Weekend de vacances, week-end ensoleillé, allez, on va en profiter !
Le storifyparis du weekend !
Rue des Thermopyles – à la découverte de Paris
Le rue des Thermopyles – un joyau parisien
Vous est-il déjà arrivé de déambuler sans but dans un quartier parisien ? Vous marchez, cheveux au vent, profitant d’un rayon de soleil qui carresse votre village, en sachant que là, quelquepart, au détour d’une rue une surprise vous attend. Il peut s’agir d’une construction moyenâgeuse qui vous prend par surprise, d’un proche entre ouvert que vous osez pousser pour découvrir immanquablement une courette, un patio inattendu, un coin de paradis dissimulé au coeur de la ville.
Tous les quartiers dissimulent ce type de trésor. Où que vous soyez dans Paris, je vous le garantis, vous découvrirez un lieu méconnu, un univers inattendu et inespéré. Et c’est précisément cela qui fait la beauté de cette ville ! Ses rues en sont l’âme, ce sont elles qui font vivre la ville et en rythment le quotidien.
La rue des Thermopyles fait partie de ces joyaux méconnus.
Pourtant, on ne peut pas vraiment dire qu’elle soit dissimulée au fin fond d’un arrondissement ignoré des parisiens.
Elle est dans le XIVème , commence rue Didot et se termine au rue Raymond-Losserand.
Une première particularité ? La taille de ses pavés ! Autant vous dire que si vous décidez d’aller l’explorer, oubliez vos talons aiguilles et optez clairement pour des chaussures plates !
Autre spécifié : c’est la campagne à Paris ! Ici aussi ! Et oui, cet intitulé s’applique à tant de lieux magiques dans Paris, il en reste tant à découvrir !
Donc, revenons en à la rue des Thermopyles.
De gros pavés, quelques fleurs, des herbes folles, des chats qui se promènent tranquillement.
Et des vélos. Des vélos partout. Comme si Paris était la ville par excellence pour la circulation sur deux roues !
Alors voici quelques images de cette rue dont vous comprendrez qu’elle gagne à être connue !
Version vélo solitaire
Version famille de vélos, ou vélo en famille !
Alors, quand vous serez dans le quartier, épatez vous , et épatez vos amis en leur faisant découvrir cette ruelle au nom difficile à prononcer et impossible à écrire !
et vous qui n’êtes pas parisiens, vous pourrez prendre un hôtel dans le coin, histoire d’être sur de pouvoir découvrir ce trésor caché !
Bonne promenade !
Christine Phung – défilé Automne Hiver 2015
Christine Phung – l’hiver, ses éléments, la nature.
Christine Phung s’inspire des éléments, toujours, et de la puissance de la nature. Elle raconte une histoire, au travers de ses imprimés, des matières et des plissés.
Mais avant de vous faire découvrir ses créations, celles que j’ai aimées, et celles que j’ai adorées, voilà ce qui se passe avant un défilé !
Tout commence dans la rue.
Elles arrivent, lookées, clairement là pour voir, et surtout pour être vues. Et les paparrazzi sont là, ils connaissent les règles du jeu : ils mitraillent, elles posent. Parfois il y a échange de cartes de visite, parfois de vraies rencontres artistiques, et souvent, je suppose, rien. Ils se sont pliés aux règles de ce jeu mystérieux dont ils sont les seuls à détenir les règles. Et les badauds sont là, qui observent, curieux.
Puis les heureux élus pénètrent dans le lieu du défilé. Là, les hôtes connaissent des codes que même les invités comme moi ne maitrisent pas . Un coup d’oeil à l’invitation, et certains se retrouvent installés sur la très convoitée front row, d’autres plus en retrait, et même parfois debouts. Un coup d’oeil circulaire permet de découvrir les visages des célébrités, car il y en a toujours.
Les autres attendent, patiemment, le nez dans leur smartphone.
Ou encore, en train d’observer, les autres, ceux qu’ils connaissent, ceux qu’ils découvrent.
Et puis c’est le défilé qui commence, et une chanteuse est là, qui donne le ton, le rythme.
Et c’est l’hiver qui arrive, fièrement.
Des skis, de superbes pulls, et le célèbre teddy, la signature de la créatrice.
Pour cet hiver, elle nous parle de la montagne, bien sur. Les imprimés racontent un paysage bleu glacier.
Et puis des robes fluides, légères, avec ce plissé signature de la créatrice.
Et voilà, c’est fini ! Je vous ai montré quelques uns de mes coups de coeur. Christine Phung a souri, elle avait de quoi !
Bravo !
Promenade du côté des Tuileries
Le jardin des Tuileries est un des lieux les plus connus de Paris. Touristes et parisiens s’y retrouvent et s’y croisent. Les uns pour déambuler, le nez au vent, les autres pour rallier la place de la Concorde après une visite exhaustive du Louvre.
Un peu d’histoire tout d’abord. L’histoire de ce quartier remonte au moyen âge : terrains vagues et fabrique de tuiles occupaient les lieux, et ont donné son nom à ce célèbre jardin.
C’est en 1564 que Catherine de Medicis investit les lieux, fait construire un palais, le plais des Tuileries, un jardin à l’italienne, une fontaine et une ménagerie.
L’orangerie et la magnanerie sont rajoutés dans les années 1605-1625. Mais c’est à André Le Nôtre que l’on doit la forme définitive des jardins, telle qu’on la connait aujourd’hui !
Aujourd’hui la grande roue domine encore, mais cela ne durera pas puisqu’elle repentira en février. Bien sur, dès le mois de juillet, la fête foraine estivale prendra ses quartiers pour le plaisir des grands et des petits !
Le jardin des Tuilereis abrite régulièrement fashion week et autre design week, sis c’est sans doute quand il est livré aux amoureux et aux familles qui viennent y faire une promenade dominicale qu’il est le plus paisible et le plus authentique.
Alors en voici encore quelques images, en attendant une prochaine ballade parisienne !
Et vous, votre jardin préféré à Paris ?
la rue du Vertbois, renaissance !
La rue du Verbois revient à la vie
Certaines rue de Paris ont une âme, une unité, ce quelque chose qui fait qu’une fois découverte, la rue devient ce lieu où l’on aime retourner, pour bavarder, pour se détendre, pour rencontrer ses habitants ou ses commerçants. Certaines rues ont perdu cette vie qui leur était propre.
Et pourtant, il ne faut pas grand chose pour qu’une rue, endormie depuis si longtemps, renaisse, se réinvente, ou simplement se retrouve enfin.
La rue Vertbois : une rue, un projet au nom qui en dit long : La jeune rue !
Elle a donc été inaugurée en ce jeudi 23, sous un ciel menaçant, mais avec tous les protagonistes présents et plein d’enthousiasme !
Pour une quête du beau, du bon, du partage et de la découverte. C’est l’objectif qu’ils se sont tous fixé. Métiers de bouche, artisans, designers, tous ceux qui vont investir les commerces dont on ne voit aujourd’hui que la grille fermée. Certains d’entre eux pourtant sont déjà dans la place.
Comme par exemple ce luthier…
Et voici en vrac les visages de ceux qui se sont lancés dans cette belle aventure ! En commençant par Paola Navone, dont le nom nous est déjà familier depuis plusieurs années maintenant.
Parce que je n’ai pas pu tous les photographier, sachez que vous trouverez d’ores et déjà dans la rue un cabinet d’architecte, un décorateur d’intérieur, un atelier de cuirs et peux lainées, le luthier précédemment évoqué, des restaurants déjà ouverts.
Et bien sur je vous recommande d’aller vite découvrir cette rue pour laquelle l’amour du beau et du bien sera le terreau d’une elle histoire j’en suis sure, et peut-être aussi l’inspiration pour tant d’autres rues à venir !
Sachez aussi que demain, c’est journée portes ouvertes, l’occasion ou jamais !
Je suis sure que vous serez bien accueillis, même si vous n’êtes pas vraiment du quartier !
MUZEO – faites rentrer l’art dans votre quotidien
Si je vous dis Mama Shelter, ou encore Miss Kô, et puis Le Royal Monceau, ou encore le Prince de Galles …. vous me dites …?
Elégance, luxe, esthétisme, branchitude ? Vous aurez raison ! Et surtout identité visuelle forte, omni présente …
Mais savez vous quel point commun ont tous ces lieux qui accueillent le tout Paris ? Et bien leur point commun, c’est MUZEO !
Mais qu’est-ce donc que Muzeo ? J’ai eu la chance de le découvrir accompagnée par son président, Eric Angiboust.
Il raconte avec passion l’évolution de sa société, ses collaborations avec les plus grands, Starck par exemple pour ne pas le citer, la diversité des compétences de ses équipes, du graphiste au diplômé des beaux arts en passant par les photographes et les webmasters. Il est intarissable sur les réalisations passées et les ambitions pour le futur !
Le premier métier de Muzeo depuis sa création : iconographic Design . Un intitulé technique qui dissimule une envie de donner vie aux lieux investis, tels que des hôtels, des restaurants, ou encore les sièges de grandes entreprises. Une technique au service de l’histoire qu’elle va permettre de raconter, celle de la marque, et celle que les clients vont vivre en s’appropriant les endroits décorés grâce à Muzeo.
Muzeo fait entrer l’art et la culture dans des lieux de vie, de travail.
Désormais, l’ambition de Muzeo est de partager art et culture avec les particuliers, de faire rentrer dans votre salon ces oeuvres que vous avez admirées au Louvre, au Grand Palais … Avec des partenaires tels que le Grand Palais RMN par exemple, Muzeo peut imprimer ces toiles que vous avez aimées, sur des supports de haute qualité, allant de la toile au papier photo, pour les retrouver chez vous, comme si vous y étiez !
Vous avez aimé l’exposition Hopper, vous pourrez désormais admirer chez vous, tous les jours, le célèbre Nighthawks, ou encore d’autre toiles vues lors de l’exposition .
Quand j’ai visité les locaux de Muzéo, ce qui m’a surprise avant tout, c’est cette sensation d’être dans un véritable atelier de création. Dès l’oeuvre imprimée, le process d’encadrement débute, avec la découpe du papier, l’insertion ou non d’un passepartout, le montage du cadre .
Les outils sont là, qui attendent les mains expertes qui les manieront .
Pour finaliser l’oeuvre, un choix de baguettes, chacune permettant de donner une touche finale qui fera la différence.
Pour résumer, si vous êtes, disons par exemple, passionnés par la Tour Eiffel, vous pourrez vous constituer une collection dans des styles tout à fait différents et complémentaires, de Elise Hardy à Robert Delaunay, en passant par Roger Henry …
Et si ce sont les impressionnistes qui vous touchent, Monet ou Pissaro seront là pour vous !
Alors, et si vous offriez de l’art, la prochaine fois que vous chercherez une idée de cadeau !
Carnets de voyage – Hertz vous accompagne dans tous les pays
Découvrir ma ville, la faire découvrir à ceux qui ne la connaissent pas encore : c’est l’objet même de mon blog ! Alors quand Hertz me propose de décrire quelques uns de ces lieux, et en prime m’offre une illustration personnalisée, j’accepte, bien sur !
Parce que Hertz va nous proposer des carnets de voyage rédigés par des blogueurs français, mais aussi anglais et allemands ! Bonne idée pour aller découvrir les villes de ces pays à travers les suggestions de ceux qui en parlent avec le plus d’enthousiasme !
Donc, quelques lieux emblématiques, de ceux qu’il ne faut pas oublier même s’ils ne sont pas forcément dans les circuits touristiques classiques ?
Facile !
Commençons par … La place du marché Saint Honoré. Si centrale, et pourtant finalement plutôt méconnue. Quand on y arrive le matin, elle revêt un petit air de village avec son marché qui courre tout autour de la grand verrière qui a pris la place de la halle du marché historique dont elle porte le nom .
Et puis, avec tous les restaurants présents sur cette place, vous n’avez que l’embarras du choix , et moi je vous dirais juste d’aller prendre quelques churros au Très Honoré 😉
Autre lieu parisien bien connu désormais des parisiens mais pas encore des touristes : les quais du canal St Martin .
Là, c’est le coin idéal pour découvrir un nouveau troquet ou une brasserie si délicieusement parisienne, tout en faisant bien sur du shopping . D’ailleurs n’oubliez pas de faire un tour du côté de la rue des Vinaigriers : elle est en mouvance permanente !
Repartons à la découverte, ailleurs, dans un autre quartier …. Je dirais : le Palais Royal !
Sans doute un des lieux les plus graphiques de Paris : arcades et colonnades, ombres portées et jardin secret, le secret des plus jolies photos en toutes circonstances ! Et pour un shopping tout parisien, faites un tour chez Jérôme L’HUILLIER !
Je finirai sur « mon » île, comme toujours .. L’Ile Saint Louis !
Là, entre promenade, shopping, dégustation de glaces, on ne peut qu’être conquis ..
Mais, j’y pense : je devrais cesser d’en parler, parce que sinon, comment ce joyau demeurera-t-il ce havre de paix que j’aime tant ?! Bon, surtout, n’en parlez pas trop autour de vous !
Voici, pour finir, l’illustration offerte par Hertz ! Merci à Joseph Larkowsky qui l’a créée pour moi !
A bientôt pour de nouveau carnets de découvertes parisiennes !
le #vineinparis du dimanche
Cette semaine, c’est mon point de vue préféré de Paris que je vous montre, une fois encore, mais avec un accessoire mis en SEINE pour l’occasion : mon nouveau sac, conçu entièrement par mes soins .. . Enfin le choix des couleurs en tous cas !
On sent l’appel de la rivière non ?
Raymond Depardon au Grand Palais
La couleur en douceur…
Raymond Depardon a une carrière de photographe exceptionnelle et aussi diverse que l’ont été ses images.
Du grand reporter de guerre aux photos de campagnes présidentielles en passant par les images du quotidien saisies au fil de ses voyages , il a couvert une grand partie du champ des possibles de la photo.
Souvenez-vous, il a même pris la photo officielle du président !
Au Grand Palais, il nous livre sa vision de la couleur dans laquelle il se sent apaisé.
150 images, pour la plupart inédites, où il porte un regard bienveillant sur la vie, le quotidien, de gens ordinaires, qui pourraient nous ressembler.
L’exposition nous accompagne tout au long de sa vie, en commençant par la ferme de son enfance, en passant par la couleur qu’il trouve dans la grisailles des rues de Glasgow, pour nous mener au café coloré du Boulevard du Port Royal.
L’affichage des oeuvres se ressert pour nous guider vers les deux photos exposées en fond de salle puis reprend le pas sur l’espace.
Raymond Depardon s’exprime sur son parcours, se prête au jeu des photographes, assis là, son manteau posé devant lui, posant sans le savoir devant ses oeuvres.
Il a pris plaisir à se réapproprier la couleur et les images apaisées, loin de la souffrance qu’il a si longtemps fixé au cours de ses reportages.
Pour notre plus grand plaisir.
L’exposition Raymond Depardon au Grand Palais, allez-y !
Jusqu’au 10 février 2014
Galerie sud Est du Grand Palais
75008 PARIS
Visite de la #TOUR13 : I did it !
la #TOUR13 : du street art comme on l’aime .
Je dois le dire, les mots me manquent.
L’émotion de pénétrer dans les lieux, l’ascenseur qui nous propulse au 9ème étage, et la découverte…
Pièce après pièce, le choc absolu. Il s’agit pourtant d’appartement tous identiques au départ, mais chaque artiste s’est approprié l’espace de façon tellement personnelle qu’on est pris par surprise à chaque pièce, à chaque pas de porte !
Explosions de couleurs, message de vie, politique, vision de l’existence, tout y est, sur les murs, les plafonds, les matériaux détruits et ré organisés dans l’espace de cet immeuble désormais connu en tant que #TOUR13 !
Un lieu d’expression absolu où le talent de chacun de ces artistes qui oeuvrent habituellement dans les rues s’exprime sur les murs.
On a la FIAC qui fait son « hors les murs », ici c’est le street qui rentre dans les siens, et moi, j’aime !
Alors arrêtons là les blablas, et voici quelques clichés que je vous livre, pâle reflet de cette expérience absolument extraordinaire.
[satellite]
Je tiens aussi à remercier Mehdi Ben Cheikh, à l’origine de ce projet, qui travaille depuis des mois pour nous offrir ce merveilleux présent éphémère. Il donne depuis des années vie aux murs des tours du XIIIème puisque c’est lui qui est à l’origine des superbes fresques que l’on peut admirer sur l’avenue d’Italie, par INTI, ou sur le Boulevard Vincent Auriol, avec le magnifique chat de C215.
Il raconte avec simplicité son projet, et s’étonne du succès rencontré! Une telle simplicité doublée d’humilité sont trop rares dans l’univers de l’art .
En tant qu’habitante de ce quartier, je tenais à le remercier pour ce nouveau souffle qu’il donne et qu’il donnera encore longtemps.
Et je vous recommande vivement d’aller découvrir sa galerie, la Galerie Itinerrance pour le rencontrer et découvrir les artistes qu’il expose au fil des mois .