné quadrillé.
Donc, si je résume, le choix est vaste, les textures et les teintes multiples, et le modèle dont vous rêviez se trouve forcément là, quelquepart ….
Alors, votre choix ?
Christine Phung est une jeune créatrice de mode talentueuse, sur le point de nous présenter sa 4ème collection. Soyez patients, ce sera dans quelques jours seulement puisque sa collection vous sera révélée dès mardi 24 lors de son défilé aux Galeries Lafayette.
En 2013 elle remporte le Prix Andam 2013, (Association Nationale pour le Développement des Arts de la Mode) , qui permet aux jeunes créateurs de faire découvrir leur travail à des professionnels de la mode et de s’implanter en France pour y créer des collections masculines ou féminines de prêt-à-porter ou d’accessoires.
Chacune de ses collections nous raconte une histoire, cette histoire qu’elle choisit, met en formes et en matières, et nous raconte au fil des tenues et des imprimés conçus spécialement pour l’occasion.
Tout d’abord un « mood board », qui regroupe photos, images, dessins, couleurs et formes issus du minéral, du végétal, et aussi de la presse, de la mode.
Petit à petit, l’histoire se dessine, et ce sont matières et imprimés qui voient le jour.
Cette 4ème collection, j’ai pu la découvrir en avant première dans son atelier, et elle est à l’image de la femme pour laquelle Christine Phung l’a conçue : active, dynamique et sophistiquée à la fois. Des robes féminines, des jupes travaillées, des blousons à la frontière du sportswear et de la Couture et dont chaque détail est pensé, des coutures aux doublures.
Christine Phung travaille dans le respect d’un artisanat de tradition et chacune de ses pièces, de ses matières et de ses tissus est le fruit d’une rencontre .
Tout d’abord, elle effectue un traitement moderne des matières (imprimes ruptures graphiques), puis ce sont les plissés qui viennent sculpter le tissus. C’est avec M. Lognon, plisseur dont l’atelier parisien est du côté de Pyramides et qui été racheté par Chanel pour intégrer la branche « par affection », qu’elle conçoit, collection après collection, ce plissé parfait.
Ou encore cette rencontre avec William James Thurman, un américain qui dessine avec un morceau de bois des lignes répétées à l’infini.
Et puis il y a les dentelles …
Ou encore le jacquard.
C’est l’eau qui est au centre de la collection que vous découvrirez mardi 24.
Chrisitine Phung m’a confié que sa pièce fétiche était sans hésitation le Teddy.
Est-ce que vous êtes aussi impatientes que moi de découvrir celui de cette collection ?
Quand j’ai quitté l’atelier, il bruissait du travail de toute une équipe s’affairant pour ce défilé tant attendu !
Je lui souhaite sincèrement tout le succès qu’elle mérite !
Christine Phung
8 points de vente
dont …
Rue de Charonne 75011 Paris
Centre commercial rue de Marseille 75010 Paris
Galeries Lafayette 75009 Paris
Franck et fils 75016 Paris
J’ai adoré Rami Al Ali lorsque je l’ai découvert pour sa présentation printemps été 2013 . Je n’ai malheureusement pas pu assister au défilé pour la saison automen hiver, mais je ne pouvais pas renoncer à vous en parler .
Alors j’ai supplié, j’ai quémandé, et j’ai obtenu des photos, encore et encore.
Alors cette fois, la couleur a presque disparu pour laisser place à des teintes hivernales et plus sobres. A noter, l’évolution de la longueur des robes présentées. Les chevillent se dévoilent, les genoux se découvrent, pour mon grand bonheur je dois le dire.
Et toujours cette taille de guêpe qui donnent à certaines des robes de faux airs de tenue d’héroines d’Hitchcock.
Et puis toujours ces robes de vestales, pures et blanches…
Et l’incontournable robe noire, qui revêt ici toutes les nuances que le noir peut livrer …
Alors, pour finir, un aperçu de l’ensemble des robes présentées, pour le plaisir des yeux !
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La petite robe noire m’a toujours fait rêver. C’est mon choix quand il s’agit d’être élégante sans ostentation, c’est mon choix quand je veux me sentir bien dans ma peau et dans ma robe, c’est mon choix.
Alors une exposition telle que celle qui se tient au MB est juste faite pour moi !
Le lieu d’abord : un hôtel particulier, construit à la fin du 19ème siècle, qui fut reconfiguré pour Mona Bismarck durant la fin des années 50. L’hôtel particulier maintient son style au travers de superbes boiseries venue d’un château démonté, de papier peints Chinois aux motifs colorés et complexes, et de chandeliers spectaculaires.
Les salons aérés et lumineux du premier étage offrent des vues époustouflantes sur la Seine et la Tour Eiffel, et le MONA Café au rez-de-chaussée s’ouvre sur une terrasse calme et spacieuse et un jardin privé, offrant une oasis de tranquillité au centre d’un Paris tumultueux.
Venons en à l’exposition. Sponsorisée par M.A.C, il s’agit d’environ 50 pièces exposées dans trois salles qui font un écrin parfait pour ce symbole de l’élégance.
D’Yves Saint Laurent à Marc Jacobs en passant par Tom FORD : ils ont tous contribué à l’évolution de cette pièce iconique créée par Coco Chanel dans les années 50.
Alors, pour le plaisir des yeux …
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34 avenue de New York PARIS 75016
One Step est une marque qui gagne à être connue ! Des vêtements légers, faciles à porter, féminins et inscrits dans l’air du temps. Une grande qualité des matières, de la soie à la maille en passant par le coton enduit, et des coupes fluides et légères pour des vêtements si agréables à porter.
J’ai découvert cette marque dans la boutique du centre commercial So Ouest. Oui, je sais, nous sommes hors de Paris, mais difficile de résister à la tentation de découvrir ce lieu qui a beaucoup fait parler de lui, et j’avoue que l’anti centre commerciaux que je suis a été séduite !
Vitrine claire t lumineuse à l’image du centre, La boutique One Step donne immédiatement envie de pénétrer dans les lieux et de découvrir la collection.
Spacieuse et acceuillante, elle donne immédiatement envie de s’installer dans la cabine pour découvrir l’intégralité de la collection !
Pour cette saison estivale qui s’annonce, One Step mise sur la couleur. Des bleus qui font rêver d’eaux turquoises, aux saumons et roses fuchsia , des couleurs joyeuses et qui invitent le soleil.
Et puis surtout pensez à découvrir la collection en édition limitée du moment : Tokyo Style …
