Cuisine et Confidence – en toute confidence, j’adore!

Cuisine et Confidence

33, Place du Marché Saint Honoré Paris 75001.

Tél :          01 42 96 31 34      

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

Comme promis donc, je suis allée tester Cuisine et Confidence ce week-end !

Bon, en guise de brunch, nous avons déjeuné…. mais cela valait largement le déplacement.

Le lieu: en terrasse bien sur, période estivale oblige, sur cette place si agréable où les voitures sont à peine tolérées et au centre de laquelle domine cette magnifique structure de verre qui fut jadis un marché….
Bon, revenons en au coeur du sujet!

Tout d’abord, un accueil aussi agréable et souriant que lors de ma première visite, dont l’unique but était justement de tester la courtoisie et l’amabilité. Dès l’arrivée, un sourire chaleureux du patron, puis un serveur tout aussi souriant et prévenant.

Poursuivons :le menu

les catégories (non exhautif) :

« La pêche est bonne, des fois ça mord » 

« Joyeuses pâtes, et risotto »

« Les p’tits loups »

Et sans oublier le plus important pour toute gourmande qui se respecte :

« les desserts à tomber par terre » !!!

un florilège de plats… :

« par faim de femmes » : tomates, mozzarella, tomates sêchées, parmesan, tapenades… 

« week end à ROME » (à lire en fredonnant la chanson du même nom bien sur !) tagliatelles, mozzarella, tomates confites…

« les aventures de Rabbi Jacob » : contenu digne des spécialités du célebrissime Katz delicatessen de New York (vous savez, là où Meg Ryan simule un orgasme dans « Harry rencontre Sally » !)

Nous avons donc opté pour :

Une « signature »

foie gras sous crumble de pommes accompagné de sa confiture d’oignons, tomates séchées, poivrons et salade

Un « week end à Rome  »

tagliatelles, mozzarella, tomates confites…

et

une « Villa de Lys »

Rillette de saumon fumé accompagnée de chèvre frais et de fenouil, chips violettes à l’ancienne, tomates séchée

Alors là, je dois faire mon mea Culpa : les photos ne rendent pas hommage à la réalité..Il faut dire que cette fois, je n’étais pas seule…. Et je dois avouer que certaines attitudes n’aident pas à la concentration lors du shooting ; parce que , vous l’aurez compris, j’étais avec LUI, et vous auriez vu sa mine défaite à chaque fois que je commençais, ne serait-ce qu’à envisager de prendre une photo.. Bref, le reportage est une activité solitaire !

Alors, pour cette fois, ne vous fiez pas à l’image, mais plutôt, fermez lez yeux, et écoutez vos papilles, parce que, croyez moi sur parole, le mélange subtil de la douce acidité des pommes du crumble à celui du foie gras couronné par la texture croquante sans excès du crumble était juste parfait!

Pour ce qui concerne les desserts, je vous laisserai découvrir leurs intitulés tout aussi originaux que ceux des plats quand vous irez juger sur pièce!

Vous n’aurez que deux photos sur les trois desserts que nous avons sélectionnés: en effet, le seul point perfectible, il en faut, sinon je ne serais pas crédible tant je suis élogieuse : l’ésthetique du mi cuit chocolat  crème anglaise: pas une seule touche de décoration qui lui aurait permis de se distinguer des dizaines de mi cuits que nous croisons dans les restaurants parisiens!

LEs desserts photographiés donc:

« bon finalement je prendrai un café gourmand »

« le cheese cake de New York (le vrai !!! bien épais !!!) »

Pour conclure, je vous dirais bien « courrez-y », mais seulement s’il reste une table pour moi la prochaine fois que j’y vais!

Et puis, ces fameux brunchs, il faudra bien les tester un jour ou l’autre!!

à demain!

PARIS – rue Mouffetard

LA Mouff.. vous aimez?

c’est là que mes pas m’ont guidée aujourd’hui, et voici le fruit de mes tribulations…Bonne promenade!

place de la Contrescarpe : le café DELMAS , TOUJOURS au soleil! A croire qu’ils bénéficient d’un micro climat…

La rue sous tous les angles!

les commerces…

KENDOSA 87 rue Mouffetard 75005 PARIS

superbes sautoirs colorés

Gelati d’ALBERTO :le premier glacier qui a fait des glaces en forme de fleurs à PARIS, suivi, quelques années plus tard, par AMORINO;

Accessories: sympathique, riche en trouvailles, allant du petit pull Vent du Sud aux ballerines basiques de toutes les couleurs, et attention, courez-y, 30% sur tout le magasin (hors nouvelle collection), et il y a encore beaucoup de choix!

Une droguerie, comme il n’en existe quasiment plus à PARIS…

et les gens, toujours les gens….!

mais à quoi pense-t-il donc……?

Rendez-vous sur Hellocoton !

UV au Val de Grace – passons rapidement à la suite des activités!

Bien, vu la ponctualité exemplaire du personnel médical, je décide aujourd’hui d’arriver à 09h12!

Objectif: passer le moins de temps possible dans cet endroit ET être assimilée à une personne de passage plutôt qu’une personne en traitement! Stupide, non?!!

09h35: objectif atteint : je suis dans ma voiture! Tellement pressée de partir que j’en ai presque omis de récuperer mon planning pour la semaine prochaine!

Activités de la journée donc, qui s’annonce d’ailleurs plutôt pluvieuse: Marais puis déjeuner chez « Glou« …! avec mes amies!

Je commence par visiter l’église Saint Gervais, sur la place du même nom, dans le 4ème. La plus ancienne église de la Rive Droite figurez vous! Un bijou d’art gothique, devant lequel, bien sur, je suis passée des dizaines de fois (proximité du parking sous terrain oblige) , sans jamais y pénetrer! Pourquoi le fait d’habiter dans cette ville rend-il aveugle? Pourquoi faut-il des occasions extraordinaires pour profiter des merveilles qui nous entourent! d’autant que ce bijou semble être aussi méconnu des touristes que des parisions… alors, pourquooi bouder son plaisir, entrez donc!

Je m’enfonce ensuite dans le marais, toujours en empruntant volontairement des rues que je n’avais pas encore arpentées:

Rue bourg Tibourg: bon à savoir: on y trouve le stock « Zadig et Voltaire » au 24! Qu’on se le dise…

Je ne peux m’empêcher de passer par la rue des Francs bourgeois, on peut se faire de petits plaisirs de temps en temps quand même…. et là , « La chaise Longue« , on on trouve tout ce dont on n’a pas forcément besoin mais qui peut quand même s’avérer fort utile… je ne sais pas moi, vous êtes addict à votre PC mais vous avez le poignet fragile? Attention, la tendinite du poignet vous guette… sauf si vous achetez le merveilleux tapis de souris repose-poignet! Enfin, allez y faire un tour, et ensuite comparez aux objets Pylône, l’exercice est amusant!

Me voici donc arrivée chez GLOU;

Si je résume: cadre moderne et agréable, personnel charmant , attentionné sans être pressant, et mets bons et variés; le Gewurtz est délicieux; un bémol cependant: évitez le fondant au chocolat: trop cuit!

A demain!

Ah, la vie romantique à Paris, ça existe, je l’ai vue…!

Me voici transportée au « Musée de la Vie Romantique »

Comme cet endroit porte bien son nom… Difficile de croire, dans ce havre de paix, que les grands boulevards sont à quelques mètres!

Et que dire de ce jeune homme au regard lointain, assis là, rêveur, sur un banc? Est ce un figurant permanent de ce lieu idyllique? Ou a-t-il trouvé là son refuge?

venons en maintenant à une des raisons de ma visite: l’exposition de Marc Riboud;

comment cet homme fait-il pour capter si précisément et si miraculeusement instants et émotions?

« L’instinct de l’instant » annonce la couverture du catalogue de l’exposition; on ne peut que saluer une définition si parfaite .

On perçoit si fort l’énergie de Castro qu’il semble s’apprêter à jaillir du cadre, le regard du Dalai Lama nous hypnotise presque, et Gong Li projète unelumière d’une intensité éblouissante par son seul regard, tout ceci grâce au talent de cet homme!

alors, un petit clin d’oeil, ses photos les plus connues:

le peintre de la Tour Eiffel : parue en 1953, elle contribuera largement au lancement de sa carrière

la jeune fille à la fleur de 1967, qui se passe de tout commentaire

N’hésitez pas à traquer sa prochaine exposition!

Ma journée se poursuit à la Rhumerie, boulevard St Germain: tant que vous n’avez pas gouté leurs accras..!

A demain

Prendre de la hauteur, en toute circonstance , et par tous les moyens !

Et oui, il fallait bien s’en douter, j’arrive en avance!

Et me voilà dans le parking, dans ma voiture, écoutant Arik Einstein à tue tête, hésitant entre deux attitudes:

 » me lever et affronter l’aventure d’un pas décidé » ou plutôt « continuer comme si de rien n’était, écouter ma musique, et me précipiter à la dernière minute en savourant le stress du retard potentiel ».

Tiens, je viens d’avoir une idée: « prendre de la hauteur », par tous les moyens, en commençant par choisir tout endroit de PARIS culminant à plus de 15 mètres et aller voir le monde d’en haut, après mon quart d’heure matinal dans les sous sols! Cela devrait équilibrer, peut- être, un peu, qui sait?

Salle d’attente: je pense que très rapidement l’énorme aquarium bleuté qui occupe une place central va me taper sur le système; nous verrons.

Que dire des deux personnes qui attendent déjà et des questions qui se bousculent dans ma tête:

 » y a-t-il un seul appareil, ce qui signifie que je ne suis pas sortie de l’auberge, ou s’agit-il de personnes qui sont là pour tout autre chose, je ne sais pas moi, ne manucure, une séance de relooking, que sais – je? Dans ce cas, je serai prise à l’heure?!

Enfin, autant pour la légendaire rigueur militaire: parce que, si je réflechis bien,lors du premier rendez-vous de préparation, prévu à 09h00, je reçois un coup de fil de mon médecin passablement agitée , à 08h30, qui me demande où je suis! A sa décharge, elle s’est excusée par la suite, mais bon… passons! Et quand, lors du deuxième rendez vous de préparation on me tend par erreur le planning de séances de madame Duchmol, là je dis STOP!

Cela étant dit je dois aussi dire que l’estheticienne en chef (alias ma radiothérapeute, n’oublions pas qu’il s’agit là de séances d’UV en ce qui me concerne et rien d’autre….!) a, et je l’avais déjà compris, cette énergie qui entraine parfois certains petits excès (!), mais aussi cette passion, ce professionnalisme, doublés d’une facilité à cerner le profil psychologique de son interlocutrice qui font qu’on lui pardonne sans l’ombre d’une hésitation 😉

Bon, je m’éloigne du sujet (vous constaterez au fil du temps que j’ai tendance à digresser….!), mais c’est officiel, il est 09H15 et…… la porte s’ouvre et on m’appelle!

Bon, je pars (en courant….!). C’est bon pour aujourd’hui!

Remarque: « mais qu’est-ce que je fous là nom d’un chien! C’est quoi cette histoire? Une mauvaise blague? 44 ans, en pleine forme, ni alcool, ni tabac, ni drogue, et me voilà releguée au rang de malade, guérie, soit, mais quand même!

Prendre de la hauteur: c’est chose faite: me voici sur le toit du Printemps Haussmann ( indice: je suis une shoppeuse invétérée et vous remarquerez que mes pas me guident plus souvent que de coutume dans tout endroit ou ma carte bleue, qui est pourtant innocente dans cette affaire, pourra chauffer à volonté, ma volonté toute puissante!)

Vue exceptionnelle, endroit curieusement tranquille et vide de touristes; le café crème est correct, les cannelés délicieux: tout va bien, je respire….!

La tour Eiffel m’observe, et je lui rends bien ! Cette ville est exceptionnelle, il faut la mériter, et je crois que c’est mon cas.

Ce panorama me donne l’occasion de lister les différents sommets qui ponctueront mon périple:tour Eiffel, Tour Montparnasse, Notre Dame, l’Opéra….. 33 jours n’y suffiront jamais!

et si je vous disais quelques mots du Printemps Haussman, lui aussi le mérite bien: créé le 11 mai 1865 dans un quartier prometteur puisqu’à proximité de la gare Saint Lazare; ses ascenceurs seront présentés à l’exposition universelle de 1874, il sera également le premier magasin à s’équiper en 1888 d’un système d’éclairage éléctrique. L’innovation du Printemps réside dans des principes qui doivent mettre en confiance sa clientèle. Certains de ces principes sont synthétisés dans la devise « E probitate decus » : « mon honneur, c’est ma probité ». Le Printemps pratique le prix fixe et le marchandage n’est plus de mise. Il s’agit de vendre à bon marché des produits innovants et de qualité. Le magasin s’agrandira, sera victime d’incendies, rayonnera puis sera victime de la seconde guerre mondiale;le seul vestige de l’histoire du magasin, la coupole, construite en 1923 par le maître verrier Briere rappelle le décor magistral du Printemps d’antan.

Déjeuner aujourd’hui: avec Lui, chez « Lili et Marcel »; ( note : 3 )

Lui, toujours présent, de manière imperceptible, mais disponible et capable de se libérer de tous ses engagements professionnels comme par magie en cas de crise (et dieu sait qu’ils sont nombreux, mais n’est ce pas naturel quand on est presque le roi du monde!)

Et il y a ma puce, bien loin géographiquement, mais dont le coup de fil quotidien a un effet vivifiant et apaisant à la fois! nous y reviendrons !

A demain!