Visiter New-York (dans le froid et sous la pluie)

Je m’appelle Nathalie et je suis amoureuse de New-York. Voilà, c’est dit. Et lors de mon séjour dans la ville il y a maintenant une semaine, mon amour inconditionnel a été mis à rude épreuve. Parce qu’il faut bien le dire, parfois, les éléments se liguent contre toutes les bonnes volontés. Et apprécier la « grosse pomme » alors qu’une tempête souffle sur le pays, et que la température est passée de 20° le samedi  à 5° le dimanche, c’est un challenge de taille. Bon, évidement, il est toujours temps d’aller ailleurs, en choisissant parmi ces itinéraires aux USA. Mais rien ne m’arrête quand il s’agit de New York, et je ne manque pas d’imagination. Alors c’est parti !

Visiter New-York – Toujours et encore

Personnellement commencer un séjour à New York passe par quelques incontournables. Time Square, la cinquième avenue, Central Park en font partie. C’est donc ce que nous avons fait en cette première journée, qui a eu la bonté de nous offrir soleil et douceur dès la descente de l’avion. Et puis il y a Bryant Park, devant la New York Public Library. Ce genre de parc qui n’existe pas à Paris. Des centaines de chaises à disposition, des kiosques pour se désaltérer ou se nourrir, des zones dédiées aux jeux type échecs, dames ou dominos. Un havre de paix au coeur de l’agitation citadine, ouvert du matin jusqu’à la nuit, sans grilles ni portes closes qui en interdiraient l’accès. Les New-Yorkais l’adorent, et moi aussi !

Visiter New-York – et découvrir ses musées

Mais tout ça, c’est possible exclusivement quand il fait beau. Et comme je le disais, le temps n’a pas été vraiment au rendez-vous lors de cette semaine d’avril 2018. Heureusement New York propose une diversité de musées qui n’a rien à envier à notre belle capitale ! D’ailleurs, le long de Central Park, entre la 82nd et la 95th street, se trouve une portion de la Cinquième avenue intitulée : the Museum mile. Tout est dit n’est-ce pas ?

Dans ce périmètre, sagement alignés le long de la cinquième, mais aussi sur Madison, et sur quelques unes des rues transverses, on trouve dans le désordre : le MET Breuer, extension du Metropolitan Museum of Art dédié à l’art contemporain, le MET itself, le Guggenheim, et puis la Neue Galerie , et aussi le Jewish museum. San oublier la Frick collection.

Chacun offre une proposition qui lui est propre, une signature qui permettent de faire son choix en connaissance de cause.  Faisons donc un petit tour d’horizon.

  • Le Metropolitan Museum of Art : c’est l’équivalent de notre Louvre national. Plus ou moins. Parce qu’il faut bien le dire, c’est le Louvre qui caracole en tête des plus grands musées du monde, le MET ayant une honorable 4ème position. Cependant, il faut l’avouer, les collections proposées sont spectaculaires. Même pour la française que je suis. Parce que l’espace dédié à l’art européen du 19ème et début de 20ème propose des oeuvres spectaculaires de nos Monet, Cézanne ou Pissaro. Et puis il y a les collections. Riches, aux propositions multiples. Dans un tout autre registre, il y a aussi l’espace médiéval, impressionnant également. Le maitre mot est le suivant : ne pas manquer le MET, mais préparer sa visite en sélectionnant un, deux ou trois espaces et en renonçant volontairement aux autres. C’est la seule façon de véritablement apprécier sans finir sur les rotules et la tête sans dessus dessous. Et si je ne devais en garder qu’un ou deux, voici les tableaux qui m’ont transportée.
  • Le MET Breuer, qui a pris la place du Whitney Museum désormais installé au Meatpacking. Ici, l’art contemporain est  à l’honneur avec des installations, des évènements, et des expositions éphémères.
  • La Neue Galerie : ce musée est très particulier. En effet, il abrite un des plus célèbres tableau de Klimt : le portrait d’Adèle Bloch Bauer. Ce tableau, restitué par le gouvernement autrichien à sa propriétaire en janvier 2006, avait tout d’abord était volé à sa famille par les nazis durant la guerres. Il a fallu des années à Maria Altmann pour récupérer ce tableau qui représentait sa tante Adèle. Ce tableau est désormais exposé définitivement dans ce musée, où on peut l’admirer, pour la beauté de l’oeuvre mais aussi pour le symbole qu’il représente. Pas de photo de l’oeuvre puisque le musée l’interdit, mais une illustration captée lors de mon passage à l’exposition KLIMT de l’Atelier des Lumières.

Visiter New York – en restant dans des lieux clos

La ville est spectaculaire, ses musées magnifiques, et elle offre également des lieux incroyables qui n’ont pas d’égal ailleurs dans le monde. Commençons par l’extraordinaire New York Public Library.

L’accès en est gratuit, et il ne faut pas manquer la Rose Reading Room ( salle de lecture ) . Elle est ouverte au public et on peut s’y installer pour feuilleter un livre. Un moment suspendu dans le temps.

Et puis il y a la gare, Grand Central Station. Initialement construite en 1861, c’est en 1913 qu’elle revêt son aspect actuel. Elle manque d’être détruite à deux reprises en 1966 puis en 1976 mais ce sera grâce à Jackie Kennedy qu’elle deveint finalement monument historique nous permettant ainsi de pouvoir l’admirer aujour’hui.

Alors voilà, si un jour vous vous retrouvez à New-York par mauvais temps, vous avez l’embarras du choix. Sans oublier le shopping bien sur. Mais pour cela, il faudrait un article dédié. Je vais y penser ! Je vous dis donc à très vite pour une autre visite de New York, et pour les autres destinations de voyage qui pourraient vous tenter, il y a toujours Comptoir des Voyages.

article sponsorisé

Tel-Aviv aux mille couleurs et mille saveurs

Tel-Aviv en couleurs – le bleu de la mer

Tel-Aviv est une ville qui prend la mer dans ses bras.

Omniprésente elle fait partie intégrale de l’art de vivre des habitants de la ville – dites telavivim.

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Lieu de rencontre, de fête, mais aussi de restauration sans oublier les balades à vélo ou à pied sur la promenade – dites tailet – qui longe la plage du nord au sud jusque Jaffa.

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On passe par la plage le matin pour un footing matinal suivi d’un latte – dites afouch – face aux vagues.
Puis c’est la promenade du chien, la baignade, et le soir, l’indispensable étape du coucher de soleil spectaculaire à chaque fois.

Tel-Aviv – la ville Blanche

La ville dans sa diversité architecturale.
Haut lieu de l’architecture Bauhaus Tel Aviv est surnommée la ville blanche.

architecture Bahaus
Tel-Aviv – architecture Bauhaus

Aujourd’hui elle est en pleine explosion, et les tours y fleurissent à une vitesse qui laissent pantois tout européen habitué à une progression des travaux urbains bien moins rythmée !


Habitations, centres commerciaux, elles jaillissent entre les quartiers historiques en cohabitant à la perfection avec ces constructions du siècle dernier rénovées pour l’occasion

Tours Azrieli
Tours Azrieli

Ainsi le célèbre quartier de Sarona et son marché alimentaire se protégent du soleil à l’ombre des tours Azrieli et leurs nouvelles sœurs qui continuent à apparaitre autour de ce qui s’appelait la moshava germanit – ancien quartier allemand lors de la première immigration d’Europe après la guerre.

Ou encore Neve Tsedek qui connaît une nouvelle jeunesse avec les multiples commerces qui s’y sont installés – épiceries, bijouteries, modes – et au sein duquel des tours d’habitations luxueuses ont posé leurs fondations.

Tel Aviv - Neve Tsedek
Tel Aviv – Neve Tsedek

D’ailleurs, c’est un des quartiers où les Francais sont les plus présents. Vous le comprendrez en lisant les noms de certaines boutiques !

Tel-Aviv – multi couleurs et multi saveurs

Pour commencer, il y a le célèbre petit déjeuner israélien.

Tel Aviv - petit déjeuner chez Greg
Tel-Aviv – petit déjeuner chez Greg

Un Must, le repas incontournable de la journée.
Copieux, varié, salé et sucré , tous les restaurant en proposent un c’est à celui qui concoctera le plus copieux et le plus instagrammable.

Je dois dire que celui de Greg à la Tahana – ancienne gare transformée en zone commerçante, est un choix simple et efficace !

L’autre explosion de couleurs et de saveurs se vit en visitant le Shouk Hacarmel.

Shouk Hacarmel
Shouk Hacarmel

Soleil et irrigation high-tech, en Israel on trouve les conditions parfaites pour la culture de fruits et de légumes.
Et pour en prendre la pleine mesure il suffit de faire un tour au shouk Hacarmel.
Ici, c’est le bonheur des yeux et des papilles.
Fraises savoureuses, tomates multicolores, épices en tous genres, tous les sens sont sollicités et il est impossible de repartir les mains vides.

Et ne parlons pas des jus de fruits frais que l’on trouve partout dans la ville.

Alors vous l’aurez compris, Tel Aviv est une destination parfaite pour passer quelques jours au soleil, dès le mois de mars et jusqu’au moi d’octobre – à noter : il fait souvent beau les autres mois de l’année mais on n’est pas à l’abri de quelques précipitations et d’une baisse des températures !

Tel-Aviv : Où dormir ?

J’ai choisi l’hôtel Shenkin, à quelques pas de la rue du même nom, et j’ai adoré. De taille humaine, parfaitement localisé, il dispose d’un rooftop parfait pour se poser au retour de la plage, ou des balades à pieds.

Comme un certain nombre d’hôtels de Tel-Aviv, il propose un concept super original pour le petit déjeuner : on peut prendre son petit déjeuner dans un des trois coffee shop proposés, qui se trouvent tous à moins de 5 minutes à pieds, et on peut ainsi découvrir les alentours tout en se régalant !

Tel-Aviv – où manger ?

Là, le choix est vaste, très vaste. Je vais donc vous donner une liste non exhaustive, à enrichir au gré des envies.

Commençons par La Tahana. Au sud de la ville, face à la mer et à quelques pas de Yafo ( Jaffa) , l’endroit propose de nombreuses boutiques, et deux lieux de restauration qui ont fait leurs preuves.

Greg café
Greg café

Il y a donc Greg Café, précédemment évoqué, et où l’on peut déguster le célèbre petit déjeuner, toutes les salades méditerranéennes dont on peut rêver.

Vicky Cristina vous accueillera également, et là il s’agira de tapas et verre de vin, ou de diner.

Dans la même zone géographique, plusieurs restaurants s’offrent à vous sur la rue Shabazi, artère centrale du quartier Neve Tsedek – celui là même où tout le monde parle français !

En vrac : Dalal, Suzana, pour des plats typiquement méditerranéens et telaviviens.

Si on s’éloigne de la mer, le célèbre Sarona Market propose une multitude de possibilités alimentaires, du thaïlandais au français en passant par l’italien. Le bémol en ce qui me concerne : tout se passe à l’intérieur, et donc pas de possibilité de profiter du soleil.

On peut donc s’attabler à l’intérieur.

Sarona Market
Sarona Market

Ou prendre à emporter, et s’installer dans le quartier de Sarona, à l’ombre des palmiers et des tours géantes.

Et pour finir, il y a la plage.

Là, face à la mer, seulement si on n’est pas très pressé – le service peut être « à son rythme », il est temps de s’installer confortablement et de savourer le moment.

Sur le sable même, quand on se dirige vers le nord, du côté de la rue Frishman.

Ou au sud, où il s’ira là de s’assoir dans un vrai restaurant avec vue sur la plage et sur la vieille ville de Jaffa : le Manta Ray.

Enfin, il semblerait que du côté de Frishman, un restaurant gastronomique soit sur le point d’ouvrir ses portes avec le chef israélien Omer Miller. Stay tuned.

Bon voyage !

 

On dirait le SUD – un weekend au soleil ?

On dirait le Sud

Un rayon de soleil, et ça m’arrive à nouveau : j’ai une envie soudaine et violente de ciel bleu, chants des cigales, voire même températures estivales.

En résumé, j’ai envie de partir, au soleil, changer d’air, pas trop loin, dans ce sud qui prend des airs de vacances.

Alors examinons les options qui s’offrent à nous dans notre sud !

le sud version brocante – Chiner à l’Isle sur la sorgue

L’Isle sur la Sorgue, c’est la Mecque des chineurs. Deux grandes brocantes envahissent la ville chaque année, et le reste du temps, ce sont les antiquaires et brocanteurs installés qui vous accueillent, tout comme le marché dominical.

Le paradis pour trouver ce petit meuble de caractère qui réhaussera tout interieur

Chiner dans le Sud
Chiner dans le Sud

Ou encore un luminaire, une horloge, une pièce de déco qui rend une pièce unique.

Mais aussi ces objets sur lesquels on craque sans trop savoir pourquoi, quitte à les regretter une fois passée l’excitation de la découverte.

SUDchiner

Fouiller, examiner, manipuler l’objet, le reposer, passer au stand suivant, sous le soleil, et choisir son restaurant avant de penser au déjeuner.

C’est un peu le déroulé d’une journée type à l’Isle sur la Sorgue.

Le sud version plaisirs des papilles

Quand j’entends parler du Sud, je ferme les yeux, et ce sont couleurs et parfums qui me viennent à l’esprit.

Le sud et ses célèbres marchés, ces étals chargés de superbes fruits et légumes pour certains fraichement cueillis.

Sans oublier les gourmandises que l’on ne peut déguster que sur place pour les savourer pleinement.

Calissons d'Aix
Calissons d’Aix

Et aussi les pâtisseries qui réinventent leurs créations autour des fruits de la région.

Maison Jouvaud
Maison Jouvaud

Le sud version métiers d’art

Et puis il y a aussi le sud et l’art.

De multiples grands peintres en ont fait leur région de prédilection au siècle dernier. Comment résister à un tel soleil et un bleu si pur.

ll est donc naturel que l’art sous toutes les formes s’invite régulièrement dans ces régions méridionales.

Comme par exemple ce salon artistique à Montpellier.

Ici, ce sont des artisans qui présentent leurs productions.

Le salon Ob’art, organisé par Ateliers d’Art de France, réunira plus d’une soixantaine d’exposants qu’un jury d’experts aura soigneusement sélectionnés pour la qualité de leurs créations, produites en pièces uniques ou en petites séries dans leur atelier.

Pour vous et moi, c’est une occasion unique d’acquérir à des prix accessibles des objets inédits, façonnés à la main par les artisans d’art, des luminaires aux bijoux, du mobilier aux accessoires de mode. Céramique, verrerie, textile, ébénisterie, tout y sera.

Alors, pour se faire plaisir, c’est à Montpellier qu’il faudra aller du 31 mars au 2 avril.

En résumé, il y a mille et une raisons d’aller dans le Sud ! Il y en a pour tous les goûts, et toutes les envies.

Noël version…

Noël version…

Les alternatives pour les vacances de Noël sont multiples. Les tentations diverse, et les envies variables. Magazines, publicités, catalogues en tous genres nous vendent du rêve, nous inondent d’images merveilleuses, de cadeaux, de sourires, de tables chargées de victuailles, de sourires inter génerationnels.

Noël version famille

Oui, Noël s’impose dans l’inconscient collectif comme la fête de famille par excellence. Cette fête que l’on passe tranquillement, à la maison, autour du sapin chargé de cadeaux.

Et cela même quand la maison, c’est Paris !

Il y a aussi la même, mais version « racines ». Le retour aux sources, où qu’elles soient, là où on a grandi, là où les souvenirs se bousculent dès le pas de porte passé.

Un peu version  » La vie est belle » , avec cette furieuse envie que tout aille bien, tout s’arrange, tout ce qui n’allait pas, pour laisser place à un instant parfait, comme figé dans le temps.

Mais cette fête donne aussi parfois envie de partir, voire même de fuir. Pour ne pas être confronté à ce que l’on a pas forcément. Pour fuir le spleen de ce Noël qu’on ne passe ni avec ses parents, ni même avec ses enfants, voire même seul, parce que parfois la vie joue de ces tours …

Noël version enneigée

Alors pour fuir,  il y a la version montagne, cîmes enneigées, genre carte postale. Le sapin géant qui trône sur la place du village, les flocons qui tombent à point, le jour même, et le vin chaud qui vient compléter le tout.

Et puis il y a la version ensoleillée, plutôt tropicale, ou la version simplement « loin » !

Noël version ailleurs

Parce qu’il faut l’avouer, quand le froid et m’obscurité s’abattent sur Paris, et sur notre pays, la perspective d’eaux turquoises et de ciel bleu azur est assez tentante.

Et se dire qu’il suffit de trouver un billet d’avion à prix abordable, chez un voyagiste du type Easyvoyage, et de sauter le pas, pour plonger dans un Noël rêvé, ça fait réflechir.

On peut aussi partir, mais de l’autre côté de l’océan, vers LA ville, celle où l’on ne dort jamais. Vers « la grande pomme » en somme !

L’essentiel étant de changer d’air, changer d’horizon.

Prendre l’avion, et partir….Partir, même loin ….Loin de la région du coeur ( clin d’oeil à tous les fans de Julien Clerc qui me comprendront !)

Alors, où que vous choisissiez de le passer, je vous souhaite, en avance , un très joli Noël.

Vous l’aurez compris, cet article est rédigé avec mes mots, et sur le thème de mon choix, en partenariat avec la marque

 

Découvrir l’Isle sur la Sorgue

L’isle sur la Sorgue

Jolie petite ville du Vaucluse, L’Isle sur la Sorgue vaut définitivement le détour. Et je vais  vous dire ici et maintenant pourquoi.

Isle sur la Sorgue
Isle sur la Sorgue

Brocantes et antiquités

L’Isle sur la Sorgue est le haut lieu absolu de la brocante et des antiquaires en France. La Foire internationale ART & ANTIQUITéS s’y déroule 2 fois par an, et depuis 50 ans maintenant, de façon systématique, pour le weekend du 15 août, c’est à dire maintenant,  et celui de Pâques.

A cette occasion, on ferme la ville pour permettre aux brocanteurs et antiquaires de la France entière et au delà, de venir proposer leurs trouvailles et leurs trésors, tant aux marchands professionnels qu’aux particuliers.

Cette année donc, et pour sa 101ème édition, l’Isle sur la Sorgue accueillera cette grande foire pour le plaisir de tous les chineurs.

Mais si vous êtes agoraphobe, vous pouvez éviter ce weekend très chargé, et venir n’importe quel autre weekend de l’année, en période estivale, printanière ou automnale.

En effet, les villages d’antiquaires permanents de l’Isle vous accueilleront du vendredi au lundi, vous permettant de glaner en faisant de belles découvertes.

Faire des découvertes, quelques achats, et en profiter pour déjeuner dans la verdure ou même au bord de l’eau, voilà ce que ces charmants villages dans le village vous proposent.

Et puis il y a le dimanche matin, qui accueille le marché hebdomadaire bien sur…

Mais aussi des brocanteurs qui s’installent sur les trottoirs le long de la Sorgue, avec une offre de produits si divers que l’on repart forcément avec un souvenir, que ce soit une clé ancienne, une plaque émaillée d’époque, ou pas, ou encore des tables de nuit !

Gourmandises

L’Isle sur La Sorgue a une réponse pour tous les gourmands et les gourmets. Pour commencer, il y a la gourmandise qui s’achète pour en faire des stocks à consommer au calme, chez soi. Dans la gamme tartes, salées, sucrées, et autres pâtisseries savoureuses, il y a la Maison Jouvaud.

Célèbre dans la région, on y vient de partout pour ces tartes à la base de pâte feuilletée délicieusement beurrée, et la crème d’amandes qui accueille tous les fruits. Attention, venez tôt dans la journée si vous voulez être sûrs de pouvoir déguster votre fruit préféré…

Dès  le début d’après midi certains fruits disparaissent pour ne ré apparaitre que le lendemain matin. Abricot, figue, pêche, j’en ai déjà l’eau à la bouche. Le moins intéressant à mon goût : la tarte aux pommes et ses petits dés que j’aurais volontiers sucrés et caramélisés pour que leur goût ne soit pas tué par celui du lit de crème d’amandes sur lequel ils sont posés.

Spécialisé en gourmandises régionales, et tout particulièrement calissons et fruits confits, le confiseur  Lillamand et ses mini calissons est un incontournable de la rue de la République.

Et puis pour les adeptes de thés, tisanes, et confiture bio : la superbe boutique Florel.

Des produits bios exclusivement, tous faits dans la région, et qui ont cette particularité de disposer d’un conditionnement élégant et coloré. Le cadeau parfait, à offrir, ou pour soi.

Je vous recommande tout particulièrement le thé blanc pêche délicieusement parfumé, ou encore un grand classique, thé vert menthe. Quant aux confitures, pour se prononcer, il faudra d’abord que je les goûte toutes ! Mais je peux d’ores et déjà vous dire que les abricots, framboise et figue sont délicieuses 😉

Restaurants

Des restaurants dans les villages d’antiquaires, en bord de Sorgue, au coeur de la ville, le choix est vaste. Il faudra donc que je fasse un article dédié à ce sujet crucial. Cependant, pour un déjeuner agréable et au rapport qualité prix parfait, je vous recommanderais deux adresses.

La première : le café du village. Dans le plus ancien village d’antiquaire de l’Isle, un petit havre de verdure mais aussi une très belle salle pour un déjeuner au calme. Attention, le restaurant se calque sur les horaires d’ouverture des antiquaires du village, soit donc du vendredi au lundi inclus, à midi exclusivement !

Deuxième adresse, au bord de l’eau : Le chineur. Pour un café, ou un déjeuner en bord de Sorgue, au coeur de la ville.

A très bientôt à l’Isle sur la Sorgue !

Maison Jouvaud 04 90 26 72 97 5 Avenue des Quatre Otages, 84800 Isle sur la Sorgue

Lillamand rue de la République 84800 L’Isle-sur-la-Sorgue

Florel 25 Avenue de la Libération, 84800 L’Isle-sur-la-Sorgue

Café de la gare  2 bis avenue de l’égalité   •   Le Village des Antiquaire de la gare   •   84800 L’Isle-sur-la-Sorgue   •    Tel: +33 (0)4 90 15 47 49 ouvert seulement le midi du vendredi au lundi inclus

Restaurant Le Chineur  2 Espl. Robert Vasse, 84800 L’Isle-sur-la-Sorgue 04 90 38 33 54

Partir à l’aventure ?

Partir, mais partir à l’aventure.

Pour se sentir vivant ! Alors d’accord, les vacances d’été sont presque finies, on commence déjà à nous parler de la rentrée.

NON ! je dis NON !

On est encore en été, et puis il y a l’hiver, bientôt. D’ailleurs, c’est toujours l’été quelquepart ! Alors rêvons. Rêvons à un road trip là-bas, quelque part, loin, ailleurs !

Nouveaux horizons, nouvelles façons de nous déplacer ? Alors voilà, j’ai fait ma wishlist de voyages extraordinaires. Quelle sera la vôtre ?

Les grands espaces de l’ouest américain

Partir à la découverte de l’Ouest américain ? Alors là, vous vous dites : « vu et revu  » !

Sans doute. Des hordes de touristes partent chaque année à la découverte de ces fameux grands parcs. Le grand canyon, Bryce, Monument Valley, et j’en passe ! Seulement voilà. Enfiler des kilomètres dans des cars climatisés, aussi confortables soient-ils, ça manque de cette dimension de conquête de l’Ouest que j’aimerais associer à un voyage dans ces espaces qui nous plongent dans l’esprit d’aventure. Et puis lors de notre dernier voyage dans cette région, nous avions croisé plusieurs groupes d’aventuriers français sur leur Harley… De quoi faire rêver…Alors la route 66 en Harley, je dis oui ! Bon, évidemment, il faut d’abord que je passe le permis moto, mais ça c’est un détail !

 Les déserts de sel de l’Amérique du Sud

J’ai testé le Chili.

CHILI
CHILI

Désert de l’Atacama, streetart à Valparaiso, j’ai tout adoré. Et en particulier la gentillesse des chiliens, accueillants, chaleureux. Mais ce voyage ne nous a pas menés jusqu’à la Patagonie, faute de temps. Et si c’était donc ma prochaine destination ?  Ou bien retournerai-je au Chili, pour passer ensuite vers la Bolivie et son célèbre Salar d’Uyuni ? Et là, je me vois bien chevaucher dans les plaines, sur une superbe monture sur laquelle j’aurais fière allure…

Aller à la rencontre de l’Inde

Là, il s’agit vraiment de rencontres plus que de découvertes de la géographie ou encore des paysages.

Parce qu’au delà des merveilles que j’ai découvert au Rajahstan, ce sont les humains qui m’ont fascinée. Et j’ai quitté le pays en rêvant d’y retourner, en prenant le temps. Le temps d’échanger, de comprendre un peu plus, un peu mieux. D’avoir une autre vision que celle proposée par les films hollywoodiens, ou même par de petits joyaux cinématographiques comme La Saison des Femmes.

Là encore, c’est clair, la moto est le véhicule le plus approprié aux us et coutumes du pays, avec le bus, si on est prêt à voyager aussi sur le toit ! Parce que l’image qui reste ancrée dans mon esprit, ce sont ces jeunes, chevauchant le même deux roi, deux au minimum, et voire même plus nombreux !

L’Islande, terre sauvage

J’ai adoré l’Islande. Ses volcans comme ses glaciers, ses geysers et ses chutes d’eau, sans oublier cette race unique de chevaux qu’on ne trouve que là bas et que l’on voit partout, tout le long des routes.

Je me suis laissée dire que les hébergements étaient devenus plus nombreux et plus riches, mais pourquoi pas se déplacer avec son propre hébergement ! Et pour moi, ce serait une vraie première parce que le camping car, je n’ai jamais testé !

Et là, je m’imagine, arrêtée près d’une étendue immense, réveillée au petit matin par un troupeau de ces chevaux sauvages qui viendraient, s’approcheraient, curieux de ce véhicule étrange posé là, dans leur espace.

Italia mi amore

Pour finir cette liste non exhaustive de destinations pour mes prochains périples imaginés à travers le monde, je dirais l’Italie. J’aime la mélodie de sa langue, musique à mes oreilles, l’élégance de ses habitants, la saveur de son café, la beauté de son architecture.

Bien sur, il y a Venise, la sérénissime, mais on sait tous que ce n’est qu’une infime partie de ce que ce pays propose en émerveillements et découvertes.

 

J’ai d’ailleurs toujours eu une fascination pour les voitures italiennes. Moi qui me désintéresse absolument des belles mécaniques, les leurs ont toujours exercé un pouvoir d’attraction sur moi … Alors visiter le pays à bord d’un de leurs véhicules mythiques, je dis oui !

Et vous, des destinations qui vont font rêver ? Quelle sera la prochaine ?

C’est l’été à Venise

C’est l’été

Voilà, l’été est enfin là. Moi qui avais l’impression d’être encore en février, voire même en novembre, j’ai du mal à y croire.

Et qui dit été, dit envie de voyager, en tous cas en ce qui me concerne !

Cet été, c’est le sud de la France qui m’accueillera. Mais je rêve de voyages plus lointains, de destinations inconnues, et aussi de retourner vers celles que j’aime tant.

J’ai donc décidé de voyager un peu en images avec vous, et de vous montrer quelques images de ma dernière destination.

Venise – la sérenissime

Lors de notre dernière escapade à Venise, nous avons emprunté des chemins de traverse.

Loin de la Place Saint Marc,  que nous avons quand même traversée, parce que sinon, ce n’est juste pas possible, nous avons marché, flané, nous nous sommes laissés porter par l’envie, la découverte. Et d’ailleurs, cette fameuse place Saint Marc, nous l’avons découverte sous un jour inattendu pour cette saison : recouverte d’eau  ! Et Oui, il y a acqua alta en juin parfois…

Venise - place Saint Marc
Venise – place Saint Marc

Et de l’eau, il y en a eu, de la place St Marc à toutes les petites rues de la ville ! quelques heures les pieds dans l’eau, et puis plus aucune trace, jusqu’au lendemain soir, où l’eau montait à nouveau !

Mais dans la journée le soleil revenait, et nous avons alors pu admirer le Grand Canal du côté du palazzo Grassi et du pont de l’Accademia.

Nous avons déjeuné dans le quartier Dorsoduro, au pied du pont de l’Accademia, avec une vue dont il est impossible de se lasser…

Et en plus, la pizza était plutôt bonne !

Et aussi, pour la première fois, nous sommes allés à Burano, cette jolie petite île connue pour ces maisons multicolores et ses brodeuses. Et la couleur était bien au rendez-vous.

Venise Burano
Venise Burano

La brodeuse aussi !

Au delà de la couleur des maisons elles même, c’est la multitude de portes entrouvertes et de rideaux frémissants avec la brise de la mer qui m’a le plus séduite.

Les gondoles sont restées à Venise, le temps pour nous de découvrir ces destinations dont je rêve encore, celles que j’espère bientôt découvrir. Et comme le monde est vaste, très vaste, ce n’est pas fini !

Gondoles à Venise
Gondoles à Venise

Peut-être que je tenterai une destination en la choisissant en fonction de son plus joli billet, dans les 10 plus beaux billets du monde !

Ou peut-être que je ferai tourner une mappemonde pour laisser le hasard me guider.

Ou encore peut-être que, pour avoir des idées, je retournerai faire un tour sur le blog  de maman voyage qui en est à son deuxième tour du monde, ou encore sur  Happy city blog.

Et dans tous les cas, je vous souhaite d’excellentes vacances d’été, où que vous soyez, où que vous alliez !

London Calling – Londres en 48 heures !

Londres en 48 heures

Un défi pour un weekend bien rempli bien sur, étant donné que cette ville propose une diversité énorme d’activités, de découvertes, de musées, de boutiques, de ruelles incontournables, de quartiers branchés.

Saviez-vous d’ailleurs que sa superficie est 15 fois plus grande que Paris intra-muros ?

Londres en 48 heures
Londres en 48 heures

Premier jour

Alors que les choses soient claires : je ne parlerai pas ici des incontournables London Eye, Tower bridge, View from the Shard, Westminster, relève de la garde.

D’autres l’ont fait avant moi, et je vous invite à lire l’article de Madame parle qui donne envie de Londres, même sous la pluie !

Ici, il s’agira de Londres, comme si j’y venais tous les weekends, comme si je cherchais à créer un weekend riche, de ceux que je me fabriquerais à Paris !

Commençons par le commencement : en sortant de la gare, n’oubliez jamais de regarder où vous mettez les pieds !

Londres - look right
Londres – look right

Etape 1

A peine descendu du train, vous pouvez par exemple prendre la direction de Old Spitafield Market et Shoredich.

Un marché où la street food est reine, un quartier hyper branché incontournable pour tout amoureux de streetart qui se respecte. Un combo absolu pour un bon début !

Pour les meilleurs pancakes de la terre, foncez au restaurant dont le nom dit tout : « The English Restaurant », juste en face du marché, histoire de recharger les batteries !

Ensuite, vous pourrez faire le tour des allées du marché, puis vous diriger vers Shoredish par Brick Lane et ses boutiques branchées, le street art à chaque coin de rue, et un marché aux fleurs spectaculaires le dimanche, sans oublier LA boutique vinage de la rue : ROKIT !

Etape 2

Une fois que vous aurez exploré ce quartier de l’est londonien, retour vers le centre : Oxford street, Liberty.

Parce qu’il faut le dire, une petite séance de shopping du côté d’Oxford Street et Regent Street s’impose !

Et si ce n’est pour faire du shopping il faut au moins rentrer dans cette superbe bâtisse qu’est Liberty London  juste pour en admirer l’architecture !

Intégralement construit en bois, à partir du bois de deux navires du négociant qu’était M. Liberty, le grand magasin est conçu autour de 3 puits de lumière, dont celui que vous pouvez voir sur la photo. Vous y trouverez tous les tissus dont vous rêvez, mais aussi un très beau rayon « chaussures » que je vous recommande vivement pendant les soldes !

Etape 3

Une fois dans ce quartier, marchez tranquillement, et vous arriverez à Covent Garden, plus vite que vous ne l’imaginez !

Covent Garden Market
Covent Garden Market

Ici, rien à voir avec un marché, mais plutôt un quartier animé, où artistes de rue côtoient promeneurs et touristes, et grandes enseignes concurrencent boutiques de créateurs.

Amoureuses de cartables – dites « satchels » – ne manquez sous aucun prétexte la jolie boutique de la marque anglaise : The Cambridge Satchel company. Vous y trouverez votre bonheur, entre les collections classiques, et les collabs branchées du moment.

Si vous souhaitez dormir dans le centre de Londres, à une distance praticable à pied du quartier du shopping, du quartier des théâtres, et du célèbre Hyde Park, je vous recommande de trouver un appartement du côté de Grosvenor Square, ou de Covent Garden. Grosvenor Square présentant l’avantage d’être au coeur du paisible Mayfair.

Là, dans ce quartier, il semble indispensable de diner chez Sketch, au lieu de la branchitude londonienne. Mais bien sur, il faut réserver, plutôt 2 semaines avant qu’une !

Deuxième jour

Etape 4

Partez d’un pas assuré à la découverte d’un autre quartier branché de Londres.

J’ai nommé : Camden. Vous y trouverez pubs, bars, marché, magasins hauts en couleurs, spécialisés en dock martens, guitares, tatouages. Camden Lock vous accueillera pour de la street food, en tous genres, ou encore des bijoux en argents, des produits artisanaux.

Pour déjeuner, je vous recommande chaleureusement le restaurant de hamburgers : Hâché burgers à Camden ! Avec un nom pareil, et les critiques que vous allez lire sur tous les sites qui en parlent, vous comprendrez que vous ne pouvez pas vous tromper en vous installant à une de leurs tables.

Marcher est l’activité majeure que je vous recommanderais à Londres.

Etape 5

Marcher à Notting Hill, un must absolu.

Premier angle d’approche : les maisons colorées, de la célèbre Portobello Road, et de toutes les petites rues alentour.

Deuxième angle d’approche : la visite sur les pas de Hugh Grant, version « coup de foudre à Notting Hill » !

Londres - Notting Hill
Londres – Notting Hill

Et pour déjeuner, le Red Lemon Pub, un peu à l’écart de la rue principale, ce qui lui donne clairement une dimension plus « authentique » ! Et puis un bon fish and ships, cela ne se refuse pas !

Etape 6

Vous aurez beaucoup marché, beaucoup mangé, beaucoup parlé, et vous serez sans doute épuisés.

Mais néanmoins, si vous avez encore le temps et l’énergie, juste avant de reprendre le train, je vous recommande vivement de pénétrer quelques instants dans la British Library. Vous y découvrirez, dans une salle à peine signalée et à l’accès gratuit, la salle des livres rares, et vous pourrez y consulter la collection de livres anciens de la British Library, dont font partie les archives imprimées du Royaume-Uni, ainsi que le fonds des 11 000 incunables qui sont autant de rappels tangibles de la naissance de l’imprimerie en Europe occidentale au XVe siècle

Il sera alors temps de vous diriger vers Saint Pancras pour un voyage de retour paisible et reposant !

The English Restaurant 52 Brushfield St, London E1 6AG

Cambridge Satchel Company 31a James Street
London, WC2E 8PA

Sketch 9 conduit street London W1S 2XG

Haché burgers 24 Inverness St, Camden Town NW1 7HJ

Red lemon Pub 45 All Saints Rd, London W11 1HE

British Library  96 Euston Rd, London NW1 2DB

Marseille en 24 heures

Marseille.

Autrement appelée Massilia, est une ville aux atouts multiples. Il s’agit bien sur avant tout d’un port, et la mer y est omni présente. C’est donc par là que je recommanderais de commencer cette journée riche et intense. Bien sur, si vous pouvez rester un weekend complet, n’hésitez pas un instant ! Cela vous permettra de flâner, d’aller plus loin dans la découverte.

Etape 1 : le vieux port

Le vieux port et ses vendeurs de poisson du matin, mais aussi ses brasseries, ses voiliers et sa vue imprenable.

Déambulez parmi les étals, face à l’eau qui scintille, le soleil qui commence à s’installer tranquillement sur la ville. Prenez le temps de marcher le long des quais d’admirer les voiliers, de prendre le pouls de la ville qui se réveille.

Vous ne pouvez pas manquer la grande roue qui y est installée, ni cette structure aux reflets qui rendent fous les photographes en quête de sensations fortes.

Etape 2 : le Mucem

Une fois que vous avez pris la mesure de la ville en ayant déambulé au soleil, vous pouvez penser « culturel ». Direction le MUCEM, et son architecture aérienne parfaitement intégrée et en harmonie avec le fort par lequel on peut y pénétrer ( en évitant souvent de longues files d’attente ! )

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Une architecture très photogénique, au coeur de laquelle le bleu de la Méditerranée est omniprésent.

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La programmation en est très riche, construite sur une large diversité de formes d’expression, qu’il s’agisse d’exposition temporaire, de présentation permanente, de théâtre, spectacle et autres concerts. L’esplanade permet elle aussi de prendre le temps de profiter du soleil et de la Méditerranée.

Marseille
Marseille

La pause culturelle étant faite, à Marseille, il y a le shopping !

3ème étape : shopping

Pas très loin du Mucem, découvrez le superbe centre commercial récemment construit : Les Terrasses du Port. vous y trouverez une large variété d’enseignes, allant de LUSH à Dalloyau, en passant par Superdry. L’endroit est baigné de lumière, et suffisamment spacieux et aéré pour qu’une escapade shopping y soit plaisante pour tous.

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Le port historique s’est transformé pour l’accueillir, et juste en face il y a les docks, réaménagés depuis peu pour accueillir les badauds et les touristes, leur permettre de se restaurer, de se poser, de prendre le temps. Parce qu’après tout, on est dans le sud !

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4ème étape : centre ville

En revenant vers le centre ville, les zones plus « historiques  » de promenade à pied s’offrent aussi à vous. Impossible de venir à Marseille pour la première fois sans avoir marché sur la Canebière, trainé rue de Paradis, ou encore rue St Ferreol.

Marseille Canebière
Marseille Canebière

De la mode, des accessoires, de jolies boutiques.

Et puis des enseignes historiques. Par exemple, la Maison Empereur , créée en 1827, qui reste aujourd’hui un lieu incontournable et une enseigne emblématique pour de nombreuses générations de marseillais. Arts Culinaires, Coutellerie de cuisine ou de collection, Arts Ménagers, Bricolage, Droguerie, Jardinage et Jeux d’Autrefois, ce sont là tous les univers dans lesquels on plonge en se promenant dans les 1 000 m2 d’allées de la maison Empereur. Une « caverne d’Ali Baba » qui recèle des merveilles inattendues, des accessoires pour toute la maison, du linge aussi, en matières nobles. Le lieu idéal pour trouver un cadeau typique. Cela reste entre nous, mais la partie linge de maison me rappelle furieusement Merci  !

Pour ce qui concerne les restaurants, je dois avouer que notre dernière escapade marseillaise fut un fiasco : nous voulions déjeuner chez « Les Arsenaulx  » , sur la célèbre place aux Huiles, et imaginez : nous n’avions pas réservé !

Alors je vous invite à faire le test pour moi, et bien sur, vous nous direz tout n’est ce pas ?

Voilà ! Quelques incontournables pour une première découverte de Marseille. Bien sur, cela ne pourra que vous donner envie d’y retourner, pour plusieurs jours, histoire de pousser la découvert bien plus loin, peut-être même jusqu’aux Calanques, sans oublier le vallon des Auffes, l’Estaque, et tous ces charmants endroits au nom  qui appelé le chant des cigales et le clapotis des vagues.

 

 

Voyage, Voyage…..

Voyager. Voilà une activité que j’adore.

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Même si Paris reste pour moi la plus belle ville du monde, j’adore changer d’air, découvrir des ailleurs, parcourir d’autres rues. Je vais d’ailleurs peut-être lancer une rubrique  » The Parisienne à Londres « , ou encore « The Parisienne à New York  » !

Parce que justement, ces derniers temps, j’ai pris le temps et saisi les occasions qui se présentaient : Londres, et aussi New York précisément. Deux de ces villes pourraient d’ailleurs tenter de concurrencer notre belle ville.

A bien y réfléchir, elles présentent tant de similitudes !

Bien sur, il y a la langue. Cela dit, si vous interrogez les locaux, ou si vous les écoutez parler, la ressemblance est loin d’être frappante. Je me suis même appliquée à tenter de prendre l’accent british pour tous mes échanges avec les locaux, mais j’avoue qu’ils ont eu bien du mal à me comprendre. Just saying ! Je continue à m’entrainer !

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Autre point commun, qui fait pâlir d’envie la parisienne que je suis : l’abondance de taxis. d’autant qu’à Londres, vu le prix du ticket de métro, dès qu’on est plus de deux, mieux vaut profiter de l’abondance de ces véhicules noirs qui arpentent la ville !

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Mais surtout, il y a cette énergie, bouillonnante, trépidante. De celles qui vous portent et vous donnent des ailes. J’ai aligné les rues, les avenues, traversé des parcs, emprunté de petites rues paisibles – si,si , il y en a – dans l’une comme dans l’autre, et je pense que j’ai parcouru près de 50kilomètres à New York, sans sourciller !

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Quant à Londres, je suis devenue incollable sur toutes les rues de Notting Hill.

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Alors bien sur, pour voyager, il faut aller prendre l’avion, à l’aéroport. Et pour aller à Roissy, quand on part du sud est de Paris, c’est un vrai périple. Il faut donc choisir ! Et c’est Momondo qui s’est penché sur le sujet, en prenant comme objectif : se rendre au coeur de Paris  en arrivant par l’un des 3 aéroports qui desservent Paris. C’est donc en collaboration avec Momondo que je vous livre  leur infographie . 

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Et il y a de multiples façons de le faire .

Si je résume, quand on a un pass Navigo, pour Roissy, le choix s’impose en termes de tarifs et du durée, si on ne craint pas les retards du RER et que se promener dans les rames du train avec des valises ne vous fait pas peur. Pour Beauvais par contre, de toutes façons, autant le savoir, ce sera long… Très long !

En ce qui nous concentre, nous sommes plutôt Uber, mais ouverts à d’autres piste. Et puis il parait qu’un jour viendra où Roissy sera desservi par un vrai train qui permettra aux millions de touristes qui arrivent à Paris de s’épargner leur premier embouteillage, ou leur première découverte du RER !

En attendant ce moment, il est temps de planifier un prochain voyage ! Et vous, où auriez vous envie d’aller, là, tout de suite ?