91 boulevard Beaumarchais Paris 75003
01 42 78 11 96
catégorie : restaurant italien
le cadre :le service :
le rapport qualité/prix :
max : 5
prix indicatif : pizza margherita 11€
Enfin, nous y sommes parvenus ! Le graal : Grazie !
Dès que l’on passe le pas de la porte, on ne peut qu’être interpelé par le cadre : moulures au plafond, lettres d’or sur panneaux géants alignées pour former le mot AMORE, vestiges de papier peint vintage …
et le bar, pièce majeure dans la salle du restaurant, auquel on peut s’attabler également pour déjeuner
Grazie est avant tout un restaurant de PIZZE !
Vous aurez donc la possibilité de prendre une entrée, suivie d’une pizza . Ces pizze, qui sortent du four en pierre aussi authentique que l’accent du personnel, majoritairement italien .. .Un régal pour les oreilles !
Revenons en au contenu de l’assiette …
Nous commencerons donc par une assiette de jambon de parme pour deux ( non photographiée !) et une assiette de » Grazie l’antipasto » …
premier point remarquable : la finesse de coupe de tous les jambons présents dans l’assiette ! résultat: le jambon fond dans la bouche et réjouit les papilles !
Une seule remarque cependant : peu de légumes grillés, à ma surprise; maintenant, vous êtes prévenus !
Puis viennent donc les fameuses Pizze !
Caractéristique commune : des produits frais, de qualité, que ce soit les tomates ou encore la mozzarella particulièrement délicieuse. Et puis une pâte .. une pâte … ou comment retrouver le goût de ce qu’une pizza devrait être !
Commençons par la classique margherita
puis l’aurora et sa mozzarella fondante et moelleuse
et enfin la diva
et si par chance il vous reste une place pour un desssert, l’incontournable tiramisu est là pour ça !
Pour finir, sachez que l’eau plate est une eau en bouteille de verre purifiée sur place , pour éviter les bouteilles en plastique. Amateurs de Coca, passez votre chemin, vous ne trouverez pas ce breuvage ici !
Le service est souriant et aimable, peut-être juste un peu lent, mais notre serveuse, connaisseuse en littérature, a su nous citer la première phrase de L’Etranger de Camus quand elle a vu l’ouvrage qui trainait sur la table ( mini Moi passe son bac français cette année, elle a tout le temps le nez dans un livre !)
que dire en synthèse : courrez-y, mais surtout, pensez à reserver !
Et, mais cela reste entre nous, sachez que Julien Cohen, qui en est donc à son 4ème restaurant parisien, semble ne pas vouloir s’en tenir là puisqu’il est visiblement entrain de préparer l’ouverture du cinquième, du type gastronomque, mais abordable !
Mais je vous en dirai plus en temps voulu !