Ateliers d’artiste dans le XIVème et jardins aux Tuileries !

La semaine dernière, je vous parlais des  » Nomades  » dans le Marais ….

Cette semaine, c’est dan le XIVème que les ateliers d’artistes vous accueilleront tous le weekend …

3 zones de découverte :

Leclerc / Montsouris

Pernety / Plaisance

Montparnasse / Daguerre

Des points d’informations, des rendez vous programmés, et surtout, des ateliers et leurs propriétaires qui sont là pour vous accueillir et partager leur passion !

Alors pour avoir le programme détaillé, c’est sur le site de la mairie !

Si vous rêvez de nature, les jardins des Tuileries vous accueilent ce weekend pour vous présenter le thème de cette année consacré à « Jardinons la ville » afin de créer et mettre en scène la nature : jardins, balcons, terrasses, fenêtres, potagers de ville …


 ouvert de 10h00 à 20h00 samedi et de 10h00 à 19h00 dimanche !

Rendez-vous sur Hellocoton !

à Paris,j’aime …

faire un tour en Enfer !

Le passage d’Enfer est une voie du 14ème arrondissement de PAris située entre le boulevard Raspail et la rue Campagne-Première .

Il tire son nom de l’ancien nom du boulevard Raspail, boulevard d’Enfer (qui mène place Denfert-Rochereau). C’est le dernier reste du nom du bois d’Enfer de mauvaise réputation qui couvrait ce quartier dans l’ancien temps . Merci Wikipédia !

Rendez-vous sur Hellocoton !

la boutique au coin de la rue ( ou presque )

Comme chez soi …

 

 

 

18 rue Francis de Pressensé. 75014 PARIS

Tel 09 75 40 64 71

Dès que l’on, pénètre dans cette boutique, on se sent bien . L’endroit n’est pas grand, et pourtant, dispose d’un canapé au coin du feu !

Pas étonnant qu’on s’y sente comme chez soi … Car ce lieu est le fruit d’un rêve familial !

C’est Anne, la propriétaire, qui me raconte : elle, qui avait fait des études d’histoire de l’art et rêvait de revenir un jour à cette passion ; son mari, chinant dès qu’il le peut, pour ensuite redonner vie à ces objets réinventés.

Jusqu’à sa fille, que j’ai croisé en arrivant sur place, et qui l’aide à la décoration et la mise en scène, étant elle même du métier.

Alors Anne choisit les objets qu’elle expose avec goût; elle sélectionne des artistes et artisans, en France, en Belgique, en Hollande, et jusqu’au Sénegal pour de somptueux paniers fabriqués en coopératives tenues par des femmes .

C’est ainsi que vous trouverez un lustre fait de fil de fer de vigne, sur lequel on aperçoit des fragments de sarments ….

ou encore de superbes bougies …

des étoffes de Tunisie …

de la couleur du monde ( Afrique, mais aussi pays basque !)

et des objets aux usages inattendus !

Ou encore ces volatiles en bois flotté qu’elle héberge l’espace d’un temps …

chez Anne, vous pourrez aussi vous commander un canapé  » prêt à créer « 

et pour finir, mon chouchou … Celui devant lequel il est impossible de résister !

 

 

 

 

 

 

Paris XIV ème – projection gratuite d’un film inédit

Je ne connais pas bien le XIVème arrondissement; alors quand Amélie, du colectif des Puces de Vanves, m’a parlé de cette initiative originale, je n’ai pas hésité : j’ai décidé de vous en parler !

Je compte sur vous pour m’en dire des nouvelles !

Projection de Monquatorze

Ce documentaire-fiction de Susana Lastreto tourné avec des habitants du 14ème et des comédiens, vous fera découvrir des lieux du 14ème tels que la petite ceinture, le bal Bullier, les jardins partagés rue de l’Aqueduc, l’hôtel Istria, les Puces de Vanves.
Les textes lus par ceux qui habitent ou travaillent dans le 14ème sont très divers :
René Char, Henry Miller, Maïakovski, Coluche, Léon Paul Fargue, Simone de Beauvoir
Apollinaire, Elsa Triolet, Max Jacob, Lénine, Blaise Cendrars, Karen Blixen …

Une promenade dans le présent où les habitants d’aujourd’hui ressuscitent ceux d’hier

Réalisation Susane Lastreto – Directeur de la photo Guy Chanel – Montage Chantal Quaglio
Projection les 6/7 – 13/14 – 20/21 – 27/28  août à 18 H
Théatre 14 – 20, av Marc Sangnier – Entrée libre
Réservations : 01 45 45 49 77 ou grrrcie@gmail.com

Il fait gris … se promener rue Daguerre, ça ressemble à quoi sous la pluie ? !

J’aime la rue Daguerre. Elle garde ce côté village et authentique des rues piétonnes de PARIS quand elles n’ont pas été envahies par les franchisés pour chasser les petits commerces de quartier, les primeurs et les métiers de bouche en général.

Alors, bien sur, sous la pluie, le charme s’effiloche , et la rue perd de son panache; mais tout de même…

Alors, rue Daguerre vous trouverez … Miel et  » fruits et légumes «  ….

chocolatier ( Jeff de Bruges ), foie gras ( Valette ) …

Et puis le commerce le plus connu : Daguerre Marée Traiteur

J’y ai pris une paella, nous venons de la déguster, elle était excellente ! Par contre, évitez le samedi matin si vous êtes allergique à la foule !

En continuant à déambuler, on découvre aussi des artisans de plus en plus rares à PARIS:

et puis le comble des vins tendance … les vins  » naturels « 

Et puis cette grisaille invite à aller au cinéma, non ?

alors, dans ce cas, dirigez vous vers la Place Denfert Rochereau ; vous y trouverez ce cinéma tel qu’il n’en existe presque plus dans PARIS: cette salle rare et unique qui vous permet d’aller voir ce film que vous deviez voir, que vous avez failli voir, que vous avez fini par ne pas voir faute de temps et qui ne se joue plus nulle part ailleurs … !

Le DENFERT

Sachez que cette semaine vous pourrez voir, entre autres, au choix :

–  » Whatever works  » de woody Allen , mais sans Woody Allen , ni même Scarlett Johansonn

–  » La – haut  » , pour émouvoir grands et petits

–  » Un prophète  »

–  » le déjeuner du 15 aout  » , ou les relations familiales en Italie un 15 août, alors que la ville est vide et abandonnée à la chaleur torride de l’été

Et sachez que, même en cas de pluie ou de neige, pour raisons de sécurité, l’attente se fera à l’extérieur !

alors, à vos parapluies !

Informations pratiques:

Le DENFERT 24 place Denfert-Rochereau

75014 PARIS

Tél : 01 43 21 41 01

site web : www.cinemadenfert.fr

bruncher à Paris – suivez le guide ? Le Bal Bullier

Le Bal BULLIER

22 avenue de l’observatoire 75014 PARIS

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

Faut-il faire confiance aux guides en tous genres qui fleurissent en librairies sur Paris et ses trésors ? faut-il s’en inspirer pour faire un choix décisif tel que  » où vais-je bruncher ce week-end en famille  » ?

J’ai décidé de faire le test quand je suis tombée par hasard sur ce petit recueil à côté des caisses du plus beau magasin ETAM de Paris :  » Bruncher à PARIS  FIRST Editions«  (P.S : pour ceux qui ne connaitraient pas  » le plus beau magasin ETAM de Paris « , il se trouve rue de Rennes et j’en parlerai sans doute un jour ou l’autre !)

Mes critères sont assez simples: pas trop loin de chez moi, un lieu agréable et chaleureux qui peut accueillir 6 personnes sans que cela ne nécessite un bouleversement de la salle et sans entrainer une révolution chez les autres convives, et un accueil ainsi qu’un service attentionné ;

quant aux mets, qu’ils soient copieux, pour répondre à un ou deux cas de gloutonnerie chronique au sein de notre petit groupe (!), variés, simples pour être au goût de tous ,y compris des palais plus difficiles, compris également dans notre petit groupe (!)

D’après le guide donc, je trouve l’endroit parfait:

Le Bal BULLIER 22 avenue de l’observatoire 75014 PARIS

les critiques de ce guide vantent en vrac: le lieu, l’abondance de plats, la qualité de leurs produits; ceci est saupoudré d’un peu de  » name droping «  assez basique (le thé vient de MAriage Frères ) pour finir sur la gentillesse du service ….

Victoire, me dis-je, j’ai trouvé le lieu idéal … et c’est parti !

J’appelle donc pour réserver – indispensable un dimanche matin ensoleillé pour accueillir 6 personnes, et je me sens déjà en bonne voie, l’accueil téléphonique étant effectivement parfait !

Nous arrivons sur les lieux, effectivement agréables: style bistrot à l’ancienne, agrémenté d’une terrasse , ainsi que d’une verrière permettant de s’abriter en cas d’intempéries , bien utile pour notre climat parisien!

Nous nous installons donc à l’intérieur :

première mauvais surprise:

le bruit qui va nous accompagner tout au long du repas … un vacarme infernal, spectaculaire pour un simple percolateur !

Puis c’est le brunch qui arrive:

copieux, certes, gouteux au démarrage ( tartine et part de cake maison), mais tout se dégrade rapidement: les oeufs brouillés sont noyés dans une crème fraiche, qui semble être l’accompagnement favori du cuistot, puisqu’on la retrouvera avec le saumon fumé puis les pancakes !  Les pancakes d’ailleurs, parlons en: pas très difficile à confectionner si on y pense bien, et bien ils s’avèrent être insipides!

Je pense qu’une seule photo suffira pour illustrer le propos ….

Enfin, dernier point pesant de ce repas: les délais interminables qui s’écoulent entre chaque plat !

Alors que dire de cette expérience ? curieusement le lieu est attachant; le serveur qui s’est occupé de nous était absolument charmant, navré de voir que nos oeufs brouillés baignés de crème fraiche étaient tous restés dans nos assiettes .

Les assiettes de nos voisins, qui n’avaient pas opté pour l’option  » brunch « , avaient l’air riches et appétissantes. 

Alors, pour conclure: le brunch est certainement le pire choix à faire au  » Bal Bullier « , mais l’endroit mérite peut-être une seconde chance !

Et, pour en revenir aux guides en tous genres, si vous décidez de vous y fier, veillez à ne pas vous tromper, de guide !

PARIS – l’art dans la ville …. ou serait-ce l’inverse?

« où sommes nous?  » C’est la question qui me vient à l’esprit quand je regarde cette image; s’agit-il d’un atelier dans lequel j’observe un artiste qui travaille sa toile?

Et bien oui, sauf que son atelier, c’est PARIS, et sa toile, il l’exécute sur la palissade installée pour l’occasion à l’extérieur de la « Fondation Cartier pour l’art contemporain » !

L’exposition s’intitule « Né dans la rue – graffiti » et elle raconte, en images, la naissance des tags dans les rues New-York dans les années 70. On apprend qui sont ces artistes d’un nouveau genre, comment ils ont investi la ville et sont parvenus à se différencier en inventant de nouveaux styles calligraphiques, en créant chacun leur marque personnelle.

Trois de ces précurseurs sont venus pour l’occasion à la Fondation Cartier et ont, chacun, illustré un mur, une fois de plus!

Et maintenant, je sais que c’est P.H.A.S.E 2 qui a créé le « bubble style »! Et ça, c’est pas rien!