The parisienne – c’est décidé, je me mets au sport !

!!! Il va y avoir du sport !!!

Vivre à Paris m’a toujours semblé peu propice, à priori, aux sports d’extérieur. Oui, comme vous j’ai vu des inconscients, en short, écouteurs vissés dans les oreilles, entrain de courir le long du périph’. Mais j’ai tendance à penser qu’il s’agit d’accros, mordus à la course, qui ont développé une addiction lors de séjours au grand air, et, une fois devenus citadins, n’ont pas trouvé la force mentale de s’arrêter.

Personnellement, j’ai la certitude qu’il vaut mieux rester chez soi, fenêtres fermées , devant un bon film avec des petits gâteaux et un bon thé chaud, histoire d’éviter de se tapisser définitivement les poumons de substances toxiques en tous genres …. !

Bref.

Alors bien sur, il y a les sports d’intérieur ; nous ne nous étalerons pas sur le sport en chambre, mais plutôt sur des activités sportives qui se pratiquent plutôt seuls ( le parisien , passé un certain age, pratique peu le sport d’équipe) :

nous avons l’option  » club de sport « : des dizaines de personnes entassées dans une salle, de préférence en sous sol, suant à grosses gouttes, soit chacun seul sur une machine de torture – il en existe plusieurs modèles – soit en groupe, s’agitant sur des musiques endiablées, face à un miroir géant qui leur renvoie l’image de leurs efforts méritants .

Il y a également les lieux plus selects, qui oeuvrent à grand coup de Pilates  ou encore de Power Plate, après un diagnostic totalement personnalisé qui garantit un programme dont la réussite est assurée .

Vous avez également l’option : « salle de sport à la maison « :

c’est pour celles, comme moi, qui, parées de leurs bonnes intentions, ont contribué à l’essor économique des fabricants de vélos d’appartements – indispensable dans le salon, face à l’écran du téléviseur, permettant ainsi de faire du sport sans y penser, parce que, il faut bien le dire, pédaler dans le vide pour aller de nulle part à nulle part ailleurs, peut entrainer des crises de folie passagères si l’esprit n’est pas occupé par une activité cérébrale intense …

J’ai aussi essayé la version  » fun  » : j’ai nommé  » la Wii « : très drôle au début, surtout quand on observe certains individus plutôt  » raides  » s’essayer au   » Hula hoop  » ! Mais sur la durée, pas de résultat !

Et puis , il y a promener le chien, monter des escaliers, et , en dernier ressort, prendre un Velib’ !

Mais , au final, je n’y arrive pas, et ça me ronge …. alors vous, le sport, ça vous inspire quoi ?

 

petit voyage au coeur de l’histoire de la mode

Histoire de robes ….

Commençons par une petite balade dans le Paris historique : les galeries du Palais-Royal.

C’est Didier Ludot qui a contribué à redonner vie à cet endroit qui est demeuré éteint pendant de longues années. En introduisant la mode d’hier par ses boutiques Vintage, dont celle de « La Petite Robe Noire « , il a contribué à faire venir des grands noms de la mode d’aujourd’hui tels que  » Marc Jacobs « ,  » Stella McCartney « , la  » Maison Fabre « , ou encore Jérôme Lhuillier.

Il était donc naturel qu’ils lui rendent tous hommage en mettant en scène, dans toutes les vitrines des galeries, une ou plusieurs  » petites robes noires « , d’hier et d’aujourd’hui, accompagnées de citations de people du monde entier … En voici quelques illustrations, mais rien de tel que d’aller y faire un tour !

après la mode d’aujourd’hui et d’hier, remontons un peu encore dans le temps :

Madeleine VIONNET ,au musée des Arts Décoratifs.

Puriste de la mode

considérée comme un des grands noms de la mode du XXème siècle, elle est la créatrice entre autres de la coupe en biais et du décolleté bénitier.

Ses coupes sont épurées, les matières nobles et sans fioritures, du crèpe au souffle de soie. elle introduit les drapés asymétriques, les tombés parfaits.

Comme le dit Christian Dior,  » Elle avait le génie de l’emploi du tissu et inventa la coupe en biais qui devait mouler souplement les femmes d’entre les deux guerres. … La coupe seule importait ; le reste devenait superflu « 

De plus, elle est précurseur en terme de bien être de ses employées, allant jusqu’à leur payer des congés payés bien avant leur mise en oeuvre .

Ses modèles s’épurent et s’allègent au fil des années, jusqu’à 1939, date à laquelle sa maison de coutire est vendue.

Elle dira:  » Je suis contente de ce que j’ai fait. Je me suis complètement réalisée « .

Voici quelques photos « volées » au péril de ma vie – les gardiens avaient l’air féroce !

et pour finir, une des pièces les plus spectaculaires (photo « Linternaute »)

Informations pratiques :

Les Arts Décoratifs – Mode et tex­tile
107, rue de Rivoli
75001 Paris

         01 44 55 57 50      

fermé le lundi

Exposition SOULAGES – centre Pompidou

Du 14 octobre 2009 au 8 mars 2010 aura lieu au Centre Pompidou à Paris, dans la grande Galerie du 6e étage, une importante rétrospective « Soulages », qui présentera une centaine d’œuvres depuis 1946 jusqu’à aujourd’hui (commissaires de l’exposition : Alfred Pacquement, directeur du Musée national d’art moderne, et Pierre Encrevé).

Mais là, je ne vous apprend rien, ou du moins, pas grand chose … !

Sauf que, samedi 17 octobre, à 17h00, il sera là, en chair et en os, pour signer ses livres, et ça, vous  ne le saviez peut-être pas !

J’ai hésité avant de diffuser cette information sur mon blog qui a maintenant une audience telle que je risque de générer une émeute en faisant venir tant de visiteurs, mais je me suis dit aussi que ce serait peut-être l’occasion d’en rencontrer quelques uns en chair et en os … alors , tout bien pesé, je me suis dit que ça valiat la peine !

Alors, à samedi ?

Balade chez les Shadoks …

Vous connaissez tous les Shadoks, ce peuple d’oiseaux hauts perchés sur leurs longues pattes, aux petites ailes ridicules, et cependant dotés d’un certain bon sens puisqu’on leur attribue des reflexions telles que :

 » Pour qu’il y ait le moins de mécontents possible, il faut toujours taper sur les mêmes. »

ou encore

 » Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? « ,

sans parler de  » Quand il n’y a pas de solution , c’est qu’il n’y a pas de problème  »

ce qui permet de relativiser la gravité des choses et de prendre un certain recul vis à vis des évènements !

Je m’étais toujours demandée où les Shadoks demeuraient, sachant que leur objectif avait toujours été de rejoindre la terre …

Et bien je les ai trouvés, ils sont là , bien vivants, proches de chez vous et de chez moi :

la cour des Shadoks

 

c’est un endroit protégé, que l’on découvre en passant sous un porche au 71 rue du Faubourg Saint Antoine à Paris dans le XIème !

Rien d’extraordinaire à priori, pas de ribambelles d’oiseaux étranges entrain de pomper furieusement sous prétexte que …

Sauf un détail …

La  » Charte des Shadoks « 

Le bon sens évident qui transpire des divers articles ci dessus est l’ultime preuve que nous les avons retrouvés !

A moins qu’il ne s’agisse de quelques Gibis (vous savez, ceux qui « travaillaient du chapeau » ) qui, las d’être poursuivi par ces oiseaux stupides qu’étaient les shadoks et qui bénéficiaient cependant d’un capital sympathie certain, ont décidé de se cacher là sous un pseudonyme original !

The parisienne fait ses courses sur Internet Si, Si !

En tant que  » the parisienne « , j’ai à ma disposition petites boutiques de quartier, magasins de créateurs, grandes chaines de franchisés, centres commerciaux et commerces en tous genres.

Il me suffit d’arpenter les rues, du passage à l’avenue, et la découverte guette souvent au coin de la rue !

Et pourtant, je suis accro à Internet ! Vente privée, Brandalley, Private Outlet, AchatVip, sans parler de cadeaux.com, ebay, j’en passe et des meilleures !

Alors quand je tombe sur une nouveauté qui semble prometteuse … je ne peux m’empêcher de tester !

Voilà donc le site que je teste actuellement, et pour lequel je vais vous faire suivre la démarche de bout en bout !

Trendy workshshop – de la conception à la création et à la production

Le concept est le suivant:

un site sur lequel vous crééz vos modèles, vous les achetez, vous les proposez à la vente , percevez des commissions, que vous récupérez sous forme de bons utilisables sur le site en deça de 100€, et en chèques au delà.

Alors pour l’instant, j’en suis au stade de la  » création  » !

Et à vrai dire, c’est un peu comme jouer aux SIMS 3, mais en moins complexe, et avec la perspective d’un résultat palpable en fin de course ! On choisit les formes, du pull, de la robe ou de la tunique, puis des manches, et des encolures, mais le mannequin est le même pour tout le monde …

on choisit les finitions (côtes fines ou larges, rouloté ou pas ,etc … ) – personnellement, je trouve que le choix des photos mises en ligne pour illustrer les différents types de finitions n’est pas extrêmement judicieux, voire même raté … ça fait plus année 70 que site branché actuel, mais bon, disons que c’est une petite erreur de jugement, je ne leut en tiendrai pas rigueur !

 

et une fois les couleurs sélectionnées, on arrive à un résultat

ou à un autre

mais bon, tout ceci est pour l’instant tout ce qu’il y a de plus virtuel, en ligne exclusivement dans mon  «  workshop « , et encore, au stade de brouillon !

Parce que là, se pose la question de la taille pour passer la commande !

Alors, d’abord, j’ai voulu télécharger le document des tailles, mais sans succès. J’ai donc utilisé le  » contactez-nous  » pour poser la question, et là, hyper réactivité, j’ai eu une réponse, avec le document joint, dans la journée qui a suivi ; sauf que les dimensions sont en cm, basées exclusivement sur la largeur des épaules et la longueur, et, pour l’instant, ça ne colle pas! La Largeur d’épaules du  » L  » ne correspond pas, mais pas du tout, à un pull que j’ai pris comme étalon !

Donc, de nouveau mail, et là, j’attends la réponse !

Parce qu’au bout du compte, j’ai bien l’intention de le commander mon pull !

Et là, je vous ferai un debrief sur le produit fini ….

A suivre donc !

bruncher à Paris – suivez le guide ? Le Bal Bullier

Le Bal BULLIER

22 avenue de l’observatoire 75014 PARIS

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

Faut-il faire confiance aux guides en tous genres qui fleurissent en librairies sur Paris et ses trésors ? faut-il s’en inspirer pour faire un choix décisif tel que  » où vais-je bruncher ce week-end en famille  » ?

J’ai décidé de faire le test quand je suis tombée par hasard sur ce petit recueil à côté des caisses du plus beau magasin ETAM de Paris :  » Bruncher à PARIS  FIRST Editions«  (P.S : pour ceux qui ne connaitraient pas  » le plus beau magasin ETAM de Paris « , il se trouve rue de Rennes et j’en parlerai sans doute un jour ou l’autre !)

Mes critères sont assez simples: pas trop loin de chez moi, un lieu agréable et chaleureux qui peut accueillir 6 personnes sans que cela ne nécessite un bouleversement de la salle et sans entrainer une révolution chez les autres convives, et un accueil ainsi qu’un service attentionné ;

quant aux mets, qu’ils soient copieux, pour répondre à un ou deux cas de gloutonnerie chronique au sein de notre petit groupe (!), variés, simples pour être au goût de tous ,y compris des palais plus difficiles, compris également dans notre petit groupe (!)

D’après le guide donc, je trouve l’endroit parfait:

Le Bal BULLIER 22 avenue de l’observatoire 75014 PARIS

les critiques de ce guide vantent en vrac: le lieu, l’abondance de plats, la qualité de leurs produits; ceci est saupoudré d’un peu de  » name droping «  assez basique (le thé vient de MAriage Frères ) pour finir sur la gentillesse du service ….

Victoire, me dis-je, j’ai trouvé le lieu idéal … et c’est parti !

J’appelle donc pour réserver – indispensable un dimanche matin ensoleillé pour accueillir 6 personnes, et je me sens déjà en bonne voie, l’accueil téléphonique étant effectivement parfait !

Nous arrivons sur les lieux, effectivement agréables: style bistrot à l’ancienne, agrémenté d’une terrasse , ainsi que d’une verrière permettant de s’abriter en cas d’intempéries , bien utile pour notre climat parisien!

Nous nous installons donc à l’intérieur :

première mauvais surprise:

le bruit qui va nous accompagner tout au long du repas … un vacarme infernal, spectaculaire pour un simple percolateur !

Puis c’est le brunch qui arrive:

copieux, certes, gouteux au démarrage ( tartine et part de cake maison), mais tout se dégrade rapidement: les oeufs brouillés sont noyés dans une crème fraiche, qui semble être l’accompagnement favori du cuistot, puisqu’on la retrouvera avec le saumon fumé puis les pancakes !  Les pancakes d’ailleurs, parlons en: pas très difficile à confectionner si on y pense bien, et bien ils s’avèrent être insipides!

Je pense qu’une seule photo suffira pour illustrer le propos ….

Enfin, dernier point pesant de ce repas: les délais interminables qui s’écoulent entre chaque plat !

Alors que dire de cette expérience ? curieusement le lieu est attachant; le serveur qui s’est occupé de nous était absolument charmant, navré de voir que nos oeufs brouillés baignés de crème fraiche étaient tous restés dans nos assiettes .

Les assiettes de nos voisins, qui n’avaient pas opté pour l’option  » brunch « , avaient l’air riches et appétissantes. 

Alors, pour conclure: le brunch est certainement le pire choix à faire au  » Bal Bullier « , mais l’endroit mérite peut-être une seconde chance !

Et, pour en revenir aux guides en tous genres, si vous décidez de vous y fier, veillez à ne pas vous tromper, de guide !

le café du musée du quai Branly

37, quai Branly
75007Paris

tel :          01 47 53 68 01      

mardi, mercredi et dimanche de 9h à 18h ; jeudi, vendredi et samedi de 9h à 20h

le cadre : le service :

la qualité des plats: le prix :

max : 5

voici encore un de ces endroits que j’hésite parfois à révéler tant il est précieux et rare. Voilà, au moins, le ton est donné, et vous savez que vous ne lirez pas beaucoup de points critiques dans cet article.

Tout d’abord le lieu, protégé, entouré de verdure, comme l’est l’ensemble du musée.

 » Tagliata de boeufs sur lit de roquette et champignons frais, accompagnés de leurs frites couteau « 

nous étions deux, et nous avons pris le même plat !

Quant au dessert, il s’est résumé à un café gourmand … voilà ce qui explique le pénurie de photos!

cependant, je peux vous assurer que les assiettes que je voyais passer à destination des clients des tables alentour étaient tout aussi appétissantes que les notres ! Hors nos plats étaient excellents, on sentait la fraicheur des produits et la cuisson était juste telle qu’éspérée … ne percevez vous pas, au travers de ces frites qui débordent de leur assiette à quel point elles craquent sous la dents pour laisser exploser leurs saveurs … Un élan de lyrisme !

Voici donc la note sucrée …..

  Si vous souhaitez déjeuner tranquille dans un cadre rare à Paris, en terrasse si le temps le permet, mais aussi à l’intérieur en cas d’intempérie, n’hésitez pas, allez-y ! Et, dernier point, et non le moindre, le service est parfait.

Merci Paris … saison 2

J’avais effectué ma première visite chez Merci en août : premières impressions

Et j’avais aimé ! alors, j’ai décidé d’y retourner, parce que le concept même de ce concept store est le renouvèlement permanent !

Commençons par la ravissante petite Fiat 500 qui nous accueille en rentrant :

nous sommes passés de

la version  » estivale  »                            à            la version  » rentrée des classes  »

Puis je repars à la découverte …

sur le comptoir dans la première salle nous accueille un mannequin  » Merci Isabelle Marant et Jeyrôme Dreyfuss « ;

Un demi étage – ce magasin est un véritable labyrinthe – et ce sont les vêtements avec, seulement pour la semaine, ce superbe side car « vintage » ( merci à C. pour le tuyau … ) :

elle est belle, racée, visiblement maniable et plutôt légère – vous aurez compris que je parle de la moto !

et si cette pièce de collection vous intéresse, voilà un peu plus d’information …

et même encore un peu plus : Royal Enfield !

En descendant, on découvre un espace déjeuner, agrémenté de vaisselle colorée et d’accessoires de cuisine design …

de la couleur et encore de la couleur …

les escaliers et la décoration murale pour atteindre l’étage des meubles et les accessoires papeterie

Une vue plongeante sur des meubles customisés avec soieries et tissus exotiques

mais cette fois la véritable surprise est ailleurs … les créateurs de ces lieux sont là … et même si les photos ci après sont la preuve que je ferai jamais carrière chez les paparazzi …

ce sont eux l’âme du lieu, et on le perçoit sur leur passage, quand elle réajuste un vêtement sur un mannequin sous l’oeil respectueux de la jeune femme responsable du rayon, c’est comme un murmure qui les suit quand ils s’arrêtent devant un fauteuil, prennent du recul pour admirer l’affiche géante composée de photographies de Dominique Issermann .

Et cette dernier image, d’un patron si attentif aux propos tenus par une cliente anonyme, illustre, je crois, l’esprit du lieu.

Je reviendrai !

The parisienne – comment je bloggue !

C’est chez  » la mere joie  » que j’ai lu cette suggestion de décrire notre façon de blogguer; et cela m’a véritablement interpelée, parce que je bloggue depuis moins de 3 mois, que cette activité, qui ne devait être que temporaire , est devenue centrale dans mon quotidien, et que, jour après jour, j’en découvre de nouvelles facettes, avec grand plaisir je dois dire !

Je n’ai pas encore saisi les subtilités des  » links « , chaines de tags et wikio – mon blog, sous son ancien nom, est 49 000 ème 😉  . Mais tout ceci n’est pas très grave: je m’amuse, et je découvrirai au fur et à mesure !

J’ai commencé ce blog à des fins  » thérapeutiques  » .

Il me fallait une activité riche, nouvelle, et qui m’occuperait le corps et l’esprit !

Je prenais des notes, je prenais des photos, et je m’étais fait la promesse de poster quotidiennement, plutôt deux articles, et un au pire; tout ceci était prévu pour une période pré determinée et ne devait pas durer !

Sauf que voilà, j’y ai pris goût !

Je suis devenue une  » blog addict  » Comment aurais-je pu abandonner mes lecteurs réguliers et fidèles? Et puis je ne pouvais plus sortir sans penser:  » tiens , ça ferait un bon sujet pour mon prochain article  » !

Alors me voici toujours là ! Et toujours avec le même plaisir !

Mes sources sont diverses : Je consulte tous les magazines qui me tombent sous la main, je suis abonnée à des news letters en tous genres, sans compter celles que je consultais déjà régulièrement , et puis ce qui se passe autour de moi, pour capter tout ce qui pourrait me fournir de la matière, une source de reflexion !

Et puis j’ai quelques accessoires : apparail photo, calepin, et l’application bloc note sur mon IPhone ! En écrivant ça, je me dis qu’il faut vraiment que je participe à la catégorie  » Le sac des filles  » du blog de Sandra !

J’écris, dès que je peux : au restaurant, quand une idée me traverse l’esprit, et juste avant de prendre la prochaine photo du plat qui nous est servi (au désespoir de ceux qui m’accompagnent parfois … c’est un peu « la honte » !), dans les musées, en sortant de la salle dans laquelle je me trouve, mais avant la suivante, pour ne pas oublier un détail majeur ! Le soir, en rentrant, avant de me coucher, et parfois même , sur mon lieu de travail (si cela pouvait rester entre nous … ?)

Je commence à avoir quelques articles, ou plutôt sujets d’avance, photos comprises !

J’adore partager, et par dessus tout, des tonnes de visites et de commentaires … !

Alors voilà, c’est dit, je viens d’arriver dans la bloggosphère, et je suis là pour rester !

Qu’on se le dise !!!