UNIQLO – l’évènement de la rentrée

FRIVOLITES VESTIMENTAIRES ….

L’histoire est celle d’UNIQLO; Kesako? Une marque japonaise, des prix abordables, et un choix incroyable de cachemires, toutes formes, toutes couleurs, pour hommes ET femmes.

Comment ça va se passer?

Si vous êtes très pressé(e), il vous faut aller au 3 rue des Blancs Manteaux 75004 PARIS ;

dépêchez vous, c’est une boutique « éphémère » qui fermera le 13 Septembre ! Bon, comme c’est ouvert aussi le dimanche, ça vous donne deux opportunités en plus!

vous y trouverez des pulls en cachemire à 69€90 (col V pour femmes only et cols ronds pour homme)

et des jeans couleur à 39€90

Si vous êtes débordé et que le temps vous manque, le 13 septembre est trop juste pour vous!

Alors, deuxième option:

Colette, rue 213, rue Saint-Honoré
75001 Paris

cachemires également, mais plus de formes (col roulé, gilet)

et, l’indispensable de saison (si, si, jetez un oeil dehors, vous comprendrez !)

le coupe vent / pluie de couleur, gaie, à 29€90 !

Chez Colette, c’est jusqu’au 26 septembre.

Et enfin, l’apogée, le feu d’artifices, l’ouverture du FLAGSHIP, en octobre, au 17 rue Scribe 75009 PARIS !

Et ça va être BEAU !!!

A demain !

Vous êtes une « shoes addict » ? C’est LA rue des chaussures !

Ah les chaussures …. des amies fidèles, qui vous vont toujours que vous ayez perdu du poids ou pris cinq kilos indésirables!

si vous partagez cette vision de cet objet qui déchaine souvent les passions (des pages et des pages sur les cuissardes dans la presse féminine de ces dernières semaines, et ça n’est pas fini !), alors il vous faut aller rue des Canettes à Paris dans le 6ème!

Vous arrivez par Saint Sulpice, et là vous découvrez le premier magasin: Escalona. Modèles originaux, que l’on ne trouve pas à tous les coins de rue, et à des prix qui restent abordables.

Continuez votre route en direction de la rue Dufour: sur votre gauche, au 6 rue des Canettes , les Petites Parisiennes:

en fait, courrez-y, tout de suite, parce que c’est la saison des promos! Les bottes sont toutes à -20%, et les chaussures d’été à 19€! Sans parler des ballerines, deux paires pour 30€ !

Juste en face, vous trouverez Mellow Yellow, un peu surfait si vous voulez mon avis, et la Boutique Chaussure, dont la variété de modèles de bottes semble inépuisable !

Continuez votre progression, et vous trouverez Tropico : des valeurs sures, toujours les modèles phare d’UNISA, et tous les basiques de saison; ainsi, les bottines, croisées précedemment ches « les petites parisiennes » sont à 70€, pour 119€ chez « les petites parisiennes« , sauf si vous courrez de suite profiter des 20% !

Ca y est, vous êtes arrivés rue Dufour; si vous osez vous aventurez sur votre gauche, vous trouverez Alixia, et là aussi, soldes à tout va!

Voilà ! vous trouverez forcément chaussure à votre pied !

A demain 🙂

Beaubourg – tuyaux et explosion de couleur

Le Centre POMPIDOU dit « Centre Beaubourg ».

Tout d’abord, petit rappel architectural:

Le bâtiment se compose de 8 niveaux de 7 500 m² chacun, dont deux niveaux de sous-sols. Chaque niveau forme un vaste plateau, entièrement modulable, l’ensemble de la structure porteuse, ainsi que les différentes gaines techniques, étant rejetés à la périphérie du bâtiment, lui conférant un aspect extérieur très caractéristique.

Toutes les circulations verticales, personnes et fluides sont rejetées sur la façade : les tuyaux extérieurs colorés constituent une particularité du bâtiment.

Les conduites d’air conditionnés sont bleues, les tuyaux d’eau sont verts et les lignes électriques sont jaunes. Les ascenseurs sont rouges. Les canalisations blanches sont des gaines de ventilation pour les parties souterraines. Même les poutres métalliques qui composent la structure sont apparentes.

L’intention des architectes était de placer les services de logistique hors du corps du bâtiment afin de consacrer la totalité de l’intérieur à sa vocation de musée

Un bassin proche expose des fontaines constituées par des statues en mouvement de Tinguely (structures métalliques) et Niki de Saint Phalle (formes colorées). Cette fontaine  est une œuvre dite in situ !!!!!

Bon, et bien maintenant, encore des photos..!

et une petite nouveauté…. des gens, encore des gens…!

Oh, j’oubliais, sur le chemin du retour, je n’ai pas pu résister à une pose chez SOBRAL, bijoux brésiliens sur l’Ile Saint Louis!

Résultat, un petit bracelet! J’adore!!!

Bon week end, et à Lundi!

 

 

 

Merci Paris … !

Pour commencer la visite dans de bonnes conditions, reposées et rassasiées, ma puce et moi commençons par nous installer au « used books café Merci »;

Le concept: des rayonnages entiers de livres en tous genres, offerts par de généreux clients, et revendus au profit INTEGRAL d’une association caritative au profit d’enfants à Madagascar.

Les prix sont affichés sous forme de pastilles multicolores et ne dépassent pas les 20€.

Le mobilier, très confortable, est visiblement également le fruit de dons :

La carte est certes un peu sommaire et l’endroit clairement prévu et mieux adapté à un café accompagné d’un gâteau (d’ailleurs, le moelleux au chocolat, un régal !), mais on peut néanmoins grignoter une bruschetta ou un « chèvre frais salade »; ce qui marque, c’est la gentillesse de la personne qui nous a servi, et a répondu à mes questions sur le fonctionnement de l’endroit avec empressement;

Dernière chose avant la visite: je n’ai pas pu m’empêcher de sourire à chaque fois que la serveuse, saluant ses clients, ponctuait ses phrases d’un « MERCI » tonitruant qui prenait, ici, une toute autre dimension !

La visite donc : afin de passer du café au coeur du lieu, on peut emprunter un couloir rempli lui aussi de rayonnages de livres d’un côté, et dont l’autre côté donne sur la petite cour intérieure.

On arrive alors au rez de chaussée de la partie plus « commerciale »; seule un pourcentage, que je ne connais pas, des ventes de produits vendus ici, est reversé à des oeuvres.

L’endroit comporte un espace « petits objets en tous genres » : bijoux, gobelets, assiettes, carafes, … , un espace design mobilier, et un espace habillement qui regroupe des grands noms (Stella Mc Cartney, PAul and Joe, …) et du vintage.

Il est vrai que les prix sont plutôt élevés, mais c’est la cas partout ailleurs pour ces grands noms; on peut cependant trouver des petits objets à des prix tout à faits corrects, comme le bracelet « merci » sur cordon rouge à 3€ ! Alors, quelques photos…

La sortie par la cour intérieure

Alors ce que j’en dis, c’est la chose suivante : le concept est novateur et plutôt sympathique; qu’est ce qui a poussé les anciens propriétaires de Bonpoint à se lancer dans cette aventure, je ne le sais pas, mais je pense qu’il est intéressant de les accompagner encore un bout de chemin !

Informations pratiques:

111 boulevard Beaumarchais 75003 PARIS

A demain !

PARIS – frivolité – tout sur la place du marché St Honoré

La Révolution de Juillet, révolution française à la faveur de laquelle un nouveau régime, la monarchie de Juillet, succède à la Seconde Restauration, se déroule sur trois journées, les 27, 28 et 29 juillet 1830, dites les « Trois Glorieuses »;

c’est la rue du 29 juillet que j’emprunte pour me diriger vers la place du Marché Saint Honoré, qui a en son centre ce magnifique bâtiment de Ricardo Bofill, jadis un marché, aujourd’hui haut lieu de la finance parisienne…!

Première bonne surprise:

le stock de Corinne Sarrut au 4 de la rue

un petit haut en soie corail à moins de 40€, des finitions impeccables, petits hauts, pantalons, robes légères et chaussure; une bonne adresse pour de très jolis basiques.

J’arrive place du marché Saint honoré, et là , pas de surprise, mais mes pas qui me mènent directement vers l’antre de « Marc by Marc Jacobs » !

De la couleur, des vitrines changeantes de semaine en semaine qui donnent envie d’y retourner encore et encore, et la possibilité de s’offrir du luxe à petits prix! Alors il faut reconnaitre que le sourire varie d’un vendeur à l’autre, et que l’accueil parfait n’est pas garanti…. Mais tant pis! Moi, j’ai un stylo en forme de rouge à lèvres, et j’aime ça!

Parlons maintenant des restaurants: je me concentrerai sur quatre adresses: une que je vais découvrir au plus vite, et les trois autres déjà testées!

Fuxia : je l’appelerais « la cantine des copines »: l’endroit est convivial, en famille aussi d’ailleurs, tout est délicieux,qu’il s’agisse de salade géante, pâtes ou « secondo piato »; et le vrai bonheur, c’est lors de ma dernière visite, quand le serveur arrive pour me dire avec un air ennuyé: »il me manque un des deux desserts du café gourmand »; alors là, panique, je blémis, et d’une voix tremblante, lui demande « lequel? » Et lui de répondre: « nous n’avons plus de panna cotta, mais si vous voulez, on peut vous mettre deux tiramisu? »

Un vrai moment de pur bonheur!

Barlotti: italien aussi, mais la on est dans un temple du branché! Alors, cela dit, en semaine, bien sur pas question d’avoir une table en terrasse (quoiqu’en août?) mais l’intérieur est assez spectaculaire avec ce puit géant de lumière, miroirs et éclairages tamisés, et , il faut dire ce qui est, leur Millefeuilles aux fraises crème légère au mascarpone est à se damner… Alors si vous êtes d’humeur à sortir vos stilettos, le dernier « Stam » de Marc Jacobs, allez-y!

Nomad’s: branché, surement, snob et prétentieux, certainement, et ne parlons pas des animaux empaillés en vitrine! Je déconseille vivement, mais cela n’engage que moi!

Et enfin: « Cuisine et Confidences » – j’ai regardé le menu, ils sont spécialisés en brunchs, salades géantes (celles qui étaient dans les assiettes des personnes attablées avaient l’air particulièrement délicieuses), etquand je suis rentrée pour leur demander leur carte de visite, j’ai été reçue avec un grand sourire, par toutes les personnes que j’ai croisées au delà de celle à qui j’ai parlé!

Alors je vais y courir, ce week-end peut-être, et je vous promets, je vous raconte! Et si l’un d’entre vous connait, racontez-moi aussi 😉

A demain !

PARIS – rue Mouffetard

LA Mouff.. vous aimez?

c’est là que mes pas m’ont guidée aujourd’hui, et voici le fruit de mes tribulations…Bonne promenade!

place de la Contrescarpe : le café DELMAS , TOUJOURS au soleil! A croire qu’ils bénéficient d’un micro climat…

La rue sous tous les angles!

les commerces…

KENDOSA 87 rue Mouffetard 75005 PARIS

superbes sautoirs colorés

Gelati d’ALBERTO :le premier glacier qui a fait des glaces en forme de fleurs à PARIS, suivi, quelques années plus tard, par AMORINO;

Accessories: sympathique, riche en trouvailles, allant du petit pull Vent du Sud aux ballerines basiques de toutes les couleurs, et attention, courez-y, 30% sur tout le magasin (hors nouvelle collection), et il y a encore beaucoup de choix!

Une droguerie, comme il n’en existe quasiment plus à PARIS…

et les gens, toujours les gens….!

mais à quoi pense-t-il donc……?

Rendez-vous sur Hellocoton !

PARIS – le Palais – Royal

le Palais Royal!

Je n’avais pas prévu de commencer par cette photo mais avouez que la coïncidence du titre est inouïe!

Commençons donc par quelques photos de ce bel endroit, et de la galerie Vivienne , puis je vous livrerai quelques adresses découvertes au fil de mes pas!

LES GENS…..

LES LIEUX

Voici donc un échantllon des photos prises ce jour!

quant aux adresses, comme promis:

bon, dans les classiques, vous avez en vrac: Stella Mc Cartney, Marc Jacobs (une nouvelle version de son sas « STAM » pour cet hiver, j’adore!) ou encore la maison Fabre qui tente une boutique de gants en cuir « à l’italienne » mais ça manque encore un peu de légèreté et de modernité!

ensuite, Marie-Odile B. Palais Royal 9 rue de beaujolais 75001 : bijoux argent et plaqués or, assez classique mais de bonne facture, et à des prix très raisonnables

à côté: les boites à musique « Anna Joliet » : vous cherchez un air, vous le trouverez dans cette caverne d’ali-baba!

dans la galerie Vivienne, surprises en tous genres:

Odette et Zoé , juste à l’entrée, 4 rue des Petits Champs: spécialisés en sacs en cuir italiens jolis et originaux, et dans la marque de vêtements espagnole: Desigual! Surprenant et inattendu; quant à moi, j’ai trouvé un sac à l’image d’Audrey Hepburn: joli, pratique, bien conçu, de bonne qualité, et unique!

allez, à demain !

Tchernobyl – deuxième jour

Tant que mon sens de l’humour me permettra de rire à ce type de plaisanterie soufflée par Lui ce matin au petit déjeuner, je pourrai dire que tout va bien !

09h05 quatre patients dans la salle d’attente. La ponctualité militaire dont j’ai félicité mon infirmier hier semble potentiellement remise en question ;

aparté : il faudrait que je pense à lui demander son nom; curieux cet anonymat semi entretenu, je vais quand même le revoir tous les jours pendant six semaines, autant pouvoir l’humaniser en mettant un nom, voire un prénom sur ce visage; et puis lui sait tout de moi, pas très équilibré tout ça…!

Revenons à la salle d’attente: je me pose une question: pensent-ils qu’il est préférable que notre tête explose pour des raisons extérieures plutôt que par des pensées qui s’installeraient là sournoisement, et est ce donc la raison pour laquelle un vacarme qui ne mérite absolument pas le qualificatif de « musique » nous est imposé? Le souvenir qui me vient l’esprit est celui de cette douce musique apaisante qui accompagnait mon premier massage à l’Ile Maurice: voilà un centre de bien être qui avait compris ce qui signifie « associer bien être de l’âme et du corps »! Ce Val de Grâce a encore beaucoup de marge de progression; disons que dans l’immédiat je ne suis pas sure de le recommander à mon entourage!

quelle image va m’accompagner aujourd’hui alors que je serai allongée sur cette table glaciale …? bon, d’accord, je force un peu le trait, pour accentuer la dimension dramatique de la narration! Ca marche, non? Hier, donc, ce sont les dauphins mauriciens qui me sont apparus, peut-être parce que l’obscurité ambiante de la salle de traitement m’a évoqué les fonds marins? Bof!

Tiens, 09h16! Ponctualité militaire, mon oeil! Je les ai pris sur le fait!

Puisque le retard devient démesuré – j’exagère légèrement à nouveau, mais comment maintenir le suspens sinon?!, je vais donc débuter une étude des relations humaines en situation « In Situ ».

Lors de l’annonce de la nouvelle situation (genre: absence du bureau, ou annulation des vacances, ou nécessité de faire un traitement de sureté post opératoire) , c’est la malade, l’ex malade en fait, qui doit rassurer, voire réconforter, au risque, si la chose n’est pas faite, de voir son interlocuteur palir, tomber mollement sur une chaise si la précaution de l’assoir auparavant n’a pas été prise, ce qui pourrait mener à appeler les secours, pour l’autre…. il ne faut pas exagérer tout de même!

Mais bon, je me mets à leur place… d’ailleurs j’ai été à leur place quand mon chirurgien m’a annoncé d’un coup d’un seul qu’il avait trouvé, et totalement enlevé , une zone dite pré cancéreuse ou encore cancer insitu !(j’aime bien me l’approprier, Mon chirurgien, comme si d’un coup, je devenais SA patiente, la seule, celle dont il s’occupe le mieux, sa préférée quoi! Ahhh, ce besoin d’amour…)

Alors bon, pour en revenir à mes amis et collègue, je ne peux, finalement , que saluer leurs efforts et leur gentillesse.

Et puis le plus grand mérite revient à ma puce qui, après m’avoir abondamment reproché de ne pas l’avoir tenue informée depuis le début, est désormais parfaite, au petit bémol près qu’elle s’acharne à parler de chimiothérapie, parce que, dit-elle, « radiothérapie elle connait pas, et chimio c’est plus simple »!

09h30 ce journal sera probablement la bouée de sauvetage, et celle du personnel qui s’occupe de moi et à qui seront épargnées attaques verbales et physiques en cas de retard trop important, ma main et mon esprit étant occupés ailleurs!

Ma quête de sommets se poursuit donc aujourd’hui et Notre Dame est ma cible. L’idée même de rendre visite aux gargouilles me remplit d’aise!

Enfin, c’est terminé pour aujourd’hui; mon infirmier me quitte sur un « bonne fin de journée » tonitruant; il faudra que je lui explique qu’en aucun cas il ne s’agit d’une fin mais d’un début! Ma journée, passionnante, riche en découvertes et nouvelles aventures, débute après ce quart d’heure qui semble durer une éternité… ah , l’importance des mots, des tournures de phrases, même quand elles sont chargées de bonnes intentions, ce dont je ne doute pas un instant dans son cas!

Me voici donc sur l’Ile saint Louis, où j’ai trouvé une place pour me garer sans aucune difficulté (vive l’été à PARIS!).

L’Ile Saint Louis: je sais que j’ai ce qu’il faut en moi pour appartenir à cette élite que sont « les insulaires » – car c’est ainsi qu’on nomme ses habitants! Je sais apprécier ce village, si calme le dimanche matin quand les hordes de touristes ne l’ont pas encore envahie; je sais apprécier chaque porte cochère entrouverte, la rareté de son dernier Jeu de Paume transformé en hôtel , séparer le grain de l’ivraie en ce qui concerne sa multitude de restaurants, certains aussi authentiquement parisiens qu’un Vuitton fabriqué en Chine, et d’autres où les plats sont véritablement élaborés en cuisine et le service attentif (je sens que vous attendez une ou deux adresses…patience…).

Les commerces ne peuvent pas on plus laisser indiférents: on y trouve tout, du fromager qui fait rêver tout américain n’ayant jamais vu autre chose dans sa vie que des fromages sans goût ni parfum, à l’antre brésilien du bijoux multicolore en résine (SOBRAL79 rue saint Louis en l’Ile).

Je suis donc attablée au « Flore en l’Ile », me permettant ainsi une vue sur les deux bras du fleuve qui enlacent l’Ile de la cité (je me sens d’humeur poétique , c’est pour trancher avec la dimension dramatique des épisodes précédents!) Les lettres d’or de la brasserie qui me fait face scintillent au soleil…. (bon, bon, j’arrête le poétique à trop haute dose, à la longue, cela peut finir par lasser!)

Alors, pour aujourd’hui, l’opération « prendre de la hauteur » est restée coincée au sol: mon optimisme naturel me conduisant vers Notre Dame que je m’apprêtais à escalader vaillement m’a fait oublié les hordes de touristes qui, pour un tas de raisons diverses et variées, avaient eu cette mêm idée! Le choc quand je les ai vus là, gentillement alignés sur 500m, attendant patiemment leur tour…! Trop peu pour moi, ce sera pour une autre fois!

Je me suis donc enfoncée dans les rues moyennageuses de cette île historique, berceau de notre belle ville !

J’ai enfin pu admirer la rue de la Colombe, dont j’avais tant de fois croisé l’histoire: un nid de colombes, vers 1200, coincé dans les débris de la maison qui l’abritait après qu’elle s’était écroulée, tuant l’artisan qui l’habitait; le mâme, ayant réussi à s’extriare, portait tous les jours brindilles et aliments à madame et ses petits; ce sont les habitants du quartier, qui, émus par cet amour et ce dévouement, avaient demandé à renommer la rue, et ce fut chose faite!

Demain, premier déjeuner avec une amie, une vraie, celle qui ne me veut que du bien .

Je reviendrai sur la catégorisation des amies en In Situ!

a demain!